76e division d'infanterie (France)

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76e division d'infanterie
Création 26 septembre 1914
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de Terre
Type Division d'infanterie
Rôle Infanterie
Ancienne dénomination Division de Vassart
Guerres Première Guerre mondiale
Batailles 1914 - bataille de Flirey
1915 - 1re bataille de la Woëvre
1916 - Bataille de Verdun
1917 - Bataille de Monastir

La 76e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale.

Les chefs de la 76e division d’infanterie[modifier | modifier le code]

  • -  : général de Vassart d'Andernay
  • -  : général Siben
  • -  : général Charpy

Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code]

  •  : création de la Division de Vassart
  •  : prend le nom de 76e division d’infanterie

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Composition[modifier | modifier le code]

Historique[modifier | modifier le code]

Constituée, le , sous le nom de D.I. de Vassart (avec l'une des brigades de la 44e DI disloquée).

1914 - 1915[modifier | modifier le code]

  • 5 - : travaux au nord-est de Rambervillers.
  • 12 –  : offensive en direction du col de la Chipotte, et poursuite de l'ennemi, par Raon-l'Étape, jusque vers Celles.
  • 22 –  : retrait du front, et, à partir du 25, transport par V.F. dans la région de Toul.
  •  : mouvement vers le sud-est de Saint-Mihiel. À la fin de septembre et en , engagée dans la bataille de Flirey : combats vers Bouconville ; puis occupation d'un secteur vers Saint-Agnant et le nord de Rambucourt. À partir du , mouvement de rocade, et occupation d'un nouveau secteur entre l'est de Flirey et le nord de Seicheprey.
5 -  : attaques françaises au bois de Mort Marc (1re bataille de la Woëvre).
 : front réduit, à droite, jusqu'au centre du bois de Mort Marc.
1er octobre : front étendu, à gauche, jusque vers Saint-Agnant.

1916[modifier | modifier le code]

À partir du , réduction du front, à droite, jusqu'à la corne sud-est du bois d'Avocourt.
 : attaque allemande contre le bois d'Avocourt et Malancourt.
 : contre-attaque française.
À partir du , retrait du front et repos à l'ouest de Verdun. À partir du , occupation d'un secteur vers Avocourt et le bois Carré.
9 et  : attaques allemandes.
  •  : retrait du front (éléments laissés en secteur jusqu'au ) ; repos vers Ligny-en-Barrois, puis, à partir du vers Void. À partir du , transport par V.F. dans la région de Bruyères ; repos.
  •  : mouvement vers le front ; occupation d'un secteur entre le col de Sainte-Marie et le col de la Chapelotte, étendu à droite, du au 1er novembre, jusqu'au nord du col du Bonhomme.
  •  : retrait du front, et, à partir du , mouvement vers le camp de Saffais ; instruction.
  •  : transport par V.F. au camp de la Valbonne ; instruction. À la fin décembre, embarquement pour Salonique.

1917[modifier | modifier le code]

1er avril : attaque du piton Rond.
 : combats dans la région de Tomoros.
  • 6 –  : retrait du front (relève par des éléments russes) et mouvement vers Biklichta.
  •  : occupation d'un secteur au nord de Monastir, vers la cote 1248.

1918[modifier | modifier le code]

Rattachements[modifier | modifier le code]

Affectation organique :

  • Intérieur

L'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

À la fin de 1918 et en 1919, mouvement vers Séméndria ; embarquement à destination de Neusatz ; puis mouvement vers Szëgédio.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

L’après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).

articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]