1704 en philosophie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 26 octobre 2019 à 22:36 et modifiée en dernier par Bot de pluie (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.


L’année 1704 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :

Événements

Publications

  • Géraud de Cordemoy : Les Œuvres de feu monsieur de Cordemoy (1704). Publiées par son fils, Louis-Géraud de Cordemoy. Contiennent : Six Discours sur la Distinction et l'Union du Corps et de l'Ame Texte en ligne ; Discours physique sur la Parole Texte en ligne ; Lettre sur la conformité du système de Descartes avec le premier chapitre de la Genèse ; Deux petits traités de métaphysique ; Divers petits traités sur l'histoire et sur la métaphysique Texte en ligne ; Divers petits traités sur l'histoire et sur la politique.
  • Sylvain Leroy : L'usage de la raison et de la foy, ou L'accord de la foy et de la raison , par Pierre-Sylvain Régis. - Réfutation de l'opinion de Spinoza touchant l'existence et la nature de Dieu, chez Jean Cusson, Paris, 1704 (lire en ligne)
  • John Toland  : Letters to Serena. Toland critique Spinoza, sa conception statique de la substance et sa physique cartésienne. Traduction : Lettres philosophiques sur l'origine des préjugés (1768), Gale Ecco, 2010, 288 p. ; Nabu Press, 2010, 278 p. ; Lettres à Serena, trad. Tristan Dagron, Honoré Champion, 2004, 399 p. [1]

Naissances

  • Gottfried Sellius (également nommé Godofredus, Godefroy, Godofredi Sellii) né en 1704 à Dantzig et mort le à Charenton (France) était juriste, philosophe, naturaliste et traducteur.

Décès

  • à Oates, High Laver (Essex) : John Locke, né le à Wrington (Somerset) , est un philosophe anglais. Il a vécu à une époque charnière qui voit la fin des guerres de religion, les débuts du rationalisme et une forte opposition à l'absolutisme en Angleterre. Proche du comte de Shaftesbury, Locke est partie prenante à ces débats et aux théories alors naissantes du contrat social, de la loi et du droit naturel, et de l'état de nature. Il s'intéresse aussi aux prémices de ce qui sera appelé à compter du XIXe siècle le libéralisme.

Notes et références

Voir aussi