Étang-sur-Arroux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Étang-sur-Arroux
Étang-sur-Arroux
Blason de Étang-sur-Arroux
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Autunois Morvan
Maire
Mandat
Dominique Commeau
2020-2026
Code postal 71190
Code commune 71192
Démographie
Gentilé Étangeois
Population
municipale
1 794 hab. (2021 en diminution de 6,07 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 01″ nord, 4° 11′ 25″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 433 m
Superficie 34,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Autun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autun-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Étang-sur-Arroux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Étang-sur-Arroux
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Saône-et-Loire
Étang-sur-Arroux
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Étang-sur-Arroux
Liens
Site web etang-sur-arroux.fr

Étang-sur-Arroux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Elle est membre du parc naturel régional du Morvan.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le village est traversé par l'Arroux. Il s'y jette le Mesvrin, issu de Couches, et la Braconne, descendue du mont Beuvray.

Hameaux, lieux-dits, écarts[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune se situe sur la RD 994 - ancienne RN 494), route de Vichy à Dijon - qui la relie entre autres à Autun.

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

La gare d'Étang-sur-Arroux se situe sur la ligne de Nevers à Chagny et accueille notamment la relation TER Bourgogne-Franche-Comté de Dijon à Nevers, ainsi que celles d'Étang-sur-Arroux à Nevers et d'Étang-sur-Arroux à Montchanin, qui desservent davantage de gares que la première. Elle est également l'origine de la ligne d'Étang à Santenay (via Autun), aujourd'hui déclassée et déposée au-delà d'Autun, et neutralisée entre Étang-sur-Arroux et Autun depuis 2020 pour cause de travaux relatifs à l'état dégradé de la voie. Depuis cette dernière fermeture, la gare d'Étang-sur-Arroux reste reliée à celle d'Autun par des autocars du réseau régional. Néanmoins, la ligne ferroviaire pourrait rouvrir à terme, elle doit en effet servir à tester une nouvelle navette électrique de la SNCF, nommée Flexy, qui doit être mise en service d'ici 2025 si ces tests s'avèrent concluants.

Transports routiers[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la LR 719 du réseau régional Mobigo, qui la relie au Creusot, en desservant au passage les mêmes gares que la voie ferrée.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Symphorien de Marmagne », sur la commune de Saint-Symphorien-de-Marmagne à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Étang-sur-Arroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (75,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (7,7 %), zones urbanisées (5 %), terres arables (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

De 1893 à 1954, Étang-sur-Arroux fut relié à Digoin (via Gueugnon) par un pittoresque « tacot » : celui qui circulait sur la ligne à voie étroite Digoin-Étang-sur-Arroux, inaugurée le et longue de 53 kilomètres[14]. Elle faisait partie du réseau de Saône-et-Loire de la compagnie CFD.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Étang-sur-Arroux Blason
D'azur au pont de cinq arches d’argent sur une rivière du même, entre deux collines losangées de sinople et d'or mouvant des flancs, le pont surmonté à senestre d'un cristal de neige d'argent ; au chef bandé d'azur et d'or et à la bordure de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? septembre 1981 Claude Gabriel Bouthière Rad. puis
MRG
Vétérinaire
Député de la 3e circonscription de Saône-et-Loire (1962 → 1968)
Conseiller général de Saint-Léger-sous-Beuvray (1955 → 1981)
Décédé en fonction
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 mars 2014 Robert Jacquemard[15] MRG
puis PRG
Employé territorial retraité
Conseiller général de Saint-Léger-sous-Beuvray (1981 → 2011)
Président de la CC de Beuvray - Val d'Arroux
Président du SIVOM Arroux-Bracone
mars 2014 En cours Dominique Commeau[16] DVG Retraité de l'industrie
Conseiller général de Saint-Léger-sous-Beuvray (2011 → 2015)
8e vice-président de la CC du Grand Autunois Morvan

Jumelage[modifier | modifier le code]

Étang-sur-Arroux figure parmi les quinze premières communes de Saône-et-Loire à avoir établi − puis officialisé − des liens d'amitié avec une localité étrangère[17].

La commune est jumelée avec Edenkoben (Allemagne).

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 1 794 habitants[Note 4], en diminution de 6,07 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6969091 0401 0521 0861 0931 1441 1571 093
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1211 1491 3101 4341 5551 6641 8181 8011 852
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9651 9161 9301 8751 8261 6621 6531 7261 628
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5871 5241 5671 7601 8351 8361 9121 9271 953
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9221 8111 794------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les 1 922 habitants de la commune, en 2014, ont moins de 30 ans pour 570 d'entre eux, 652 ont entre 39 et 59 ans et 700 ont 60 ans ou plus[22].

Parmi les 1 078 personnes qui, en 2014, ont entre 15 et 64 ans. 63 % sont des actifs ayant un emploi, 11,9 % sont chômeurs, 9,1 % sont élèves ou étudiants, 9,6 % sont retraités ou préretraités et 6,4 % sont d’autres inactifs.

Logement[modifier | modifier le code]

Le nombre de logements existants dans la commune en 2014 est de 989 ; 846 sont des résidences principales, 64 des résidences secondaires ou des logements occasionnels et 79 sont des logements vacants. Le nombre de maisons est de 750 et celui des appartements de 186[22].

Économie et emploi[modifier | modifier le code]

Sur le territoire communal il existe, au , 188 établissements actifs qui emploient 518 salariés au total[22] :

  • 21 appartiennent au secteur de l’agriculture (5 salariés au total) ;
  • 16 au secteur de l'industrie (79 salariés au total) ;
  • 11 sont du secteur de la construction (58 salariés) ;
  • 98 sont du secteur du commerce, des transports et des services divers (109 salariés au total) ;
  • 42 sont du secteur de l’administration publique, de l’enseignement, de la santé et de l’action sociale (267 salariés au total).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Une ancienne voie romaine conduisait d'Autun à Toulon-sur-Arroux en passant par le Mousseau.
  • Au XIIe siècle, le village d'Étang-sur-Arroux était tenu en arrière-fief par une famille noble, les d'Estang.
  • L'ancienne église Saint-Pierre du XIe siècle laissa place, au milieu du XIXe siècle, à l'édifice actuel de style néogothique. À partir du XIXe siècle, avec l'essor de l'industrie, la commune devint un important carrefour routier et ferroviaire.
  • Le pont à 5 arches, symbole du nouvel essor d'Étang-sur-Arroux, devint vite, et demeure encore aujourd'hui, le blason de la ville.
  • La Perrière, sur la rive gauche de l'Arroux, est un lieu très ancien et formait autrefois, comme Étang, une dépendance de l'évêché d'Autun. Il fut cédé en fief au comte de Nevers.
  • Le château de la Perrière : le castel était un fleuron du patrimoine du chancelier Nicolas Rolin. L’équipe du centre de castellologie de Bourgogne s'est intéressée au site et a entrepris des fouilles. Voici les conclusions des travaux de fouille menés à ce jour : « Nous voyons apparaître aujourd'hui un bâtiment au plan fortement contraint par le relief, avec au nord un château « haut », bâti au sommet d'un rocher, et sans doute rapidement victime de la désagrégation du substrat, et au sud un château bas qui enveloppe le rocher à la base et essaie d’en régulariser le plan. Le château haut est sans doute un peu plus ancien, c'est en tout cas ce que donne à penser l'archère à étrier. Il est composé d'une tour ronde à l'est et d'un bâtiment à base carrée à l'ouest. Cet ensemble a souffert précocement de l'instabilité du substrat. La tour ronde s'est ouverte et a sans doute été rapidement détruite. Le bâtiment ouest a été dans un premier temps stabilisé par une terrasse de chemisement, qui elle-même a été absorbée dans un talus. Tous ces efforts n'ont pas empêché la totale disparition de la courtine nord. Au sud, les structures, plus basses, ont moins souffert. Elles sont sans doute également plus tardives. On imagine mal la savante stéréotomie des tours octogonales avant le XIVe siècle, aussi est-il tentant d'attribuer ce chantier à Nicolas Rolin. Le passage du rond à l'octogone pourrait être une référence à la tour du château Rivau (tour des Ursulines à Autun) ou de celle du Plessis à Blanzy. Néanmoins, aucun de ces exemples ne met en place une stéréotomie aussi maîtrisée. Au sommet du tertre, des prospections de surface ont permis de repérer de larges tâches cendreuses noires, riches en céramiques médiévales. Assurément, il ne s'agit ni de terre végétale, ni de couche de démolitions. Comme nous l'avons vu, le château a été soigneusement démonté. Le sommet de la butte n'est donc pas recouvert par d'épaisses couches de remblais, mais il semble au contraire que les couches d'occupation soient à l'air, et disparaissent rapidement sous l'agression de l'érosion, accélérée par le défrichement et les visiteurs de plus en plus nombreux. Enfin, dernier mystère : nos dégagements n'ont pas permis de mettre en évidence l'emplacement d’une porte, ce qui compromet évidemment la compréhension générale du site. Le dégagement des derniers remblais qui cachent la périphérie du château, au milieu du flanc ouest et sur l'angle nord-ouest, pourrait peut-être apporter des réponses à cette question ».
  • La Maison du Passeur : située en bordure de l'Arroux, cette maison du XVIIe siècle est le symbole du village de cette époque. En effet c'est ici que vivait « le passeur » qui permettait aux Etangois de passer d'une rive à l'autre grâce à sa barque. L'actuel pont, aujourd'hui ne fut construit qu’au XIXe siècle.
  • Panorama de Beauvoir : en montant sur les hauteurs de la commune d'Étang-sur-Arroux, en direction de Saint-Didier-sur-Arroux, peu après le hameau de Velet.
  • Le gymnase des Guillemots : l'architecte Daubert a réalisé le gymnase d'Étang-sur-Arroux dans la plus pure tradition néogothique de Viollet-le-Duc. Il fit évacuer les eaux de cette enveloppe d'ardoises noires au moyen de gargouilles au dessin contemporain. Ce monolithe noir est devenu un repère dans ce paysage.
  • La bibliothèque municipale, installée en 1990 dans une ancienne forge artisanale[23].
  • Une reproduction de la grotte de Lourdes[24] est construite par l'abbé Gadant avec l'aide de sa paroisse. Elle prend le nom de grotte de la Garenne, d'après le lieu-dit où elle est située. La grotte est inaugurée le 26 juillet 1936 en présence du Père Henry, chapelain de Paray le Monial, et du Père Astier, aumônier de Mâcon.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Étang-sur-Arroux et Saint-Symphorien-de-Marmagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Symphorien de Marmagne », sur la commune de Saint-Symphorien-de-Marmagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Symphorien de Marmagne », sur la commune de Saint-Symphorien-de-Marmagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Ce que furent les transports dans l'ouest du département », article de Paul Chaussard paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 93 (printemps 1993), pages 7 à 10.
  15. Extrait de la fiche de M. Robert JACQUEMARD, sur lesbiographies.com
  16. Extrait de la fiche de M. Dominique COMMEAU, sur lesbiographies.com
  17. Avec Autun, Bourbon-Lancy, Chagny, Chalon-sur-Saône, Chauffailles, Cuisery, Épinac, Loisy, Mâcon Lugny, Paray-le-Monial, Romenay, Saint-Amour-Bellevue, Sanvignes-les-Mines et Tournus. Source : Bernard Humblot, « Quand la Saône-et-Loire s'intéresse aussi aux pays voisins », revue « Images de Saône-et-Loire » n° 16 de décembre 1972, pp. 9-11.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. a b et c « Dossier complet Commune d’Étang-sur-Arroux (71192) », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Annie Bleton-Ruget, Alain Dessertenne, Françoise Geoffray, Martin Raether, Des bibliothèques dans des lieux patrimoniaux, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 50-63.
  24. Revue « Église d'Autun » n° 17, 2019.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]