Élections législatives groenlandaises de 2025
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| Élections législatives groenlandaises de 2025 | ||||||||||||||
| 31 sièges du Inatsisartut (Majorité absolue : 16 sièges) | ||||||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
| Inscrits | 40,369 | |||||||||||||
| Votants | 28 620 | |||||||||||||
70,90 %  5,1
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| Blancs et nuls | 322 | |||||||||||||
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Les Démocrates – Jens Frederik Nielsen | |||||||||||||
| Voix | 8 563 | |||||||||||||
| 30,26 % | 21
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| Sièges obtenus | 10 | 7
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Naleraq – Pele Broberg | |||||||||||||
| Voix | 7 009 | |||||||||||||
| 24,77 % | 12,5
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| Sièges obtenus | 8 | 4
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Inuit Ataqatigiit – Múte Bourup Egede | |||||||||||||
| Voix | 6 119 | |||||||||||||
| 21,62 % |  15,8
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| Sièges obtenus | 7 | 5
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Siumut – Erik Jensen | |||||||||||||
| Voix | 4 210 | |||||||||||||
| 14,88 % | 15,2
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| Sièges obtenus | 4 | 6
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Atassut – Aqqalu Jerimiassen | |||||||||||||
| Voix | 2 092 | |||||||||||||
| 7,39 % | 0,3
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| Sièges obtenus | 2 | 
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| Parti majoritaire par communes (régions) et villes | ||||||||||||||
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| Composition de l'assemblée élue | ||||||||||||||
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| Premier ministre | ||||||||||||||
| Sortant | ||||||||||||||
| Múte Bourup Egede IA |
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Les élections législatives groenlandaises de 2025 se déroulent le afin de renouveler les 31 membres de l'Inatsisartut, le parlement du Groenland.
Principalement marquée par la question de l'indépendance vis-à-vis du Danemark et les problématiques sociales, la campagne électorale fait l'objet d'une attention internationale, après que le nouveau président des États-Unis Donald Trump a déclaré sa convoitise du territoire.
Les résultats donnent une victoire surprise au parti de centre droit Les Démocrates suivi des nationalistes de Naleraq, favorable à une indépendance rapide du Groenland. Les partis du gouvernement sortant Inuit Ataqatigiit et Siumut chutent respectivement à la troisième et quatrième position.
Contexte
[modifier | modifier le code]Élections législatives de 2021
[modifier | modifier le code]Les élections législatives d'avril 2021, organisées de manière anticipée, aboutissent à une alternance. Le parti d'opposition écosocialiste Inuit Ataqatigiit devance le Siumut du Premier ministre Kim Kielsen, lui-même en légère progression, au cours d'un scrutin perçu comme un référendum sur l'exploitation des mines d'uranium et de terres rares. En revanche, Les Démocrates, à l'origine de la motion de censure ayant fait tomber le gouvernement de Kielsen et provoquer les élections, perdent la moitié de leurs sièges[1].
Le , un gouvernement de coalition formé entre Inuit Ataqatigiit et le parti indépendantiste Naleraq prend officiellement ses fonctions avec à sa tête Múte Bourup Egede, qui devient à 34 ans le plus jeune Premier ministre groenlandais[2].
Question de l'indépendance
[modifier | modifier le code]La campagne des élections législatives est dominée par la question de l'indépendance et des relations avec le Danemark[3].
Dès , le gouvernement affirme que l'indépendance est son objectif[4]. Lors d'une conférence de presse début 2025, le Premier ministre indépendantiste Múte Bourup Egede déclare que « les travaux ont déjà commencé pour créer le cadre de l'indépendance du Groenland » et laisse entendre qu'un référendum sur la souveraineté pourrait se tenir en , en même temps que les élections[5],[6].
Cependant, après que le nouveau président des États-Unis, Donald Trump, a réitéré son intérêt pour une indépendance du Groenland et suggéré son intégration aux États-Unis sans exclure les moyens militaires, Egede tempère ses propos. Lors d'une conférence de presse à Copenhague le , il insiste sur la nécessité de renforcer la coopération entre le Groenland et le Danemark plutôt que d'accélérer le processus d'indépendance. Dans une interview accordée à Fox News le , il affirme que les Groenlandais ne souhaitent pas devenir une partie des États-Unis[7],[8]. Un sondage mené ce même mois révèle d'ailleurs que 85 % des Groenlandais s'opposent à cette idée[9].
Début , Donald Trump Jr. s'est rendu dans le pays pour s'entretenir avec des représentants du parti Naleraq[10],[11], qui était le seul parti à prôner une indépendance rapide du Danemark et un rapprochement avec les États-Unis[12].
Un autre sondage souligne cependant l'importance de l'indépendance pour les Groenlandais et son poids dans le scrutin. Selon une enquête menée en janvier 2025, 80 % des Groenlandais y sont favorables. Toutefois, la moitié d'entre eux s'y oppose si cela devait entraîner une dégradation de leurs conditions de vie[13].
Nouveau parti
[modifier | modifier le code]En 2023, d'anciens membres des partis Siumut et Naleraq fondent Qulleq, un nouveau parti axé sur une indépendance rapide vis-à-vis du Danemark et le lancement de l'extraction pétrolière au Groenland[14]. En plus des cinq partis déjà représentés à l'Inatsisartut, ce sixième parti, dont l'indépendance constitue la priorité, obtient son accès au scrutin un mois avant son déroulement[15].
Ingérences étrangères
[modifier | modifier le code]Redoutant une ingérence étrangère pendant les élections, le , le gouvernement groenlandais fait voter un texte de loi visant à interdire les dons étrangers aux partis politiques[16]. De plus à l'approche des élections, les services de sécurité et de renseignement danois annoncent une surveillance accrue des éventuelles ingérences étrangères visant à influencer le scrutin[17]. Les États-Unis, la Russie et la Chine étant désignés comme des acteurs potentiellement impliqués dans des tentatives d'ingérence[18].
La veille de l'élection, Donald Trump s'exprime de nouveau sur sa plateforme Truth Social. Il souligne que le peuple du Groenland a le droit de déterminer son propre avenir et réaffirme son intention d'investir « des milliards de dollars pour créer de nouveaux emplois et enrichir » les Groenlandais. Il ajoute : « Et si vous le souhaitez, nous vous accueillerons pour faire partie de la plus grande nation au monde, les États-Unis d'Amérique. » Cette déclaration est jugée « inadmissible » par des députés comme Aaja Chemnitz (IA)[19]. Le Premier ministre Múte Bourup Egede accuse, quant à lui, le président américain de traiter son pays avec irrespect[20].
Système électoral
[modifier | modifier le code]L'Inatsisartut est le parlement monocaméral du Groenland, pays constitutif du royaume de Danemark. Il est composé de 31 sièges pourvus pour quatre ans au scrutin proportionnel plurinominal de liste dans une seule circonscription électorale. Après décompte des voix, les sièges sont répartis selon la méthode D'Hondt, sans seuil électoral[21].
Force en présence
[modifier | modifier le code]Les partis groenlandais peuvent traditionnellement être placés sur deux axes différents : un axe de gauche à droite traditionnel sur les questions économiques et sociales, et un autre axe qui reflète la relation des partis à l'unité du Royaume et à la question de l'indépendance du Groenland.
| Parti | Idéologie | Tête de liste | Nombre de candidats | Résultat en 2021 | ||
|---|---|---|---|---|---|---|
| Inuit Ataqatigiit | IA | Gauche Indépendantisme groenlandais, socialisme, nationalisme de gauche, écosocialisme |
Múte Bourup Egede | 39 | 37,42 % 12 sièges | |
| Siumut | S | Centre gauche Indépendantisme groenlandais, social-démocratie |
Erik Jensen | 51 | 30,10 % 10 sièges | |
| Naleraq | N | Centre Indépendantisme groenlandais rapide, populisme, rapprochement avec les États-Unis |
Pele Broberg | 62 | 12,27 % 4 sièges | |
| Les Démocrates | D | Centre à centre droit Indépendantisme groenlandais modéré, social-libéralisme, unionisme |
Jens Frederik Nielsen | 25 | 9,26 % 3 sièges | |
| Atassut | A | Centre droit Anti-indépendantisme, unionisme, libéral-conservatisme |
Aqqalu Jerimiassen | 20 | 7,09 % 2 sièges | |
| Qulleq (en) | Q | Attrape-tout Indépendantisme groenlandais rapide, nationalisme groenlandais |
Karl Ingemann | 16 | Nouveau | |
En partie à cause des déclarations du nouveau président des États-Unis, Donald Trump, la question d'une plus grande indépendance du Groenland et des relations avec le Danemark devient un enjeu majeur de la campagne électorale. À l'exception du parti Atassut, tous les partis en lice sont favorables à une indépendance à long terme, mais divergent sur le rythme du processus. Le parti Naleraq et le tout nouveau parti Qulleq prônent une indépendance rapide, tandis que les partis au pouvoir, Inuit Ataqatigiit et Siumut, ainsi que le parti d'opposition Les Démocrates, adoptent une approche plus pragmatique.
Les partis Nunatta Qitornai et Parti de la Coopération (en) ne tentent pas à nouveau d'être représentés à l'Inatsisartut.
Sondages
[modifier | modifier le code]| Sondeur | Echantillon | Date | Siumut | Inuit Ataqatigiit | Les Démocrates | Naleraq | Atassut | Nunatta Qitornai | Parti de la Coopération (en) | Autre |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Arrêt de publication des sondages | ||||||||||
| Candidature de Qulleq en février | ||||||||||
| Verian[22] | 497 | 22–27 Jan 2025 | 21.9% | 31 % | 18.8% | 16.5% | 9.7% | 0,3 | 0,3 | 1,4 |
Campagne
[modifier | modifier le code]La campagne électorale est largement dominée par la question de l'indépendance, les relations avec le Danemark et les influences extérieures. Le chef du parti social-démocrate Siumut, Erik Jensen, également ministre des Finances sortant, regrette que cette question éclipse les enjeux quotidiens des citoyens groenlandais, appelant à un recentrage du débat sur la santé, l'éducation et le développement économique[23],[24]. Toutefois, d'autres thématiques occupent également une place importante dans le débat public.
Diversification économique et exploitation des ressources
[modifier | modifier le code]L'économie groenlandaise, historiquement centrée sur la pêche — représentant 90 % des exportations de l'île — est au cœur des discussions. La nécessité de diversifier les sources de revenus est mise en avant, notamment par le développement du tourisme et l'exploitation des ressources minières. Ces secteurs sont perçus comme des leviers essentiels pour renforcer l'autonomie économique du territoire[23],[24].
Enjeux sociaux et éducation
[modifier | modifier le code]Le Groenland affiche l'un des taux de suicide les plus élevés au monde, un nombre d'avortements supérieur aux naissances et une espérance de vie inférieure à 70 ans pour les hommes. L'amélioration du système éducatif et des services sociaux est au centre des préoccupations, plusieurs partis proposant des réformes pour améliorer le bien-être de la population[23],[24].
Résultats
[modifier | modifier le code]Résultats globaux
[modifier | modifier le code] | ||||||
| Parti | Voix | % | +/- | Sièges | +/- | |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Les Démocrates (D) | 8 563 | 30,26 | 21,00
|
10 | 7
| |
| Naleraq (N) | 7 009 | 24,77 | 12,50
|
8 | 4
| |
| Inuit Ataqatigiit (IA) | 6 119 | 21,62 | 15,80
|
7 | 5
| |
| Siumut (S) | 4 210 | 14,88 | 15,22
|
4 | 6
| |
| Atassut (A) | 2 092 | 7,39 | 0,30
|
2 |
| |
| Qulleq (Q) | 305 | 1,08 | Nv | 0 |
| |
| Votes valides | 28 298 | 98,87 | ||||
| Votes blancs et nuls | 322 | 1,13 | ||||
| Total | 28 620 | 100 | – | 31 |
| |
| Abstentions | 11 749 | 29,10 | ||||
| Inscrits/Participation | 40 369 | 70,90 | ||||
Résultats par commune
[modifier | modifier le code]| Commune | A | D | IA | N | Q | S | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| % | +/- | % | +/- | % | +/- | % | +/- | % | +/- | % | +/- | |
| Avannaata | 8,6 | 0,7
|
29,0 | 20,8
|
11,5 | 10,0
|
33,7 | 18,5
|
0,5 | Nv | 16,3 | 22,9
|
| Kujalleq | 7,8 | 2,3
|
27,9 | 21,0
|
27,0 | 19,7
|
15,2 | 10,7
|
1,6 | Nv | 18,8 | 12,3
|
| Qeqertalik | 7,9 | 1,1
|
25,4 | 18,4
|
19,4 | 21,6
|
31,5 | 19,6
|
1,2 | Nv | 13,6 | 13,8
|
| Sermersooq | 6,1 | 1,9
|
33,5 | 21,2
|
26,9 | 15,8
|
18,5 | 9,4
|
0,6 | Nv | 13,0 | 11,9
|
| Qeqqata | 8,2 | 1,6
|
26,4 | 20,6
|
16,8 | 13,6
|
30,1 | 9,6
|
2,3 | Nv | 15,2 | 13,2
|
Analyse et conséquences
[modifier | modifier le code]Participation
[modifier | modifier le code]Selon des responsables électoraux, la participation au scrutin est en hausse par rapport aux dernières élections. Dans l'unique bureau de vote de Nuuk, la capitale, l'horaire de fermeture a été étendu d'une demi-heure pour permettre à tous les électeurs faisant la queue de déposer leur bulletin[26].
Le taux de participation enregistre une augmentation de cinq points par rapport au précédent scrutin, atteignant 70,1 %[25].
Résultats
[modifier | modifier le code]Les Démocrates, qui se revendiquent comme une formation sociale-libérale et favorables à une indépendance lente et progressive, obtiennent 30 % des suffrages, enregistrant une progression significative par rapport à l'élection de 2021, où ils affichaient un score trois fois inférieur, créant un effet de surprise[27].
Le scrutin se caractérise également par une montée en puissance du parti nationaliste Naleraq, partisan d'une indépendance rapide du Groenland et d'un rapprochement avec les États-Unis. Avec 24,5 % des voix, cette formation devient la deuxième force politique du pays. Le parti nouvellement créé Qulleq n'obtient pas assez de voix pour obtenir un siège au parlement.
À l'inverse, la coalition sortante, composée du parti de gauche Inuit Ataqatigiit (IA) et du parti social-démocrate Siumut, subit un net recul électoral. IA enregistre une baisse de 15,3 points, tandis que Siumut perd 14,7 points par rapport au scrutin de 2021. À l'issue du vote, le Premier ministre sortant, Mute Egede (IA), déclare sur la chaîne publique groenlandaise KNR : « Nous respectons le résultat de l'élection[28]. »
Conséquences
[modifier | modifier le code]Aucun des partis n'étant en position d'obtenir la majorité sur les 31 sièges au Parlement, des tractations sont nécessaires pour former le nouveau gouvernement. Jens Frederik Nielsen, tête de liste du parti démocrate déclare : « Les Démocrates sont ouverts à la discussion avec tous les partis et à la recherche de l'unité, surtout avec ce qui se passe à l'étranger[29]. »
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ AFP, « Législatives au Groenland : un projet minier controversé mis à mal par la victoire des écologistes », sur france24.com, France 24, (consulté le ).
- ↑ AFP, « Le Groenland, son gouvernement de gauche écolo et son Premier ministre trentenaire... », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ).
- ↑ « Au Groenland, des élections législatives dans l'ombre de Trump », Le monde, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Why Trump Really Should ‘Buy’ Greenland - WSJ », sur archive.ph, (consulté le ).
- ↑ (en-GB) « Greenland’s leader wants independence from Denmark as Trump hovers over Arctic island », sur POLITICO, (consulté le )
- ↑ (en) « Greenland's PM pushes for independence from Denmark », sur euronews, (consulté le ).
- ↑ (da) « Grønlænderne vil ikke være danskere - eller amerikanere: Her er de vigtigste pointer fra pressemøde », sur DR, (consulté le ).
- ↑ (en-US) Ashley Carnahan, « Greenland's prime minister says Arctic island doesn’t want to be part of the US: 'Always be a strong partner' », sur Fox News, (consulté le ).
- ↑ « 85% des Groenlandais ne souhaitent pas être rattachés aux Etats-Unis (sondage) », sur euronews, (consulté le ).
- ↑ « Donald Trump Jr au Groenland alors que son père souhaite s'emparer de l'île », sur euronews, (consulté le )
- ↑ (de) « Trumps Sohn in Grönland - ein "Privatbesuch", der provoziert », sur tagesschau.de (consulté le )
- ↑ (de) « Parlamentswahl in Grönland: Eine Frage der grönländischen Unabhängigkeit », sur FAZ.NET, (consulté le )
- ↑ Ramona Bloj, « Sous la pression expansionniste de Trump, le Groenland vote aujourd’hui », sur Le Grand Continent, (consulté le ).
- ↑ (da) Christian Klindt Soelbeck/AFP/Ritzau Scanpix Foto: Christian Klindt Soelbeck/AFP/Ritzau Scanpix, « Hvad er på spil, og hvem er partierne? Her er det, du skal vide om det grønlandske valg », sur Information, (consulté le ).
- ↑ (da) Jensine Berthelsen, « Partiet Qulleq klar til at stille op », sur www.sermitsiaq.ag, (consulté le ).
- ↑ « Groenland : le territoire arctique veut interdire les dons étrangers aux partis politiques », sur Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ (da) « Eksperter frygter desinformation og udenlandsk indblanding – "ser det allerede" - TV 2 », sur nyheder.tv2.dk, (consulté le ).
- ↑ « Le Groenland se mobilise contre les risques d’ingérences étrangères », Le monde, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « L’ingérence de Trump dénoncée à la veille des élections au Groenland », sur 20 Minutes, (consulté le ).
- ↑ (de) Thomas Paterjey, « Wahlen in Grönland: Trump mischt sich in den Wahlkampf ein », sur www.rnd.de, (consulté le ).
- ↑ (en) « Explainer: The Greenland Parliamentary Elections – 2021 », sur Over the Circle, WordPresscom, (consulté le ).
- ↑ (da) « Medie: IA og Siumut står til tilbagegang i måling », Kalaallit Nunaata Radioa, (lire en ligne, consulté le )
- « Au Groenland, l'indépendance au cœur des élections, dans l'ombre de Donald Trump », sur rts.ch, (consulté le ).
- AFP, « Groenland: l'indépendance au cœur d’élections dans l’ombre de Trump », sur Le Journal de Montréal, (consulté le ).
- (en) « Parliament Election 2025 », sur qinersineq.gl (consulté le ).
- ↑ « Les Groenlandais votent en masse dans l'ombre de Trump | TV5MONDE - Informations », sur information.tv5monde.com, (consulté le )
- ↑ « Au Groenland, convoité par Trump, la victoire surprise de l’opposition de centre droit », Le monde, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Législatives au Groenland : victoire de l'opposition de centre droit, poussée des nationalistes », sur France 24, (consulté le ).
- ↑ LIBERATION et AFP, « Groenland échaudé par Trump : l’opposition de centre droit remporte les législatives, poussée flagrante des nationalistes », sur Libération (consulté le ).
