Liste de partis politiques en France
Cet article présente la liste des partis et mouvements politiques français actuellement en activité, ainsi que leur représentation dans les différentes chambres de la République française. La liste des partis politiques ayant disparu (ou qui sont dans un état d'inactivité complet) fait l'objet d'un autre article.
Principaux blocs politiques
Cette section a été mise à jour après les élections européennes de 2019.
Fonction | Extrême gauche à gauche (LFI, PCF, GRS et assimilés) |
Gauche à centre gauche (EELV, PS et DVG) |
Centre gauche à centre droit (LREM, MoDem, MR) |
Centre droit à droite (LR, UDI, Agir et DVD) |
Droite à extrême droite (RN, DLF, LP et assimilés) |
---|---|---|---|---|---|
Président de la République /1 |
– | – | 1 | – | – |
Ministres et secrétaires d'État /31 |
– | 7 | 27 | 1 | – |
Députés /577 |
33 | 43 | 348 | 137 | 8 |
Sénateurs /348 |
18 | 103 | 28 | 184 | 2 |
Députés européens /74 |
6 | 17 | 21 | 8 | 22 |
Présidence de conseils régionaux /17 |
– | 7 | - | 8 | – |
Conseillers régionaux /1 880 |
41 | 610 | 54 | 778 | 358 |
Présidence de conseils départementaux /98 |
1 | 29 | 1 | 66 | – |
Conseillers départementaux /4 108 |
142 | 1 455 | 47 | 2 313 | 59 |
Maires de communes de plus de 70 000 habitants /67 |
7 | 21 | 3 | 35 | 1 |
Conseillers municipaux /526 341 |
10 168 | 69 793 | 7 014 | 98 826 | 1 545 |
Représentation à l'Assemblée nationale
Groupe | Partis | Membres | ||
---|---|---|---|---|
LFI | La France insoumise | LFI, PCF diss., E!, RÉ974 et DVG | 17 | |
GDR | Gauche démocrate et républicaine | PCF, PLR, MIM, PSG, DVG | 16 | |
SOC | Socialistes et apparentés | PS, MRC, Génération.s et DVG | 29 | |
LREM | La République en marche | REM, PÉ, AC, MRSL et MdP, MoDem diss., DVG et DIV | 303 | |
MoDem | Mouvement démocrate et apparentés | MoDem, REM diss., UDI diss., DVG et DIV | 46 | |
UAI | UDI, Agir et indépendants | LR diss., Agir, UDI, MRSL, DVD, DVG et DIV | 27 | |
LR | Les Républicains | LR et DVD | 104 | |
LT | Libertés et territoires | PaC, MRSL, LC, FD, DVD, PP, UDI diss. et DVG | 19 | |
NI | Non-inscrits | RN, DLF, LS, R, LP | 15 |
Représentation au Sénat
Groupe | Partis | Membres | ||
---|---|---|---|---|
CRCE | Communiste, républicain, citoyen et écologiste | PCF, GRS, EELV, LFI et DVG | 16 | |
RDSE | Rassemblement démocratique et social européen | MRSL, PS, LR, LFD13, EELV, LaREM, DVE et DVG | 23 | |
SOC | Socialiste et républicain | PS, Walwari, UPLD, MPF, GUSR, PPM, PSG et DVG | 72 | |
LREM | La République en marche | LaREM, LFD13, PSG et DVG | 23 | |
UC | Union centriste | UDI, LC, AC, MoDem, MRSL, LGM, Tapura et CE | 50 | |
LIRT | Les Indépendants – République et territoires | LR, UDI, MR, Agir, DVC et DVD | 13 | |
LR | Les Républicains | LR, UDI, Agir, DVD et Indépendant | 146 | |
RASNAG | Réunion administrative des sénateurs ne figurant sur la liste d'aucun groupe | RN, DR, DVD et EXD | 5 |
Représentation au Parlement européen
Parti au niveau européen | Parti national | Sigle | Nombre de sièges | ||
---|---|---|---|---|---|
Parti Identité et démocratie (PID) | Rassemblement national | RN | 20 | ||
Affiliée Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe | La République en marche | LREM | 11 | ||
Parti vert européen (PVE) | Europe Écologie Les Verts | EELV | 8 | ||
Parti populaire européen (PPE) | Les Républicains | LR | 7 | ||
Parti démocrate européen (PDE) | Mouvement démocrate | MoDem | 5 | ||
Maintenant le peuple (MLP) | La France insoumise | FI | 5 | ||
Parti socialiste européen (PSE) | Parti socialiste | PS | 3 | ||
Alliance écologiste indépendante | AEI | 2 | |||
Place publique | PP | 2 | |||
Agir | Agir | 1 | |||
Les Centristes | LC | 1 | |||
Maintenant le peuple (MLP) | Gauche républicaine et socialiste | GRS | 1 | ||
Nouvelle Donne | ND | 1 | |||
Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe (ALDE) | Mouvement radical | MRSL | 1 | ||
Alliance libre européenne (ALE) | Parti de la nation corse | PNC | 1 | ||
Parti démocrate et Radicaux italiens | PD-RI | 1 | |||
Sans étiquette | SE | 6 |
Partis nationaux
Extrême droite
- Civitas, association catholique intégriste devenue parti politique en 2016 et présidé par Alain ESCADA.
- Comités Jeanne (CJ), scission du Front national (FN), créés par Jean-Marie Le Pen en 2016.
- Dies Irae (DI), association française nationaliste et catholique traditionaliste de la région bordelaise.
- Parti de la France (PDF), scission du Front national (FN), fondé en 2009 par Carl Lang et présidé par Thomas Joly
- Parti nationaliste français (PNF), fondé en 1983 et actuellement présidé par Jean-François Simon.
- Terre et Peuple (T&P ou TP), fondé par Pierre Vial en 1994.
Droite radicale à extrême droite
- Action française (AF), mouvement royaliste fondé en 1898.
- Dissidence française (DF), parti politique fondé en 2018 par Vincent Vauclin.
- Les Identitaires (LI), anciennement Bloc identitaire (BI), fondé en 2002 et présidé par Fabrice Robert.
- Génération identitaire (GI), ancienne branche de jeunesse du Bloc identitaire, devenue autonome en 2016 et présidée par Clément Gandelin.
- Renouveau français (RF), fondé en 2005 par Thibaut de Chassey.
Droite radicale
- Alliance royale (AR), mouvement royaliste fondé en 2001 par Yves-Marie Adeline.
- Les Patriotes (LP), scission du Front national, créé par Florian Philippot en 2017.
- Ligue du Sud (LS), fondée en 2010, principalement implanté dans le Vaucluse, présidé par Jacques Bompard.
- Mouvement national républicain (MNR), créé en 1999 par Bruno Mégret.
- Parti de l'in-nocence (PI), lancé en 2002 par Renaud Camus.
- Parti national-libéral, lancé par Henry de Lesquen en 2017.
- Rassemblement national (RN), anciennement Front national, actuellement présidé par Marine Le Pen.
- Souveraineté, identité et libertés (SIEL), fondé en 2011 par Paul-Marie Coûteaux et actuellement présidé par Karim Ouchikh.
Droite à droite radicale
- Debout la France (DLF), fondé par Nicolas Dupont-Aignan en 2008.
Droite
- Centre national des indépendants et paysans (CNIP), parti fondé en 1949 dont Bruno North est président depuis 2016.
- Le Mouvement de la ruralité (LMR), appelé Chasse, pêche, nature et traditions (CPNT) jusqu'en 2019, parti créé en 1989, associé aux Républicains.
- Le Trèfle - Les nouveaux écologistes (LT-NE), parti créé en 1993 par Bernard Manovelli et actuellement présidé par Albert Lapeyre.
- Parti chrétien-démocrate (PCD), fondé en 2009 par Christine Boutin et dorénavant dirigé par Jean-Frédéric Poisson.
Centre droit à droite
- Agir, scission des Républicains (LR) soutenant Emmanuel Macron, fondé en 2017.
- Les Républicains (LR), anciennement Union pour un mouvement populaire (UMP), existe sous ce nom depuis 2015 ; actuellement présidé par Christian Jacob.
- République solidaire (RS), fondé par Dominique de Villepin en 2010.
- Soyons libres (SL), ou Libres, issu d'une scission de Les Républicains en 2019, dirigé par Valérie Pécresse.
- Territoires en mouvement (TEM), fondé par le député Jean-Christophe Fromantin, a fait partie de l'Union des démocrates et indépendants jusqu'en 2015.
Centre droit
- Génération citoyens (GC), fondé en 2015 par Jean-Marie Cavada après son départ de Nous Citoyens à l'été 2015.
- Résistons (RES ou R), scission du Mouvement démocrate fondée en 2016 par Jean Lassalle.
- Union des démocrates et indépendants (UDI), coalition présidée par Jean-Christophe Lagarde comprenant :
- Force européenne démocrate (FED), lancée en 2012 par Jean-Christophe Lagarde et présidée par Hervé MARSEILLE.
Centre à centre droit
- Alliance centriste (AC), fondée en 2009 par Jean Arthuis et actuellement présidé par Philippe Folliot, ancienne composante de l'UDI, associé à La République en marche depuis 2017.
- Les Centristes (LC), anciennement Nouveau Centre (NC), créé en 2007 par Hervé Morin en réaction de la création du Mouvement démocrate par François Bayrou. Le parti quitte l'Union des démocrates et indépendants en 2017.
- Mouvement démocrate (MoDem), créé en 2007 pour succéder a l'Union pour la démocratie française, présidé par François Bayrou.
- Nous Citoyens (NC), fondé en 2013 par Denis Payre et actuellement présidée par Alexia Germont.
Centre, divers et attrape-tout
- Alliance écologiste indépendante (AEI), fondé en 2009 et actuellement présidé par Jean-Marc Governatori.
- La Gauche moderne (LGM), créé en 2007 et présidé par Jean-Marie Bockel.
- Je suis français et européen (JSFee), créé le par Joachim Son-Forget.
- Mouvement écologiste indépendant (MEI), fondé en 1994 par Antoine Waechter.
- Mouvement hommes animaux nature (MHAN), créé en 1996 présidé par Jacques Leboucher.
- Mouvement radical (MR), parti issu de la fusion du Parti radical et du Parti radical de gauche, créé en 2017.
- Nouvelle Écologie démocrate (NED), fondé en 2013 à la suite d'une scission de Cap21 et présidé par Nathalie Tortrat.
- Parti animaliste (PA), créé en 2016.
- Parti fédéraliste européen (PFE), fondé en 2011 par Yves Gernigon.
- Parti pirate (PP), créé en 2006 et fondé officiellement en 2009 sur le modèle de son homologue suédois.
- Rassemblement des contribuables français (RCF), mouvement lancé en 1999 par Nicolas Miguet.
- La République en marche (LREM ou LaREM, parfois REM, voire LRM), anciennement En marche (EM), parti lancé par Emmanuel Macron en 2016 ; remporte l'élection présidentielle de 2017 ; désormais dirigé par Stanislas Guerini.
- Solidarité et progrès (S&P), fondé en 1996 par Jacques Cheminade.
- Union populaire républicaine (UPR), fondée par François Asselineau en 2007.
- Valeur absolue (VA), fondée en 2019 par Joachim SON-FORGET.
Centre gauche à centre
- Génération écologie (GE ou GÉ), créé en 1990 et actuellement présidé par Delphine Batho.
Centre gauche
- Parti écologiste (PE ou PÉ), lancé en 2015 sous le nom « Écologistes ! » et dirigé par François de Rugy, scission de EÉLV, soutient La République en marche depuis 2017.
- Parti radical de gauche (PRG), scission du Mouvement radical, fondé en 2019 et présidé par Guillaume Lacroix.
- Union des démocrates et des écologistes (UDE), créé en 2015 ; sa direction actuelle est incertaine en raison de dissensions internes.
Gauche à centre gauche
- Parti socialiste (PS), fondé en 1969.
- Place publique (PP), fondé en 2018 par Raphaël Glucksmann, Thomas Porcher, Claire Nouvian et Jo Spiegel.
Gauche
- Europe Écologie Les Verts (EELV ou EÉLV), principal parti écologiste français lancé en 2010 pour renouveler le parti Les Verts. Son secrétaire national est actuellement Julien Bayou.
- La Force du 13 (LFD13), fondé en 2014, principalement actif dans les Bouches-du-Rhône, dirigé par Jean-Noël Guérini.
- Gauche républicaine et socialiste (GRS, anciennement Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste), scission du Parti socialiste, fondé en 2018 par Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann suite à leur rapprochement de La France insoumise.
- Mouvement républicain et citoyen (MRC), créé en 2003 par Jean-Pierre Chevènement.
- Génération.s (G·s), scission du PS, fondé par Benoît Hamon en 2017.
- Mouvement des citoyens (MDC), scission du Mouvement républicain et citoyen, relancé par des délégués opposés au rapprochement du MRC avec La France insoumise.
- Mouvement des progressistes (MDP), dirigé par Robert Hue depuis 2009, soutient LREM en 2017.
- Nouvelle Action royaliste (NAR), fondée en 1978 et souhaite l'instauration d'une monarchie constitutionnelle.
- Nouvelle Donne (ND), scission du Parti socialiste, fondée en 2013 par Pierre Larrouturou.
- Les Radicaux de gauche (RDG ou LRDG), créé en 2017 en réaction à la fusion du Parti radical et du Parti radical de gauche dont il reprend les grandes orientations. Il est présidé par Virginie Rozière et Stéphane Saint-André.
- Le Rassemblement citoyen - Cap21 (LRC-Cap21), présidé par Corinne Lepage.
- Rassemblement des écologistes pour le vivant (REV ou RÉV), créé en 2018 par Aymeric Caron, Benjamin Joyeux et Malena Azzam.
- Union des démocrates musulmans français (UDMF), parti fondé en 2012 par Nagib Azergui.
Gauche radicale à gauche
- Ensemble ! (ENS ou E), mouvement lancé en 2013.
- République et socialisme (R&S), issus principalement du Mouvement républicain et citoyen.
Gauche radicale
- La France insoumise (FI ou LFI), mouvement fondé par Jean-Luc Mélenchon en 2016.
- Parti de gauche (PG), fondé par Jean-Luc Mélenchon en 2009, scission du Parti socialiste.
- Parti communiste français (PCF), existe depuis 1920, actuellement dirigé par Fabien Roussel.
- Parti pour la décroissance (PPLD), fondé en 2006 par Vincent Cheynet.
- Parti ouvrier indépendant (POI), créé en 2008.
Extrême gauche à gauche radicale
- Pôle de renaissance communiste en France (PRCF), mouvement fondé en 2004.
Extrême gauche
- Fédération anarchiste (FA), existe depuis 1945.
- Indigènes de la République (IR, anciennement Parti des indigènes de la République), lancé en 2005 et fondé officiellement en 2010, actuellement dirigé par Houria Bouteldja.
- Lutte ouvrière (LO), existe depuis 1968.
- Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), lancé en 2009.
- Parti communiste des ouvriers de France (PCOF), parti fondé en 1979.
- Union communiste libertaire (UCL), organisation fondée en 2019 fusionnant la Coordination des groupes anarchistes et Alternative libertaire.
Partis régionaux et locaux métropolitains
Cette section liste les formations politiques à rayonnement régional ou local. Parmi ces formations se trouve des partis régionalistes, autonomistes et/ou indépendantistes.
Alsace
- Alsace d'abord (ADA) : mouvement régionaliste d'extrême droite (mouvance identitaire régionale), fondé en 1989.
- Unser Land (« Notre pays ») : parti autonomiste centriste et écologiste, fondé en 2009 par la fusion de l'Union du peuple alsacien (UPA) et de Fer's Elsass (« Pour l'Alsace »). Il participe aux élections régionales de 2015 sur des listes communes avec le Parti des Mosellans, le Parti lorrain et l'Alliance écologiste indépendante[1]. Il fait partie de la fédération Régions et peuples solidaires et du groupe politique Alliance libre européenne.
Bretagne
- Adsav (« Relèvement ») : parti indépendantiste d’extrême droite, fondé en 2000.
- Celtic league (« Ligue celtique ») : organisation internationale politique et culturelle implantée dans les pays celtiques, fondée en 1961.
- Mouvement Bretagne et progrès (MBP) : mouvement autonomiste de gauche, fondé en 2010.
- Parti breton : parti autonomiste centriste, fondé en 2002.
- Union démocratique bretonne (UDB) : parti autonomiste de gauche et écologiste, fondé en 1964.
Catalogne Nord
- Convergence démocratique de Catalogne (CDC) : parti autonomiste centriste, fondé en 2006 et issu du Bloc català (« Bloc catalan ») créé en 2001.
- Esquerra Republicana de Catalunya (ERC, « Gauche républicaine de Catalogne ») : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1931.
- Unitat Catalana (UC, « Unité catalane ») : mouvement autonomiste de centre droit, fondée en 1986.
Corse
- A Manca (« La Gauche ») : parti régional d'extrême gauche, fondé en 2009 et issu d'A Manca naziunale (« La Gauche nationale ») créé en 1998.
- Comité central bonapartiste : parti de droite présent seulement à Ajaccio, fondé en 1908.
- Corse social-démocrate (CSD) : parti régional de gauche, fondé en 1996.
- Corsica libera (« Corse libre ») : parti indépendantiste, fondé en 2009.
- Corsica Viva
- Femu a Corsica : coalition autonomiste fondée en 2010 par l'union du Parti de la nation corse (PNC), de Inseme per a Corsica et de Chjama Naziunale. Ces trois partis ont fusionné en 2015 et Femu a Corsica est devenu un parti politique à part entière.
- I Verdi Corsi (« Les Verts corses ») : parti écologiste régional, fondé en 1988. Fédération corse d'Europe Écologie Les Verts (EELV).
- Rinnovu : parti indépendantiste qui a fait partie de Corsica libera de la fondation en 2009 jusqu'en 2012.
Franche-Comté
- Mouvement Franche-Comté (MFC) : mouvement autonomiste centriste, fondé en 2006.
Normandie
- Mouvement normand (MN) : mouvement régionaliste, fondé en 1971.
Occitanie
- Libertat ! : mouvement indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 2009 par le regroupement d'Anaram au patac (AAP, « Nous irons au combat »), de Combat d'Òc et de Hartèra !.
- Parti de la nation occitane (PNO) : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1959.
- Partit occitan (POc) : parti autonomiste et fédéraliste de centre gauche, fondé en 1987.
Pays niçois
- Nissa Rebela (NR) : mouvement régionaliste d'extrême droite (mouvance identitaire), fondé en 2006.
Pays basque Nord
- Parti nationaliste basque (EAJ-PNB) : parti autonomiste centriste, fondé en 1895.
- Euskal Herria Bai, coalition électorale abertzale (nationaliste) de gauche regroupant :
- Eusko Alkartasuna (EA, « Solidarité basque ») : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1986.
- Abertzaleen Batasuna (AB, « Union des patriotes ») : branche française d'un parti indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 1988.
- Sortu (Créer) : branche française d'un parti principalement implanté au Pays basque espagnol
Savoie
- Confédération savoisienne (CSE) : mouvement indépendantiste d'extrême droite, fondé en 2001 d'une dissidence radicale de la Ligue savoisienne.
- Mouvement Région Savoie (MRS) : mouvement régionaliste centriste, fondé en 1972.
Fédération Régions et peuples solidaires
Fondée en 1995, la fédération Régions et peuples solidaires (R&PS) est l’une des tentatives les plus achevées de regroupement des forces « régionalistes » en France. Elle rassemble actuellement les douze formations politiques suivantes :
- Abertzaleen Batasuna (AB, Union des patriotes), Pays basque ;
- Congrès mondial amazigh (CMA), qui compte un élu au conseil régional de Rhône-Alpes depuis 2010 ;
- Convergence démocratique de Catalogne (CDC), qui compte plusieurs élus municipaux, dont trois maires ;
- Gauche républicaine de Catalogne (ERC) ;
- Eusko alkartasuna (EA), présent aux municipales de 2014 et aux départementales de 2015 aux côtés d'Abertzaleen Batasuna (Union des patriotes) et Sortu (Créer) au sein de la coalition abertzale (nationaliste) de gauche Euskal Herria Bai, qui a obtenu plusieurs dizaines d'élus municipaux, dont des maires, et un conseiller départemental ;
- Mouvement Région Savoie (MRS), qui compte un élu au conseil régional de Rhône-Alpes depuis 2010 ;
- Parti de la nation corse (PNC), qui compte 11 conseillers territoriaux et de nombreux élus municipaux ;
- Parti nationaliste basque (EAJ-PNB) ;
- Partit occitan (POc), qui compte six élus (cinq depuis 2010, une de plus depuis 2015) dans les conseils régionaux d'Aquitaine, d'Auvergne, de Midi-Pyrénées et de Provence-Alpes-Côte d'Azur, ainsi que des élus municipaux ;
- Union démocratique bretonne (UDB), qui compte un député, 4 conseillers régionaux et des élus municipaux ;
- Unser Land, qui compte onze élus municipaux ;
- Parti des Mosellans / Partei der Mosellothringer : parti régionaliste, membre de Régions et peuples solidaires depuis 2015[2].
Partis régionaux et locaux ultramarins
Guadeloupe
- Combat ouvrier (CO) : groupe trotskyste membre de l'UCI comme Lutte ouvrière et fondé en 1971 en Guadeloupe.
- Guadeloupe unie, solidaire et responsable, ex-Guadeloupe unie, socialisme et réalités (GUSR) : parti social-démocrate local issu de la fédération guadeloupéenne du Parti socialiste français et à présent proche de Gauche moderne de Jean-Marie Bockel.
- Parti progressiste démocratique guadeloupéen (PPDG) : constitué en 1991 par des militants du Parti communiste guadeloupéen à la suite de la disparition de l'URSS.
- Parti communiste guadeloupéen (PCG) : fondé en 1944, comme section du PCF, indépendante depuis 1958.
Guyane
- Forces démocratiques de Guyane (FDG)
- Mouvement de décolonisation et d'émancipation sociale (MDES) : mouvement indépendantiste d'extrême gauche.
- Parti socialiste guyanais (PSG) : fondé en 1956, issu de la fédération locale de la SFIO, dont elle est distincte.
- Walwari : mouvement guyanais de centre gauche, fondé en 1993 par Christiane Taubira.
Martinique
Partis assimilationnistes
- Fédération socialiste de la Martinique (FSM) : Branche locale du PS. Secrétaire fédérale, Louis-Joseph Manscour. Compte 1 député, 3 conseillers généraux, 1 maire et 2 conseillers régionaux.
- Forces martiniquaises de progrès (FMP) : Parti libéral, fondé en 1998 et dirigé par André Lesueur et Miguel Laventure. Compte 2 conseillers généraux, 2 conseillers régionaux et 3 maires.
- Mouvement populaire franciscain (MPF) : Fondé en 1983 et dirigé par Maurice Antiste. Compte un conseiller général, un conseiller régional et un maire.
Partis autonomistes
- Bâtir le pays Martinique (BPM) : fondé en 1998, scission du Parti communiste martiniquais dirigé par Pierre Samot et Philippe Edmond-Mariette. Compte 3 conseillers généraux et un maire. Josette Manin, membre de Bâtir est présidente du Conseil général de la Martinique depuis 2011.
- Parti communiste martiniquais (PCM) : Fondé en 1957. Son secrétaire général est Georges Erichot, conseiller municipal. Il publie Justice.
- Parti progressiste martiniquais (PPM) : fondé par Aimé Césaire et Pierre ALIKER en 1958 et issu de la Fédération communiste martiniquaise. Compte 1 député, 11 conseillers généraux, 15 conseillers régionaux encartés et la présidence du conseil régional et général ainsi que de nombreux maires et conseillers municipaux.
- Rassemblement démocratique martiniquais (RDM) : fondé en 2006, dissidence du PPM. Secrétaire général : Claude Lise, président du conseil général. Compte 9 conseillers généraux et 9 maires et apparentés.
Partis indépendantistes
- Conseil national des comités populaires (CNCP) : fondé en 1983. Leaders : Marie-Hélène Léotin, Robert Saé et Edmond Mondésir. Compte 1 élu au conseil régional et 6 conseillers municipaux.
- Combat ouvrier (CO) : groupe trotskyste membre de l'UCI comme Lutte ouvrière et fondé en 1965 en Martinique. Son leader est Ghislaine Joachim-Arnaud, par ailleurs secrétaire général de la CGTM. Aucun élu.
- Mouvement indépendantiste martiniquais (MIM) : fondé en 1978 par Alfred Marie-Jeanne. Compte un député, 8 conseillers régionaux, 2 conseillers généraux, une quarantaine de conseillers municipaux et un maire.
- Mouvement des démocrates et écologistes pour une Martinique souveraine (MODEMAS) : fondé en 1992 par Garcin Malsa. Compte 2 conseillers généraux et 2 maires.
- Parti pour la libération de la Martinique (PALIMA) : fondé en 1999 par Francis Carole. Ce mouvement compte 1 conseiller régional.
Mayotte
- Mouvement départementaliste mahorais (MDM) : mouvement départementaliste du centre.
- Mouvement populaire mahorais (MPM)
- Nouvel élan pour Mayotte (Néma) : parti politique mahorais, créé en 2007 par Saïd Omar Oili, président du conseil général de Mayotte de 2004 à 2008.
- Rassemblement démocratique de Mayotte, parti indépendantiste.
Nouvelle-Calédonie
Partis loyalistes ou anti-indépendantistes
- Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR), aujourd’hui Le Rassemblement : Parti de la droite locale et mouvement historique du combat contre l'indépendance, fondé en 1977 par Jacques Lafleur sous le nom de la Rassemblement pour la Calédonie, devient RPCR en 1978 (fusion avec le RPR – Nouvelle-Calédonie), et prend le nom de Rassemblement – UMP après son affiliation à l’UMP. Il est la principale composante de la coordination des Républicains en Nouvelle-Calédonie.
- L'Avenir ensemble : fondé en 2004 par des dissidents plus ou moins anciens du RPCR, compte à l'origine des membres proches de l'UMP et d'autres de l'UDF (et depuis aussi bien du MoDem que du Nouveau Centre). Fait partie de la coordination des Républicains en Nouvelle-Calédonie.
- Calédonie ensemble : fondé en 2008 par des dissidents de l'Avenir ensemble sous la conduite du président de l'Assemblée de la Province Sud de l'époque, ensuite président du gouvernement local de 2009 à 2011 et actuel député UDI Philippe Gomès, compte essentiellement des membres proches à l'origine de l'UMP puis de l'UDI à partir de 2012.
- Mouvement de la diversité (LMD) : fondé en 2008 par des dissidents du RPC sous la conduite du sénateur UMP Simon Loueckhote, allié à l'Avenir ensemble lors des élections provinciales de 2009. Fait partie de la coordination des Républicains en Nouvelle-Calédonie.
- Mouvement populaire calédonien (MPC) : parti créé en 2013 par des dissidents du Rassemblement emmenés par l'ancien député UMP et 1er adjoint au maire de Nouméa Gaël Yanno, est à la tête d'une coalition appelée l'Union pour la Calédonie dans la France (UCF).
- Rassemblement pour la Calédonie (RPC) : Parti créé par Jacques Lafleur en 2006. Fait partie de la coordination des Républicains en Nouvelle-Calédonie.
Partis indépendantistes
- Fédération des comités de coordination indépendantistes (FCCI) : Dissidence du FLNKS, allié traditionnel du RPCR entre 1998 et 2004. Elle n'est plus présente depuis 2004 qu'à l'échelon municipal.
- Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) : Fondé par Jean-Marie Tjibaou en 1984, successeur du Front indépendantiste, fondé en 1979, regroupe :
- Union calédonienne (UC) : Fondé en 1952 par les anciens députés Maurice Lenormand et Rock Pidjot, dominant sur la scène locale jusque dans les années 1970, d'abord autonomiste, il a officiellement pris position pour l'indépendance sous la conduite de Jean-Marie Tjibaou en 1977. À longtemps constitué la principale composante du FLNKS, domination aujourd'hui concurrencée par le Parti de libération kanak avec lequel il est régulièrement en conflit.
- Union nationale pour l'indépendance (UNI) : Fondée en 1999, qui regroupe :
- Parti de libération kanak (Palika) : Fondé en 1975 à partir de deux groupes de lutte indépendantistes d'influence marxiste ou révolutionnaire (les Foulards rouges et le Groupe 1878), dirigé par le président de l'Assemblée de la Province Nord Paul Néaoutyine.
- Union progressiste en Mélanésie (UPM) : Fondée en 1974, par des dissidents mélanésiens de l'UC.
- Rassemblement démocratique océanien (RDO) : Fondé en 1994 par des membres des communautés wallisiennes et futuniennes favorables à l'indépendance, dissidents de l'Union océanienne.
- Libération kanak socialiste (LKS) : Dissidence du Palika créée en 1981 par l'ancien grand-chef du district de Guahma et membre fondateur des Foulards rouges, Nidoïsh Naisseline. Allié sur le plan territorial à l'Avenir ensemble entre 2004 et 2008, il forme une majorité avec l'UC à l'Assemblée de la Province des îles Loyauté que Naisseline a présidé entre 1995 et 1999.
- Parti travailliste : parti d'extrême gauche lié au syndicat USTKE et proche de José Bové, fondé en 2007.
- Unir et construire dans le renouveau (UC Renouveau) : dissidence de l'UC créée en 2004, uniquement présente aux îles Loyauté.
Polynésie française
- A Ti'a Porinetia (Le Rassemblement des Polynésiens) : parti et groupe parlementaire autonomiste fondé en 2013, présidé par Gaston Tong Sang. Il regroupe :
- Fetia Api (Nouvelle Étoile) : Parti centriste, fondé en 1996 par Boris Léontieff, proche du Nouveau Centre et présidé aujourd'hui par Philip Schyle.
- O Porinetia To Tatou Ai'a (O Polynésie, Notre patrie) : parti de la droite autonomiste fondé en 2007 par des dissidents du Tahoeraa emmenés par Gaston Tong Sang, associé à l'UMP depuis 2009[3].
- Ai'a Api (Nouvelle Patrie) : Fondé en 1982 par Émile Vernaudon, dissidence du E'a Api, proche du PRG.
- Taatira no te hau (Rassemblement pour la Paix) : Ancien Taatira Porinetia (Entente polynésienne) renommé en 2000, parti représentant la communauté asiatique dit « parti chinois », présidé par Robert Tanseau.
- Te Mana Toa (L'Esprit du guerrier) : parti autonomiste fondé en 2007 par Sandra Lévy Agami, dissidente de Porinetia Ora et ancienne du Tahoeraa. Il a fait partie de l'alliance To Tatou Ai'a jusqu'en 2008.
- Te niu hau manahune (Le principe de démocratie) : Parti de droite autonomiste et « îlien », fondé en 2007 par Teina Maraeura. Avait formé son propre groupe entre 2008 et 2009, le Te Mana o te Mau Motu (Le Pouvoir des îles), tout en restant toujours l'allié de To Tatou Ai'a.
- Ia Ora te Fenua (Que Vive le Pays) : groupe centriste et autonomiste fondé en 2009 à l'Assemblée de la Polynésie française. On ne retrouve plus de groupe parlementaire sous ce nom après l'élection territoriale polynésienne de 2013. Il regroupait des élus de :
- Rautahi/Rassemblement pour la Polynésie française : Fondé en 2005, dissidence du Rassemblement populaire menée par Jean-Christophe Bouissou, dissout en 2014.
- No oe e te nunaa (Pour toi, pour nous) : Fondé en 2003, parti centriste proche du MoDem (a appelé à voter François Bayrou en 2007), se place entre l'UPLD et la plateforme autonomiste soutenue par l'UMP.
- Parti socialiste polynésien : Proche de l'UPLD, sans toutefois en faire partie.
- Tiatau mouvement citoyen : fondé en 2007 pour soutenir la candidature aux législatives de la députée sortante ancienne Tahoeraa et ancienne UMP Béatrice Vernaudon-Coppenrath.
- Tahoeraa huiraatira (Rassemblement Populaire) : parti historique de la droite anti-indépendantiste, fondé en 1977 par Gaston Flosse, succède à l'Union tahitienne Tetahoera'a Maohi, fondée en 1962 et affiliée à l'UDR. Il a été associé au RPR puis à l'UMP jusqu'en 2008. Il est soutenu par :
- Porinetia Ora (Que vive la Polynésie) : parti autonomiste, fondé en 2004 par des dissidents du Tahoeraa menés par Reynald Temarii. Il est présidé depuis 2006 par Teiva Manutahi. Le parti a appelé à voter pour Tahoeraa au second tour en 2013.
- Tapura Huiraatira : dissidence du Tahoeraa fondée en 2016, menée par le président de l'archipel Édouard Fritch. Rassemble tous les élus de l'exécutif, 29 conseillers (16 issus du Tahoeraa et les 8 d'A Ti'a Porinetia), les deux sénateurs et deux des trois députés.
- To'u Ai'a (Notre patrie) : Fondé en 2007 par un dissident du Tavini Huiraatira ; davantage partisan d'une indépendance économique que d'une indépendance politique.
- To Tatou Ai'a (Notre patrie) : alliance du centre droit autonomiste et anti-indépendantiste créée autour de Gaston Tong Sang pour les élections territoriales polynésiennes de 2008 qu'elle a remporté sans obtenir la majorité absolue, se dispute depuis le pouvoir avec l'UPLD et le Tahoeraa au gré des changements d'alliances et motions de censure. On ne retrouve plus d'alliance politique sous ce nom après l'élection territoriale polynésienne de 2013.
- Union pour la démocratie (UPLD) : Alliance de gauche indépendantiste fondée en 2004 pour les élections territoriales qu'elle a remporté sans obtenir de majorité absolue, se dispute depuis le pouvoir avec le Tahoeraa et, depuis 2008, avec A Ti'a Porinetia, au gré des changements d'alliances et des motions de censure. C'est le parti d'Oscar Temaru. Elle regroupe :
- Tavini Huiraatira (Servir le Peuple) : Parti indépendantiste d'Oscar Temaru. Fondé en 1977 sous le nom de Front de libération de la Polynésie, il est rebaptisé en 1984 Tavini huiraatira no te ao Ma’ohi (Serviteur du peuple polynésien).
- Here ai’a (Amour de la patrie) : Fondé en 1965, issu du Rassemblement des populations tahitiennes (indépendantiste et proche du PCF, fondé en 1947).
- Ia Mana te Nunaa (Que le peuple soit au pouvoir) : fondé en 1975 par Jacqui Drollet, marxiste socialiste, indépendantiste - autogestionnaire, il rejoint l'Union pour la démocratie en 2004.
- Heiura - Les Verts : parti écologiste, membre de l'Union pour la démocratie.
- Ai'a Api (Nouvelle patrie) : Parti radical de gauche, autonomiste, dissident du E'a Api.
- A Rohi (Agir) : Fondé en 2008 par Hiro Tefaarere, indépendantiste modéré ancien du Tavini Huiraatira puis de l'alliance To Tatou Ai'a.
- Te Aho Api (Le Nouveau souffle) : parti autonomiste fondé en 2009 par Clarenntz Vernaudon, dissident de l'alliance To Tatou Ai'a et de l’Ai'a Api.
- Te Henua Enata a Tu (La Terre des hommes) : parti autonomiste marquisien de Benoît Kautai, allié en 2008 de l'alliance To Tatou Ai'a sans en faire partie, a fait partie jusqu'en 2008 du groupe Te niu hau manahune des îliens puis des non-inscrits. Depuis 2013, membre de l'Union pour la démocratie.
La Réunion
- Free Dom : mouvement politique de gauche fondé par Camille Sudre à la suite des succès d'audience d'un groupe audiovisuel populaire portant le même nom qu'il a créé au début des années 1980.
- Parti communiste réunionnais (PCR) : parti communiste local, fondé par Paul Vergès en 1959, issu de la fédération réunionnaise du Parti communiste français.
- Pour La Réunion (PLR) : fondé en 2012 par la députée Huguette Bello.
- Rézistan's Égalité 974 (RÉ974), proche de La France insoumise.
Saint-Pierre-et-Miquelon
- Archipel demain : Mouvement de droite local, fondé en 1995, proche de l'UMP.
- Cap sur l'avenir (CSA) : Mouvement de centre gauche pour la défense des intérêts de l'Archipel, proche du PRG et des Verts. Représenté à l'Assemblée Nationale par sa présidente, Annick Girardin.
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- (en) Caterina Froio, « What is left for parties ? An overview of party mandate in France 1981-2009 », French Politics, vol. 11, no 1, , p. 98-116 (DOI 10.1057/fp.2013.3)
Articles connexes
- Financement des partis politiques français
- Parti politique
- Liste des partis politiques français disparus
- Liste des partis politiques sous la Cinquième République
Liens externes
- Commission nationale des Comptes de Campagne et des financements politiques : source importante pour le recensement des partis politiques. Le , la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a publié les comptes des partis et groupements politiques français pour l’année 2016 (voir Rapport de 2016 de la CNCCFP). Dans ce document, elle a dénombré 493 formations politiques. Sur ces 493 formations politiques, on distingue des partis politiques nationaux, mais également des partis politiques régionaux et locaux.