Laval (Québec)

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Laval
Laval (Québec)
Blason de Laval
Unité - Progrès - Grandeur
Drapeau de Laval
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Laval
Statut municipal Ville
Maire
Mandat
Marc Demers
2017 - 2021
Constitution
Démographie
Gentilé Lavallois, oise
Population 437 413 hab.[1] (2017)
Densité 1 770 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 00″ nord, 73° 45′ 00″ ouest
Superficie 24 709 ha = 247,09 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire UTC−05:00
Indicatif +1 450, +1 579
Code géographique 65005
Devise Unité - Progrès - Grandeur
Localisation
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Laval
Géolocalisation sur la carte : Québec
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Laval
Liens
Site web Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata

Laval est une ville du Québec (Canada) constituant l'une des 17 régions administratives en plus de posséder les compétences attribuées aux municipalités régionales de comté (MRC). Avec sa population estimée à 437 413 habitants en 2017[1], Laval est la troisième ville la plus peuplée au Québec derrière Montréal et Québec, ainsi que la treizième au Canada[2]. La superficie de la ville est de 246,8 km2[1].

Si la majorité du territoire de la ville comprend l'île Jésus, Laval comprend également une multitude de petites îles en son pourtour, lesquelles font partie de l'archipel d'Hochelaga.

La rivière des Mille Îles, au nord, la sépare des municipalités de la Rive-Nord de Montréal ; et la rivière des Prairies, au sud, délimite sa frontière avec la ville de Montréal.

Géographie

Carte
Quartiers de la ville de Laval.

Municipalités limitrophes

Histoire

Ferme à Laval-des-Rapides en 1941.

Connue des peuples autochtones et utilisée principalement comme halte ou comme lieu de passage, l'île Jésus devient une seigneurie alors que le territoire du Québec est colonisé par les Français sous le nom de Nouvelle-France.

En 1636, l'île Jésus est donnée aux Pères Jésuites à titre de seigneurie. Elle demeure toutefois inexploitée, puis passe aux mains de François Berthelot, conseiller et secrétaire du roi Louis XIV. Ce dernier ne la conserve que 3 ans avant de la céder, en 1675, à François Montmorency de Laval, évêque de Québec, en échange de l'île d'Orléans. En 1680, l'île est cédée au Séminaire de Québec, qui en demeure seigneur jusqu'en 1854.

Le peuplement de l'île Jésus est amorcé en 1672 à partir de sa pointe est, mais demeure timide jusqu'à la signature de la Grande Paix de Montréal, en 1701, laquelle met fin à une guerre entre Français et Iroquois.

En 1702, on établit la paroisse de Saint-François de Sales, puis, en 1740, on autorise la création des paroisses de Sainte-Rose de Lima et de Saint-Vincent de Paul. La population, d'abord concentrée sur les rivages, s'étend graduellement vers le centre de l'île, comme en témoigne l'apparition d'une nouvelle paroisse, soit celle de Saint-Martin, en 1774. En 1681, l'île Jésus compte 24 habitants. Puis, en 1765, ce nombre passe à 2 379, pour atteindre près de 6 500 personnes en 1823.

Sous le régime seigneurial, le territoire de l'île Jésus demeure majoritairement rural. On note néanmoins le développement d'un premier village dans la paroisse de Saint-François de Sales dès 1753 et la création de divers chemins donnant accès, notamment, aux églises et aux moulins de l'île[3].

En 1854, l’« Acte pour l’abolition des droits et devoirs féodaux dans le Bas-Canada » est proclamé, mettant ainsi définitivement fin au régime seigneurial, hérité de la période coloniale française et maintenu par les Britanniques après la conquête de 1763.

En 1845, on tente une première fois d’instaurer un système municipal. Devant l’échec, soit 2 ans plus tard, on proclame l'« Acte pour faire de meilleures dispositions pour l'établissement d'autorités municipales dans le Bas-Canada ». 

Le régime municipal est alors établi de façon permanente, en 1855, avec l’« Acte des municipalités et des chemins du Bas-Canada ».

Avec l’entrée en vigueur de ce nouveau mode de gestion du territoire, toutes les agglomérations d’une population d’au moins 300 habitants deviennent des municipalités. Ainsi, sur l’île Jésus, les municipalités des paroisses de Saint-François de Sales, de Saint-Martin, de Sainte-Rose de Lima et de Saint-Vincent de Paul apparaissent en 1855. 

L’« Acte des municipalités et des chemins du Bas-Canada » prévoit également la création de corporations municipales de comté, où siègent les maires de municipalités avoisinantes afin de délibérer sur des sujets d’intérêt commun. Ainsi, la Corporation du comté de Laval est également constituée, un nom qui inspirera celui de la Ville de Laval, créée 110 ans plus tard[4].

Au cours des siècles, des agriculteurs français s'installèrent sur l'île Jésus. Plusieurs maisons centenaires sont encore habitées. Les sols très fertiles de la région firent de l'agriculture une activité très répandue. Tout comme à Montréal, on retrouvait sur le territoire lavallois une végétation douce et un milieu humide favorisant la croissance de plusieurs forêts de feuillus. Une biodiversité très développée y régnait. Laval est aujourd'hui une banlieue très étendue, fortement résidentielle et légèrement industrielle. Le gouvernement du Québec y a protégé 30 % du territoire pour conserver les terres agricoles. Les bois qui ont survécu témoignent de l'industrialisation du territoire et rappellent des fragments de l'histoire de l'île Jésus. Parmi ceux-ci notons le bois de Ste-Dorothée, le bois de l'Équerre, le bois Papineau et le bois Duvernay.

En 1961, la cité de Saint-Martin et la ville de Renaud sont annexées à la ville de l'Abord-à-Plouffe pour créer la cité de Chomedey. Le projet initial prévoyait également la fusion de la Ville de Laval-des-Rapides, mais celle-ci se retira rapidement du projet[5].

Le , le ministère des Affaires municipales du Québec annonce la tenue d'une Commission d'étude sur les problèmes intermunicipaux de l'île Jésus, présidée par le juge Armand Sylvestre. Celle-ci est lancée parallèlement à une commission portant sur le même sujet pour l'île de Montréal, présidée par Camille Blier. En décembre 1964, la conclusion de la commission d'étude est annoncée au public : « une île, une ville ! »[6] Le , le gouvernement du Québec fusionne les 14 municipalités qui constituaient le comté de Laval et crée ainsi la Ville de Laval[4] :

Il faut mentionner que ces anciennes municipalités restent aujourd'hui les dénominations des quartiers de la ville de Laval dans le langage usuel de la population.

Par la suite, du fait de l'étalement urbain et du développement de la banlieue, Laval connaît un essor certain jusqu'à devenir la troisième ville la plus peuplée du Québec.

Héraldique

Unité - Progrès - Grandeur[7]

L'écu de Laval se blasonne ainsi :

D'argent à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d'or cantonnée de seize alérions d'azur.

Blason de François de Montmorency-Laval

L'écu de la ville de Laval ainsi que celui de l'Université Laval sont inspirés de celui du Monseigneur François de Montmorency-Laval. L'Université Laval a été instituée à partir du Petit Séminaire de Québec qui avait été fondé par Monseigneur de Laval et auquel ce dernier a cédé ses droits sur l'île.

Politique et administration

Représentation fédérale

Représentation provinciale

Représentation municipale

La constitution canadienne[8] précise que les provinces ont la compétence exclusive dans la création ou la modification des administrations locales. Au Québec, les corporations municipales sont régies par le Code municipal[9] ou la Loi sur les cités et villes[10].

Laval est divisée en 21 districts électoraux[11] municipaux ayant chacun un conseiller municipal. Des élections ont lieu tous les quatre ans.

Voici la liste des districts électoraux, leur population approximative et leur conseiller ainsi que le parti auquel elle ou il appartient :

District électoral Population Conseiller Parti
Saint-François (1) 18 512 Eric Morasse Mouvement lavallois
Saint-Vincent-de-Paul (2) 16 744 Paolo Galati Mouvement lavallois
Val-des-Arbres (3) 17 338 Christiane Yoakim Mouvement lavallois
Duvernay - Pont-Viau (4) 14 516 Stéphane Boyer Mouvement lavallois
Marigot (5) 16 598 Daniel Hébert Mouvement lavallois
Concorde - Bois-de-Boulogne (6) 17 059 Sandra Desmeules Mouvement lavallois
Renaud (7) 17 568 Aram Elagoz Mouvement lavallois
Vimont (8) 17 260 Michel Poissant Mouvement lavallois
Saint-Bruno (9) 22 422 David De Cotis Mouvement lavallois
Auteuil (10) 19 602 Jocelyne Frédéric-Gauthier Mouvement lavallois
Laval-des-Rapides (11) 18 439 Isabella Tassoni Mouvement lavallois
Souvenir-Labelle (12) 17 246 Sandra El Helou Mouvement lavallois
L'Abord-à-Plouffe (13) 17 800 Vasilios Karidogiannis Mouvement lavallois
Chomedey (14) 17 524 Aglaia Revelakis[12] Action Laval - Équipe Jean-Claude Gobé
Saint-Martin (15) 21 193 Aline Dib Mouvement lavallois
Sainte-Dorothée (16) 22 362 Ray Khalil Mouvement lavallois
Laval-Les Îles (17) 19 398 Nicholas Borne Mouvement lavallois
L'Orée-des-Bois (18) 24 008 Yannick Langlois Mouvement lavallois
Marc-Aurèle-Fortin (19) 17 178 Gilbert Dumas Mouvement lavallois
Fabreville (20) 21 109 Claude Larochelle Parti Laval
Sainte-Rose (21) 22 033 Virginie Dufour Mouvement lavallois

Ces conseillers ont été élus à l'élection municipale du 5 novembre 2017. Le maire de la ville est Marc Demers depuis 2013.

Les bureaux municipaux de loisir

Afin d'éviter les dédoublements, l'offre de services en culture, loisirs, activités physiques et vie communautaire ont été regroupés en six secteurs ou bureaux municipaux lavallois (BML).

  • BML-1 : Duvernay, Saint-Francois et Saint-Vincent-de-Paul
  • BML-2 : Pont-Viau, Renaud-Coursol et Laval-des-Rapides
  • BML-3 : Chomedey (excluant Renaud-Coursol)
  • BML-4 : Sainte-Dorothée, Laval-Ouest, Les Îles-Laval, Fabreville-Ouest et Laval-sur-le-Lac
  • BML-5 : Fabreville-Est et Sainte-Rose
  • BML-6 : Vimont et Auteuil

Maires de Laval

Maires de Laval depuis 1965
Période Identité Étiquette Qualité
août 1965 novembre 1965 Jean-Noël Lavoie   maire fondateur
1965 1973 Jacques Tétreault   premier maire élu de la Ville de Laval
1973 1981 Lucien Paiement    
1981 1989 Claude Ulysse Lefebvre Parti PRO des Lavallois  
1989 9 novembre 2012 Gilles Vaillancourt Parti PRO des Lavallois  
23 novembre 2012 28 juin 2013 Alexandre Duplessis   maire intérimaire
3 juillet 2013 novembre 2013 Martine Beaugrand   mairesse intérimaire
3 novembre 2013   Marc Demers Mouvement lavallois  

Sécurité publique

Le Service de police de Laval

Instauré en 1965, le Service de police de Laval emploie plus de 800 policiers et employés civils[13].

Postes de quartier[14]

  • Saint-François, Saint-Vincent-de-Paul et Duvernay-Est
  • Pont-Viau, Duvernay, Val-des-Arbres, Laval-des-Rapides et Renaud
  • Chomedey
  • Laval-Ouest, Laval-sur-le-Lac, Fabreville-Ouest, Laval-les-Îles et Sainte-Dorothée
  • Sainte-Rose et Fabreville
  • Vimont, Auteuil et Val-des-Brises

Gendarmerie

De service 24 heures sur 24, la gendarmerie compte plus de 250 policiers et officiers en devoir 24 h/24 qui travaillent avec le 911 pour répondre aux urgences. Ils veillent à la sécurité des citoyens par l'application du Code criminel, du Code de la sécurité routière et des règlements municipaux, en plus d'assurer la sécurité des stations de métro de Laval (selon le site internet municipal).

Démographie


Courbe d'évolution démographique de Laval depuis 1871

Source des données de 1891 à 2016:
Recensement du Canada, Statistique Canada
Source des données de 2017 à 2018:
Institut de la statistique du Québec

Évolution démographique
1871 1881 1891 1901 1911 1921 1931 1941 1951
9 4729 4629 43610 24811 40714 00516 15021 63137 843
1956 1961 1966 1971 1976 1981 1986 1991 1996
69 410124 741196 088228 010246 243268 335284 164314 398330 393
2001 2006 2011 2016 2021 - - - -
343 005368 709401 553422 993-----
(Sources : Statistique Canada)

En 2001, 81 % de la population est de confession catholique[15].

En 2011, 60,8 % des habitants ont comme langue maternelle le français, 7 % l'anglais et 28,5 % sont allophones[16].

En 2015, selon l'Institut de la statistique du Québec[17], la population par groupes d'âge se lisait comme suit:

Groupe d'âge Nombre Pourcentage
0-14 ans 70 650 16,6
15-24 ans 54 103 12,7
25-44 ans 109 701 25,8
45-64 ans 120 293 28,3
65 ans et plus 70 478 16,6

Le Logo de Laval

Le Logo de Laval

L’emblème de Laval, adopté le 5 mai 1975, illustre le modernisme d’une collectivité en pleine expansion. Le jeu des cubes symbolise le développement de Laval. Les cubes tracent le « L » de Laval de telle sorte que l’emblème constitue également un sigle. Les couleurs utilisées ont également une signification importante. Le pourpre symbolise traditionnellement la richesse; par extension, il représente, dans l’emblème, le grand potentiel économique de Laval. Le bleu symbolise la qualité de vie et l’aménagement d’une ville humaine. Les lettres de la signature Laval sont liées l’une à l’autre pour rappeler la fusion des municipalités de l’île en 1965[18]. Le logo a été créé par un peintre-sérigraphe de Laval, monsieur Guy Gagné.[réf. nécessaire]

Économie

Laval possède une économie surtout centrée sur les secteurs de la haute technologie, des services, du commerce et de la santé. On y retrouve ainsi plusieurs laboratoires pharmaceutiques, de nombreux commerces de détail, des carrières de minerais et un secteur agricole vigoureux. Depuis quelques années, Laval déploie beaucoup d'efforts pour redéfinir un territoire marqué par la séparation des usages et un certain morcellement dû à son réseau routier. Son centre-ville, caractérisé par une faible densité, est actuellement mal défini, mais fait l’objet d’un vaste plan de consolidation et de revitalisation. D’ici 2020, la Place Bell, sa place publique et d’autres équipements culturels et sportifs s’ajouteront à Centropolis et aux autres grands centres commerciaux pour former un centre-ville mixte et moderne.

La société de développement économique Laval Technopole soutient 6 axes de développement : la Cité de la biotech, le pôle industriel, l'agropôle, le e-pôle, le pôle récréotourisme et le pôle entreprises de services et sièges sociaux. La réussite de ces pôles résulte des liens étroits entre les centres de recherche, les universités, les entreprises et les services publics.

En décembre 2013, 12 021 entreprises étaient établies à Laval et employaient 140 000 personnes. Notons que 40 % des Lavallois demeurent et travaillent à Laval[19].

Transport

Laval est une ville marquée par un important étalement urbain. La ville comptait 266 512 véhicules immatriculés de tout genre en 2010[20]. Elle est desservie par plusieurs autoroutes et routes provinciales, le réseau d’autobus de la Société de transport de Laval, trois stations de métro et des trains de banlieue.

Réseau routier

Autoroutes

Routes provinciales

Incidents

  • Le , pendant des rénovations sur le viaduc Du Souvenir surplombant l'autoroute 15, le tablier sud du viaduc s'est écroulé sur l'autoroute causant la mort d'une personne[21],[22].
  • Le , le Viaduc de la Concorde qui passe au-dessus de l'autoroute 19 (Papineau) s'est soudainement écroulé, tuant ainsi cinq personnes[23].

Transport en commun

Le réseau de transport en commun de Laval compte un réseau d'autobus géré par la Société de transport de Laval, trois stations du métro de Montréal gérées par la Société de transport de Montréal, deux lignes de train de banlieue et sept terminus (en plus des gares et des stations de métro)

Métro

La station Montmorency, terminus de la ligne orange du métro de Montréal. Trois stations desservent la ville de Laval depuis 2007.
  • En avril 2007, le prolongement du métro de Montréal  jusqu'à Laval est inauguré avec trois nouvelles stations. La construction débuta en 2003 et fut achevée en avril 2007 au coût de 745 M$ entièrement assumé par le gouvernement du Québec, soit une économie de 58,6 M$ par rapport au budget autorisé. À cette somme s'ajoutent 12,4 M$ pour la construction d'un deuxième édicule à la station Cartier. Ce nouvel édicule a été complété en 2009 et se situe au coin nord-est de l'intersection Cartier / Des Laurentides dans le petit parc des Libellules appartenant à la ville de Laval. Cet édicule est relié au premier édicule situé au coin sud-ouest de l'intersection par un passage piétonnier de 120 mètres de long sous les boulevards Cartier et Des Laurentides et permet ainsi aux habitants du quartier Pont-Viau de rejoindre la station Cartier à pied sans à avoir à traverser la dangereuse intersection Cartier / Des Laurentides[24]. Bien que le projet fut caractérisé par de nombreux dépassements de coûts, son budget étant passé de 179 M$ en 1998 à 803,6 M$ en 2006, la somme représente 143 M$/km, soit 22 % moins cher que la moyenne internationale pour des projets de même envergure[25].

Train de banlieue

L'Agence métropolitaine de transport gère deux lignes de trains de banlieue sur l'île Jésus. Les lignes Saint-Jérôme et Deux-Montagnes font le lien entre Laval et le centre-ville de Montréal en moins de 40 minutes. Au total, 5 gares sont situées sur l'île Jésus.

Gares de train de banlieue et stations de métro à Laval

Train, ligne Saint-Jérôme Train, ligne Deux-Montagnes Métro, ligne 2 – Orange
Sainte-Rose Sainte-Dorothée Montmorency
Vimont Île-Bigras De la Concorde
De la Concorde Cartier

Autobus

Le service d'autobus sur l'île Jésus est assuré par la Société de transport de Laval (STL). Ce service est constitué au total de 44 lignes d'autobus[26], dont quatre lignes express (901-902-903-925), deux lignes train-bus (402-404), trois lignes d'heures de pointe (36-41-252), une ligne de nuit (2) et plusieurs lignes scolaires en plus des lignes de taxis collectifs. Les différentes lignes parcourent des trajets qui desservent tous les quartiers de Laval, mis à part Les Îles-Laval. Des taxis collectifs sont offerts en complémentarité au service régulier et desservent les secteurs moins populeux de la ville. Le service de train-bus permet de relier les quartiers avoisinants à une gare de train à celle-ci. Il est à noter que le service de nuit à Laval est pratiquement inexistant; seule une ligne dessert un secteur très limité de la municipalité.

À l'été 2015 une nouvelle ligne d'autobus voit le jour: la ligne 36, qui part aussi du métro Montmorency et fait presque le même début de trajet que les lignes 26 et 46.

Projet de trolleybus

Le 16 mars 2009, le président de la Société de transport de Laval, Jean-Jacques Beldié, a annoncé, en partenariat avec Hydro-Québec et Transports Québec, un investissement de 600 000 $ dans une étude de faisabilité pour la réintroduction des trolleybus au Québec sur le territoire lavallois. Rappelons que les trolleybus ont déjà circulé à Montréal entre 1937 et 1966. Le projet initial comprendrait quatre lignes : sur les boulevards des Laurentides (Bleu), de la Concorde (Rose), Notre-Dame (Rouge) et Curé-Labelle (Vert). L'étude livrée par la firme d'ingénierie SNC-Lavalin s'est terminée le [27],[28].

Bien que le projet soit jugé réalisable et peu risqué, les coûts d'implantation qui frôlent les 300 millions de dollars, dont 106 millions de dollars juste pour les installations électriques, sont jugés trop importants pour le peu de retombées engendrées. Le directeur général de la STL, Pierre Giard estimait que seulement 15 % des besoins en transport en commun de la ville de Laval seraient comblés par le projet de trolleybus.

Projet d'autobus sans fils 100 % électrique

Après l'étude de faisabilité du trolleybus, la Société de transport de Laval a décidé d'explorer la possibilité d'implanter un réseau d'autobus électrique à recharge rapide d'ici l'année 2030[29]. Afin de se familiariser avec la technologie 100 % électrique, la STL a lancé un appel d'offres international pour l'achat d'un prototype d'autobus 100 % électrique. Le gagnant de l'appel d'offres fut la compagnie américaine DesignLine. Le prototype acheté par la STL a été livré à Laval à la mi-décembre 2012[30].

Projet de tramway aérien à Laval-des-Rapides

Dans le cadre du développement économique de la région de Laval, la ville de Laval a créé un organisme parapublique nommé ÉvoluCité. Cet organisme avait pour but d'améliorer le développement urbain à Laval en formant de nouveaux quartiers ayant une densité plus forte que les quartiers traditionnels de Laval afin de favoriser l'utilisation des transports publics. Un nouveau quartier, le quartier de l'Agora, était alors projeté à l'ouest de l'autoroute 15, entre le boulevard Notre-Dame au sud et le boulevard Saint-Martin au nord, et à l'est du boulevard Chomedey. Pour y accéder, la ville de Laval aurait souhaité le prolongement du métro de Montréal plus loin à Laval. Toutefois, la décision de prolonger le métro est prise par le gouvernement du Québec. Historiquement, il peut s'écouler plusieurs années avant qu'un projet de métro puisse se réaliser. C'est pourquoi la Société de transport de Laval avait décidé de faire une autre étude de faisabilité pour un nouveau système de transport de tramway aérien téléphérique entre le terminus Le Carrefour et le terminus Montmorency via le quartier de l'Agora. Le projet de tramway aérien (téléphérique) a été mis sur la glace à la suite du déménagement du projet de la place Bell du quartier de l'Agora Nord à celui du pôle de la station Montmorency, limitant ainsi le besoin supplémentaire d'une ligne de tramway aérien[31].

Activités et loisirs

Sur le territoire de la municipalité, plusieurs activités ou lieux de loisirs sont offerts aux touristes et aux résidents de Laval, par exemple :

  • 9 patinoires intérieures;plusieurs centres sportifs et communautaires;
  • 9 bibliothèques publiques qui forment le réseau des Bibliothèques de Laval et une bibliothèque mobile[32].
  • des cours et des terrains de tennis;
  • des activités de loisir sur inscription;
  • des piscines extérieures, des pataugeoires et des jeux d’eau;
  • des piscines intérieures avec des bains libres et des cours de natation et de plongeon;
  • 10 parcs de planche à roulettes;
  • une dizaine de gymnases;
  • des dizaines de terrains naturels où jouer au baseball, football, soccer, etc.;
  • trois types de pistes cyclables.

Tourisme

  • Cosmodôme, musée sur l'exploration spatiale
  • Aérosim Expérience, centre de simulation avec un simulateur de Boeing 737 de grade professionnel et deux simulateurs de F-16.
  • Centre de la nature, parc urbain de plus de 50 hectares, aménagé sur le site d'une ancienne carrière offrant de nombreuses activités 4 saisons[33].
  • Parc de la Rivière-des-Mille-Îles, un grand parc naturel reconnu comme refuge faunique, avec près d'une vingtaine d'îles accessibles par canot[34].
  • Centrale de la Rivière-des-Prairies, centrale électrique construite en 1930 offrant des visites guidées gratuites[35].
  • Musée Armand-Frappier, offre des activités éducatives pour favoriser la compréhension d'enjeux scientifiques reliés à la santé humaine, animale et environnementale[36].
  • Centre d'interprétation de l'eau (C.I.EAU) expositions, rallye et camp de jour à la station d'Eau potable de Sainte-Rose.
  • Sky Venture, dans le Centropolis, expérience de chute libre à l'intérieur[37].
  • Centres commerciaux : le Carrefour Laval, Centropolis, Centre Laval, Centre Duvernay, Galeries Laval, Quartier Laval, etc.
  • Maison des arts de Laval - Le théâtre des Muses, une salle de 335 places, accueille une sélection des meilleurs spectacles de l'heure en théâtre, en danse et en musique. La salle Alfred-Pellan est un espace de production et de diffusion en art contemporain et actuel.
  • Théâtre de la Grangerit - Ce théâtre d'été accueille des productions et ateliers de troupes lavalloises.

Espaces verts et parcs

Plusieurs espaces verts permettent aux citoyens comme aux visiteurs d'observer la nature lavalloise. En voici une liste :

  • Bois Chomedey
  • Bois Papineau
  • Bois de la Source
  • Bois de l'Équerre
  • Bois Duvernay
  • Bois Sainte-Dorothée
  • Boisé de l'Orée-des-Bois
  • Parc de la Rivière-des-Mille-Îles
  • Parc des Prairies
  • Centre de la Nature

Sport

Laval a accueilli les Jeux du Québec durant l'été 1991[38] et le Championnat canadien junior de Taekwondo, en mai 1998.

Une équipe de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (hockey sur glace) a évolué à Laval : le Voisins de Laval (aussi nommé National de Laval, Titan de Laval puis Titan Collège Français de Laval). La franchise se nomme aujourd'hui Titan d'Acadie-Bathurst et joue à Bathurst, au Nouveau-Brunswick. Depuis la saison 2017-2018 de la Ligue américaine de hockey, le club-école des Canadiens de Montréal, Rocket de Laval évolue à la Place Bell[39].

Les Pétroliers du Nord de la Ligue nord-américaine de hockey évoluent au Colisée de Laval.

Les Comètes de Laval, une équipe de soccer semi-professionnel féminin de la USL W-League. L'équipe joue au Centre sportif Bois-de-Boulogne.

Laval est aussi une ville de football canadien avec son équipe les Sabercats de Laval qui évolue dans la ligue de football junior du Québec[40].

La ville a aussi une équipe de la Ligue Baseball Élite du Québec (LBEQ), les Pirates de Laval, et une équipe de hockey-balle (ou hockey cosom), le club Barbe Bleue.

Elle compte également l'un des plus importants clubs de vélo de compétition sur route et sur piste au Canada, le Club Cycliste Espoirs de Laval.

Le CS Monteuil et le CS Fabrose se dispute le Derby de Laval dans la Première ligue de Soccer du Québec, la première division de soccer au Québec et la troisième au Canada

Personnalités

Éducation

Les écoles francophones de Laval sont régies par la Commission scolaire de Laval, qui compte 54 écoles primaires, 14 écoles secondaires, 8 centres de formation professionnelle et 4 centres d'éducation des adultes. Il y a 52 846 élèves qui fréquentent ces écoles, dont 25 964 au primaire et au préscolaire, 13 332 au secondaire, 4 671 à l'éducation aux adultes et 7 657 à la formation professionnelle en 2016. La Commission scolaire de Laval est l’un des plus importants employeurs de la ville de Laval, avec plus de 7 000 employés, dont 3 887 enseignants[41].

La Commission scolaire Sir-Wilfrid-Laurier est responsable des écoles anglophones lavalloises.

Écoles primaires francophones de Laval

Élèves de Saint-François, Saint-Vincent-de-Paul et Duvernay

  • École Des Ormeaux
  • École Val-des-Arbres
  • École du Bois-Joli
  • École L'Envol (école alternative)
  • École Jean-XXIII
  • École Simon-Vanier
  • École Notre-Dame-du-Sourire
  • École L'Escale
  • École Fleur-Soleil
  • École Hébert
  • École J.-Jean-Joubert

Élèves de Pont-Viau et Laval-des-Rapides

  • École Marcel-Vaillancourt
  • École Sainte-Marguerite
  • École Léon-Guilbault
  • École de L'Arc-en-Ciel
  • École Coursol
  • École Saint-Gilles
  • École Saint-Julien

Élèves de Chomedey, Sainte-Dorothée, Laval-sur-le-lac et Les Îles-Laval

  • École de l'Avenir
  • École des Trois-Soleils
  • École Sainte-Dorothée
  • École Paul-VI
  • École Saint-François
  • École Pierre-Laporte
  • École Jean-Lemonde
  • École Saint-Paul
  • École L'Harmonie
  • École Le Tandem
  • École Les Quatre-Vents—Monseigneur-Laval
  • École Saint-Norbert

Élèves de Laval-Ouest, Fabreville et Sainte-Rose (sauf secteur Champfleury)

  • École Raymond
  • École Fleur-de-Vie
  • École La Source
  • École L'Orée-des-Bois
  • École Cœur-Soleil
  • École Des Cèdres (école à vocation musicale)
  • École Pépin
  • École Marc-Aurèle-Fortin
  • École Le Petit-Prince
  • École L'Aquarelle
  • École Demers
  • École Le Baluchon (école alternative)
  • École Villemaire
  • École Du Parc
  • École de L'Équinoxe

Élèves d'Auteuil, Vimont et secteur Champfleury de Sainte-Rose

  • École Charles-Bruneau
  • École Le Sentier
  • École Paul-Comtois
  • École Les Explorateurs
  • École Père-Vimont
  • École Sainte-Béatrice
  • École Alfred-Pellan
  • École L'Envolée
  • École des Cardinaux

Écoles secondaires francophones de Laval

Élèves de Saint-François, Saint-Vincent-de-Paul et Duvernay

  • École secondaire Leblanc (1re à la 5e secondaire)
  • École secondaire Georges-Vanier (1re à la 5e secondaire)

Élèves de Pont-Viau et Laval-des-Rapides

  • École secondaire Mont-de-La Salle (1re à la 5e secondaire)

Élèves de Chomedey, Sainte-Dorothée, Laval-sur-le-Lac et Les Îles-Laval

  • École secondaire Saint-Martin (1re à la 2e secondaire)
  • École secondaire Saint-Maxime (3e à la 5e secondaire)

Élèves de Laval-Ouest, Fabreville et Sainte-Rose (sauf secteur Champfleury)

  • École secondaire Poly-Jeunesse (1re à la 2e secondaire)
  • École secondaire Curé-Antoine-Labelle (3e à la 5e secondaire)

Élèves d'Auteuil, Vimont et secteur Champfleury de Sainte-Rose

  • École secondaire L'Odyssée-des-Jeunes (1re à la 2e secondaire)
  • École secondaire Horizon Jeunesse (3e à la 5e secondaire)

Écoles primaires et secondaires anglophones de Laval

Primaires:

  • École primaire Crestview
  • École primaire Genesis
  • École primaire Hillcrest
  • École primaire John F. Kennedy
  • École primaire Jules Verne
  • École primaire Our Lady of Peace
  • École primaire Souvenir
  • École primaire Saint Paul
  • École primaire Saint Vincent
  • École primaire Terry Fox
  • École primaire Twin Oaks

Secondaires:

Écoles secondaires francophones spécialisées de Laval

  • École d'éducation internationale de Laval
  • École secondaire Alphonse-Desjardins
  • École secondaire de la Mosaïque
  • École secondaire Jean-Piaget
  • Centre de qualification professionnelle et d'entrepreneuriat de Laval (remplace l'école Le Virage)

Écoles secondaires privées de Laval

  • Académie Chrétienne Rive-Nord (Section secondaire fermée en 2009)
  • Collège Citoyen
  • Collège Laval
  • Collège Letendre
  • Collège Notre-Dame-de-Nareg
  • Académie Étoile du Nord - North Star Academy Laval[42]

Centres de formation professionnelle de Laval

  • Institut de protection contre les incendies du Québec (IPIQ)
  • École hôtelière de Laval
  • École Polymécanique de Laval (ancien Centre Professionnel Vanier)
  • Centre de formation professionnelle Paul-Émile-Dufresne
  • Centre de formation Le Chantier
  • Centre de formation horticole de Laval
  • Centre de formation en métallurgie de Laval
  • Centre de formation professionnelle Compétences 2000

Centres d'éducation aux adultes de la ville de Laval

  • Centre Le Tremplin
  • Centre L'Impulsion
  • Centre Les Berges

Collèges d'enseignement général et professionnel (CÉGEP)

Campus d'universités à Laval

  • Université de Montréal : Campus Laval
  • Centre de l'UQÀM à Laval (Collège Montmorency)
  • INRS - Institut Armand-Frappier (2e et 3e cycle universitaire en santé humaine, animale et environnementale, membre du réseau de l'Université du Québec)[43]

Santé

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval a vu le jour le 1er avril 2015 à la suite de l'entrée en vigueur de la Loi modifiant l'organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux. La majorité des services de santé et de services sociaux au cœur du réseau territorial de services de Laval sont issus du CISSS de Laval.

Établissements fusionnés au CISSS de Laval :

  • Hôpital Cité-de-la-Santé
  • Hôpital juif de Réadaptation (installation regroupée)
  • Centre ambulatoire régional de Laval
  • CLSC de Sainte-Rose
  • CLSC du Marigot
  • CLSC Mille-Îles
  • CLSC du Ruisseau-Papineau
  • Centre intégré des services de première ligne de l'ouest de l'île
  • CHSLD Sainte-Dorothée (Centre d’hébergement)
  • CHSLD La Pinière
  • CHSLD Fernand-Larocque
  • CHSLD Rose-de-Lima
  • CHSLD Idola-Saint-Jean
  • Centre de services ambulatoires de soins psychiatriques
  • Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) de Laval
  • Centre jeunesse de Laval (CJL)
  • Centre de réadaptation en dépendance Laval

Jumelages et ententes

La Ville de Laval entretient des liens culturels et commerciaux, tant au niveau national qu'international avec 6 villes[44]. Elle a également signé des accords de coopération économique et culturelle avec 12 villes[44].

Villes jumelles et coopérantes
Organisme Pays, État Partenariat Depuis
Laval (Mayenne) Drapeau de la France France Jumelage 1984
Petah Tikva Drapeau d’Israël Israël Jumelage 1986
Nice Drapeau de la France France Jumelage 2000
Grenoble Drapeau de la France France Amitié 2001
Mudanjiang Drapeau de la République populaire de Chine Chine Amitié 2001
Province de Padoue Drapeau de l'Italie Italie Amitié 2011
Saskatoon Drapeau de la Saskatchewan Saskatchewan Coopération économique 1967
Markham Drapeau de l'Ontario Ontario Coopération économique 1996
Sophia Antipolis Drapeau de la France France Amitié 1996
Manille Drapeau des Philippines Philippines Coopération économique 1996
Pedro Aguirre Cerda Drapeau du Chili Chili Coopération économique et culturelle 1998
Heidelberg Drapeau de l'Allemagne Allemagne Coopération économique et culturelle 2000
Grenoble Drapeau de la France France Coopération économique et culturelle 2001
Ribeira Grande Drapeau des Açores Açores Échange et coopération 2003
Bayern Innovativ GmbH (de) Drapeau de Bavière Bavière Coopération économique 2004
Klagenfurt am Wörthersee Drapeau de l'Autriche Autriche Coopération économique et culturelle 2005
San Salvador Drapeau du Salvador Salvador Coopération économique et culturelle 2005
Botosani Drapeau de la Roumanie Roumanie Coopération économique et culturelle 2007

Notes et références

  1. a b et c Institut de la Statistique du Québec, « 13 - Laval », sur www.stat.gouv.qc.ca (consulté le )
  2. Government of Canada, Statistics Canada, « Chiffres de population et des logements, Canada et subdivisions de recensement (municipalités), recensements de 2011 et 2006 », sur www12.statcan.gc.ca (consulté le )
  3. « Histoire et patrimoine - Des origines à 1854 », sur www.laval.ca (consulté le )
  4. a et b « Histoire et patrimoine - Les débuts du régime municipal », sur www.laval.ca (consulté le )
  5. https://www.laval.ca/histoire-et-patrimoine/Pages/Fr/chomedey.aspx
  6. « Histoire et patrimoine - À l'aube de la naissance de Laval », sur www.laval.ca (consulté le )
  7. « Voici Laval », sur Ville de Laval (consulté le )
  8. Constitution du Canada
  9. Code municipal du Québec
  10. « Loi sur les cités et villes », sur www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca (consulté le )
  11. Répertoire des municipalités du Québec : Laval, page consultée le 8 janvier 2011.
  12. « Aglaia Revelakis – Action Laval – Équipe Jean-Claude Gobé », sur actionlaval.com (consulté le )
  13. « Ville de Laval - Service de police », sur www.laval.ca (consulté le )
  14. « Police - Nous joindre », sur www.laval.ca (consulté le )
  15. « Profil des communautés de 2001 - Laval », sur Statistique Canada.
  16. « Profil des communautés de 2011 - Laval », sur Statistique Canada.
  17. [1]
  18. « Voici Laval » (consulté le )
  19. « Ville de Laval - Laval, ville entrepreneuriale », sur www.laval.ca (consulté le )
  20. [PDF], laval.ca.
  21. (en) « Overpass dismantled, highway re-opened », CBC News website (consulté le ).
  22. (en) « Overpass collapse shuts down Quebec highway », CBC News website (consulté le ).
  23. (en) « Overpass Collapses Near Montreal; People Trapped Feared Dead », Fox News Website (consulté le ).
  24. « Canoe - Actualités - Station Cartier : le nouvel édicule ouvre bientôt », sur fr.canoe.ca (consulté le )
  25. « AMT - Prolongement du métro vers Laval », sur www.amt.qc.ca (consulté le )
  26. Tonik Groupimage, « Plan du réseau - STL », sur www.stl.laval.qc.ca (consulté le )
  27. Laval met son projet de trolleybus entre parenthèses, 'Le Devoir'.
  28. « Laval veut ramener le trolleybus », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. Zone Économie - ICI.Radio-Canada.ca, « La STL présente son premier autobus électrique », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  30. « En route vers l’autobus électrique », Journal Métro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. « Pending development of Quartier de l'Agora - The STL Postpones Its Aerial Tramway Project », sur www.newswire.ca (consulté le )
  32. « Accueil - Bibliothèques de Laval », sur www.biblio.ville.laval.qc.ca (consulté le )
  33. Le Centre de la nature.
  34. Parc de la Rivière-des-Mille-Îles.
  35. Centrale de la Rivière-des-Prairies.
  36. Site du Musée Armand-Frappier.
  37. Sky Venture.
  38. Jeux du Québec - Site officiel.
  39. Le club-école du Canadien s'installe à la Place Bell
  40. Ligue de foutball junior du Québec : Devils de Laval.
  41. Anthony Mak, « Commission scolaire de Laval », sur www2.cslaval.qc.ca (consulté le )
  42. (en) « North Star Academy Laval », sur www.northstaracademy.ca, (consulté le ).
  43. INRS - Institut Armand-Frappier (http://www.iaf.inrs.ca/).
  44. a et b « Ville de Laval - Ententes économiques et villes jumelées », sur www.laval.ca (consulté le )

Annexes

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Articles connexes

Liens externes