Gérald Darmanin

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Gérald Darmanin
Illustration.
Portrait de Gérald Darmanin
Fonctions
Ministre de l'Action et des Comptes publics
En fonction depuis le
(6 ans, 11 mois et 8 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Gouvernement Philippe I et II
Prédécesseur Christian Eckert (Budget)
Annick Girardin (Fonction publique)
Jean-Vincent Placé (Réforme de l'État)
Premier adjoint au maire de Tourcoing
En fonction depuis le
(6 ans, 7 mois et 16 jours)
Maire Didier Droart
Jean-Marie Vuylsteker
Conseiller régional des Hauts-de-France
En fonction depuis le
(8 ans, 3 mois et 21 jours)
Élection 13 décembre 2015
Circonscription Nord
Groupe politique Les Républicains
Vice-président du conseil régional des Hauts-de-France[N 1]

(1 an, 4 mois et 13 jours)
Président Xavier Bertrand
Successeur Franck Dhersin
Maire de Tourcoing

(3 ans, 5 mois et 5 jours)
Élection
Prédécesseur Michel-François Delannoy
Successeur Didier Droart
Député

(3 ans, 7 mois et 8 jours)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 10e du Nord
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2012-2015)
LR (2015-2016)
Prédécesseur Christian Vanneste
Successeur Vincent Ledoux
Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais

(4 ans et 4 jours)
Élection 21 mars 2010
Circonscription Nord
Groupe politique L’Opposition régionale
Biographie
Nom de naissance Gérald Moussa Darmanin
Date de naissance (41 ans)
Lieu de naissance Valenciennes (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1998-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
LREM (depuis 2017)
Diplômé de Sciences Po Lille
Profession Juriste

Signature de Gérald Darmanin

Gérald Darmanin, né le à Valenciennes (Nord), est un homme politique français.

Membre de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) puis des Républicains (LR), il est élu député en 2012 puis maire de Tourcoing en 2014. Après être devenu vice-président du conseil régional des Hauts-de-France en 2016, il démissionne de l'Assemblée nationale pour cause de cumul des mandats.

Il est nommé ministre de l'Action et des Comptes publics dans le gouvernement Édouard Philippe le . Il adhère à La République en marche (LREM) quelques mois plus tard, après avoir été exclu de LR.

Situation personnelle

Famille

Gérald Moussa Darmanin[1] naît le à Valenciennes (Nord)[2].

Il est le fils de Gérard Darmanin, tenancier de bar à Valenciennes, et d'Annie Ouakid, femme de ménage[1] ou concierge[N 2] à la Banque de France. Son grand-père paternel est un Juif maltais[3],[4],[5]. Son grand-père maternel, Moussa Ouakid, a été tirailleur algérien[1] et harki[6].

Études et formation

Il effectue ses études secondaires au lycée des Francs-Bourgeois, un établissement privé catholique du 4e arrondissement de Paris. Il est diplômé de Sciences Po Lille (2007)[7]. Il devient en 2016 membre du conseil d'administration de Sciences Po Lille.

Vie privée et familiale

Gérald Darmanin est divorcé et sans enfant[8].

Parcours politique

Débuts

Gérald Darmanin commence à militer et prend sa carte au Rassemblement pour la République (RPR) à 16 ans[9],[10]. Il est d'abord proche de Jacques Toubon[11], dont il devient l'assistant parlementaire au Parlement européen au cours de son année d'étude à l'étranger[9]. Il intègre la direction des Jeunes du RPR[11]. Avec la création de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), dont il est particulièrement critique, il est, comme la plupart des anciens dirigeants des Jeunes du RPR, évincé de la direction des Jeunes populaires au profit des Jeunes libéraux en 2003[11].

Gérald Darmanin rejoint Christian Vanneste en 2004, après que ce dernier a été condamné en première instance pour ses propos sur l'homosexualité[11]. Pour Jean-Baptiste Forray, Darmanin suit Vanneste dans « la zone grise à la lisière de la droite et de l'extrême droite »[12]. En 2005, il lui succède comme délégué de l'UMP dans la dixième circonscription du Nord[11]. D'après l'universitaire Anne-Sophie Petitfils, il « procède à un travail de sélection implicite des adhérents les plus attachés à la personne du député » et, près de deux ans avant le premier tour des élections législatives de 2007, met en œuvre une stratégie qui « s’apparente à une forme de néo-clientélisme », consistant à « offrir des biens divisibles et [à] proposer des interventions personnelles à ses électeurs »[11]. Selon la journaliste du Canard enchaîné Anne-Sophie Mercier, Darmanin adopte une position catholique traditionaliste « tendance intégriste » et une position homophobe[13].

Directeur de campagne de Christian Vanneste pour les élections législatives de 2007 et les élections municipales de 2008, lors desquelles il est élu conseiller municipal, il préside le groupe UMP et apparentés au conseil municipal de Tourcoing depuis le retrait de ce dernier. Au niveau national, il est conseiller aux affaires juridiques au sein de l'UMP auprès de Xavier Bertrand, alors secrétaire général du parti[14]. Par l'entremise de Guy de Chergé, il collabore en 2008 au mensuel Politique magazine, organe de presse d’extrême droite inspiré de Charles Maurras, lié à l'Action française et au mouvement Restauration nationale[15].

Il a été le chef de cabinet de David Douillet au secrétariat d'État chargé des Français de l'étranger, puis au ministère des Sports avant d'être nommé directeur de cabinet[16] le 13 avril 2012.

Il est élu conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais en mars 2010.

Député et élu local

Il est élu député de la dixième circonscription du Nord le 17 juin 2012, il crée le lobby Cadets-Bourbons[17]. Lors de la séance d'élection du président de l'Assemblée nationale, le mardi 26 juin 2012, il est secrétaire de séance, étant un des six plus jeunes députés de France. Il est l'un des députés UMP à voter contre le Pacte budgétaire européen, en octobre 2012. Le , il appelle la ministre des Sports Valérie Fourneyron à « interdire le port du voile sur les terrains de football de notre pays » en réponse à la décision prise la veille par la Fifa[18]. Il signe la déclaration de principe du courant « La Droite populaire »[19] et soutient la candidature de Xavier Bertrand pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012 dont il est le coordinateur, avant de se rallier à François Fillon[20].

Après l'appel lancé par des associations de parents à retirer les enfants de l'école pour protester contre l'introduction de contenus inspirés de la "théorie" du genre, il déclare : « La théorie du genre est absurdité absolue. Il faut s’y opposer totalement »[21].

En mars 2014, il se présente aux élections municipales à Tourcoing. Gérald Darmanin est élu avec 45,61 % des voix au second tour de l'élection, devant la liste conduite par le maire sortant Michel-François Delannoy, faisant ainsi passer la mairie de Tourcoing à droite. Ayant rétabli l'accès automobile au centre-ville, il déclare alors: « La voiture en soi n’est pas polluante »[22].

En mai 2014, touché par le plafonnement des indemnités à cause de ses mandats de député du Nord, de vice-président de la MEL (72,5 % de l'indice brut 1 022), de président des syndicats mixtes SMALIM et SMIRT notamment, Gérald Darmanin annonce vouloir renoncer « au cumul des indemnités » et à ses 3 100 euros d'indemnités comme maire de Tourcoing[23]. Les adjoints au maire acceptent également une réduction de 5 % de leurs indemnités[24].

En septembre 2014, il devient porte-parole de la campagne de Nicolas Sarkozy, candidat à la présidence de l'UMP. Le , il est nommé, par le nouveau président de l'UMP Sarkozy, secrétaire général adjoint aux élections[25].

Il est directeur de campagne de Xavier Bertrand pour les élections régionales de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie[26]. Après sa victoire, en situation de cumul de mandats[27], il démissionne de son poste de député[28]. Il est élu vice-président du conseil régional des Hauts-de-France, chargé des transports, des infrastructures de transport, des relations internationales, des transfrontaliers, du tourisme et de la communication.

Critiquant « l'entourage » et la « méthode » de Nicolas Sarkozy, il annonce peu après qu'il quitte la direction nationale des Républicains et donc son poste de secrétaire général adjoint[29]. Cependant, quelques mois plus tard, il lui apporte son soutien pour la primaire française de la droite et du centre de 2016[30]. Le 29 août, il est nommé coordinateur de campagne. Le 29 novembre, après la victoire de François Fillon, il est nommé secrétaire général adjoint des Républicains, en tandem avec Annie Genevard[31].

Le 3 mars 2017, dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir le candidat LR François Fillon à l'élection présidentielle[32] avant de démissionner de ses fonctions de secrétaire général adjoint du parti Les Républicains deux jours plus tard[33],[34].

Ministre de l'Action et des Comptes publics

Le 17 mai 2017, il est nommé ministre de l'Action et des Comptes publics au sein du gouvernement d'Édouard Philippe. Quelques mois auparavant, il critiquait pourtant Emmanuel Macron, le qualifiant de « poison définitif » de la Ve République et de « pur produit du système »[35]. Bernard Accoyer annonce alors qu'il ne fait plus partie des Républicains[36]. Cependant, François Baroin annonce dès le lendemain qu'il n'est pas formellement exclu du parti[37]. Il est exclu des Républicains le 31 octobre 2017, avec le ministre Sébastien Lecornu et les députés Franck Riester et Thierry Solère[38]. Le , il adhère à La République en marche[39].

Selon la règle tacite édictée par l'Élysée, un ministre doit démissionner de son mandat de maire dans le mois qui suit sa nomination[40],[41]. Il annonce le qu'il quittera son poste de maire le [42], ce qu'il fait. Cependant, il reste conseiller municipal de Tourcoing.

Il porte la réforme du prélèvement de l'impôt à la source, initiée sous le quinquennat précédent et qui doit entrer en vigueur début 2019.

Lors du mouvement des Gilets jaunes, il se plaint des « additions dans les restaurants parisiens tournant autour de 200 euros lorsque vous ne prenez pas de vin », ce qui perçu comme un élément de déconnexion entre le train de vie des personnalités politiques et le quotidien des Français[43],[44]. Peu après, il déclare que « c'est la peste brune qui a manifesté » à Paris[45].

En , il annonce devant une assemblée d'étudiants de l'ESSEC la volonté du gouvernement de supprimer la déclaration de revenus annuelle pour les personnes dont la situation fiscale n'évolue pas d'une année sur l'autre[46],[47]. Il considère que « cela permettra de simplifier la vie des citoyens et de faire des économies »[48]. Cette mesure pourrait être mise en place à partir de 2020 ou 2021.

Le , Gérald Darmanin indique s'interroger sur la suppression de la taxe sur l'audiovisuel public, ou redevance télévisuelle[49]. Il justifie cette proposition par les difficultés pour adresser cet impôt, alors que la taxe d'habitation sur laquelle il est prélevé est amenée à disparaître[50]. Il précise qu'il a proposé cette suppression à Emmanuel Macron et à Édouard Philippe[51],[52].

Controverses et affaires judiciaires

Cumul des mandats et des indemnités

Dès novembre 2017, L'Obs révèle que Gérald Darmanin continue de cumuler ses mandats de conseiller régional et de vice-président de la Métropole européenne de Lille avec sa fonction ministérielle. Auparavant, il avait déclaré être « pour le cumul des mandats. En revanche […] contre le cumul des indemnités »[53].

Sur sa déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique déposée après sa nomination au gouvernement, il déclare cumuler ses indemnités de maire, de vice-président puis de conseiller régional des Hauts-de-France, de vice-président de la MEL et, depuis mai 2017, de ministre, mais également de 28 sièges au sein d'organismes publics ou privés ou de sociétés en tant que représentant d'une collectivité locale[54].

Selon René Dosière, la loi ne permet toutefois pas aux ministres de percevoir « plus d'une demi fois le montant de l'indemnité parlementaire », soit 2 799,89 euros bruts par mois, en plus de la rémunération de ministre de 9 940 euros[53]. Gérald Darmanin dépasserait donc le plafond légal autorisé, mais a indiqué ne pas être au courant de cette règle[53].

En septembre 2018, le site d'information Médiacités révèle que près d’un an après sa nomination comme ministre, Gérald Darmanin est toujours premier adjoint au maire de Tourcoing, vice-président de la MEL et conseiller régional, mais qu'il a abandonné la plupart de ses autres casquettes[55]. Le site relève également ses absences et indique notamment que la région Hauts-de-France lui verse 100 % de son indemnité alors qu'il n'est présent qu'à 20 % des séances[55],[56].

Le , il démissionne de son poste de vice-président de la Métropole européenne de Lille[57].

Accusations de viol et de harcèlement

Gérald Darmanin est accusé de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance par une plaignante de 46 ans qui a saisi un juge d'instruction pour ces motifs en 2018[58].

Les faits auraient eu lieu en 2009, alors que la plaignante avait contacté l'UMP (parti du président alors au pouvoir) pour tenter de faire annuler une condamnation de 2004 pour chantage et appels malveillants envers un ex-compagnon. Gérald Darmanin la reçoit alors en tant que chargé de mission au service des affaires juridiques de l'UMP. Selon la plaignante, Gérald Darmanin aurait ensuite conditionné son aide dans ce dossier à l'octroi de faveurs sexuelles. Selon la plaignante, s'en serait suivi un rapport sexuel non consenti dans une chambre d'hôtel après une visite au club libertin Les Chandelles à Paris.

Cette accusation a fait l'objet d'un non-lieu en août 2018[59], non-lieu dont la plaignante a fait appel. L'appel a été jugé recevable par la Cour de cassation en novembre 2019[60]. Les investigations sont donc à nouveau en cours dans cette affaire.

Gérald Darmanin avait par ailleurs été accusé d'abus de faiblesse par une deuxième plaignante, habitante de Tourcoing, qui l'avait accusé de l'avoir obligée à des relations sexuelles en échange de l'obtention d'un logement et d'un emploi en 2015. L'enquête a été classée sans suite en mai 2018 après que ni l'absence de consentement de la plaignante ni l'existence de violence ou contrainte à son endroit n'ont pu être établi[61].

Ouvrage

  • Chroniques de l'ancien monde, éditions de l'Observatoire, 2017.

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

À l’Assemblée nationale

Au niveau local

Autres fonctions

  • Depuis 2014 : président de la SEM Ville Renouvelée[63].
  • Depuis 2016 : membre du conseil d'administration de Sciences Po Lille[64].
  • Depuis 2016 : président du SMIRT[65].

Notes et références

Notes

  1. Délégué aux transports, aux infrastructures de transport, aux relations internationales et transfrontalières, au tourisme et à la communication.
  2. Selon la journaliste du Canard enchaîné, Anne-Sophie Mercier, il présente faussement sa mère comme ayant été femme de ménage, alors qu'elle était en réalité concierge à la Banque de France (cf. Le Canard enchaîné, numéro du 19 juillet 2017, « Le bébé rageur », page 7).

Références

  1. a b et c Saïd Mahrane, « Gouvernement : l'incroyable destin de Gérald Darmanin », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. François Miguet, « Les Petits Secrets de Gérald Darmanin », Capital, no 311,‎ , p. 32-34.
  3. Charlotte Rotman, « Gérald Darmanin, premier de la classe populaire », Libération,‎ (lire en ligne).
  4. « UMP : la parole est aux militants », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  5. « Le méritocrate du Nord : Gérald Darmanin », Valeurs actuelles,‎ (lire en ligne).
  6. "Ma mère était femme de ménage, mon grand-père harki et ancien tirailleur algérien, mon père tenait un bistro. Mon deuxième prénom est Moussa", a-t-il déclaré dans un portrait que lui a consacré Libération en 2012", dans Gérald Darmanin, un sarkozyste devenu macroniste, site de Capital.fr, 17 mai 2017. Il était également adjudant-chef dans l'armée française et décoré de la médaille militaire (Décret du 17 avril 1958, « Ouakid Moussa, adjudant-chef, classe 1927 M, recrutement d'Alger, mie R. M. 2311; 28 ans de services, 5 campagnes », Journal officiel de la République française, 1958, p. 4346).
  7. « Qui est Gérald Darmanin, le protégé de Nicolas Sarkozy ? » (consulté le ).
  8. « Sans enfant et divorcé : qui est le ministre Gérald Darmanin ? », Planet,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. a et b Sylvain Chazot, « 5 choses que vous ignoriez sur l'UMP Gérald Darmanin (et que vous auriez préféré ne jamais savoir) », sur Le Lab (consulté le ).
  10. « Budget. Qui est Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des comptes publics ? », sur Ouest-France, .
  11. a b c d e et f Anne-Sophie Petitfils, « Mobilisations et luttes internes autour des questions homosexuelles à l’UMP : l’« affaire Vanneste » », Politix, vol. 4, no 92,‎ , p. 99-124 (lire en ligne, consulté le ).
  12. La République des Apparatchiks. Enquête sur les meilleurs agents du système. Jean-Baptiste Forray Fayard, 31 mai 2017.
  13. Le Canard enchaîné du 19 juillet 2017, « Le bébé rageur », page 7.
  14. Les équipes parlementaires des eurodéputés: Entreprises politiques et rites d'institution. Sébastien Michon, Primento/Larcier, 30 juin 2014.
  15. « Quand Gérald Darmanin écrivait dans un magazine royaliste - La Lettre A N° 1744 », sur www.lalettrea.fr.
  16. « Gérald Darmanin, un proche de Douillet pour succéder à Vanneste », sur Le Monde, (consulté le ).
  17. Le petit dico politique de la relève. Samir Tounsi, Éditions Du Moment, 19 novembre 2015
  18. "Pas de voile dans les matchs en France", Le Figaro, 6 juillet 2012.
  19. « La Droite Populaire (LDP) — France Politique », sur www.france-politique.fr (consulté le ).
  20. lefigaro.fr, « UMP: Bertrand aurait ses parrainages », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « France: la polémique sur la «théorie du genre» s'invite à l'Assemblée », rfi.fr, (consulté le ).
  22. Lille chasse la voiture du centre-ville, Le Monde, 24 sept. 2016.
  23. Le maire UMP de Tourcoing renonce à ses 3 100 euros d'indemnités, lefigaro.fr, 9 mai 2014.
  24. « Top - Gérald Darmanin », Le Figaro Magazine, semaine du 16 mai 2014, page 31.
  25. « Nominations », u-m-p.org, 5 décembre 2014.
  26. « Marine Le Pen menace de ne pas participer à « Des paroles et des actes » sur France 2 », Le Monde, (consulté le ).
  27. « Cumul des mandats : une pratique restreinte à compter de 2017 », sur www.vie-publique.fr, (consulté le ).
  28. « Régionales : Gérald Darmanin et François Sauvadet quittent leur mandat de député pour la région », francetvinfo.fr, 14 décembre 2015.
  29. « Darmanin quitte la direction nationale de Les Républicains, critiquant "l'entourage" et la "méthode" de Sarkozy », huffingtonpost.fr, 7 janvier 2015.
  30. Sébastien Tronche, « Après l'avoir critiqué, Gérald Darmanin apporte son soutien à Nicolas Sarkozy pour la primaire », lelab.europe1.fr, 20 août 2016.
  31. « Bureau politique du 29 novembre 2016 », republicains.fr, 29 novembre 2016.
  32. « Le compteur des lâcheurs de Fillon : Ils sont pour l'instant 296 (max : 306) », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. A.B. avec AFP, « Fillon: Gérald Darmanin quitte son poste de secrétaire général adjoint de LR : En quittant son poste de secrétaire général adjoint du parti LR, Gérald Darmanin marque son désaccord avec la volonté de François Fillon de rester candidat à la présidentielle coûte que coûte… », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. AFP, « Face à l'acharnement de Fillon, Gérald Darmanin quitte son poste de secrétaire général adjoint des Républicains : "Le respect de la parole donnée est la seule façon de lutter contre le FN. La trahir, c'est creuser le fossé avec le peuple" », HuffPost,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Louis Nadau, « Quand Darmanin étrillait Macron », bfmtv.com, 18 mai 2017.
  36. AFP, « Bruno Le Maire et Gérald Darmanin exclus des Républicains : L e gouvernement du nouveau Premier ministre Edouard Philippe, a été dévoilé ce mercredi 17 mai. Il compte 22 membres dont trois ministres d'État. Premières réactions à ces nominations du monde politique et des syndicats », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Arthur Berdah et Loris Boichot, « Pour Baroin, Le Maire et Darmanin sont des « prises d'otages », pas des « prises de guerre » : Invité de RTL ce jeudi matin, le chef de file des Républicains pour les élections législatives a minimisé l'entrée au gouvernement de deux membres de sa famille politique. Il refuse toutefois de les exclure «juridiquement », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Cinq membres pro-Macron, dont Edouard Philippe, exclus par Les Républicains », sur lci.fr, (consulté le )
  39. Le JDD, « Darmanin, Solère et Lecornu adhèrent à En Marche », jdd,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  43. Sarah Ugolini, « Les restaurants à 200 euros de Gérald Darmanin : Lors d'un discours à la Sorbonne, le ministre de l'Action et des Comptes publics a voulu montrer son empathie envers les "gilets jaunes" en se plaignant "des additions dans les restaurants parisiens de 200 euros". Une déconnexion des réalités des Français qui ne passe pas », Capital,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Claire Rodineau, « Pour parler de la déconnexion avec les "gilets jaunes", Darmanin évoque "les restos parisiens à 200 euros" : Dans une conférence donnée à la Sorbonne, le ministre de l'Action et des Comptes publics a expliqué devoir "comprendre ce que c'est de vivre avec 950 euros par mois quand les additions dans les restaurants parisiens tournent autour de 200 euros" », BFM TV,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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Voir aussi

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Article connexe

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