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Patronymes


DECVS ET TVTAMEN IN ARMIS*
(armes et devise de la famille Dax d'Axat et de Cessales)
*Énéide, livre V, v. 262

Le patronyme "Dax" est celui des membres de la maison "Dax d'Axat et de Cessales"[1] qui s'est écrit de façon variable au long de l'histoire de ses différents membres, on trouve en effet à la fois : "Dax", "de Dax", "d'Acqs", "Dacqs" "d'Ax" et "D'ax" (et même très anciennement sur la liste des consuls de "Carcassonne" : "Daix" en 1433 , suivi de "d'Ays" en 1437, puis de "Days" en 1443 et enfin "Dax" ensuite en 1452, 1458, 1465, 1472, voir infra). Ces variations de graphie selon les écrits et les auteurs, étaient courantes dans les époques reculées où elle était rarement fixée et uniforme. Elle résultait le plus souvent d'une transcription phonétique aussi variable qu'aléatoire, fonction à la fois de l'énoncé du locuteur que de l'audition du scripteur et de sa façon d'en rendre compte par l'écrit.


Maison Dax

  • Tradition :

L'existence des Dax est attestée depuis la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe siècle, époque où Samuel Dax est commandeur de l'île de Rhodes en 1302[2]. Mathieu Dax était installé à Carcassonne en 1330, il était, selon d'antiques mémoires familiaux et la tradition la plus ancienne, venu de Poméranie à l'est de l'Allemagne. Une généalogie familiale sur parchemin fort ancienne (fin XVIe siècle - début XVIIe siècle) reprise synthétiquement dans le nouveau d'Hozier[3] et dans Lamant, commençant à Mathieu Dax va dans ce sens affirmant cette origine primitive allemande, elle n'est cependant pas prouvée au sens des preuves généalogiques anciennes. Mais les généalogistes héraldistes du Conseil héraldique de France à la fin du XIXe siècle, penchèrent plutôt pour voir en lui un rejeton de l'antique et illustre maison d'Ax[4], vicomtes de Tartas[5], anciens vassaux des ducs de Gascogne, devenus vicomtes de Dax (d’Acqs)[6] - eux aussi anciens vassaux directs des ducs de Gascogne[7] - par le mariage en 1190 de Navarrine, fille unique de Pierre II, dernier vicomte de Dax (d’Acqs) avec Raymond-Arnaud III, fils de Raymond-Robert, vicomte de Tartas. C'était également le sentiment de dom Villevielle qui a rangé ces deux familles sous la même rubrique. Cette origine semble toutefois nettement moins probable. N'ayant pu être prouvées, ces deux origines ressortissent par conséquent de la tradition.


  • Origine prouvée :

Cette maison appartient depuis la fin du Moyen Âge à la noblesse du Languedoc, elle est issue d'une ancienne lignée de consuls de la cité de Carcassonne au Moyen Âge, anoblis par lettres patentes du roi Charles VII le 1er juillet 1457[8]. Cette famille avait acquis dès lors de nombreuses seigneuries en Haute Vallée de l'Aude notamment celles d'Axat d'Artigues, de La Serpent, de Leuc. Un texte fort ancien sur parchemin datant des débuts du XVIIe siècle, nous est parvenu qui nous dépeint les origines situées aux XIVe et XVe siècles, de cette famille. On note qu'elle y est qualifiée à plusieurs reprises de « maison Dax » ou de « maison de Leuc » par l'auteur (très probablement notaire royal), car, contrairement à l'opinion qui prévaut chez certains aujourd'hui, l'usage de réserver ce terme aux maisons royales et ducales est moderne et variable.

Il s'agit d'un mémoire historique resté anonyme, vers l'an 1620 sur l'histoire et les origines antiques de la « maison Dax » (ou de Dax) qui est aussi celle d'Axat, d'Artigues, de Leuc, de La Serpent et de Cessales dont deux aux moins de ses membres tous les deux marchands et bourgeois de Carcassonne, puissants hommes d'affaires de cette ville, furent consuls de La Cité : Rolland Dax en 1433, 1437 et 1443, et son fils aîné, Arnaud l'Ancien en 1452, 1458, 1465, 1472[9], anobli conjointement avec son frère cadet Arnaud le Jeune. Il regorge de précieux éléments, fournissant notamment des précisions sur d'anciennes maisons d'habitation situées dans Carcassonne à cette époque reculée de la fin du Moyen Âge[10].

Ce texte mérite d'être brièvement cité ici à titre d'illustration en un court passage (dans la langue et l'orthographe d'origine, en vigueur à l'époque, qui ont été conservées) :

"La maison Dax qui est celle de Leuc se trouve fort ancienne en lad. Ville, car se fust un Rolland Dax, mercier, il y a cent quatre vingtz ans, qui fut consul de Carcassonne en l’an 1443, et en l’an 1446 [N.B. : cette dernière date concerne ce qui suit et non ce qui précède], le 16e mars, il se dit mar……. de Carcassonne, et en cest acte Michel de Boutenag recognoit devoir 43 l. aud. Rolland Dax ratione emptionis marcaturarum, telarumnauripelli, camisiarum et diversarum aliarum rerum, etc., et puis mercier en l’acte du 13e décembre 1447. Ce Rolland d’Ax eust deux enfants qui s’appellèrent toutz deux Arnaud Dax, toutz marchands de Carcassonne... De ceste maison de Leuc il ne reste pour le jourd'huy aultres vestiges dans Carcassonne que leur maison, laquelle encores qu'elle ayt esté vendue à diverses personnes, on appelle tousiours la maison de Leuc. "

"Le mémoire est anonyme. Il ne nous a pas été possible de découvrir le nom de l’auteur. Mais tout porte à croire que ce travail émane d’un notaire ou de quelqu’un qui avait à sa disposition de nombreuses minutes notariales. Ce manuscrit contient 98 pages. Il mesure 350 millimètres sur 235. Il est recouvert en parchemin. A. CROS-MAYREVIEILLE."[11].


  • Cette maison a donné notamment :

Jean Dax, écuyer, seigneur d'Axat, d'Artigues, de La Serpent, de Leuc, etc., fils aîné d'Arnaud l'Ancien cité plus haut, seigneur du Languedoc ayant vécu au XVe siècle, conseiller du roi, grand prévôt des maréchaux de France dans le royaume de Sicile, grand chambellan du roi Charles VIII en ce royaume, lieutenant de sénéchal et viguier de Carcassonne, lieutenant de sénéchal au pays et comté de Roussillon et Cerdagne, mort au combat à la première guerre d'Italie[12], lors du siège de Gaëte près Naples en mai 1495[13], il avait contracté une très brillante alliance en épousant, le 22 août 1476 Constance de Narbonne-Taleiran fille de Nicolas[14], seigneur de Nébias, lieutenant du roi en Languedoc et de Judith de Lévis - elle-même fille de Gaston, seigneur de Léran, chambellan du roi Charles VII, né en 1390 -[15].

Pierre de Dax (ou Dax)[16] (1526-1600), seigneur de La Serpent, de Mornac, de Leuc, Bouriège Teissonière, Araignon, Croux etc., gouverneur militaire pour le roi des diocèses de Limoux et d'Alet en 1573, capitaine d'une compagnie de chevau-légers que lui donna le 21 mai 1574 Henry Ier duc de Montmorency et de Damville (maréchal puis connétable et pair de France, gouverneur du Languedoc, voir la Liste des chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit, au 5 janvier 1597), il testa le 3 juillet 1599, marié en 1ères noces en 1560 à Andrée de Saint-Martin d'Arles et en 2e noces à Claire del Pech (ou du Puy) seigneuresse de la baronnie del Pech et de Pérignon, chevalier de l'ordre du roi reçu par lettres de cachet du roi Charles IX de 1571 par lesquelles « il le reçoit à l'assemblée des chevaliers, frères et compagnons de l'Ordre de Monsieur Saint-Michel, pour être associé à la dite Compagnie à cause de ses vertus et mérites... », décédé en 1600 au château de La Serpent et inhumé en l'église Saint-Étienne de La Serpent où cette famille possédait l'une de ses sépultures seigneuriales.

Paul de Dax (ou Dax)[17], seigneur de Colombiers ou Colombiés, Ressan etc., né le 1er mai 1598 au château de La Serpent, capitaine d'une compagnie au régiment du marquis des Fosses, maréchal des camps et armées du roi en 1632, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi Louis XIII en 1634, il reçut du prince de Condé un certificat constatant qu'il avait servi pendant toute la campagne en qualité de gentilhomme volontaire, exempté par l'intendant de justice et finances du Languedoc, du service du ban et arrière-ban lui et les siens en 1647 en raison de ses services, il avait épousé Gloriande de Genibrousse Montbrun fille de Jacques et de Claire de Roquefort, décédé à Béziers le 14 novembre 1661.

Jean III de Dax (ou Dax)[17] (fils aîné de Raimond, seigneur d'Axat et baron de Cessales), seigneur et baron d'Axat, sénéchal de Limoux, lieutenant des maréchaux de France en 1666, marié le 15 juin 1661 avec demoiselle Izabeau de Bruyères-Chalabre, fille de Jean-Pierre de Bruyères, baron de Chalabre, Rivel, Sonac, etc. (gentilhomme de la chambre du roi, colonel au régiment du Languedoc puis d’un régiment à son nom, gouverneur du Pays de Sault en survivance) et de Gabrielle de Lévis Léran, décédé à Quillan en 1673 enterré sous le maître-autel de l'église d'Axat, entre autres membres de la famille Dax qui y possédait l'une de ses sépultures seigneuriales.

Anne de Dax (ou Dax) (fils cadet de Raimond, seigneur d'Axat et baron de Cessales et frère de Jean III, son aîné qui précède), seigneur et baron de Cessales, capitaine de la 1re compagnie de chevau-légers en 1653, commandant d'un régiment en 1662[18], il avait épousé en 1678 Isabeau d'Espéronnat de Saint-Féréol, fille de Pierre, baron de Saint-Féréol (receveur des tailles de la ville de Carcassonne) et d'Anne de Benet.

François III de Dax (ou Dax), premier marquis d'Axat, fils aîné de Jean III, voir supra, servit dans l'armée du Roussillon[19] [20] sous les ordres du duc de Noailles, capitaine d'une compagnie de cavalerie au 2e régiment de Languedoc-dragons en 1717, il avait épousé Gabrielle de Bruyères-Chalabre fille de Jean-Aymeric, baron de Chalabre seigneur de Montbel et de Beaumont (capitaine et gouverneur-né puis lieutenant-colonel de cavalerie en 1695 au régiment de Léran) et de Jeanne de Raymond de Laborde.

Marc Antoine Marie Thérèse de Dax (ou Dax), marquis d'Axat, né le 8 août 1728, page du roi Louis XV en 1743[21] (fils unique posthume de Guillaume Tranquile, marquis d'Axat, lui-même page du roi en 1722[22] en sa Grande écurie[23], mort le 28 décembre 1727 à l'âge de 22 ans[24] alors que son père François III - 1er marquis d'Axat - voir supra, était toujours en vie) il représenta "aux États généraux de la Province de Languedoc assemblés par mandement du Roy en la ville de Montpellier aux mois d'octobre novembre et décembre 1761"[25] [reçu par les États en tant que : "Monsieur le marquis d'Axat envoyé de"], "monseigneur Louis François de Bourbon prince de Conty, prince du sang, comte d'Allais pour la baronnie d'Allais"[26], nommé par lettres des États de Languedoc du 18 janvier 1788 "Commissaire à l'effet de procéder à la vérification des titres de la noblesse de la province", il fonda les forges d'Axat[27] pour la création desquelles il obtint un arrêt du conseil du roi du 8 juin 1756[28] en sa faveur (l'autorisant à les construire) et les lettres patentes afférentes du roi Louis XV datées de Compiègne le 16 aout 1756[29] [30] (ces deux actes accordés au "marquis d'Axat", les lettres patentes commençant par : "Notre cher et bien aimé marquis d'Axat nous ayant, etc.", signées de la main du roi) enregistrées à la Cour des Aides et Finances de Montpellier le 29 janvier 1757, il avait épousé le 14 février 1756 Mathurine Guignard de Saint-Priest[31] [32] fille de vicomte de Saint Priest[33], intendant du Languedoc nommé également en 1764 conseiller d'État par le roi Louis XV (dignité dans laquelle il fut reconduit en 1770) et de Sophie de Barral de Montferrat et sœur de comte de Saint-Priest[34] (voir ci-après à Ange Jean Michel Bonaventure), il n'eut pas d'enfants de ce mariage, décédé le 20 juillet 1788 à quelques jours de son soixantième anniversaire, en lui s'éteignit la branche aînée des Dax, première branche des marquis d'Axat, ce titre fut transmis par son testament de 1788 et par autorisation royale à son cousin Ange Jean Michel Bonaventure qui suit, sa veuve figure en 1789 au procès verbal de l'assemblée de la noblesse de la sénéchaussée de Béziers (présente en personne)[35] et à celui de la sénéchaussée de Montpellier (représentée par procuration)[36].

Ange Jean Michel Bonaventure marquis de Dax d'Axat (1767-1847), militaire, il fut ensuite maire de Montpellier durant 16 années au début du XIXe siècle (1814-1830), premier président de la société des Beaux-Arts, créateur et fondateur avec François-Xavier, baron Fabre (1766-1837), en 1828, du célèbre musée Fabre de Montpellier, il avait épousé Anasthasie Émilie Guignard de Saint-Priest, fille du comte de Saint-Priest, ambassadeur du roi Louis XV, dernier ministre de la Maison du Roi Louis XVI et premier ministre de l'Intérieur, lieutenant général des armées du roi et pair de France en 1815.

Et aussi dans la prélature :

Antoine II de Dax (ou Dax)[17], seigneur de Trévas, évêque d'Alet, président par ordonnance royale les États de Languedoc réunis à Carcassonne en 1569[37], abbé de St-Polycarpe[38] (comme plusieurs Dax) et chanoine de Carcassonne cathédrale Saint-Nazaire il fut d'abord vicaire général de Carcassonne (grand vicaire du cardinal de Bourbon) puis chanoine et archidiacre d'Alet, avant d'être de nouveau nommé vicaire général du nouvel évêque de Carcassonne, François de Faucon, le 20 mars 1554, pour le compte duquel il prit possession de l'évêché le 5 avril[39], pourvu du siège épiscopal d'Alet en 1564 dont il prit possession en 1565, il mourut en 1579 quelques années après qu'en pleines guerres de religion les calvinistes qui tenaient Alet l'eurent assiégé le retenant prisonnier et eurent saccagé sa ville, démoli le palais épiscopal et détruit la magnifique cathédrale sainte-Marie[40].

Paul de Dax ou (Dax), abbé de St-Polycarpe[38] durant 45 ans de 1570 à 1615 et archidiacre d'Alet[41], aumônier du roi Henri III[42], il aurait participé à la conversion du roi Henri IV qui intervint à Paris en 1593.


  • Honneurs :

Plusieurs chevaliers de l'ordre du roi, de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[43], de la Légion d'honneur [dont un officier][44], (plusieurs décorés) du Lys, de l'ordre de Malte[45] [dont un commandeur de l'île de Rhodes][46], un chevalier de l'ordre d'Isabelle-la-Catholique, de l'ordre royal et militaire de Saint-Ferdinand d'Espagne, de l'ordre royal de Léopold de Belgique, de l'ordre des Arts et Lettres, un commandeur[47] et une dame de l'ordre pontifical de Saint-Grégoire-le-Grand;

Les Dax furent aussi reçus page du roi en sa Grande écurie[48] en 1722[22];

La famille Dax en faveur de laquelle la seigneurie d'Axat fut érigée en marquisat en 1740[49] (l'hommage féodal fut rendu au roi à deux reprises par Marc Antoine devant la Cour des aides et finances de Montpellier pour le marquisat, en 1769 au roi Louis XV, puis de nouveau le 18 décembre 1776 au roi Louis XVI à l'occasion « de son joyeux avènement à la couronne » [originaux sur parchemin]), au bénéfice du baron d'Axat (l'hommage féodal avait été antérieurement rendu au roi par François III devant la même Cour pour la baronnie le 30 juillet 1722[50] à l'occasion de la majorité du roi Louis XV), s'est vue reconnaître le titre de baron de Cessales dans différents arrêts du Parlement de Toulouse siégeant en sa Grande chambre (depuis un 1er arrêt de l'année 1605 rendu en faveur de Raymond), elle a été maintenue dans son ancienne noblesse, dans ses différentes branches de l'époque, par deux ordonnances du chevalier Bazin de Bezons, "Conseiller du Roy ordinaire en tous ses conseils", intendant du Languedoc, Commissaire départi par le roi Louis XIV dans la province de Languedoc « jugeant souverainement et en dernier ressort », l'une du "22 Aoust 1668" qui dit notamment : "...Tout considéré, Nous Intendant susdit, jugeant souverainement et en dernier ressort avons déclaré les dits Jean et Anne Dax (voir supra à Jean III et à Anne), frères nobles et issus de noble race et lignée, ordonné et ordonnons que tant eux et que leur postérité... jouiront des privilèges de noblesse... et qu'ils seront inscrips par noms, surnoms, armes et lieux de leurs demeures dans le catalogue des véritables nobles de la provinces de Languedoc..."[51]et l'autre du "1er septembre 1668"[52].

La maison Dax porte pour armes :

« D'Azur, à un Chevron d'Or, chargé sur la pointe d'une Quintefeuille de Gueules"[53], l'écu timbré d'un casque d'argent taré de front montrant sept grilles d'or orné de ses lambrequins suivant les émaux de l'écu et surmonté d'une couronne de marquis (baron, branche d'Ax de Cessales); supports : un dragon au naturel à dextre et un lion aussi au naturel à senestre; cimier : un blaireau au naturel taré de front issant la couronne »

et a pour devise :

« DECVS ET TVTAMEN IN ARMIS » (Énéide, livre V, v. 262)


  • Il est possible de se référer également à :

Armorial des familles nobles et notables de France
Familles subsistantes de la noblesse française
Liste des devises impériales, royales, nobles, familiales, personnelles
Liste historique des marquisats de France
Jean Dax, seigneur d'Axat
Ange Jean Michel Bonaventure marquis de Dax d'Axat
Montpellier
Musée Fabre
Carcassonne

Notes

  1. voir la page détaillée de la maison Dax, son histoire et l'histoire de ses principaux membres, sur l'Armorial du Pays d'Oc [1]
  2. [2](voir p. 151 sur ce lien), [3](voir p. 693 sur ce lien)
  3. [4]
  4. [5](se référer à la fiche d'Arnaud en cliquant sur : "Arnault", tout en haut dans la généalogie)
  5. [6]
  6. [7]
  7. [8]
  8. voir ces liens [9][10][11]
  9. Histoire ecclésiastique et civile de la ville et diocèse de Carcassonne sur Google Livres : le patronyme fut aussi orthographié, uniquement dans la liste des consuls de Carcassonne : Daix (1433), d'Ays (1437) puis Days (1443) durant la première moité du XVe siècle siècle : « Daix », « d'Ays », « Days »), toujours orthographié Dax ensuite, dans cette même liste, durant la seconde moitié du XVe siècle (1452, 1458, 1465, 1472) : « Dax ».
  10. Source : Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne 2e série T2 1906 voir le lien suivant vers l'ouvrage [12]
  11. Source : Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne 2e série T2 1906 voir le lien suivant vers l'ouvrage [13]
  12. se référer à ces liens [14][15][16] [17][18][19][20]
  13. voir Chaix d'Est Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. XIII [21] et Villain, III, p. 726.
  14. les généalogies de la famille de Narbonne ne sont pas toutes en accord, certaines lui donnent pour père Jean V, baron de Taleiran
  15. voir ce lien [22]
  16. voir[23] et Maison Dax sur [24]
  17. a b et c voir l'Armorial du Pays d'Oc| [25]
  18. [26]
  19. [27](voir p. 151 sur ce lien)
  20. [28](voir p. 699 sur ce lien)
  21. [29][30]
  22. a et b [31][32]
  23. [33]
  24. [34][35]
  25. [36]
  26. [37]
  27. [38]
  28. Archives nat. : M 268, dossier 27, fol. 451 R
  29. [39][40]
  30. original sur parchemin
  31. [41][42] N.B. :il y a une erreur sur le prénom de l'époux dans ces deux ouvrages, il s'agit de Marc Antoine et non d'Ange)
  32. [43]
  33. [44]
  34. [45][46]
  35. [47]
  36. [48]
  37. se référer à ce lien[49]
  38. a et b [50]
  39. [51]
  40. [52][53]
  41. [54][55][56][57]
  42. [58]
  43. [59][60](voir p. 152 sur ce dernier lien)
  44. [61][62][63](cliquer sur les documents dans chaque lien pour les visualiser)
  45. [64]
  46. [65](voir p. 151 sur ce lien)[66](voir p. 693 sur ce lien)[67]
  47. [68]
  48. sur les preuves à fournir pour être reçu page en la grande écurie du roi voir : [69]
  49. [70][71][72][73][74](p. 42)
  50. [75]
  51. [76]
  52. [77]
  53. [78][79]