Étaule

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Étaule
Étaule
La mairie, sise au hameau de Vassy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité Communauté de communes Avallon - Vézelay - Morvan
Maire
Mandat
Olivier Rauscent
2020-2026
Code postal 89200
Code commune 89159
Démographie
Population
municipale
389 hab. (2021 en augmentation de 5,42 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 19″ nord, 3° 55′ 15″ est
Altitude Min. 190 m
Max. 330 m
Superficie 8,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Avallon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avallon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Étaule

Étaule est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Plus généralement appelée "Vassy-Étaules", la commune est située à 3,5 kilomètres au nord d'Avallon, dans un site champêtre très agréable, typique de la porte du Morvan.

La commune est formée de deux parties : Étaule-le-Bas et Vassy-lès-Avallon, ainsi que du hameau "La Gare".

Le hameau voisin de Étaule-le-Haut est rattaché à la commune de Sauvigny-le-Bois.

Étaule est traversé par le ruisseau d'Aisy et environné de petits promontoires boisés.

Vassy est construit au sommet d'un monticule : celui-ci se rattache à une colline de forme conique et culmine à 310 mètres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de la commune d'Étaule et des proches communes.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 855 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Étaule est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avallon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 74 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,4 %), prairies (35,1 %), forêts (7,7 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Étaule est mentionné au XIIe siècle sous le nom de Stabulae, et dans une charte de 1228. Dans la charte de 1209 : Estaubles, Stabulis en (1228). Au XIIIe siècle, on retrouve une mention de Vassy sous le nom de Vasseium.

Histoire[modifier | modifier le code]

Eudes III de Bourgogne, fait concession du fief d'Étaule(s), en 1209, à l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun[14]. La Forêt d'Étoles (Stabulis) fait l'objet d'une charte avec l'Abbaye de Saint-Martin, en 1228[15].

La terre d'Étaule était possédée en indivision par le chapitre d'Avallon et une famille seigneuriale, les "du Vernes" au XVe siècle et les Clugny au XVIe siècle. Le château existant d'Étaule fut rebâti à l'époque par Georges de Clugny.

L'ancienne route Paris-Lyon passait par Vassy.

En 1786 des recherches sont faites pour trouver du charbon de terre.

M. Honoré Gariel et son frère Hippolyte créèrent en 1835 une société afin de produire de la chaux hydraulique (ou ciment prompt). « Un dépôt fut fondé à Paris ; le ciment, qualifié désormais de "Ciment romain de Vassy" fut employé dans des entreprises considérables, et fit la fortune de la Société, dont Honoré Gariel avait cessé de faire partie[16] ».

Le hameau dépassa le chef-lieu de la commune : devenu maire, Honoré Gariel, transféra la mairie d'Étaule à Vassy.

La famille Gariel dota Vassy d'une école de filles (dirigée par les sœurs de la Providence), d'une chapelle et d'un presbytère. La population augmentant régulièrement, une nouvelle église fut construite en 1859 et terminée en 1862.

En 1871, le hameau fut doté d'une gare sur la ligne Cravant-Les-Laumes afin de desservir les cimenteries.

Mais en 1885, Adrien Dumarcet, successeur de la famille Gariel, installe ses usines à Provency et ferme la cimenterie de Vassy.

À noter également le hameau de « La Vaire », autrefois appelé « La Vesvre ». Vesvre est un nom topographique d'origine gauloise wabero qui désignait le ruisseau de faible débit ou intermittent, puis le ruisseau dans un bois, une terre, jadis humide ; il a pu désigner à partir de là un nom de lieu : « Vesvres » en Côte-d’Or et en Haute-Marne, nom de hameau que l'on retrouve comme nom de lieu-dit fréquent dans la Nièvre et dans l’Yonne.

On retrouve dans "Description des villes et campagnes du département de l’Yonne" de Victor Petit la mention de La Vaire : « La Vaire, Varia au XIIIe siècle, située dans une vallée à l’extrémité nord de la commune ». Située dans le duché de Bourgogne depuis l’origine, « les hameaux de Vassy et de La Vaire, communes d’Étaules, ont fait partie de cette paroisse jusqu’au neuf , date du décret en succursale de l’église de Vassy » in Mémoire sur Étaules de Breuillard. L’Armorial historique de l’Yonne de 1862 évoque la terre de la seigneurie de Vassy et de La Vaire. Tout d’abord possession du seigneur du château d’Étaules-le-Bas, ces terres furent vendues en au Robert Lefoul. « Cette seigneurie ne consistait qu’en toute justice, haute, moyenne et basse, droit de bourgeoisie dû à raison de 5 sols par feu » in Mémoire sur Étaules de Breuillard p. 55. Ce nouveau seigneur de Vassy et de La Vaire, par ailleurs conseiller du roi au bailliage d’Avallon la transmet à sa fille Guillemette qui la vend le à Pierre Colas Cromot, in Inventaire de la Chambre des comptes de Bourgogne, par J.-B. Peincedé, tome 29 page 214. Il y avait à l’époque cinq maisons à La Vaire et six à Vassy. La famille de Cromot dominait ces terres de l’Avalonnais depuis son anoblissement le . À ce propos, on disait d’eux en Bourgogne : « « Frappez sur un buisson, il en sortira un de Guyon, entrez dans un château, vous y verrez un de Cromot ». Parmi les plus illustres personnes de cette famille, Jules-David Cromot du Bourg surintendant des finances de Louis XVIII, son fils Maxime de Cromot du Bourg, aide de camp du général de Rochambeau, lors de la guerre d’indépendance des États-Unis. Il y a aussi Dominique Cromot, chanoine à la collégiale Saint Lazare d’Avallon, Jacques et Georges Cromot, avocats au parlement demeurant à Dijon. C’est enfin Françoise de Cromot, qui épousa en 1782 le comte de Saillans, héros de la contre-révolution dans le Vivarais, et qui hérita des terres de la seigneurie de Vassy et de La Vaire en 1778.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
2001 En cours Olivier Rauscent[17] DVD exploitant agricole

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 389 habitants[Note 4], en augmentation de 5,42 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
378439414397438400429510536
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
555641675591625622601474474
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
422437385376356360314308292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
298327298335393409422418412
2014 2019 2021 - - - - - -
377390389------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Étaule-le-Bas[modifier | modifier le code]

Dessin de Victor Petit
  • Château d'Étaules, maison forte du XVIe siècle : corps de logis terminé par deux tours rondes et attenant à des bâtiments de service, avec une avant-cour entourée autrefois de fossés[16].
  • Église Saint-Valentin, reconstruite en 1705 par le chapitre d'Avallon, propriété de la commune d'Étaules. Portail plein cintre XIIe, chapiteaux XIIIe. À l’intérieur : triptyque sculpté sur bois. Le chœur est voûté en pierre et cintré. L’église, aujourd'hui isolée de la commune, est à l'emplacement de l'ancien village d'Aisy[22]. Elle a été totalement restaurée en 2009, avec la mise en valeur d'éléments anciens découverts lors des travaux : niches, table d'autel.

Vassy[modifier | modifier le code]

  • Ancienne cimenterie fondée en 1832 par Honoré et Hippolyte Gariel d'Avallon, et François Garnier de Marmeaux.

« Pendant cette période, la fabrication allait toujours en augmentant ; il fallut doubler, puis tripler le nombre de fours. En 1840, quinze broyeurs, actionnés nuit et jour par des chevaux que l'on échangeait toutes les deux heures, étaient à peine suffisants pour la production. En 1855, une machine à vapeur remplaça les chevaux pour la fabrication ; cette machine, d'une force de 120 chevaux environ, sortie des ateliers de la maison Farcot, avait figuré à l'Exposition Universelle. Ce fut, parait-il, la première machine à vapeur employée pour l'industrie dans le département de l'Yonne[23]. »

. En 1885, l'exploitation de l'usine cesse et la cimenterie est transformée en ferme. La grande cheminée est démolie en 1905.

  • Église de la Nativité-de-Notre-Dame édifiée de 1859 à 1862, à l'initiative de la famille Gariel. Elle est construite dans le style ogival du XIVe siècle, avec une façade de style gothique. L'église - d'une longueur de 45 mètres - comporte trois nefs composées de cinq travées, elle est surmontée d'un clocher terminé en flèche. Dans une crypte se trouve le caveau funéraire de la famille Gariel.

« Dans cette église, il n'a été employé de pierre que ce qui était indispensable. Le ciment de Vassy a pris les formes les formes les plus diverses et a servi aux nervures des voûtes, à l'ornementation des chapiteaux et au revêtissement général des parois, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur[16]. »

  • Château de Vassy-le-Bois du XIXe siècle construit en 1873 par la famille Gariel, encadré par deux tours rondes. Parc avec bassin et fausses ruines appartenant actuellement à la famille Du Baysnat de Septfontaine[24],[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • famille Gariel : Honoré et Hippolyte, fondateurs des cimenteries en 1835. Ils développèrent Vassy au XIXe siècle, le dotant d'une école, d'une église, d'une gare.
  • Bernard Ferrand: Pretre catholique français, résistant et écrivain combattant

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Victor Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, librairie Voillot, Avallon, (réimpr. 2001)
  • J. Prévost, « Une industrie de l'Avallonnais : le ciment de Vassy », Bulletin de la Société d'Etudes d'Avallon,‎

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Étaule et Saint-André-en-Terre-Plaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Avallon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte no  XXXII. Texte en ligne.
  15. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte no XLIII. Texte en ligne
  16. a b et c Victor Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, librairie Voillot, Avallon, (réimpr. 2001).
  17. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 22 décembre 2013.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Maximilien Quantin, Histoire de l'Yonne - Répertoire archéologique, Res Universis, Paris, (réimpr. 1991).
  23. J. Prévost, « Une industrie de l'Avallonnais : le ciment de Vassy », Bulletin de la Société d'Etudes d'Avallon,‎ .
  24. « Château de Vassy-le-Bois », notice no PA00135714, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « Parc du château de Vassy-le-Bois », notice no IA89000416, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture