Michèle Rubirola

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Michèle Rubirola
Illustration.
Michèle Rubirola en 2020.
Fonctions
Première adjointe au maire de Marseille
En fonction depuis le
(3 ans, 4 mois et 2 jours)
Élection
Maire Benoît Payan
Prédécesseur Benoît Payan
Maire de Marseille

(5 mois et 11 jours)
Élection
Coalition Printemps marseillais
(DVG-PS-EÉLV-PCF-LFI)
Prédécesseur Jean-Claude Gaudin
Successeur Benoît Payan
Conseillère départementale des Bouches-du-Rhône

(6 ans, 2 mois et 28 jours)
Avec Benoît Payan
Élection 29 mars 2015
Circonscription Canton de Marseille-1
Groupe politique Socialiste écologiste
Prédécesseur Canton créé
Successeur Sophie Camard
Adjointe à la maire du 2e secteur de Marseille
chargée de la santé et de la jeunesse

(6 ans et 11 jours)
Élection
Maire Lisette Narducci
Biographie
Date de naissance (67 ans)
Lieu de naissance Marseille (France)
Nationalité Française
Parti politique LV (2002-2010)
EÉLV (depuis 2010)[a]
Diplômée de Université d'Aix-Marseille
Profession Médecin

Michèle Rubirola
Maire de Marseille

Michèle Rubirola, née le à Marseille, est un médecin et une femme politique française.

Médecin de profession, membre d’Europe Écologie Les Verts, elle est conseillère départementale des Bouches-du-Rhône de 2015 à 2021. Aux élections municipales de 2020 à Marseille, elle est tête de liste du Printemps marseillais, une alliance de collectifs de citoyens, de partis et de mouvements de gauche. Élue maire de la ville le , elle est la première femme à occuper cette fonction à Marseille. Elle démissionne cinq mois plus tard, devenant première adjointe.

Situation personnelle[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Petite-fille d'immigrés arrivés de Naples et de Catalogne, Michèle Rubirola naît à Marseille. Son père travaille à la Caisse primaire d'assurance maladie et sa mère à l'Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d'allocations familiales (Urssaf)[2]. Sa grand-mère paternelle, une napolitaine, l'élève au Rouet, un quartier du 8e arrondissement de Marseille[3].

Sportive, elle intègre la première équipe mixte de football de l'Olympique de Marseille, qu'elle quitte « en raison de son trop jeune âge », et pratique le basket-ball[4].

En 1966, elle intègre le lycée Montgrand alors réservé aux jeunes filles et y obtient son baccalauréat en 1973[5]. Elle quitte le foyer familial à 17 ans — l'âge de majorité est alors à 21 ans — pour vivre de manière indépendante. Elle suit des études de médecine[4] au sein de la faculté des sciences médicales et paramédicales de Marseille de l'université d'Aix-Marseille[6].

Elle adhère dans les années 1970 aux combats des mouvements altermondialistes, écologistes, et antimilitaristes[7],[8]. Féministe, elle milite pour la libéralisation de l'avortement et la contraception[9].

Elle est mère de deux filles et un garçon[10] et son mari exerce des fonctions administratives dans un centre de soins[11].

Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Michèle Rubirola devient médecin généraliste à la fin de ses études et exerce dans le 6e arrondissement de Marseille[12].

Elle est responsable d'un programme d'éducation thérapeutique pour des malades chroniques en situation de vulnérabilité sociale, au centre de prévention de l'Assurance maladie dans les quartiers nord[4]. À partir du début des années 2000, elle travaille en tant que médecin à la Caisse primaire d'assurance maladie des Bouches-du-Rhône[13].

Devenue maire, elle supprime des réseaux sociaux un message de soutien à Luc Montagnier et Henri Joyeux dans leur campagne contre un projet de loi de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, prévoyant onze vaccinations obligatoires pour les enfants[14].

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

Militante écologiste, elle manifeste au site nucléaire de Creys-Malville[9] et rejoint le parti Les Verts en 2002[15],[16]. Elle se présente sans succès aux élections législatives de 2007[17], sous cette étiquette, et de 2012[18], pour EÉLV, dans la 5e circonscription des Bouches-du-Rhône (qui recouvre plusieurs arrondissements de Marseille).

Élue conseillère du 2e secteur de Marseille lors des élections municipales de 2008, elle devient adjointe à la maire, Lisette Narducci (PS), chargée de la santé et de la jeunesse[19].

Lors des élections régionales de 2010 en Provence-Alpes-Côte d'Azur, elle figure en septième position sur la liste EÉLV dans les Bouches-du-Rhône[20]. Candidate aux élections cantonales de 2011 dans le canton de Marseille-Le Camas, elle obtient 16,1 % des voix au premier tour[21].

Elle conduit la liste de Pape Diouf dans le 3e secteur de Marseille lors des élections municipales de 2014[22], qui obtient 5,2 % des suffrages exprimés[23].

Michèle Rubirola est membre de l'association « Habitat alternatif social », qui cherche des logements aux personnes exclues (handicapées, séropositives, atteintes de maladies mentales). Elle préside l'association « Europe Social Projet Recherche Innovation », qui travaille avec les personnes vivant dans la rue[4].

Élection au conseil départemental[modifier | modifier le code]

Elle est élue conseillère départementale EÉLV des Bouches-du-Rhône lors des élections de 2015 pour le canton de Marseille-1[24], en binôme avec Benoît Payan (PS). Elle siège dans l'opposition au sein du groupe socialiste écologiste. Durant son mandat, elle se prononce notamment contre la construction d'un parking sous le parc public du palais Longchamp[25] et contre l'abattage d'arbres dans le département[9].

Après avoir annoncé sa candidature aux élections départementales de 2021[26], elle renonce finalement à se représenter, souhaitant « se préserver »[27].

Mairie de Marseille[modifier | modifier le code]

Élections municipales de 2020[modifier | modifier le code]

Après plusieurs mois de discussions informelles et réunions publiques entre habitants et militants, un premier appel « S’unir ou subir » paraît le à l’initiative de Mad Mars et de 21 collectifs de citoyens. S'ensuit en , l'appel à l'union de personnalités de gauche, élus et membres de la société civile, appel à l’union en vue des élections municipales de 2020 à Marseille en publiant une tribune qui se veut « l’acte de naissance d’un mouvement sans précédent à Marseille »[28]. Le Printemps marseillais naît de cette initiative en octobre[29]. Michèle Rubirola est suspendue en par le bureau exécutif régional de son parti, pendant une durée maximale de six mois, pour avoir soutenu une liste concurrente de celle décidée par EÉLV, sous les seules couleurs du parti[30]. Elle est candidate à la mairie de Marseille lors des élections municipales de 2020 sous la bannière Printemps marseillais[31]. Cette liste d'union réunit des collectifs de citoyens[32] et des partis politiques : des membres d'Europe Écologie Les Verts, du Parti socialiste, du Parti communiste français, de La France insoumise, de Génération.s, de la Gauche républicaine et socialiste, d'Ensemble !, de Nouvelle Donne, du Parti de gauche, de Place publique, du Parti radical de gauche et du Parti pirate. La liste EÉLV fusionne finalement avec celle du Printemps marseillais, et Michèle Rubirola est réintégrée dans son parti[33]. Elle est tête de liste pour la mairie du 3e secteur (qui regroupe les 4e et 5e arrondissements de la ville)[34].

Deux semaines avant le premier tour, le magazine Capital affirme que Michèle Rubirola a mené une partie de la campagne des municipales, en janvier, durant un arrêt maladie[35], ce qui est réglementé par le Code de la sécurité sociale[36]. Michèle Rubirola assure quant à elle avoir demandé la suspension de son arrêt, des indemnités liées après sa désignation comme candidate à la mairie et avoir prévenu son employeur, ce que le journal conteste[37]. Elle accuse aussi son adversaire, Martine Vassal, de récupérer les affirmations des articles de Capital dans un but stratégique[38]. Trois jours avant le premier tour, Capital publie des vidéos de Michèle Rubirola en campagne sur la période d'arrêt maladie[39]. Benoît Payan, colistier de Michèle Rubirola, répond que le mouvement du Printemps marseillais envisage de porter plainte pour faire cesser les accusations dont celle-ci est victime[13]. Une plainte est déposée en mars 2020 pour « atteinte à la vie privée et violation du secret médical »[40].

Elle arrive en tête du premier tour dans le 3e secteur avec 37,4 % des voix. Les listes du Printemps marseillais, dont elle est la candidate à la mairie, arrive également en tête du premier tour à l'échelle de la ville le avec 23,4 % des voix[41]. Lors du second tour, elle arrive largement en tête, et le Printemps marseillais remporte plusieurs mairies de secteurs, dont celles tenues jusqu'alors par Sabine Bernasconi (1er secteur) et Yves Moraine, dont Martine Vassal est la deuxième adjointe (4e secteur). Le Printemps marseillais gagne ce deuxième tour en nombre de voix et de sièges, mais n'obtient qu'une majorité relative (42 sièges sur 101)[42]. Martine Vassal, fragilisée par sa défaite dans un secteur réputé facile pour LR, se retire le en faveur de Guy Teissier, doyen d’âge de la nouvelle assemblée et donc susceptible de l’emporter en cas d’égalité des voix, pour la désignation du futur maire par les conseillers municipaux élus le [43].

Maire de Marseille[modifier | modifier le code]

Après de longues négociations, Michèle Rubirola est élue maire de Marseille le  : elle obtient 51 voix contre 41 à Guy Teissier, grâce au report des voix des élus de la liste menée par Samia Ghali et au ralliement de Lisette Narducci[44],[45]. Elle devient ainsi la première femme maire de Marseille[46].

Dans la foulée, elle soutient Gaby Charroux à la présidence de la métropole d'Aix-Marseille-Provence[47]. Cependant, le conseil de territoire de Marseille-Provence et la métropole restent à droite[48],[49]. Peu après, elle se prononce pour une révision de la loi PLM, position soutenue par plusieurs parlementaires des Bouches-du-Rhône[50].

En début de mandat, sa municipalité annonce le recrutement de plus de trois cents éducateurs, agents ou puéricultrices, pour les écoles et les crèches, et augmente les dépenses d’investissement de 50 millions d’euros pour la rénovation des écoles (30 millions) et des logements indignes (20 millions)[51].

En , Michèle Rubirola déplore un manque de concertation avec les élus de la part du gouvernement concernant la gestion de la pandémie de Covid-19. Elle anime une conférence de presse à l'IHU de Marseille en compagnie de Martine Vassal et du microbiologiste Didier Raoult afin de protester contre les mesures gouvernementales[52].

Elle figure en position non éligible sur la liste d’union de la gauche aux élections sénatoriales de 2020 dans les Bouches-du-Rhône[53].

Démission et première adjointe[modifier | modifier le code]

Alors que des rumeurs, notamment alimentées par la place laissée par l'édile à son premier adjoint, ont laissé entendre quelques mois après son élection une possible démission[54], Michèle Rubirola, affaiblie par des problèmes de santé, annonce le sa démission de son mandat de maire[55]. Sa démission est entérinée le jour même par le préfet des Bouches-du-Rhône[56]. Son premier adjoint, Benoît Payan, lui succède le suivant, tandis qu'elle devient sa première adjointe[57]. Elle reprend les délégations de celui-ci, étant chargée de l'action municipale pour une ville plus juste, plus verte et plus démocratique, de la santé publique, de la promotion de la santé, du sport santé, du conseil communal de santé et des affaires internationales[58].

En , alors que les bars et restaurants sont fermés dans le contexte de la pandémie de Covid-19, le média en ligne Blast accuse Michèle Rubirola de participer à des dîners clandestins dans un restaurant marseillais, ce qu'elle dément[59],[60].

Elle soutient Éric Piolle pour la primaire présidentielle de l'écologie de 2021[61].

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Année Parti Circonscription % Issue
1er tour
2007[17] LV 5e des Bouches-du-Rhône 3,3 Battue
2012[18] EÉLV 3,4 Battue

Élections cantonales et départementales[modifier | modifier le code]

Année Parti Canton % Issue
1er tour 2d tour
2011[21] EÉLV Marseille-Le Camas 16,1 Battue
2015[62] Marseille-1 26,9 67,0 Élue

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

Année Parti Circonscription % Sièges obtenus
1er tour 2d tour
2014[23] DVG 3e secteur de Marseille 5,2
0  /  22
2020[63] UG Ville de Marseille 23,4 38,3
42  /  101
3e secteur de Marseille 37,4 57,0
18  /  22

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Elle est suspendue du parti d'octobre 2019 à juin 2020 pour dissidence[1].

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les patrons du PS et d'EELV montrent leur unité derrière Rubirola à Marseille », sur nicematin.com, .
  2. « Médecin de 63 ans, écologiste, passionnée de basket... Le portrait de Michèle Rubirola, nouvelle maire de Marseille », sur laprovence.com, (consulté le ).
  3. Stéphanie Harounyan, « Moi, maire de Marseille : Michèle Rubirola », sur Libération.fr, (consulté le )
  4. a b c et d « Michèle Rubirola, une médecin engagée crée la surprise à Marseille », sur Le Point, (consulté le )
  5. « Michele Rubirola », sur Copains d'avant (consulté le )
  6. Sylvain Pignol, « Michèle Rubirola, une médecin au chevet de Marseille », sur laprovence.com, (consulté le )
  7. « Qui est Michèle Rubirola, la tête de liste du Printemps marseillais ? », sur 20minutes.fr (consulté le )
  8. « Élections municipales à Marseille : qui est Michèle Rubirola, la nouvelle maire ? », sur RTL.fr (consulté le )
  9. a b et c « PORTRAIT. Michèle Rubirola, médecin écologiste qui a fait basculer Marseille à gauche », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  10. « Confinement - Michèle Rubirola : "Difficile de basculer en politique" », sur LaProvence.com, (consulté le )
  11. « Michèle Rubirola. La surprise ? », sur Les Echos, (consulté le )
  12. « Michèle Rubirola, tête de liste du Printemps Marseillais », sur printempsmarseillais.fr (consulté le )
  13. a et b « Michèle Rubirola se défend de faire campagne aux frais de la Sécu », sur 20minutes.fr (consulté le )
  14. « Michèle Rubirola et ses opinions antivaccins », sur marsactu.fr, (consulté le ).
  15. « Michèle RUBIROLA-BLANC », sur archives.eelv.fr/paca.elus-ecologistes.fr.
  16. Laurence Bottero, « A Marseille, stupeur et tremblements », sur La Tribune, .
  17. a et b « Résultats des élections législatives 2007 - BOUCHES DU RHONE (13), 5ème circonscription », sur interieur.gouv.fr, site du ministère de l'Intérieur.
  18. a et b « Résultats des élections législatives 2012 - BOUCHES DU RHONE (13), 5ème circonscription », sur interieur.gouv.fr, site du ministère de l'Intérieur.
  19. « PORTRAIT. Michèle Rubirola, médecin écologiste qui a conquis Marseille », sur L'Express, .
  20. « Liste LVEC conduite par Mme Laurence VICHNIEVSKY », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b « Résultats des élections cantonales 2011 - BOUCHES DU RHONE (13), Marseille-Le-Camas (19) », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Marseille : Pape Diouf présente ses listes », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  23. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Michèle Rubirola, Conseillère Départementale de Marseille (EELV) », sur michelerubirola.fr, (consulté le )
  25. « Mobilisation à Marseille pour "sauver le Parc Longchamp" », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
  26. Gilles Rof, « Elections départementales 2021 : Michèle Rubirola veut être candidate à Marseille », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  27. « Départementales dans les Bouches-du-Rhône : Michèle Rubirola, qui doit « se préserver », renonce à se présenter », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  28. « Nous, habitant·es de Marseille, voulons construire un rassemblement inédit », sur Libération.fr, (consulté le ).
  29. « A gauche, le Printemps marseillais veut « envoyer un autre message » », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  30. Lisa Castelly, « La conseillère départementale Michèle Rubirola suspendue par EELV pour dissidence », sur marsactu.fr, .
  31. Adrien Max, « Municipales 2020 à Marseille : Qui est Michèle Rubirola, la tête de liste surprise du Printemps marseillais ? », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  32. « L’appel », sur madmars.fr (consulté le ).
  33. « Les patrons du PS et d'EELV montrent leur unité derrière Rubirola à Marseille », sur Nice-Matin, (consulté le )
  34. « Michèle Rubirola face aux lecteurs de La Marseillaise - Journal La Marseillaise », sur www.lamarseillaise.fr (consulté le )
  35. Olivier-Jourdan Roulot, « Marseille : la candidate de la gauche en campagne et… en arrêt maladie ? », sur capital.fr,
  36. Code de la sécurité sociale - Article L323-6 (lire en ligne)
  37. Olivier Jourdan Roulot, « En campagne et en arrêt maladie ? Ces nouveaux éléments qui contredisent la candidate de la gauche à Marseille », sur Capital.fr, (consulté le )
  38. Lisa Castelly, « L’arrêt maladie de Michèle Rubirola, épine dans le pied du Printemps marseillais », sur marsactu.fr,
  39. Olivier Jourdan Roulot, « En campagne et en arrêt maladie : les erreurs de Michèle Rubirola, la candidate de la gauche à Marseille », sur Capital.fr, (consulté le )
  40. « À Marseille, Vassal accusée d'avoir diffusé les documents médicaux d'une concurrente », sur Le HuffPost, (consulté le )
  41. « Résultats des élections municipales 2020 à Marseille : Michèle Rubirola crée la surprise, au coude-à-coude avec Martine Vassal », sur Franceinfo, (consulté le )
  42. « Elections municipales à Marseille : majorité relative de 42 sièges pour Rubirola, contre 39 pour Vassal », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  43. « Municipales à Marseille : Martine Vassal se retire pour tenter de faire basculer la mairie pour LR », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  44. « Michèle Rubirola élue maire de Marseille avec le soutien de Samia Ghali », sur Marsactu (consulté le )
  45. « Municipales : qui est Michèle Rubirola, la première femme maire de Marseille qui fait basculer la ville à gauche », sur france3-regions.francetvinfo.fr (consulté le )
  46. AFP, « Michèle Rubirola, première femme maire de Marseille », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
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  53. Christophe Casanova, « Sénatoriales : Michèle Rubirola et Gaby Charroux pour pousser la liste d’union de la gauche », sur lamarseillaise.fr, (consulté le ).
  54. « « Tu es au courant que je ne reste que trois mois ? » : à Marseille, les débuts déroutants de Michèle Rubirola », sur lemonde.fr, (consulté le ).
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  63. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]