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Union nationale inter-universitaire

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Union nationale inter-universitaire
Logo de l'Union nationale inter-universitaire
Par l’éducation, pour la Nation !
Histoire
Fondation
Origine
Cadre
Sigle
UNIVoir et modifier les données sur Wikidata
Zone d'activité
Type
Forme juridique
Domaine d'activité
Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Financement
Donateurs privés, subventions publiques[2]
Siège
Pays
Organisation
Membres
26 000 revendiqués (2006)[3]
Fondateurs
Suzanne Marton (d), Jacques RougeotVoir et modifier les données sur Wikidata
Président
Olivier Vial[1]
Positionnement
Représentativité
Élus au CNOUS[4] :
0  /  8

Élus au CNESER :
1  /  11
Site web
Identifiants
RNA
SIREN
OpenCorporates

L'Union nationale inter-universitaire (UNI) est une organisation universitaire française fondée en 1969, qui accueille des étudiants, des professeurs et des lycéens. Se réclamant de « la droite étudiante » selon son propre slogan, l'UNI est indépendante des partis politiques. En 2022, le délégué national de l'UNI Jacques Smith affirme que « l'immense majorité » des membres du syndicat militent également au sein de Génération Z, l'organisation de jeunesse du parti d'extrême droite Reconquête[5].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'UNI a été créée pendant les événements de Mai 68. Ses statuts ont été déposés à la préfecture de police de Paris le par Jean-François Chauvel (journaliste au Figaro), Jacques Rougeot et Pierre de Vernejoul (universitaires). La réunion fondatrice a eu lieu en au siège du SAC, rue de Solférino (actuel Institut Charles-de-Gaulle) dans le bureau de Pierre Debizet, patron du SAC[6].

Selon François Audigier, l'UNI a été créée à la suite d'un entretien dans le bureau de Jacques Foccart à l'Élysée. Il s'agissait de « lutter contre la loi Faure en préparation, [laquelle multipliait] les compromis à l'adversaire (la gauche étudiante) et créait du désordre au lieu de rétablir l'autorité dans les universités ». L'UNI revendique vouloir « regrouper tous ceux qui entendent soustraire l'éducation nationale à l'emprise communiste et gauchiste et défendre la liberté en luttant contre toutes les formes de subversion »[7].

Un premier bureau est mis en place avec comme président René Deheuvels qui démissionne un mois plus tard au profit de Jacques Rougeot, alors jeune assistant à la Sorbonne. Le secrétaire général est Suzanne Marton, plus jeune membre du comité politique de l'UDR, celle qui avait averti Jacques Baumel début 1968 des risques d'une explosion dans les universités françaises. Une rivalité s'établit dès le départ entre elle et un ingénieur centralien, l'astrophysicien Gérard Daury, rattaché à l'équipe fondatrice par l'un des collaborateurs de Jacques Foccart, Philippe Lettéron[8].

De 1969 à sa mort en 1974, Georges Pompidou soutiendra personnellement le développement de l'UNI[6], pensant qu'une telle structure serait à même d'empêcher une nouvelle explosion dans les facultés telle celle que connut la France en mai 1968. Un tel soutien permettra à l'UNI de rapidement s'imposer dans les facultés françaises comme un mouvement étudiant représentatif, et non pas comme un groupuscule comme il en existait alors beaucoup[réf. souhaitée].

Suzanne Marton devra abandonner ses fonctions en 1976, même si elle est toujours, en 2008, officiellement secrétaire générale.

Dès sa création, l'UNI lance son journal, toujours en activité, L'action universitaire. Par la suite, d'autres publications seront aussi diffusées telles Fer de lance (revue de réflexion), Vie étudiante ou encore Solidarité Atlantique. L'éditeur de ces publications se trouve être le Centre d'études et de diffusion (société éditrice rattachée à l'UNI).

L'UNI prend alors régulièrement position sur des sujets de société au travers de L'action universitaire, s'opposant notamment à la circulaire mettant en place l'éducation sexuelle à l'école en 1973 dans la 32è édition du journal ou à la légalisation de l'avortement en 1974 dans sa 36è édition[9].

Autocollants de l'UNI près de Sciences Po Lyon.

L'UNI est plus spécialement liée aux réseaux gaullistes de Jacques Foccart et, dans une moindre mesure, de Robert Pandraud et de Charles Pasqua (ce dernier exercera une forte influence sur le mouvement à la fin des années 1980). L’UNI s’implique dans les élections présidentielles de 1981.[passage promotionnel]

En avril et , elle participe aux grèves et manifestations contre la Réforme Savary des universités de 1983 du ministre de l'Éducation nationale socialiste Alain Savary aux côtés de militants néofascistes du GUD, du Parti des forces nouvelles lié à l'extrême droite, et du Collectif des étudiants libéraux de France proche de Valéry Giscard d'Estaing[10].

L'UNI est aujourd'hui un mouvement proche idéologiquement de LR, après l’avoir été de l'UMP et du RPR de Jacques Chirac. L'UNI s'est par ailleurs engagée pleinement pour la campagne de Jacques Chirac en 1995 suscitant, d'après un de ses cadres, le départ des militants les plus à droite[11].

Depuis la disparition du Collectif des étudiants libéraux de France (CELF), proche en son temps des Jeunes giscardiens, l'UNI est à l'échelon national le seul « syndicat étudiant » de droite. Depuis 2009, Olivier Vial, est son président. Il est issu de l'UDF. Il succède à Jacques Rougeot.

Jusqu'en 1995, sur ses publications et affiches, l'UNI conserve le nom d'Union nationale inter-universitaire. Néanmoins, à partir de cette date, c'est l'appellation « UNI-La droite universitaire » qui est utilisée.

L'UNI a accueilli en son sein des militants d'extrême droite[12]. Des connexions locales entre des élus de l'UNI et des partis ou structures d'extrême droite ont pu être relevées : ainsi à Brest, la représentante de l'UNI au conseil de l'UFR de droit de 1991 à 1993 était la présidente de la section locale du Front national de la jeunesse et fut candidate du Front national pour les municipales de 1989 et les cantonales de  ; de même, à Nancy, le responsable local de l’UNI représentait le FN aux cantonales de [13]. Des actions communes avec le GUD ont également existé[12].

En , une partie de l’UNI décide de devenir un mouvement de réflexion sur l’éducation, et crée avec d’autres associations le Mouvement des étudiants pour se présenter aux élections étudiantes. Ce mouvement se réclame plus dépendant de l’UMP[14] ; celle-ci, consultée, a donné son aval à la création du mouvement. Des adhérents de l'UNI voient également dans la création du Mouvement des étudiants une reprise en main de l'UNI par l'UMP[12]. Une scission a lieu avec la création de l'UNI-SU[15]. Selon le journal Le Monde, l'UNI reste cependant utile pour l'UMP en concurrençant l'extrême droite sur ses thèmes[16].

En 2013, l'UNI se mobilise contre la légalisation du mariage pour les homosexuels[17],[18].

En , une partie de l'UNI Assas fait scission pour fonder un syndicat concurrent La Cocarde étudiante[19].

En juin 2017, l'UNI reconquiert son siège au CNESER (perdu en 2015)[20].

En 2018, la loi ORE provoque de nombreux blocages dans les universités (Tolbiac, Rennes 2, Toulouse 2, Lyon 2, Montpellier 3, etc.), l'UNI est alors la seule association étudiante à se mobiliser pour débloquer ces universités via des recours en justice[21],[22],[23].

Lors de la crise sanitaire du Covid, l'UNI a lancé des collectes et distributions alimentaires pour venir en aide aux étudiants[passage promotionnel] [24],[25],[26],.

Organisation[modifier | modifier le code]

Classification[modifier | modifier le code]

L'UNI présente plusieurs caractéristiques qui la rapprochent d'un syndicat étudiant comme la participation aux élections des représentants étudiants ou l'implication dans les débats concernant l'évolution de l'université. Elle refuse cependant l'appellation de syndicat[réf. nécessaire].

Responsables nationaux[modifier | modifier le code]

Présidents[modifier | modifier le code]

UNI-Lycée[modifier | modifier le code]

L'UNI-Lycée est la branche de l'UNI dans les lycées. Cette branche a vocation à se positionner sur les sujets et les réformes concernant le lycée et le Bac en rassemblant des lycéens de tous les horizons. Qu’ils soient scolarisés dans le privé ou le public, inscrits dans des filières générales, professionnelles, technologiques ou encore agricole, tous partageant la même volonté de réformer le système. Elle s'oppose régulièrement aux blocages des lycées[27].

Représentativité[modifier | modifier le code]

L'UNI est considérée comme organisation représentative d'après la loi Jospin, elle compte un élu au CNESER, mais ne dispose plus d'élus au CNOUS depuis 2010[28].

Relations extérieures[modifier | modifier le code]

Liens avec le RPR puis l'UMP et LR[modifier | modifier le code]

En 1995 comme en 2002 est créé le collectif « Les Étudiants avec Chirac » visant à soutenir la candidature du président du RPR dans la course à l'Élysée. Le soutien de l'UNI en 1995 a joué un certain rôle dans l'élection de Jacques Chirac, étant le seul mouvement de jeunesse de droite soutenant cette candidature. Lors de la réforme des retraites, le collectif « Les jeunes pour la réforme des retraites » verra le jour pour soutenir le Gouvernement Juppé. Le comité « Défense de la République » fut créé en novembre 2005 afin de soutenir l'action du Gouvernement Villepin dans la « crise des banlieues ». Ainsi, des autocollants « Émeutes, trafics : tolérance zéro pour les ennemis de la République » seront imprimés et un site web mis en ligne[29].

Stand de l'UNI lors d'un meeting de campagne de Nicolas Sarkozy (Lyon, avril 2007).

L'UNI ne revendique aujourd'hui pas de lien direct avec le successeur de l'UMP, Les Républicains, même si de nombreux cadres de l'organisation le sont également dans le parti politique de droite. Le président de l'UNI, Olivier Vial, est membre du bureau politique des Républicains, occcupant la fonction de secrétaire national des Républicains en charge de l’enseignement privé[30],[31].

En 2019, des étudiants de l'UNI renouvellent cette démarche avec la structure « Les étudiants avec Bellamy » pour soutenir la liste LR-LC aux élections européennes de 2019, conduite par l'essayiste et professeur de philosophie François-Xavier Bellamy.

Selon Mediapart en 2023, s'il existe quelques cadres de l'UNI encartés dans d'autres partis, l'organisation est encore très liée au parti Les Républicains pour lequel militent la plupart de ses responsables locaux dont l'engagement est affiché publiquement[11].

Liens avec le MIL[modifier | modifier le code]

L'UNI partage la même imprimerie intégrée que le Mouvement initiative et liberté dont le siège est à Levallois-Perret, association gaulliste utilisant la croix de Lorraine sur ses affiches. Le MIL a d'ailleurs été fondé en partie afin d'accueillir les anciens de l'UNI étant sortis du milieu universitaire. De 1981 à 1986, le MIL et l'UNI auront le même président, Jacques Rougeot. Les deux mouvements partageront aussi la même adresse durant plusieurs années avant que le MIL ne déménage à Levallois. Aujourd'hui, d'anciens militants de l'UNI font partie du bureau national du MIL (Bernard Debré et Éric Raoult, par exemple). Par le passé, l'UNI et le MIL ont pu utiliser simultanément le même slogan sur leurs affiches (exemple en 1991 avec la campagne « Armée, Honneur de la France »). Il est d’ailleurs fréquent de voir des affiches et autocollants du MIL et de l’UNI collés côte à-côté puisque leurs militants mènent souvent des actions conjointes. Lors de la convention nationale du MIL, le , Olivier Vial (délégué national de l'UNI) et Jacques Rougeot (Président de l'UNI) étaient tous deux présents et ont même pris la parole. L'allocution de Jacques Rougeot était intitulée « Refouler la gauche : une entreprise de salut public » alors que celle d'Olivier Vial était baptisée « La gauche contre l'emploi des jeunes ».

L'UNI et le MIL partagent de nos jours des locaux communs tout en conservant chacun son indépendance.

Liens avec le FN/RN[modifier | modifier le code]

Certains membres, notamment des cadres à Lyon, ont rejoint les rangs du Front national de la jeunesse (branche jeunesse de l'ancien FN) au début des années 2010[12].

En 2023, lorsque Mediapart lui présente une pétition signée à la fois par des militants de l'UNI, du Rassemblement national, et de Reconquête, Olivier Vial déclare surveiller « avec beaucoup de vigilance » ce risque de radicalisation de son association[11].

Liens avec Génération Z[modifier | modifier le code]

En 2022, le délégué national de l'UNI, Jacques Smith, affirme auprès du Monde que « l'immense majorité » des membres du syndicat militent également au sein de Génération Z, l'organisation de jeunesse de Reconquête, un parti politique fondé en par Éric Zemmour en vue de sa candidature à l'élection présidentielle de 2022[5].

Liens avec le GUD[modifier | modifier le code]

L'UNI a participé à certaines actions violentes du GUD dans les années 1980. Les deux organisations ont également parfois présenté des listes communes dans certaines universités[12].

Comités et collectifs rattachés à l'UNI[modifier | modifier le code]

En juin et , l'UNI a participé à la concertation concernant la réforme de l'autonomie des universités avec la ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse. Elle a voté en faveur du projet de réforme au CNESER[réf. nécessaire].

L'UNI est partenaire d'un groupe de réflexion, le Centre d’Études et de Recherches Universitaire, fondé en 2008 et dirigé par son président Olivier Vial. Celui-ci conseille notamment les maires de stations de ski sur l'attitude à adopter face aux militants écologistes[31].

En 2013, dans le contexte de sa mobilisation contre le mariage des homosexuels et de multiples polémiques entourant l'apparition d'une prétendue « théorie du genre » dans les manuels scolaires, l'UNI lance un « observatoire de la théorie du genre »[17],[32],[33].

En 2015, suite à l'annonce d'une réforme du collège et des programmes scolaires, l'UNI lance un « observatoire des programmes scolaires »[34]. Celui-ci alimentera l'année suivante une polémique nationale sur la prétendue disparition de l'accent circonflexe dans les programmes scolaires en accusant la ministre de l’Éducation nationale de se croire « autoriser [sic] à bouleverser les règles de l’orthographe et de la langue française ». En réalité, il s'agissait d'une fausse information basée sur la mauvaise compréhension d'une réforme de l'Académie française en 1990 mise en application dès 2008[35].

Critiques envers l'UNI[modifier | modifier le code]

Le Cato Institute, think tank américain libertarien, a dénoncé le financement de l'UNI via le NED dans les années 1980 dans le cadre du financement d’organisations anti-communistes. Le Cato Institute écrit que l’UNI « était largement vue comme un chaudron de la droite radicale »[36]. Cette accusation a fait l'objet d'une commission d'enquête du Sénat américain[réf. nécessaire] dirigée par la sœur du colonel North (elle avait surpris en acceptant d'enquêter sur son frère précédemment). Celle-ci a établi que l'UNI avait reçu des fonds au même titre que Solidarność en Pologne, dans le cadre d'un soutien aux organisations anti-communistes démocratiques dans le monde. La décision de financer ces structures avait été prise sous l'impulsion d'Irving Brown, responsable des relations internationales de l'AFL-CIO[37].

Détail des résultats électoraux nationaux[modifier | modifier le code]

Au CNESER[modifier | modifier le code]

Au CNOUS[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • L'action universitaire (édition nationale universitaire)
  • Vie étudiante (édition nationale universitaire)
  • Vie lycéenne (ancienne édition nationale lycéenne)
  • Actua Médecine (édition nationale, réservée aux étudiants des filières médicales)
  • Bulletin inter-grandes écoles (édition nationale, réservée aux grandes écoles)
  • Dossiers Solidarité atlantique (20 000 ex.)
  • Tribord (ancien journal de la section UNI de Sciences Po Paris)
  • Le Hussard (ancien journal de l'UNI Lyon)
  • Fer de lance (disparue en 1977)
  • La voie droite (destinée aux universitaires, disparue)
  • Promotion Grandes écoles (édition nationale, réservée aux grandes écoles)
  • Promotion BTS (édition nationale, réservée aux étudiants en BTS)
  • AgriCampus (édition nationale, réservée aux étudiants des filières agricoles)
  • Action IUT (édition nationale, réservée aux étudiants en IUT)
  • Campus X (ancien journal à l'université Paris-Nanterre)
  • Dauphine est libérée (uniquement à l'université Paris-Dauphine)
  • Arsenik (disparu, uniquement à l'université Toulouse-I-Capitole)

Sources : « Quid 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Site officiel de l'UNI.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Site de l'UNI, L'UNI renouvelle ses instances, consulté le 10 novembre 2009
  2. « L'Unef, deuxième syndicat étudiant le mieux financé », sur Challenges, (consulté le )
  3. Ariane Chemin, « Difficile numéro d'équilibre pour l'UNI, soutien traditionnel de Jacques Chirac », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Résultats CNOUS 2019.
  5. a et b Ivanne Trippenbach, « Avis de tempête à Reconquête !, le parti d’Eric Zemmour », Le Monde,‎ , p. 14 (lire en ligne).
  6. a et b « Histoire du SAC - François Audigier », sur Babelio (consulté le )
  7. François Audigier, Histoire du SAC, p. 149, cité par Le Monde, blog « Droites extrêmes »
  8. «Gérard Daury, figure de l'anticommunisme et du rassemblement des droites», sur Le Figaro, (consulté le )
  9. Bryan Muller, « « Lutter contre l’invasion marxiste, c’est un devoir ». L’UNI contre la « subversion marxiste » de 1968 à 1981 », 20 & 21. Revue d'histoire, vol. 155, no 3,‎ , p. 135–149 (ISSN 2649-664X, DOI 10.3917/vin.155.0135, lire en ligne, consulté le )
  10. « LA CONTESTATION DU PROJET SUR L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR Plusieurs milliers d'étudiants dans les rues de Paris La " manifestation-savonnette " », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. a b et c Christophe Gueugneau, « Encore taboue pour les partis, l’union des droites passe par des mouvements de jeunesse », sur Mediapart, (consulté le )
  12. a b c d et e « Qu'est-ce que l'UNI? », Le Monde, Blog « Droites extrêmes »
  13. « Ces jeunes fachos qui, peut-être, nous gouverneront... », REFLEXes, juin 1993.
  14. Marie-Estelle Pech, « L'UNI fait place à un nouveau syndicat étudiant de droite », sur www.lefigaro.fr,
  15. Site vousnousils, Des anciens de l'UNI de Tours refusent le Mét et décident de créer l'UNI-SU
  16. « Qu'est ce que l'UNI ? », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. a et b « Comment les détracteurs de la "théorie du genre" se mobilisent », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. « L'UNI, le creuset de la droite et de l'extrême droite », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Marc de Boni, « Un syndicat étudiant souvernainiste allant des Républicains au FN voit le jour », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  20. « Cneser : la Fage devient la première organisation étudiante devant l'Unef », (consulté le )
  21. « Un recours en justice pour demander la fin du blocage à l'université Toulouse 2 Jean-Jaurès - France Bleu », (consulté le )
  22. « Toulouse : l'université Jean-Jaurès bientôt évacuée par la police, la mobilisation continue sur le campus - France Bleu », (consulté le )
  23. « L’UNI dépose deux nouveaux recours pour lever le blocage à Tolbiac », (consulté le )
  24. « Montpellier. Solidarité : UNI pour l'aide alimentaire aux étudiants en galère », sur actu.fr, (consulté le )
  25. « Toulouse : distribution de colis alimentaires à la fac du Capitole », sur ladepeche.fr (consulté le )
  26. « Sur le campus de Dijon, on se mobilise pour ne pas laisser les étudiants sans rien à manger - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  27. « Pourquoi les lycéens sont en colère », sur LExpress.fr, (consulté le )
  28. « CA du CNOUS | Élections étudiantes », sur www.elections-etu.fr (consulté le )
  29. L'adresse de ce site était http://www.defensedelarepublique.com/, elle semble inactive aujourd'hui mais appartient à l'UNI comme l'atteste Whois : http://whois.net/whois_new.cgi?d=defensedelarepublique&tld=com
  30. « POLITIQUE. Les Républicains : Olivier Vial dans le Jura pour parler de radicalisation », sur www.leprogres.fr (consulté le )
  31. a et b « Olivier Vial, un conseiller d’élus de la montagne pour contrer «l’agenda caché» des écologistes », sur www.libertation.fr (consulté le )
  32. « Théorie du genre : ce qui froisse les réacs », (consulté le )
  33. « "Théorie du genre": comment l'UNI fabrique de fausses polémiques », (consulté le )
  34. « Les programmes scolaires étalés sur des cycles de trois ans dès la rentrée 2016 », sur Les Echos, (consulté le )
  35. « Non, l’accent circonflexe ne va pas disparaître », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  36. Loose Cannon: The National Endowment for Democracy
  37. Mort en mai 1989 et qui prenait la parole dans tous les congrès de FO jusqu'en 1986, date à laquelle il a eu de graves problèmes de santé.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Audigier, Génération gaulliste : L'Union des jeunes pour le progrès, une école de formation politique, 1965-1975, Presses universitaires de Nancy, 2005.
  • François Audigier, Histoire du S.A.C. : La Part d'ombre du Gaullisme, Stock, 2003.
  • Marylou Magal et Nicolas Massol, L'extrême droite, nouvelle génération: Enquête au coeur de la jeunesse identitaire, DENOEL, 2024.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]