Sonate K. 457
Sonate K. 457 la majeur — , Allegro, 76 mes. ⋅ K.456 ← K.457 → K.458 ⋅ L.291 ← L.292 → L.293 ⋅ P.441 ← P.442 → P.443 ⋅ F.400 ← F.401 → F.402 —
⋅ XI 3 ← Venise XI 4 → XI 5
⋅ XIII 3 ← Parme XIII 4 → XIII 5
⋅ II 49 ← Münster II 50 → II 51
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La sonate K. 457 (F.401/L.292) en la majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation[modifier | modifier le code]
La sonate K. 457 en la majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente. Avec une ouverture semblable à la K. 209, de même tonalité, la sonate est pleine d'entrain[1],[2], à la fois intense et tout à fait imprévisible. Tout au long, il n'y a pas de cadence ou de phrasé d'articulation ; en revanche, Scarlatti nous propulse perpétuellement, notamment par des syncopes, dans une recherche de stabilité (harmonique) que seul donne le point de départ[3].
Manuscrits[modifier | modifier le code]
Le manuscrit principal est le numéro 4 du volume XI (Ms. 9782) de Venise (1756), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme XIII 4 (Ms. A. G. 31418) et Münster II 50 (Sant Hs 3965)[4].
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Parme XIII 4.
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Venise XI 4.
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Venise XI 4 (fin de la première section).
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Venise XI 4 (début de la seconde section).
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Venise XI 4 (fin de la sonate).
Interprètes[modifier | modifier le code]
La sonate K. 457 est défendue au piano, notamment par Kathleen Long (1950, Decca), Racha Arodaky (2007, Zig-Zag Territoires), Carlo Grante (2016, Music & Arts, vol. 4) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[5], Richard Lester (2004, Nimbus, vol. 4), Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 10) et Pierre Hantaï (2015, Mirare, vol. 4).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Chambure 1985, p. 224.
- Grante 2017, p. 13.
- Sutcliffe 2008, p. 159.
- Kirkpatrick 1982, p. 472.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le ).
Sources[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti : Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato (2564-62092-2), 1985 (OCLC 891183737).
- (en) W. Dean Sutcliffe, The Keyboard Sonatas of Domenico Scarlatti and Eighteenth-Century Musical Style, Cambridge / New York, Cambridge University Press, , xi-400 (ISBN 978-0-521-07122-2, OCLC 1005658462, BNF 42017486).
- (en) Carlo Grante, « Domenico Scarlatti, intégrale des sonates pour clavier (vol. 5) », Music & Arts (CD-1294), 2017 (OCLC 1079366528).
Liens externes[modifier | modifier le code]
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