La Chapeloune
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| La Chapeloune | |
 La Chapeloune et la haute vallée du Mars. | |
| Géographie | |
|---|---|
| Altitude | 1 678 m[1] |
| Massif | Monts du Cantal (Massif central) |
| Coordonnées | 45° 06′ 15″ nord, 2° 39′ 22″ est[1] |
| Administration | |
| Pays |  France |
| Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
| Département | Cantal |
| Géologie | |
| Roches | Trachyandésite |
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|
La Chapeloune est un sommet des monts du Cantal dans le Massif central.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Géographie[modifier | modifier le code]
Situation[modifier | modifier le code]
La Chapeloune est située entre les communes du Falgoux et de Mandailles-Saint-Julien, entre le puy Chavaroche et le puy Mary.
Géologie[modifier | modifier le code]
Séparé du puy Chavaroche par le col de Redondet, l'ensemble des coulées trachyandésitiques s'est formé aux alentours de 7,5 millions d'années[2].
Histoire[modifier | modifier le code]
Parti de la base aérienne 133 Nancy-Ochey, un Mirage 2000-N K2 s'écrase sur la Chapeloune, entraînant la perte de deux militaires en 1992[3].
Activités[modifier | modifier le code]
Protection environnementale[modifier | modifier le code]
Le sommet est inclus dans le site Natura 2000 « Massif cantalien »[4], dans la ZNIEFF de type 2 « Monts du Cantal », ainsi que dans la ZNIEFF de type 1 « Puy Mary ».
Randonnée[modifier | modifier le code]
La montagne est traversée par le sentier de grande randonnée 400.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- Vincent Flauraud, La vallée de la Jordanne, Lulu.com, (ISBN 978-2-9536058-5-3, lire en ligne), p. 50
- Centre France, « Une cérémonie a eu lieu, dimanche, en mémoire des deux militaires décédés en 1992 », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
- « FR8301055 - Massif cantalien », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
