Johnny Hill
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| Johnny Hill | |
| Fiche d’identité | |
|---|---|
| Nationalité | Écossaise |
| Naissance | Leith, Écosse |
| Décès | (à 23 ans) Fife, Écosse |
| Style | Boxe anglaise |
| Taille | 1,61 m (5′ 3″) |
| Catégorie | Poids mouches |
| Palmarès | |
| Professionnel | |
| Carrière | 1926-1929 |
| Combats | 23 |
| Victoires | 18 |
| Victoires par KO | 9 |
| Défaites | 1 |
| Matchs nuls | 3 |
| Sans décision | 1 |
| Titres professionnels | Champion du monde des poids mouches (1928-1929)[1] Champion d’Europe des poids mouches (1928-1929) Champion britannique des poids mouches (1927-1929) |
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Johnny Hill, né le à Leith et mort le à Fife, est un boxeur écossais. Il remporte en l’espace de dix-huit les titres de champion du Royaume-Uni, champion d'Europe et champion du monde[1] des poids mouches avant de mourir de pneumonie aiguë à l'âge de 23 ans[2].
Biographie[modifier | modifier le code]
Né à Leith au nord d'Édimbourg, Johnny Hill remporte dans les rangs amateurs les titres de champion d'Écosse en poids mouches et poids coqs en 1924 à l'âge de 19 ans[2]. Entraîné par son père, il devient professionnel et remporte la ceinture britannique des poids mouches en battant Alf Barber. L'année suivante, il bat le Français Émile Pladner à Londres pour devenir champion d'Europe[3],[4],[5]. Le , il bat l’Américain Newsboy Brown devant cinquante mille personnes et devient champion du monde (titre reconnu par la Grande-Bretagne et la Californie). Alors qu'il doit affronter l'Américain Frankie Genaro pour le titre mondial, il meurt d'une pneumonie aiguë, due à un caillot sanguin dans un poumon[2].
Références[modifier | modifier le code]
- Sa ceinture mondiale est reconnue par la Fédération britannique et la Californie.
- (en) Brian Donald, « Johnny Hill, Scotland's first boxing world champion 1928 », A Sporting Nation (consulté le ).
- Fournier, « Comment, quoique dominé Johnny Hill a battu Pladner », L'Auto, no 9866, , p. 3 (lire en ligne).
- « Hill bat Pladner », Le Populaire, no 1781, , p. 3 (lire en ligne).
- C. W. Herring, « Impressions du G. Q. G. de Londres », Paris-soir, no 1539, , p. 4 (lire en ligne).
