Discussion:Premier régiment de France

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1) je maintiens que le général Berlon , blessé 3 fois en 14- 18 par les boches, n' était pas " pro- allemand "; 2) en quoi être favorable aux "idéaux de la Révolution nationale " permet- il de conclure que " l' attitude du général Berlon était pro- allemande " ? Cela ne relève- t- il pas du procès d' intention ? 3) avez- vous lu le procès in- extenso du Maréchal Pétain ? Th. Berlon. P.S. je ne sais même pas qui vous êtes , ni à qui j' écris !

Je tombe par hasard sur votre notice concernant le 1er RF ; en tant que petit-fils du général Berlon , je m'insurge contre les commentaires tendancieux que vous écrivez . Th. Berlon.

Général Berlon[modifier le code]

Il ne s'agit pas bien entendu de mettre des commentaires tendancieux dans l'article mais de rapporter au mieux les évènements de cette époque. Dans l'article, le seul commentaire qui pourrait à première vue paraître tendancieux est celui qui dit qu'Antoine Berlon était considéré comme pro-allemand. Ce commentaire n'est pas tendancieux.Le général Bridoux propose d'abord le poste au colonel Bertrand, qui commandait le 1er régiment d'infanterie avant sa dissolution le 27 novembre 1942. Il ne sait pas que Bertrand est dans l'ORA (Organisation de résistance de l'Armée) et d'ailleurs Bertrand refuse le poste. "Bridoux propose alors le poste au colonel Berlon. En effet, le général Delmotte, secrétaire général à la défense terrestre, aurait reçu plusieurs rapports sur l'attitude pro-allemande de Berlon lors de sa captivité en Allemagne ; les archives montrent en tout cas sa ferveur envers les idéaux de la Révolution nationale". La citation est tirée de La mise sur pied du 1er régiment de France, avril-octobre 1943, Philippe Naud, Université de Paris 1, Guerres mondiales et conflits contemporains, 2/2001, n° 201-203, p. 33-53.--109.210.251.113 (d) 28 mars 2012 à 12:41 (CEST)[répondre]