Équipe de Hongrie de football
Confédération | UEFA |
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Couleurs | rouge et blanc |
Surnom | Les Magyars Magiques |
Stade principal | Stade Ferenc Puskás |
Classement FIFA | 54e (18 septembre 2014)[1] |
Capitaine | Zoltán Gera |
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Plus sélectionné | József Bozsik (101 sélectons) |
Meilleur buteur | Ferenc Puskás (84 buts) |
Premier match | Modèle:Date sport (Autriche, 5-0) |
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Plus large victoire |
12-0, Russie (Modèle:Date sport) 13-1, France (Modèle:Date sport) 12-0, Albanie (Modèle:Date sport) |
Plus large défaite |
0-7, Angleterre (Modèle:Date sport) 0-7, Angleterre amateur (Modèle:Date sport) 0-7, Allemagne (Modèle:Date sport) 1-8, Pays-Bas (Modèle:Date sport) |
Coupe du monde |
Phases finales : 9 Finaliste en 1938 et 1954 |
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Championnat d’Europe |
Phases finales : 2 Troisième en 1964 |
Jeux olympiques | Médaille d'or en 1952, 1964 et 1968 |
Maillots
L'équipe de Hongrie de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs hongrois sous l'égide de la Fédération de Hongrie de football.
Histoire
Les débuts (1902-1938)
Si la Fédération Hongroise de football (Magyar Labdarúgó Szövetség), fondée en 1901, n'a rejoint la FIFA qu'en 1907, son équipe nationale (Magyar labdarúgó-válogatott) a disputé son premier match le , soldé par une défaite 5-0 contre l’Autriche. Un match historique puisqu'il s'agissait du premier opposant deux sélections non britanniques.
Le , la Hongrie s'incline 7-0 contre l’Angleterre. Cela restera la plus lourde défaite de son histoire.
Le , la Hongrie réalise la plus large victoire de son histoire, 13-1 contre la France.
La Hongrie participe à sa première Coupe du monde en 1934 en Italie. Le 27 mai à Naples, elle s'impose (4-2) face à l’Égypte. Mais en quarts de finale, le 31 mai à Bologne, elle s'incline (1-2) contre la Wunderteam autrichienne.
Quatre ans plus tard, la Coupe du monde a lieu en France. La Hongrie s'y montre particulièrement brillante puisqu'elle atteint la finale. Les hommes de Alfréd Schaffer s'imposent d'abord face aux Indes orientales néerlandaises (6-0 le 5 juin à Reims). Puis ils éliminent la Suisse (2-0 le 12 juin à Lille) et enfin en demi-finale la Suède (5-1, le 16 juin au Parc des Princes). Mais en finale, le 19 juin 1938 à Colombes, la sélection hongroise est surclassée (4-2) par l’Italie, qui conserve son titre.
Avec quinze buts inscrits, la Hongrie termine avec la meilleure attaque de l'épreuve. Gyula Zsengellér a inscrit six buts et György Sárosi cinq. Les autres buteurs sont Pál Titkos (2), Vilmos Kohut et Géza Toldi.
Le Onze d'Or (1950-1956)
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la Hongrie se retrouve dans la zone d'influence de l'URSS. En 1949, son équipe de football est reprise en main par Gusztáv Sebes. Celui-ci va constituer l'une des plus grandes équipes de l'histoire du football, avec des joueurs tels Ferenc Puskás, Zoltán Czibor, Sándor Kocsis, Nándor Hidegkuti, József Bozsik, Gyula Grosics, Jenő Buzánszky, Mihály Lantos, Gyula Lóránt, József Zakariás, Péter Palotás...
Depuis le 14 mai 1950 et une défaite 5-3 en Autriche, cette équipe ne perd aucun match et fait la fierté du peuple magyar qui l'a surnommée l'Aranycsapat (littéralement « l'Équipe d'Or » en hongrois).
C'est aux Jeux Olympiques d'Helsinki en 1952 que le monde découvre cette équipe. Elle remporte la médaille d'or au terme d'un parcours sans faute qui l'a vu éliminer la Roumanie (2-1), l'Italie (3-0), la Turquie (7-1), la Suède (6-0) et enfin, en finale, la Yougoslavie (2-0).
L'année suivante, en 1953, l'équipe hongroise remporte la Coupe Internationale, une compétition entre équipes nationales d'Europe Centrale. La Hongrie termine en tête devant la Tchécoslovaquie et l'Autriche. Mais son plus bel exploit, l'équipe hongroise allait le réaliser à la fin de cette année 1953.
Le 25 novembre 1953, elle affronte l'Angleterre à Wembley pour une rencontre amicale considérée aujourd'hui comme le match du siècle. L'équipe anglaise est complètement dépassée par la virtuosité des joueurs magyars et s'incline sur le score historique de 6-3. Cette rencontre, première défaite à domicile de la sélection anglaise contre une équipe du continent, est considérée comme un tournant de l'histoire du football. L'Angleterre n'est plus le maître du monde en matière de football. Tactiquement, son WM pratiqué depuis les années 1920 a volé en éclats face au 4-2-4 des Hongrois.
La Hongrie, invaincue depuis quatre ans, est la grande favorite de la Coupe du monde 1954 qui se déroule en Suisse. Le score des deux matches du premier tour se passent de commentaires : 9-0 contre la Corée du Sud, puis 8-3 contre l'Allemagne de l'Ouest. L'équipe hongroise connait plus de difficultés lors des rencontres suivantes. Elle est privée de Ferenc Puskás, blessé, et leurs rugueux adversaires rendent les rencontres plutôt heurtées. En quarts de finale, les Hongrois parviennent à éliminer le Brésil (4-2), puis en demi-finale sortent l'Uruguay, tenant du titre, sur le même score après prolongation.
La défaite de 1954
Le 4 juillet 1954 au Wankdorf de Berne, la Hongrie, avec Puskás rétabli, retrouve l'Allemagne de l'Ouest. La rencontre démarre bien pour les Hongrois qui mènent 2-0 après huit minutes de jeu. Mais les Allemands parviennent à revenir au score grâce à Morlock et Rahn, qui égalise à la 18e minute. Le match s'enlise sur un terrain rendu boueux par la pluie. À sept minutes de la fin, Rahn déclenche une frappe qui scelle la victoire de la RFA (3-2). Dans les derniers instants du match Ferenc Puskás égalise pour la Hongrie, mais l'arbitre refuse son but pour hors-jeu. C'est la première défaite de l'équipe d'or depuis 31 matchs et quatre ans. En octobre 2010, une enquête allemande révèle que la victoire de la RFA était volée car l'équipe allemande s'était dopée à la pervitine aussi couramment connu sous le nom de la « drogue du soldat »[2],[3],[4],[5].
Mince consolation, Sándor Kocsis termine meilleur buteur du tournoi avec le chiffre record de onze buts.
En dépit de la déception de Berne, l'équipe hongroise poursuit sa série, alignant 18 nouveaux matches sans défaite, avec notamment une belle victoire en Union Soviétique. En 1956, elle s'incline en Turquie. L'histoire de cette équipe hongroise de légende prendra fin le 23 octobre 1956, jour où les chars russes entrent à Budapest pour écraser l'insurrection hongroise. Au moment des évènement, la plupart des joueurs de l'équipe sont en déplacement pour un match de Coupe d'Europe avec le Budapest Honvéd. Certains joueurs décident de ne pas rentrer. Puskás, Czibor et Kocsis choisissent de s'installer en Espagne et de jouer au Real Madrid et à Barcelone. Certains adopteront la nationalité espagnole et ne joueront plus jamais pour la Hongrie.
Les successeurs (1960-1968)
Après l'éparpillement de son « Équipe d'Or », la Hongrie se trouve rapidement une nouvelle équipe, montée autour de son meilleur joueur, Flórián Albert. Moins talentueuse que sa devancière, cette équipe n'en constituera pas moins l'une des meilleures sélections des années soixante.
La Coupe du monde 1958 en Suède présente un bilan mitigé. La Hongrie, où figurent encore Hidegkuti, Bozsik et Grosics, est tenue en échec par le Pays de Galles (1-1) puis s'incline (2-1) devant la Suède. Sa large victoire (4-0) contre le Mexique lui donne une meilleure différence de buts que les Gallois, mais à l'époque, on n'en tenait pas compte. Un match d'appui est nécessaire, que les Hongrois perdront (2-1).
Après le Mondial Suédois, la sélection hongroise prend part à la première Coupe d'Europe des Nations. Elle s'incline dès son entrée en lice en huitième de finale face à l'Union Soviétique, qui s'impose 3-1 à Moscou puis 1-0 à Budapest.
Deux ans plus tard, la Hongrie remporte la médaille de bronze du tournoi des Jeux Olympiques de Rome. Après avoir survolé son premier tour (2-1 contre l'Inde, 6-2 contre le Pérou, 7-0 contre la France), la Hongrie s'incline en demi-finales face au Danemark (2-0). Elle accrochera le podium en battant l'Italie (2-1) lors du match de classement. Flórián Albert a inscrit six buts au cours du tournoi.
Lors de la Coupe du monde 1962 au Chili, la Hongrie bat l'Angleterre (2-1) puis surclasse la Bulgarie (6-1). Le match nul (0-0) contre l'Argentine lui permet de passer le premier tour. Mais en quart de finale le 10 juin à Rancagua, elle s'incline (1-0) contre la Tchécoslovaquie, future finaliste de l'épreuve.
En 1964, la Hongrie se qualifie pour le tournoi final de la Coupe d'Europe des Nations, après avoir éliminé le Pays de Galles (3-1 ; 1-1), la RDA (2-1 ; 3-3) et la France (3-1 ; 2-1). En demi-finale le 17 juin à Madrid, elle s'incline (2-1 après prolongations) face à l'Espagne, futur vainqueur de l'épreuve. La Hongrie accroche toutefois la troisième place en battant le Danemark (3-1 après prolongations) en match de classement.
En 1964, la Hongrie remporte sa deuxième médaille d'or aux Jeux de Tokyo. Au premier tour, Ferenc Bene inscrit les six buts de la victoire (6-0) face au Maroc. Les Hongrois inscrivent de nouveau six buts lors de leur deuxième match face à la Yougoslavie (6-5). En quarts de finale, les Hongrois éliminent la Roumanie (2-1) puis écartent l'Égypte sur un nouveau gros score (6-0). En finale, ils prennent leur revanche contre la Tchécoslovaquie et s'imposent 2-1.
Lors de la Coupe du monde 1966 en Angleterre, la Hongrie est battue d'entrée par le Portugal (1-3). Mais deux jours plus tard à Liverpool, elle crée la surprise en s'imposant (3-1) face au Brésil. Elle se qualifie ensuite en battant la Bulgarie (3-1). Mais en quart de finale le 23 juillet à Sunderland, elle s'incline (2-1) contre l'U.R.S.S..
Pour le Championnat d'Europe 1968, la Hongrie termine en tête de son groupe éliminatoire (devant la RDA, les Pays-Bas et le Danemark). Mais elle ne se qualifie pas pour le tournoi final, battu une nouvelle fois par l'U.R.S.S. (2-0 ; 0-3).
Lors des Jeux de Mexico en 1968, la Hongrie conserve son titre. Elle bat le Salvador (4-0), est accrochée par le Ghana (2-2) mais passe le premier tour en battant Israël (2-0). En quart de finale elle bat le Guatemala (1-0) puis le Japon (5-0) avant de triompher en finale de la Bulgarie (4-1). La Hongrie remporte son troisième titre olympique de football (1952, 1964, 1968). C'est le seul pays à avoir réalisé cette performance. En outre, son défenseur Dezső Novák est le premier et seul footballeur de l'histoire à avoir remporté trois médailles olympiques (l'or en 1964 et 1968, le bronze en 1960).
Le long déclin (1970-1986)
La sélection hongroise manque la qualification aux Coupes du monde 1970 et 1974. Malgré une belle quatrième place au Championnat d'Europe 1972, elle entre dans le rang. Avec une nouvelle génération emmenée par András Törőcsik, László Fazekas et Tibor Nyilasi, elle relève la tête à la fin des années 1970, mais reste loin du niveau de ses devancières.
En 1972, la Hongrie atteint la quatrième place du Championnat d'Europe. Après avoir devancé dans son groupe éliminatoire la Bulgarie, la France et la Norvège, la Hongrie dispose de la Roumanie après trois rencontres, un match d'appui à Belgrade ayant été nécessaire pour départager les deux formations (1-1, 2-2, 2-1). Mais la phase finale en Belgique se soldera par un échec. La Hongrie y retrouve l'URSS qui l'élimine (1-0) en demi-finale à Bruxelles. En match de classement, les Hongrois seront battus par la Belgique (2-1).
Aux Jeux Olympiques de Munich, les Hongrois manquent de remporter leur quatrième médaille d'or. Ils échouent en finale contre la Pologne (2-1). La Hongrie avait successivement rencontré l'Iran (5-0), le Brésil (2-2), le Danemark (2-0) puis la RDA (2-0), la RFA (4-1) et le Mexique (2-0).
Absente des Coupes du monde 1970 et 1974, des Jeux Olympiques et du championnat d'Europe en 1976, la Hongrie revient au haut niveau international en 1978 lorsqu'elle se qualifie pour la Coupe du monde en Argentine. Au premier tour, elle tombe malheureusement dans le groupe le plus ardu composé de l'Argentine, l'Italie et la France. Et repart avec trois défaites (respectivement 1-2, 1-3 et 1-3) en trois rencontres.
La Coupe du monde 1982 en Espagne commence en fanfare pour l'équipe de Hongrie. Le 15 juin à Elche, elle réalise face au Salvador le plus gros score des phases finales de la Coupe du monde : 10-1 (trois buts de László Kiss, doublés de László Fazekas et de Tibor Nyilasi, buts de József Tóth, de Gábor Pölöskei et de Lázár Szentes).
La suite est moins rose. Les Hongrois tombent lourdement contre l'Argentine (4-1) puis concèdent le match nul (1-1) face à la Belgique, score qui les empêche d'accéder au deuxième tour.
La Coupe du monde 1986 au Mexique démarre douloureusement. La Hongrie s'incline 6-0 face à l'URSS. Si sa victoire (2-0) face au Canada lui donne un peu d'espoir, l'équipe est balayée (3-0) par la France.
La Hongrie depuis 1986
La Hongrie n’a plus participé à la Coupe du monde de football depuis 1986. En manque de grands joueurs, l'équipe parvient tout juste à se placer au-dessus des bas-fonds du football européen. En juillet 1996, elle occupe la 87e place du classement mondial de la FIFA. En janvier 2009, elle occupe la 47e place du classement mondial de la FIFA. En 2011 elle occupe la 27e place du classement mondial de la FIFA.
Le 11 octobre, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2014, bien que correctement classée dans son groupe, l'équipe de Hongrie subit une cuisante défaite face aux Pays-Bas huit buts à un. C'est la pire défaite depuis 1941 de la sélection hongroise.
L'équipe d'aujourd'hui
Liste des joueurs convoqués pour disputer le match contre la Roumanie le 22 mars 2013.
Sélections et buts actualisés le 19 mars 2013.
N° | Pos | Nom | Date de naissance | Sélections | Buts | Club |
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GB | Ádám Bogdán | 13 | 0 | Bolton Wanderers | ||
GB | Gábor Király | 87 | 0 | Munich 1860 | ||
GB | Balázs Megyeri | 0 | 0 | Olympiakos | ||
DF | Vilmos Vanczák | 68 | 2 | Sion | ||
DF | József Varga | 18 | 0 | Greuther Fürth | ||
DF | Zoltán Lipták | 12 | 1 | Győri ETO | ||
DF | Zsolt Korcsmár | 15 | 0 | Greuther Fürth | ||
DF | Tamás Kádár | 8 | 0 | Diósgyőri VTK | ||
DF | Norbert Mészáros | 6 | 0 | Debreceni VSC | ||
DF | Richárd Guzmics | 1 | 0 | Szombathelyi Haladás | ||
ML | Tamás Hajnal | 53 | 6 | FC Ingolstadt 04 | ||
ML | Balázs Dzsudzsák | 50 | 10 | Dynamo Moscou | ||
ML | Péter Halmosi | 34 | 0 | Szombathelyi Haladás | ||
ML | Vladimir Koman | 26 | 7 | FC Ural Sverdlovsk Oblast | ||
ML | Ákos Elek | 24 | 1 | Diósgyőri VTK | ||
ML | Ádám Gyurcsó | 7 | 1 | Kecskeméti TE | ||
ML | Ádám Pintér | 13 | 0 | FC Tom Tomsk | ||
ML | Péter Szakály | 3 | 0 | Debreceni VSC | ||
ML | Máté Pátkai | 2 | 0 | Győri ETO | ||
ML | István Kovács | 0 | 0 | Videoton | ||
AT | Imre Szabics | 34 | 13 | Sturm Graz | ||
AT | Gergely Rudolf | 24 | 9 | Győri ETO | ||
AT | Ádám Szalai | 14 | 7 | FC Schalke 04 | ||
AT | Dániel Böde | 1 | 0 | Ferencváros |
Palmarès
Parcours en Coupe du monde
Année | Parcours en qualif. | Pts | J | G | N | P | BP | BC | Dif. | Parcours en phase finale | Rang FIFA | J | G | N | P | BP | BC | Dif. |
1930 | Non invité | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
1934 | 2e sur 3 | 2 | 2 | 1 | 0 | 0 | 6 | 1 | -1 | Quarts de finale | 6e/16 | 2 | 1 | 0 | 1 | 5 | 4 | +1 |
1938 | 2e tour[6] | (2) | 1 | 1 | 0 | 0 | 11 | 1 | +10 | Finale | 2e/15 | 4 | 3 | 0 | 1 | 15 | 5 | +10 |
1950 | Non-inscrit | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1954 | 1er sur 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | Finale | 2e/16 | 5 | 4 | 0 | 1 | 27 | 10 | +17 |
1958 | 1er sur 3 | 6 | 4 | 3 | 0 | 1 | 12 | 4 | +8 | 1er tour | 10e/16 | 4 | 1 | 1 | 2 | 7 | 5 | +2 |
1962 | 1er sur 3 | 7 | 4 | 3 | 1 | 0 | 11 | 5 | +6 | Quarts de finale | 5e/16 | 4 | 1 | 1 | 2 | 8 | 3 | -5 |
1966 | 1er sur 3 | 7 | 4 | 3 | 1 | 0 | 8 | 3 | +5 | Quarts de finale | - | 4 | 2 | 0 | 2 | 8 | 7 | +1 |
1970 | 1er sur 4/Barrages[7] | 9 | 7 | 4 | 1 | 2 | 17 | 11 | +6 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
1974 | 3e sur 4 | 8 | 6 | 2 | 4 | 0 | 12 | 7 | +5 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
1978 | 1er sur 3/Barrages[8] | 9 | 6 | 4 | 1 | 1 | 15 | 6 | +9 | 1er tour | 15e/16 | 3 | 0 | 0 | 3 | 3 | 8 | -5 |
1982 | 1er sur 5 | 10 | 8 | 4 | 2 | 2 | 13 | 8 | +5 | 1er tour | 14e/24 | 3 | 1 | 1 | 1 | 12 | 6 | +6 |
1986 | 1er sur 4 | 10 | 6 | 5 | 0 | 1 | 12 | 4 | +8 | 1er tour | 18e/24 | 3 | 1 | 0 | 2 | 2 | 8 | -7 |
1990 | 3e sur 5 | 8 | 8 | 2 | 4 | 2 | 8 | 12 | -4 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
1994 | 4e sur 5 | 5 | 8 | 2 | 1 | 5 | 6 | 11 | -5 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
1998 | 2e sur 5/Barrages[9] | 12 | 10 | 3 | 3 | 4 | 11 | 15 | -4 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
2002 | 4e sur 5 | 8 | 8 | 2 | 2 | 4 | 14 | 13 | +1 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
2006 | 4e sur 6 | 14 | 10 | 4 | 2 | 4 | 13 | 14 | -1 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
2010 | 4e sur 6 | 16 | 10 | 5 | 1 | 4 | 10 | 8 | +3 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
2014 | 3e sur 6 | 17 | 10 | 5 | 2 | 3 | 21 | 20 | +1 | Non qualifié | - | - | - | - | - | - | - | - |
BILAN | - | - | 112 | 53 | 25 | 33 | 200 | 143 | 52 | - | - | 32 | 14 | 3 | 15 | 87 | 56 | 20 |
En gras : meilleures performances de l'équipe de Hongrie.
Parcours en Championnat d'Europe
- 1960 : Huitièmes de finale
- 1964 : 3e
- 1968 : Quarts de finale
- 1972 : 4e
- 1976 : Tour préliminaire
- 1980 : Tour préliminaire
- 1984 : Tour préliminaire
- 1988 : Tour préliminaire
- 1992 : Tour préliminaire
- 1996 : Tour préliminaire
- 2000 : Tour préliminaire
- 2004 : Tour préliminaire
- 2008 : Tour préliminaire
- 2012 : Tour préliminaire
Figures
Sélectionneurs
- 1902-1904 : Ferenc Gillemot (5 matches, 3 victoires, 2 défaites)
- 1904–1906 : Ferenc Stobbe (3 matches, 2 nuls, 1 défaite)
- 1906 : Alfréd Hajós (2 matches, 1 victoire, 1 nul)
- 1907–1908 : Ferenc Stobbe (7 matches, 3 victoires, 4 défaites)
- 1908–1911 : Frigyes Minder (13 matches, 6 victoires, 3 nuls, 4 défaites)
- 1911–1914 : Ede Herczog (22 matches, 14 victoires, 5 nuls, 3 défaites)
- 1914–1917 : Frigyes Minder (14 matches, 8 victoires, 2 nuls, 4 défaites)
- 1918–1919 : Ákos Fehéry (5 matches, 5 victoires)
- 1919 : Frigyes Minder (2 matches, 1 victoire, 1 défaite)
- 1920 : József Harsády (1 match, 1 nul)
- 1920 : Lajos Tibor (2 matches, 2 défaites)
- 1921–1924 : Gyula Kiss (23 matches, 11 victoires, 7 nuls, 5 défaites)
- 1924 : Ödön Holits (1 match, 1 victoires)
- 1924–1926 : Lajos Máriássy (14 matches, 6 victoires, 2 nuls, 6 défaites)
- 1926–1928 : Gyula Kiss (17 matches, 9 victoires, 1 nul, 7 défaites)
- 1928–1929 : János Földessy (6 matches, 3 victoires, 2 nuls, 1 défaite)
- 1930 : Frigyes Minder (4 matches, 3 victoires, 1 défaite)
- 1930 : Mihály Pataki (3 matches, 2 nuls, 1 défaite)
- 1930–1932 : Lajos Máriássy (17 matches, 6 victoires, 6 nuls, 5 défaites)
- 1932–1934 : Ödön Nádas (16 matches, 7 victoires, 3 nuls, 6 défaites)
- 1934–1939 : Károly Dietz (41 matches, 19 victoires, 9 nuls, 13 défaites)
- 1939–1941 : Dénes Ginzery (13 matches, 5 victoires, 7 nuls, 1 défaite)
- 1941 : Dénes Ginzery (1 match, 1 victoires)
- 1941-1942 : József Fábián (3 matches, 1 nul, 2 défaites)
- 1942–1943 : Kálmán Vághy (6 matches, 5 victoires, 1 défaite)
- 1945–1948 : Tibor Gallowich (22 matches, 16 victoires, 1 nul, 5 défaites)
- 1949–1956 : Gusztáv Sebes (66 matches, 49 victoires, 11 nuls, 6 défaites)
- 1956–1957 : Márton Bukovi (8 matches, 6 victoires, 1 nul, 1 défaite)
- 1957 : Lajos Baróti & Károly Lakat & Károly Soós (4 matches, 3 victoires, 1 défaite)
- 1957–1966 : Lajos Baróti (80 matches, 43 victoires, 18 nuls, 19 défaites)
- 1966–1967 : Rudolf Illovszky (10 matches, 8 victoires, 1 nul, 1 défaites)
- 1968–1969 : Károly Soós (10 matches, 5 victoires, 4 nuls, 1 défaite)
- 1970–1971 : József Hoffer (10 matches, 4 victoires, 3 nuls, 3 défaites)
- 1971–1974 : Rudolf Illovszky (29 matches, 12 victoires, 9 nuls, 8 défaites)
- 1974 : József Bozsik (1 match, 1 défaite)
- 1974–1975 : Ede Moór (6 matches, 2 victoires, 2 nuls, 2 défaites)
- 1975 : János Szocs (1 match, 1 défaite)
- 1975–1978 : Lajos Baróti (57 matches, 19 victoires, 9 nuls, 9 défaites)
- 1978–1979 : Ferenc Kovács (8 matches, 2 victoires, 4 nuls, 2 défaites)
- 1979–1980 : Károly Lakat (6 matches, 3 victoires, 3 défaites)
- 1980–1983 : Kálmán Mészöly (31 matches, 13 victoires, 6 nuls, 12 défaites)
- 1983–1986 : György Mezey (30 matches, 18 victoires, 5 nuls, 7 défaites)
- 1986 : Imre Komora (3 matches, 1 nul, 2 défaites)
- 1987 : József Garami (5 matches, 2 victoires, 1 nul, 2 défaites)
- 1987 : József Verebes (4 matches, 2 victoires, 1 nul, 1 défaite)
- 1988 : György Mezey (5 matches, 2 victoires, 2 nuls, 1 défaites)
- 1988 : László Bálint (6 matches, 2 victoires, 2 nuls, 2 défaites)
- 1989 : Bertalan Bicskei (9 matches, 2 victoires, 4 nuls, 3 défaites)
- 1990–1991 : Kálmán Mészöly (18 matches, 8 victoires, 3 nuls, 7 défaites)
- 1991 : Róbert Glázer (4 matches, 2 nuls, 2 défaites)
- 1992–1993 : Imre Jenei (14 matches, 6 victoires, 4 nuls, 4 défaites)
- 1993 : Ferenc Puskás (4 matches, 1 victoire, 3 défaites)
- 1993–1994 : József Verebes (10 matches, 1 victoire, 2 nuls, 7 défaites)
- 1994–1995 : Kálmán Mészöly (11 matches, 2 victoires, 3 nuls, 6 défaites)
- 1996–1997 : János Csank (16 matches, 6 victoires, 2 nuls, 8 défaites)
- 1998–2001 : Bertalan Bicskei (36 matches, 13 victoires, 15 nuls, 8 défaites)
- 2001–2003 : Imre Gellei (23 matches, 8 victoires, 3 nuls, 12 défaites)
- 2004–2005 : Lothar Matthäus (28 matches, 11 victoires, 3 nuls, 14 défaites)
- 2006 : Péter Bozsik (7 matches, 3 victoires, 4 défaites)
- 2006–2008 : Péter Várhidi (16 matches, 7 victoires, 1 nul, 8 défaites)
- 2008–2010 : Erwin Koeman (20 matches, 7 victoires, 4 nuls, 9 défaites)
- 2010–2013 : Sándor Egervári (34 matches, 17 victoires, 8 nuls, 9 défaites)
- déC. 2013–sep. 2014 : Attila Pintér
Principaux joueurs
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Records individuels
Statistiques arrêtées au 19 mars 2013[10]
Joueurs les plus capés | |||
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Sélections | Joueur | Période | Buts |
101 | József Bozsik | 1947-1962 | 11 |
92 | László Fazekas | 1968-1983 | 24 |
87 | Gábor Király | 1998- | 0 |
86 | Gyula Grosics | 1947-1962 | 0 |
85 | Ferenc Puskás | 1945-1956 | 84 |
Meilleurs buteurs | |||
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Buts | Joueur | Période | Matches |
84 | Ferenc Puskás | 1945-1956 | 85 |
75 | Sandor Kocsis | 1948-1956 | 68 |
59 | Imre Schlosser-Lakatos | 1906-1927 | 68 |
51 | Lajos Tichy | 1955-1964 | 72 |
42 | Gyorgy Sarosi | 1931-1943 | 62 |
Notes et références
- « Classement mondial », sur fr.fifa.com, (consulté le ).
- Les champions du monde 1954 étaient dopés
- Les « héros de Berne » étaient dopés
- Les champions du monde allemands de 1954 étaient dopés
- La Coupe du monde « volée » aux Hongrois en 1954 !
- La Hongrie dispute doit disputer un match contre la Grèce, vainqueur d'un duel contre la Palestine mandataire, et s'impose 11-1.
- Première ex-aequo de son groupe avec la Tchécoslovaquie, la Hongrie dispute contre cette dernière un match de barrage sur terrain neutre (à Marseille), qu'elle perd 4-1.
- Victoires 6-0 et 3-2 contre la Bolivie
- Défaites 7-1 et 5-0 contre la Yougoslavie
- (en) Hungary - Record International Players, sur rsssf.com
Voir aussi