Équipe de Hongrie de football

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Équipe de Hongrie
Généralités
Confédération UEFA
Couleurs rouge et blanc
Surnom Les Magyars Magiques
Stade principal Stade Ferenc Puskás
Classement FIFA en diminution 54e (18 septembre 2014)[1]
Personnalités
Capitaine Zoltán Gera
Plus sélectionné József Bozsik (101 sélectons)
Meilleur buteur Ferenc Puskás (84 buts)
Rencontres officielles historiques
Premier match Modèle:Date sport (Autriche, 5-0)
Plus large victoire 12-0, Russie (Modèle:Date sport)
13-1, France (Modèle:Date sport)
12-0, Albanie (Modèle:Date sport)
Plus large défaite 0-7, Angleterre (Modèle:Date sport)
0-7, Angleterre amateur (Modèle:Date sport)
0-7, Allemagne (Modèle:Date sport)
1-8, Pays-Bas (Modèle:Date sport)
Palmarès
Coupe du monde Phases finales : 9
Finaliste en 1938 et 1954
Championnat d’Europe Phases finales : 2
Troisième en 1964
Jeux olympiques Médaille d'or en 1952, 1964 et 1968

Maillots

Domicile

Extérieur

L'équipe de Hongrie de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs hongrois sous l'égide de la Fédération de Hongrie de football.

Histoire

Les débuts (1902-1938)

Si la Fédération Hongroise de football (Magyar Labdarúgó Szövetség), fondée en 1901, n'a rejoint la FIFA qu'en 1907, son équipe nationale (Magyar labdarúgó-válogatott) a disputé son premier match le , soldé par une défaite 5-0 contre l’Autriche. Un match historique puisqu'il s'agissait du premier opposant deux sélections non britanniques.

Le , la Hongrie s'incline 7-0 contre l’Angleterre. Cela restera la plus lourde défaite de son histoire.

Le , la Hongrie réalise la plus large victoire de son histoire, 13-1 contre la France.

La Hongrie participe à sa première Coupe du monde en 1934 en Italie. Le 27 mai à Naples, elle s'impose (4-2) face à l’Égypte. Mais en quarts de finale, le 31 mai à Bologne, elle s'incline (1-2) contre la Wunderteam autrichienne.

Quatre ans plus tard, la Coupe du monde a lieu en France. La Hongrie s'y montre particulièrement brillante puisqu'elle atteint la finale. Les hommes de Alfréd Schaffer s'imposent d'abord face aux Indes orientales néerlandaises (6-0 le 5 juin à Reims). Puis ils éliminent la Suisse (2-0 le 12 juin à Lille) et enfin en demi-finale la Suède (5-1, le 16 juin au Parc des Princes). Mais en finale, le 19 juin 1938 à Colombes, la sélection hongroise est surclassée (4-2) par l’Italie, qui conserve son titre.

Avec quinze buts inscrits, la Hongrie termine avec la meilleure attaque de l'épreuve. Gyula Zsengellér a inscrit six buts et György Sárosi cinq. Les autres buteurs sont Pál Titkos (2), Vilmos Kohut et Géza Toldi.

Le Onze d'Or (1950-1956)

Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la Hongrie se retrouve dans la zone d'influence de l'URSS. En 1949, son équipe de football est reprise en main par Gusztáv Sebes. Celui-ci va constituer l'une des plus grandes équipes de l'histoire du football, avec des joueurs tels Ferenc Puskás, Zoltán Czibor, Sándor Kocsis, Nándor Hidegkuti, József Bozsik, Gyula Grosics, Jenő Buzánszky, Mihály Lantos, Gyula Lóránt, József Zakariás, Péter Palotás...

Depuis le 14 mai 1950 et une défaite 5-3 en Autriche, cette équipe ne perd aucun match et fait la fierté du peuple magyar qui l'a surnommée l'Aranycsapat (littéralement « l'Équipe d'Or » en hongrois).

C'est aux Jeux Olympiques d'Helsinki en 1952 que le monde découvre cette équipe. Elle remporte la médaille d'or au terme d'un parcours sans faute qui l'a vu éliminer la Roumanie (2-1), l'Italie (3-0), la Turquie (7-1), la Suède (6-0) et enfin, en finale, la Yougoslavie (2-0).

L'année suivante, en 1953, l'équipe hongroise remporte la Coupe Internationale, une compétition entre équipes nationales d'Europe Centrale. La Hongrie termine en tête devant la Tchécoslovaquie et l'Autriche. Mais son plus bel exploit, l'équipe hongroise allait le réaliser à la fin de cette année 1953.

Le 25 novembre 1953, elle affronte l'Angleterre à Wembley pour une rencontre amicale considérée aujourd'hui comme le match du siècle. L'équipe anglaise est complètement dépassée par la virtuosité des joueurs magyars et s'incline sur le score historique de 6-3. Cette rencontre, première défaite à domicile de la sélection anglaise contre une équipe du continent, est considérée comme un tournant de l'histoire du football. L'Angleterre n'est plus le maître du monde en matière de football. Tactiquement, son WM pratiqué depuis les années 1920 a volé en éclats face au 4-2-4 des Hongrois.

La Hongrie, invaincue depuis quatre ans, est la grande favorite de la Coupe du monde 1954 qui se déroule en Suisse. Le score des deux matches du premier tour se passent de commentaires : 9-0 contre la Corée du Sud, puis 8-3 contre l'Allemagne de l'Ouest. L'équipe hongroise connait plus de difficultés lors des rencontres suivantes. Elle est privée de Ferenc Puskás, blessé, et leurs rugueux adversaires rendent les rencontres plutôt heurtées. En quarts de finale, les Hongrois parviennent à éliminer le Brésil (4-2), puis en demi-finale sortent l'Uruguay, tenant du titre, sur le même score après prolongation.

La défaite de 1954

Le 4 juillet 1954 au Wankdorf de Berne, la Hongrie, avec Puskás rétabli, retrouve l'Allemagne de l'Ouest. La rencontre démarre bien pour les Hongrois qui mènent 2-0 après huit minutes de jeu. Mais les Allemands parviennent à revenir au score grâce à Morlock et Rahn, qui égalise à la 18e minute. Le match s'enlise sur un terrain rendu boueux par la pluie. À sept minutes de la fin, Rahn déclenche une frappe qui scelle la victoire de la RFA (3-2). Dans les derniers instants du match Ferenc Puskás égalise pour la Hongrie, mais l'arbitre refuse son but pour hors-jeu. C'est la première défaite de l'équipe d'or depuis 31 matchs et quatre ans. En octobre 2010, une enquête allemande révèle que la victoire de la RFA était volée car l'équipe allemande s'était dopée à la pervitine aussi couramment connu sous le nom de la « drogue du soldat »[2],[3],[4],[5].

Mince consolation, Sándor Kocsis termine meilleur buteur du tournoi avec le chiffre record de onze buts.

En dépit de la déception de Berne, l'équipe hongroise poursuit sa série, alignant 18 nouveaux matches sans défaite, avec notamment une belle victoire en Union Soviétique. En 1956, elle s'incline en Turquie. L'histoire de cette équipe hongroise de légende prendra fin le 23 octobre 1956, jour où les chars russes entrent à Budapest pour écraser l'insurrection hongroise. Au moment des évènement, la plupart des joueurs de l'équipe sont en déplacement pour un match de Coupe d'Europe avec le Budapest Honvéd. Certains joueurs décident de ne pas rentrer. Puskás, Czibor et Kocsis choisissent de s'installer en Espagne et de jouer au Real Madrid et à Barcelone. Certains adopteront la nationalité espagnole et ne joueront plus jamais pour la Hongrie.

Les successeurs (1960-1968)

Après l'éparpillement de son « Équipe d'Or », la Hongrie se trouve rapidement une nouvelle équipe, montée autour de son meilleur joueur, Flórián Albert. Moins talentueuse que sa devancière, cette équipe n'en constituera pas moins l'une des meilleures sélections des années soixante.

La Coupe du monde 1958 en Suède présente un bilan mitigé. La Hongrie, où figurent encore Hidegkuti, Bozsik et Grosics, est tenue en échec par le Pays de Galles (1-1) puis s'incline (2-1) devant la Suède. Sa large victoire (4-0) contre le Mexique lui donne une meilleure différence de buts que les Gallois, mais à l'époque, on n'en tenait pas compte. Un match d'appui est nécessaire, que les Hongrois perdront (2-1).

Après le Mondial Suédois, la sélection hongroise prend part à la première Coupe d'Europe des Nations. Elle s'incline dès son entrée en lice en huitième de finale face à l'Union Soviétique, qui s'impose 3-1 à Moscou puis 1-0 à Budapest.

Deux ans plus tard, la Hongrie remporte la médaille de bronze du tournoi des Jeux Olympiques de Rome. Après avoir survolé son premier tour (2-1 contre l'Inde, 6-2 contre le Pérou, 7-0 contre la France), la Hongrie s'incline en demi-finales face au Danemark (2-0). Elle accrochera le podium en battant l'Italie (2-1) lors du match de classement. Flórián Albert a inscrit six buts au cours du tournoi.

Lors de la Coupe du monde 1962 au Chili, la Hongrie bat l'Angleterre (2-1) puis surclasse la Bulgarie (6-1). Le match nul (0-0) contre l'Argentine lui permet de passer le premier tour. Mais en quart de finale le 10 juin à Rancagua, elle s'incline (1-0) contre la Tchécoslovaquie, future finaliste de l'épreuve.

En 1964, la Hongrie se qualifie pour le tournoi final de la Coupe d'Europe des Nations, après avoir éliminé le Pays de Galles (3-1 ; 1-1), la RDA (2-1 ; 3-3) et la France (3-1 ; 2-1). En demi-finale le 17 juin à Madrid, elle s'incline (2-1 après prolongations) face à l'Espagne, futur vainqueur de l'épreuve. La Hongrie accroche toutefois la troisième place en battant le Danemark (3-1 après prolongations) en match de classement.

En 1964, la Hongrie remporte sa deuxième médaille d'or aux Jeux de Tokyo. Au premier tour, Ferenc Bene inscrit les six buts de la victoire (6-0) face au Maroc. Les Hongrois inscrivent de nouveau six buts lors de leur deuxième match face à la Yougoslavie (6-5). En quarts de finale, les Hongrois éliminent la Roumanie (2-1) puis écartent l'Égypte sur un nouveau gros score (6-0). En finale, ils prennent leur revanche contre la Tchécoslovaquie et s'imposent 2-1.

Lors de la Coupe du monde 1966 en Angleterre, la Hongrie est battue d'entrée par le Portugal (1-3). Mais deux jours plus tard à Liverpool, elle crée la surprise en s'imposant (3-1) face au Brésil. Elle se qualifie ensuite en battant la Bulgarie (3-1). Mais en quart de finale le 23 juillet à Sunderland, elle s'incline (2-1) contre l'U.R.S.S..

Pour le Championnat d'Europe 1968, la Hongrie termine en tête de son groupe éliminatoire (devant la RDA, les Pays-Bas et le Danemark). Mais elle ne se qualifie pas pour le tournoi final, battu une nouvelle fois par l'U.R.S.S. (2-0 ; 0-3).

Lors des Jeux de Mexico en 1968, la Hongrie conserve son titre. Elle bat le Salvador (4-0), est accrochée par le Ghana (2-2) mais passe le premier tour en battant Israël (2-0). En quart de finale elle bat le Guatemala (1-0) puis le Japon (5-0) avant de triompher en finale de la Bulgarie (4-1). La Hongrie remporte son troisième titre olympique de football (1952, 1964, 1968). C'est le seul pays à avoir réalisé cette performance. En outre, son défenseur Dezső Novák est le premier et seul footballeur de l'histoire à avoir remporté trois médailles olympiques (l'or en 1964 et 1968, le bronze en 1960).

Le long déclin (1970-1986)

La sélection hongroise manque la qualification aux Coupes du monde 1970 et 1974. Malgré une belle quatrième place au Championnat d'Europe 1972, elle entre dans le rang. Avec une nouvelle génération emmenée par András Törőcsik, László Fazekas et Tibor Nyilasi, elle relève la tête à la fin des années 1970, mais reste loin du niveau de ses devancières.

En 1972, la Hongrie atteint la quatrième place du Championnat d'Europe. Après avoir devancé dans son groupe éliminatoire la Bulgarie, la France et la Norvège, la Hongrie dispose de la Roumanie après trois rencontres, un match d'appui à Belgrade ayant été nécessaire pour départager les deux formations (1-1, 2-2, 2-1). Mais la phase finale en Belgique se soldera par un échec. La Hongrie y retrouve l'URSS qui l'élimine (1-0) en demi-finale à Bruxelles. En match de classement, les Hongrois seront battus par la Belgique (2-1).

Aux Jeux Olympiques de Munich, les Hongrois manquent de remporter leur quatrième médaille d'or. Ils échouent en finale contre la Pologne (2-1). La Hongrie avait successivement rencontré l'Iran (5-0), le Brésil (2-2), le Danemark (2-0) puis la RDA (2-0), la RFA (4-1) et le Mexique (2-0).

Absente des Coupes du monde 1970 et 1974, des Jeux Olympiques et du championnat d'Europe en 1976, la Hongrie revient au haut niveau international en 1978 lorsqu'elle se qualifie pour la Coupe du monde en Argentine. Au premier tour, elle tombe malheureusement dans le groupe le plus ardu composé de l'Argentine, l'Italie et la France. Et repart avec trois défaites (respectivement 1-2, 1-3 et 1-3) en trois rencontres.

La Coupe du monde 1982 en Espagne commence en fanfare pour l'équipe de Hongrie. Le 15 juin à Elche, elle réalise face au Salvador le plus gros score des phases finales de la Coupe du monde : 10-1 (trois buts de László Kiss, doublés de László Fazekas et de Tibor Nyilasi, buts de József Tóth, de Gábor Pölöskei et de Lázár Szentes).

La suite est moins rose. Les Hongrois tombent lourdement contre l'Argentine (4-1) puis concèdent le match nul (1-1) face à la Belgique, score qui les empêche d'accéder au deuxième tour.

La Coupe du monde 1986 au Mexique démarre douloureusement. La Hongrie s'incline 6-0 face à l'URSS. Si sa victoire (2-0) face au Canada lui donne un peu d'espoir, l'équipe est balayée (3-0) par la France.

La Hongrie depuis 1986

La Hongrie n’a plus participé à la Coupe du monde de football depuis 1986. En manque de grands joueurs, l'équipe parvient tout juste à se placer au-dessus des bas-fonds du football européen. En juillet 1996, elle occupe la 87e place du classement mondial de la FIFA. En janvier 2009, elle occupe la 47e place du classement mondial de la FIFA. En 2011 elle occupe la 27e place du classement mondial de la FIFA.

Le 11 octobre, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2014, bien que correctement classée dans son groupe, l'équipe de Hongrie subit une cuisante défaite face aux Pays-Bas huit buts à un. C'est la pire défaite depuis 1941 de la sélection hongroise.

L'équipe d'aujourd'hui

Liste des joueurs convoqués pour disputer le match contre la Roumanie le 22 mars 2013.

Sélections et buts actualisés le 19 mars 2013.

Pos Nom Date de naissance Sélections Buts Club
GB Ádám Bogdán (36 ans) 13 0 Bolton Wanderers
GB Gábor Király (48 ans) 87 0 Munich 1860
GB Balázs Megyeri (34 ans) 0 0 Olympiakos
DF Vilmos Vanczák (40 ans) 68 2 Drapeau de la Suisse Sion
DF József Varga (35 ans) 18 0 Greuther Fürth
DF Zoltán Lipták (39 ans) 12 1 Győri ETO
DF Zsolt Korcsmár (35 ans) 15 0 Greuther Fürth
DF Tamás Kádár (34 ans) 8 0 Diósgyőri VTK
DF Norbert Mészáros (43 ans) 6 0 Debreceni VSC
DF Richárd Guzmics (37 ans) 1 0 Szombathelyi Haladás
ML Tamás Hajnal (43 ans) 53 6 FC Ingolstadt 04
ML Balázs Dzsudzsák (37 ans) 50 10 Dynamo Moscou
ML Péter Halmosi (44 ans) 34 0 Szombathelyi Haladás
ML Vladimir Koman (35 ans) 26 7 FC Ural Sverdlovsk Oblast
ML Ákos Elek (35 ans) 24 1 Diósgyőri VTK
ML Ádám Gyurcsó (33 ans) 7 1 Kecskeméti TE
ML Ádám Pintér (35 ans) 13 0 FC Tom Tomsk
ML Péter Szakály (37 ans) 3 0 Debreceni VSC
ML Máté Pátkai (36 ans) 2 0 Győri ETO
ML István Kovács (32 ans) 0 0 Videoton
AT Imre Szabics (43 ans) 34 13 Sturm Graz
AT Gergely Rudolf (39 ans) 24 9 Győri ETO
AT Ádám Szalai (36 ans) 14 7 FC Schalke 04
AT Dániel Böde (37 ans) 1 0 Ferencváros

Palmarès

Parcours en Coupe du monde

Année Parcours en qualif. Pts J G N P BP BC Dif. Parcours en phase finale Rang FIFA J G N P BP BC Dif.
1930 Non invité - - - - - - - - - - - - - - - - -
1934 2e sur 3 2 2 1 0 0 6 1 -1 Quarts de finale 6e/16 2 1 0 1 5 4 +1
1938 2e tour[6] (2) 1 1 0 0 11 1 +10 Finale 2e/15 4 3 0 1 15 5 +10
1950 Non-inscrit - - - - - - - - - - - - - - - -
1954 1er sur 2 0 0 0 0 0 0 0 0 Finale 2e/16 5 4 0 1 27 10 +17
1958 1er sur 3 6 4 3 0 1 12 4 +8 1er tour 10e/16 4 1 1 2 7 5 +2
1962 1er sur 3 7 4 3 1 0 11 5 +6 Quarts de finale 5e/16 4 1 1 2 8 3 -5
1966 1er sur 3 7 4 3 1 0 8 3 +5 Quarts de finale - 4 2 0 2 8 7 +1
1970 1er sur 4/Barrages[7] 9 7 4 1 2 17 11 +6 Non qualifié - - - - - - - -
1974 3e sur 4 8 6 2 4 0 12 7 +5 Non qualifié - - - - - - - -
1978 1er sur 3/Barrages[8] 9 6 4 1 1 15 6 +9 1er tour 15e/16 3 0 0 3 3 8 -5
1982 1er sur 5 10 8 4 2 2 13 8 +5 1er tour 14e/24 3 1 1 1 12 6 +6
1986 1er sur 4 10 6 5 0 1 12 4 +8 1er tour 18e/24 3 1 0 2 2 8 -7
1990 3e sur 5 8 8 2 4 2 8 12 -4 Non qualifié - - - - - - - -
1994 4e sur 5 5 8 2 1 5 6 11 -5 Non qualifié - - - - - - - -
1998 2e sur 5/Barrages[9] 12 10 3 3 4 11 15 -4 Non qualifié - - - - - - - -
2002 4e sur 5 8 8 2 2 4 14 13 +1 Non qualifié - - - - - - - -
2006 4e sur 6 14 10 4 2 4 13 14 -1 Non qualifié - - - - - - - -
2010 4e sur 6 16 10 5 1 4 10 8 +3 Non qualifié - - - - - - - -
2014 3e sur 6 17 10 5 2 3 21 20 +1 Non qualifié - - - - - - - -
BILAN - - 112 53 25 33 200 143 52 - - 32 14 3 15 87 56 20

En gras : meilleures performances de l'équipe de Hongrie.

Parcours en Championnat d'Europe

  • 1960 : Huitièmes de finale
  • 1964 : 3e
  • 1968 : Quarts de finale
  • 1972 : 4e
  • 1976 : Tour préliminaire
  • 1980 : Tour préliminaire
  • 1984 : Tour préliminaire
  • 1988 : Tour préliminaire
  • 1992 : Tour préliminaire
  • 1996 : Tour préliminaire
  • 2000 : Tour préliminaire
  • 2004 : Tour préliminaire
  • 2008 : Tour préliminaire
  • 2012 : Tour préliminaire

Figures

Sélectionneurs

Principaux joueurs

Records individuels

Statistiques arrêtées au 19 mars 2013[10]

Joueurs les plus capés
Sélections Joueur Période Buts
101 József Bozsik 1947-1962 11
92 László Fazekas 1968-1983 24
87 Gábor Király 1998- 0
86 Gyula Grosics 1947-1962 0
85 Ferenc Puskás 1945-1956 84
Meilleurs buteurs
Buts Joueur Période Matches
84 Ferenc Puskás 1945-1956 85
75 Sandor Kocsis 1948-1956 68
59 Imre Schlosser-Lakatos 1906-1927 68
51 Lajos Tichy 1955-1964 72
42 Gyorgy Sarosi 1931-1943 62


Notes et références

  1. « Classement mondial », sur fr.fifa.com, (consulté le ).
  2. Les champions du monde 1954 étaient dopés
  3. Les « héros de Berne » étaient dopés
  4. Les champions du monde allemands de 1954 étaient dopés
  5. La Coupe du monde « volée » aux Hongrois en 1954 !
  6. La Hongrie dispute doit disputer un match contre la Grèce, vainqueur d'un duel contre la Palestine mandataire, et s'impose 11-1.
  7. Première ex-aequo de son groupe avec la Tchécoslovaquie, la Hongrie dispute contre cette dernière un match de barrage sur terrain neutre (à Marseille), qu'elle perd 4-1.
  8. Victoires 6-0 et 3-2 contre la Bolivie
  9. Défaites 7-1 et 5-0 contre la Yougoslavie
  10. (en) Hungary - Record International Players, sur rsssf.com

Voir aussi

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