Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Gonesse

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Église Saint-Pierre-Saint-Paul
Vue générale
Présentation
Type
Destination initiale
culte
Destination actuelle
culte
Diocèse
Paroisse
Paroisse de Gonesse (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Dédicataires
Style
Construction
ca. 1150-1290
Religion
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
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L'église Saint-Pierre-Saint-Paul est une église catholique située à Gonesse, en France[1].

Son chœur en hémicycle à déambulatoire du tout début du XIIIe siècle est un bel exemple de l'architecture gothique primitive, et bien que la nef soit apparemment restée inachevée, l'église se distingue par son élégance. La sculpture de ses chapiteaux est d'une grande qualité. Avec son plan inhabituel sans transept ni chapelles rayonnantes autour du déambulatoire, l'église Saint-Pierre-Saint-Paul appartient à un type rare qui ne se rencontre que dans le périmètre de l'Île-de-France et de ses environs immédiats. La façade orientale et l'intérieur de la nef et des bas-côtés se sont conservés dans un état très proche de celui d'origine.

Localisation

L'église est située dans le département français du Val-d'Oise, sur la commune de Gonesse, rue du général Leclerc. Elle est bâtie sur une légère proéminence du terrain la faisant légèrement dominer le centre-ville, à la limite nord-est de ce dernier. L'hôtel-Dieu contemporain de l'église se trouve devant la façade orientale.

Historique

L'édifice est classé au titre des monuments historiques par liste de 1862[1], avec quatre autres édifices sur le territoire de l'actuel département du Val-d'Oise. Six ayant été classés par liste de 1840, l'église Saint-Pierre-Saint-Paul est ainsi parmi les onze premiers monuments historiques du Val-d'Oise.

Avant la Révolution française, l'église Saint-Pierre-Saint-Paul était l'une de deux églises paroissiales de Gonesse. L'autre était dédiée à Saint-Nicolas et avait été fondée à la fin du XIIIe siècle et consacrée en 1352. Presque entièrement reconstruite au XVIe siècle, elle avait conservé un bas-côté d'origine, et son clocher n'avait été édifié qu'en 1732, ce qui n'a pas empêche la destruction totale de l'église en 1793. Gonesse faisait partie de l'archidiocèse de Paris et du doyenné de Montmorency ; la cure de Saint-Pierre-Saint-Paul étant placée sous le patronage du prieur de Deuil-la-Barre. Ce dernier dépend quant à lui de l'Abbaye Saint-Florent de Saumur en Anjou.

Détail de la façade sud.

Aucun document témoignant de la date exacte de construction de l'église n'existe, mais son analyse stylistique permet de situer le début de sa construction au commencement du XIIIe siècle. Ce n'est toutefois pas la première église en cet endroit, puisque la base du clocher remonte au XIIe siècle[2]. Les archives de l'abbaye Saint-Denis mentionnent une église Saint-Pierre de Gonesse depuis l'époque mérovingienne. Le vocable de Saint-Paul n'a été ajouté que beaucoup plus tardivement[3].

En 1785, l'église Saint-Pierre-Saint-Paul acquiert une certaine célébrité dans la région à la suite d'un miracle ayant eu lieu sur le parvis de l'église, devant la statue de saint Pierre ornant le portail principal. Le jeune Nicolas Baffart, âgé de seize ans et paralysé depuis trois ans, peut subitement remarcher. Deux médecins attestent cette guérison inexpliquée. Un véritable culte populaire se développe, avec un afflux d'handicapés, dont un certain nombre se défait de ses béquilles qui sont accrochées au-dessus de la statue. Du fait des troubles de la Révolution française, l'attestation par l'archevêque n'aboutit pas. Le culte continue encore un certain temps après la Révolution, parfois sans présence de prêtre, avant qu'il ne soit définitivement interdit[4].

La datation des différentes parties de l'église d'après l'Inventaire général du patrimoine culturel est la suivante : base et premier étage du clocher milieu du XIIe siècle ; chœur et déambulatoire entre 1200 et 1206, y compris la tourelle d'escalier au nord ; puis interruption des travaux pendant la construction de l'hôtel-Dieu devant le chevet de l'église ; nef et bas-côté nord à partir de 1245 ; bas-côté sud, segment central de la façade occidentale et second étage du clocher pendant la seconde moitié du XIIIe siècle, tout comme l'annexe d'une travée et sa tourelle d'escalier au sud du clocher ; sacristie pendant le XVIIIe siècle. Dominique Foussard arrive aux mêmes conclusions, sauf qu'il situe le début des travaux pour le chœur et le déambulatoire autour de 1180. Les piliers du chœur ont été consolidés vers 1730, et la partie haute de la façade occidentale ainsi que le côté nord du chœur et du déambulatoire ont été remaniés dans le goût de l'époque au cours du XVIIIe siècle. La flèche du clocher date vraisemblablement de la première moitié du XIXe siècle, et les façades occidentale et méridionale ont été partiellement restaurées pendant le dernier quart du XIXe siècle. Le chauffage a été installé en 1899, et la façade occidentale et le clocher ont été restaurés pendant le second quart du XXe siècle sous la direction de J. Formigé[5],[3].

Description

Aperçu général

Portail principal.
Façade orientale.
Détail du chœur, côté sud.
Détail du clocher, côté est.

À peu près régulièrement orientée nord-sud-ouest - sud-nord-est, l'église se compose d'une nef de huit travées accompagnée de deux bas-côtés, et d'un chœur de trois travées, dont la dernière en hémicyle, entouré d'un déambulatoire. Le clocher se dresse au-dessus de la première travée du déambulatoire, au sud. L'édifice est dépourvu de transept et de chapelles rayonnantes autour du déambulatoire, ce qui est rare pour des églises de cette disposition, mais les églises contemporaines de Domont et de Meulan-en-Yvelines partagent ce caractéristique. L'hémicycle du déambulatoire comporte cinq segments. La largeur des bas-côtés correspond à la moitié de celle de la nef, et les travées des bas-côtés sont carrés, tout comme la seconde travée nord et sud du déambulatoire. Du fait de l'envergure plus importante du clocher, la première travée nord du déambulatoire est rectangulaire, et le chœur comporte ainsi une irrégularité. L'église comporte une petite annexe à étage au sud du clocher, considéré comme l'ancienne salle du trésor, ainsi qu'une tourelle d'escalier rectangulaire devant la huitième travée du bas-côté nord. La sacristie se situe devant cette travée et la première travée sud du déambulatoire[6],[7].

Intérieur

Eugène Lefèvre-Pontalis a cru pouvoir démontrer que la nef était initialement voûtée de quatre grandes voûtes d'ogives de plan carré, soit une voûte par groupe de deux travées. La disposition des courtes colonnettes, dont les assises sont engagés dans les gros piliers de la nef, et considérés comme vestiges des voûtes, indiquerait clairement que ces dernières auraient été au nombre de quatre. Les voûtes se seraient effondrées au XVIe siècle du fait de l'écartement des murs latéraux de la nef. Or, l'hypothèse envisagée aujourd'hui est que la nef est restée inachevée sur le plan de l'élévation, et n'aurait toujours comporté une fausse voûte en berceau en bois, ou selon les époques une charpente apparente en carène renversée[5],[8],[9].

La nef communique avec les bas-côtés avec des arcades en tiers-point, retombant sur des colonnes isolées pourvus de grands chapiteaux garnis de crochets et de feuillages. Au-dessus des arcades, existe un étage à triforium, avec deux baies géminées par travée, surmontées d'un quatre-feuilles et s'inscrivant dans un arc de décharge. Les deux arcatures sont soutenues par de fines colonnettes accouplées. Contrairement à la plupart de triforiums, celui de Gonesse est éclairée depuis l'extérieur par des baies dont la forme correspond à celles du triforium. Sous cet aspect, Gonesse se rapproche de la basilique de Saint-Denis. L'extrémité occidentale de la nef comporte également un étroit triforium, d'une facture plus élégante et remontant au milieu du XIIIe siècle. Les bas-côtés sont voûtés d'ogives, et leurs baies à lancette simple correspond au type de celles de la nef. Le chœur est également voûté depuis sa construction, y compris pour le déambulatoire. L'arc triomphal en cintre brisé repose sur des pilastres flanqués de deux petites colonnes. Il est à noter que le côté méridional du chœur et du déambulatoire ont subi de lourds remaniements au XVIIIe siècle, laissant comme souvenir de lourds pilastres carrés en lieu et place des colonnes. Ces remaniements affectent également le triforium, qui au nord garde sa configuration d'origine, sans quatre-feuilles au-dessus des groupes de deux baies, différente de celle du triforium de la nef. Par contre, un second étage existe au chœur, prenant jour par des fenêtres à lancette simple assez étroites[10].

Extérieur

La façade occidentale se subdivise en trois segments, correspondant à la nef et ses bas-côtés. La partie centrale se termine par une galerie extérieure à ciel ouvert, du fait que le pignon soit placé en retrait. La galerie relie entre eux la tourelle d'escalier octogonale à droite et l'échauguette également octogonale mais de diamètre plus réduit, à gauche. L'échauguette est coiffée d'une flèche en pierre garnie de crochets, alors que celle de la tourelle est couverte d'ardoise. En dessous, les angles des faces sont ornés de très courts pilastres retombant bientôt sur des têtes sculptés. Le pignon est percé d'un grand et d'un petit oculus. Le segment central de la façade est cantonné de deux contreforts, subdivisés horizontalement tout comme le mur par un larmier, en dessous duquel court une frise de feuillages. La partie supérieure des contreforts est orné, sur chacune de trois faces, d'une baie en arc brisé stylisé, surmonté par un gable. Les trois lourdes arcades sur la partie supérieure de la façade datent du XVIIIe siècle : elles ont remplacé une élégante galerie de style gothique, dont l'ornementation des contreforts constitue une reminescence. En dessous, le quintuple archivolte du portail principal occupe presque toute la largeur du mur, et est orné de cordons de feuillages. La porte est subdivisée par un trumeau central moderne, portant une statue également moderne de saint Pierre. La partie inférieure du tympan est décoré de deux arcs trilobés, alors que la partie supérieure a perdu son décor d'origine. Il arbore par contre une inscription témoignant de la période révolutionnaire, et imposée par Maximilien Robespierre : « Le peuple français reconnaît l'existence de l'être surprême et l'immortalité de l'âme ». Les bas-côtés possèdent également des portails, plus étroits, s'inscrivant dans des triples archivoltes, qui sont surmontés par des oculi légèrement désaxés vers le centre de la façade[11],[12].

Les murs latéraux de la nef étaient initialement consolidés par des arc-boutants, supprimés au XVIe siècle et remplacés par des contreforts, un par groupe de deux travées. Les arc-boutants subsistent par contre autour du chœur. La corniche du XIIIe siècle qui courait en haut des murs latéraux a également disparu, mais a été reconstituée côté sud vers 1880. Au nord, les baies sont encore entourées des moulures d'origine, mais les cordons en dents-de-scie ne subsistent qu'au-dessus de deux baies côté sud, où l'on trouve également des modillons grotesques. Les baies proches de la façade occidentale ont été remaniées au XVe siècle, et celles proches du clocher portent les traces d'une restauration du XIXe siècle, voulant restituer leur ornementation hypothétique d'origine, sans qu'il soit certain que les colonnettes flanquant désormais les fenêtres existaient au début. Par ailleurs, la cinquième travée du bas-côté sud présente les vestiges d'un ancien portail latéral[11].

Le chevet en hémicycle, aujourd'hui en partie obstrué par des arbres, représente un exemple remarquable de l'architecture gothique primitive. Au niveau du déambulatoire, les baies sont géminées du fait de son découpage en segments de cercle, ce qui donne des murs suffisamment longs pour deux baies. Les piédroits sont cantonnés de colonnettes, et l'arcature est ornée d'un tore, d'une gorge et d'un cordon d'étoiles, entrant encore dans le langage stylistique du XIIe siècle. Une corniche en dents de scie apparaît sur les contreforts soutenant en même temps les arc-boutants à simple volée, alors que les murs sont couronnés par une succession de mascarons. Les fenêtres hautes du chœur sont dépourvues de colonnettes, mais leurs arcatures sont ornées d'un cordon en pointe-de-diamant, qui se poursuit au niveau des impostes. La corniche qui termine le mur se compose de deux rangées de corbeaux, comme sur le chevet de la cathédrale Notre-Dame de Paris[7].

Le clocher conserve son premier étage d'origine du milieu du XIIe siècle, ajouré de deux baies plein cintre gémellées par face, dont les archivoltes s'appuient sur une colonnette commune au centre, et sur deux autres colonnettes aux extrémités. Les baies proprement dites sont flanquées de deux colonnettes chacune, et ces sept colonnettes par face sont dotées de chapiteaux de feuilles d'acanthe. Le second étage du clocher a été ajouté au XIIIe siècle. Les deux baies abat-son par face sont en arc brisé, et encadrés par des tores selon la même disposition que les colonnettes au premier étage. En haut du second étage, les contreforts jusque là de section carrée deviennent octogonales, et se terminent de la façon de tourelles tronquées au niveau de la balustrade moderne qui couronne la tour. La flèche en charpente et couverte d'ardoise est également moderne. L'amorce d'un second clocher faisant face au premier, entrepris à l'époque de la construction de son second étage, est visible au nord, à l'emplacement de la sacristie. Il semble avoir été prévu dès le départ, puisque la première travée du déambulatoire nord ne comporte pas de fenêtres[7].

Mobilier

Parmi le mobilier de l'église, les éléments suivants sont classés monuments historiques au titre des objets, ou, dans le cas du buffet d'orgue, au titre immeuble avec l'église, par liste de 1862 :

  • Le buffet d'orgue, dont les quatre panneaux centraux datent de 1508, et les panneaux latéraux du XVIIe siècle, œuvres de ménuiserie et d'ébenisterie représentant des anges musiciens (le mécanisme ancien a disparu complètement en 1841, et l'orgue a été refait par la maison Abbey de Versailles en 1884)[13] ;
  • Un tableau du XVIIe siècle représentant la descente de croix, peint sur toile[14] ;
  • Une copie d'un tableau du XVIIe représentant une Pietà, peinte sur toile, et dont l'original est conservé conservée au musée Capodimonte de Naples[15] ;
  • Un tableau de 1521 représentant la mise au tombeau et peint sur bois[16] ;
  • Trois chapes en soie brodées de scènes de la vie de saint Pierre et décorées d'orfrois[17] ;
  • Une cloche en bronze de 1682, nommée « Michel »[18] ;
  • Trois cloches en bronze de 1886 nommées « Claire », « Jeanne Marguerite » et « Louis Dugele »[19].

Notes et références

  1. a et b « Église Saint-Pierre Saint-Paul », notice no PA00080071, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. Lefèvre-Pontalis 1888, p. 55-64.
  3. a et b Foussard 2008, p. 134.
  4. Foussard 2008, p. 135.
  5. a et b « Inventaire général du patrimoine culturel : Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no IA95000048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  6. « Plan de l'église relevé par D. Bontemps en 1981 », sur Base Mérimée (consulté le ).
  7. a b et c Lefèvre-Pontalis 1888, p. 60.
  8. Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville. Images du patrimoine, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'Ile-de-France et Conseil général du Val d'Oise, , 104 p. (ISBN 2-905913-23-1), p. 22-23
  9. Lefèvre-Pontalis 1888, p. 56.
  10. Lefèvre-Pontalis 1888, p. 56-58.
  11. a et b Lefèvre-Pontalis 1888, p. 59.
  12. Foussard 2008, p. 136.
  13. « Buffet d'orgue », notice no PM95001105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture ; « Buffet d'orgue », notice no PM95000285, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Buffet d'orgue », notice no IM95000306, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  14. « Descente de croix », notice no PM95000290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Descente de croix », notice no IM95000304, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  15. « Pietà », notice no PM95000289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Pietà », notice no IM95000298, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  16. « Mise au tombeau », notice no PM95000286, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Mise au tombeau », notice no IM95000305, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  17. « Trois chapes », notice no PM95000781, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  18. « Cloche de 1682 », notice no PM95000288, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Cloche de 1682 », notice no IM95000302, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  19. « Trois cloches », notice no PM95000287, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Inventaire général du patrimoine culturel : Trois cloches », notice no IM95000301, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.

Annexes

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Bibliographie

  • Marcel Aubert, « L'église de Gonesse (Seine-et-Oise) », Bulletin monumental, Paris, Société française d'archéologie, vol. 109,‎ , p. 424-428 (ISSN 0007473X[à vérifier : ISSN invalide])
  • Daniel Bontemps, « La nef de l'église Saint Pierre de Gonesse et ses rapports avec l'abbatiale de Saint Denis », Bulletin monumental, Paris, Société française d'archéologie, vol. 139, no 4,‎ , p. 209-228 (ISSN 0007473X[à vérifier : ISSN invalide])
  • Dominique Foussard, « Gonesse - Saint-Pierre-Saint-Paul », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 134-138 (ISBN 9782953155402)
  • Ferdinand de Guilhermy, Inscriptions de la France du Ve siècle au XVIIIe : ancien diocèse de Paris : tome 2, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Collection de documents inédits sur l'histoire de France publiés par les soins du ministre de l'Instruction publique », , 750 p. (lire en ligne), p. 542-548
  • Émile Lambin, Les églises de l'Îlle-de-France, Paris, aux bureaux de la Semaine des constructeurs, coll. « Bibliothèque de la Semaine des constructeurs », , 80 p. (lire en ligne), p. 59-63
  • Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris : Tome second, Paris, Librairie de Fechoz et Letouzey (réédition), 1883 (réédition), 693 p. (lire en ligne), p. 259-273
  • Eugène Lefèvre-Pontalis, « Monographie de l’église de Gonesse », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol. 11,‎ , p. 55-64 (ISSN 11488107[à vérifier : ISSN invalide], lire en ligne)
  • Abbé F. Maréchal, Essai sur l'histoire religieuse de Gonesse au diocèse de Versailles : depuis ses origines jusqu'à nos jours, Villiers-le-Bel, Impr. de Minouflet, , 188 p. (lire en ligne)

Liens internes

Liens externes