Échourgnac

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Échourgnac
Échourgnac
L'église Notre-Dame de l'Assomption d'Échourgnac.
Blason de Échourgnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Double Landais
Maire
Mandat
Jacques Gambro
2020-2026
Code postal 24410
Code commune 24159
Démographie
Population
municipale
393 hab. (2021 en diminution de 2 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 35″ nord, 0° 13′ 51″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 131 m
Superficie 34,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montpon-Ménestérol
Législatives Première circonscription
Localisation
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Échourgnac
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Échourgnac
Liens
Site web www.echourgnac.com

Échourgnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans l'ouest du département de la Dordogne, en plein cœur de la forêt de la Double, la commune d'Échourgnac est bordée par la Duche, un affluent de l'Isle. Son territoire, parsemé de nombreux étangs, est essentiellement forestier.

À l'intersection des routes départementales (RD) 38, 41 et 708, le bourg d'Échourgnac se situe, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres au nord-est du centre-ville de Montpon-Ménestérol, quinze kilomètres au nord-ouest de celui de Mussidan, et seize kilomètres au sud-ouest de celui de Ribérac.

La commune est également desservie par les RD 100 et 108.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Échourgnac est limitrophe de six autres communes, dont Saint-André-de-Double à l'est, par un simple quadripoint. Les communes limitrophes sont Saint-André-de-Double, La Jemaye-Ponteyraud, Saint-Michel-de-Double, Saint-Barthélemy-de-Bellegarde, Servanches, Saint-Vincent-Jalmoutiers et La Jemaye.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Échourgnac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e4b(1), est la formation de Guizengeard inférieur (Yprésien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 781 - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique d'Échourgnac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 57 m et 131 m[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 34,88 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 34,83 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Duche, le ruisseau de la Cigale, la Bauronne, la Gauille, le ruisseau de la Forêt et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique d'environ 44 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Duche, d'une longueur totale de 24,59 km, prend sa source dans le nord-ouest de la commune et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Montpon-Ménestérol et du Pizou, face à Ménesplet[16],[17]. Elle sert de limite naturelle à la commune à l'ouest, la séparant de Servanches sur plus de trois kilomètres et demi.

Son affluent de rive gauche le ruisseau de la Forêt baigne le sud du territoire communal sur près d'un kilomètre et demi dont un kilomètre en limite de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde.

La Bauronne, affluent de rive gauche de la Rizonne, borde le territoire communal à l'est et au nord sur deux kilomètres et demi, face à La Jemaye-Ponteyraud, en deux tronçons.

Son affluent de rive gauche la Gauille arrose le nord sur plus de trois kilomètres et demi dont deux kilomètres et demi en limite de La Jemaye-Ponteyraud.

Le ruisseau de la Cigale prend sa source un kilomètre et demi au sud-est du bourg et traverse la commune en direction du sud sur deux kilomètres et demi dont 500 mètres face à Saint-Michel-de-Double.

Comme pour les autres communes de la Double, le territoire d'Échourgnac est parsemé de nombreux étangs ; le plus étendu avec une vingtaine d'hectares est le Grand Étang, dans le nord-ouest.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou à 11 km à vol d'oiseau[23], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 854,8 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Échourgnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), terres arables (3,9 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales[Note 5] (0,7 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Échourgnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Échourgnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Échourgnac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1992, 1997, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom d'Eschornhac[41].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , des soldats allemands abattent une habitante et brûlent sa maison[42].

Échourgnac, par sa position géographique est considérée comme la capitale du pays doubleaud. Dans la vaste et profonde forêt qui couvre la Double, de nombreux camps de maquisards s'installèrent durant l'occupation allemande (1940-1944). Les attaques nombreuses et par petits groupes des convois ennemis obligèrent les autorités occupantes à fixer sur le secteur un grand nombre de soldats pour tenter d'anéantir la résistance des « hommes des bois ». Non seulement, la résistance s'intensifia mais elle priva l'armée allemande d'un renfort important, lorsque les alliés débarquèrent sur la côte normande. De nombreux combattants de la forêt de la Double suivirent l'ennemi durant son repli, depuis ses dernières poches de Royan, de La Rochelle et de Saint-Nazaire, et jusqu'en Allemagne pour certains d'entre eux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1990 mars 2008 Michel Chinaguet    
mars 2008[45] mai 2020 Patrick Segonzac SE[46] Responsable d'atelier
mai 2020 En cours Jacques Gambro    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Échourgnac relève[47] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

En 2021, la commune comptait 393 habitants[Note 7], en diminution de 2 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
447391338601649701710575577
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
504530585556607618692707727
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
696691700588603597605590527
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
511445401443411402419417416
2015 2020 2021 - - - - - -
401392393------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 175 personnes, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-cinq) a diminué par rapport à 2010 (vingt-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte quarante-trois établissements[52], dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, quatre dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[53].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la « Société agricole de la Double » (fabrication de fromage) implantée à Échourgnac se classe en 33e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 247 k€[54].

Spécialités de la commune[modifier | modifier le code]

Le Trappe Échourgnac est un fromage français, fabriqué depuis 1868 et affiné au vin de noix depuis les années 1990 à l'abbaye d'Échourgnac.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Échourgnac Blason
De sinople à l'écusson cousu d'azur à trois bandes d'or, accosté de deux bâtons de prieur d'or; au chef cousu d'azur chargé d'un croissant d'argent accosté de deux étoiles d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Échourgnac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique d'Échourgnac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Échourgnac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Échourgnac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale d'Échourgnac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Duche-Isle à l'ouest du lieu-dit les Grandes Pièces » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022)..
  17. Sandre, « la Duche »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
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  27. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Échourgnac », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Dossier complet - Commune d'Échourgnac (24159) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
  52. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  53. Dossier complet - Commune d'Échourgnac (24159) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.
  54. « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
  55. Abbaye Notre Dame de Bonne-Espérance.
  56. « Domaine du Parcot », notice no PA00083098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  57. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption d'Échourgnac