Échassières

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Échassières
Échassières
Le viaduc de la Bouble en construction.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité CC Saint-Pourçain Sioule Limagne
Maire
Mandat
Frédéric Dalaigre
2022-2026
Code postal 03330
Code commune 03108
Démographie
Gentilé Echassiérois
Population
municipale
370 hab. (2021 en diminution de 5,13 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 07″ nord, 2° 56′ 07″ est
Altitude Min. 390 m
Max. 765 m
Superficie 23,4 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gannat
Législatives 2e circonscription de l'Allier
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Échassières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Échassières
Géolocalisation sur la carte : Allier
Voir sur la carte topographique de l'Allier
Échassières
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Échassières
Liens
Site web https://www.intramuros.org

Échassières est une commune française située dans le département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Échassières, située au sud du département de l'Allier est limitrophe de celui des Puy-de-Dôme, se trouve à 20 km à vol d'oiseau au sud-est de Commentry, 31 km au sud-ouest de Saint-Pourçain-sur-Sioule, 23 km au nord-ouest de Gannat et 47 km au nord de Clermont-Ferrand.

Le sentier de grande randonnée GR463 passe dans le village. La ligne de Commentry à Gannat franchit la vallée de la Bouble par le viaduc de la Bouble, qui se trouve à Échassières et Louroux-de-Bouble

Une partie de la commune se trouve dans la forêt des Colettes[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Huit communes sont limitrophes, dont quatre dans le département voisin du Puy-de-Dôme[2] :

Communes limitrophes d’Échassières
Lapeyrouse (Puy-de-Dôme) Louroux-de-Bouble,
Coutansouze
Durmignat (Puy-de-Dôme) Échassières
Moureuille (Puy-de-Dôme) Servant (Puy-de-Dôme) Nades,
Lalizolle

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur 2 340 hectares ; son altitude varie entre 390 et 765 mètres[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Belon, affluent de la Bouble, prend sa source sur la commune d'Échassières. C'est un sous-affluent de la Loire par la Sioule et l'Allier.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ECHASSIERES_SAPC (03) - alt : 650m, lat : 46°11'28"N, lon : 2°57'27"E
Records établis sur la période du 01-01-1967 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,3 0,1 2,4 4,4 7,8 11 13 13,4 10,3 7,8 3,5 1,1 6,3
Température moyenne (°C) 2,9 3,3 6,4 8,9 12,6 16,2 18,4 18,7 14,8 11,3 6,4 3,7 10,3
Température maximale moyenne (°C) 5,6 6,4 10,4 13,4 17,4 21,3 23,8 23,9 19,4 14,8 9,3 6,3 14,3
Record de froid (°C)
date du record
−21
16.01.1985
−18
10.02.1986
−13,5
01.03.05
−6,5
12.04.1986
−2
18.05.1991
1,5
27.06.1973
3,8
17.07.00
3,6
31.08.1995
0,1
25.09.02
−5
30.10.1985
−10
27.11.1985
−14
02.12.1980
−21
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
20,1
01.01.22
21,5
24.02.1990
23,5
25.03.1981
26,4
29.04.10
30,5
20.05.1975
36,9
29.06.19
36,9
24.07.19
37,3
19.08.12
34
17.09.1987
30,6
02.10.23
24,2
08.11.15
20,5
03.12.1985
37,3
2012
Précipitations (mm) 59,6 48,5 52,1 72,3 89,8 82,6 74,4 81,9 76,3 70,4 75,2 64,2 847,3
Source : « Fiche 3108001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Échassières est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,8 %), forêts (30,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), terres arables (9,6 %), mines, décharges et chantiers (2,5 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 272, alors qu'il était de 278 en 2013 et en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 57,8 % étaient des résidences principales, 25,7 % des résidences secondaires et 16,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,8 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Échassières en 2018 en comparaison avec celle de l'Allier et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (25,7 %) supérieure à celle du département (7,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,8 % en 2013), contre 65 % pour l'Allier et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Échassières en 2018.
Typologie Échassières[I 1] Allier[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 57,8 78,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 25,7 7,2 9,7
Logements vacants (en %) 16,5 14,6 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par la route départementale 998, ancienne route nationale 698 reliant Commentry et Lapeyrouse au nord-ouest à Lalizolle, Ébreuil et Gannat au sud-est. À La Bosse, lieu-dit situé au sud-est du chef-lieu de la commune, elle croise la route départementale 987, ancienne route nationale 687 reliant Saint-Pourçain-sur-Sioule et Chantelle au nord-est à Servant et Saint-Éloy-les-Mines au sud-ouest.

Le territoire communal est traversé par d'autres routes départementales[2] :

  • la RD 129, reliant La Bosse à Louroux-de-Bouble ;
  • la RD 224, reliant Louroux-de-Bouble à la limite départementale du Puy-de-Dôme (cette route devenant la D 79 vers Durmignat) en desservant le chef-lieu ;
  • la RD 524, reliant le chef-lieu à Moureuille (D 92a) ;
  • la RD 624, reliant les hameaux de la Bourse et des Montmins, au nord-est de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom français vient du mot Eschasièras en parler du Croissant[15], zone de transition où se rejoignent et se mélangent l'occitan et la langue d'oïl[16],[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Echassières fait partie du territoire des Bituriges Cubes durant l'Antiquité.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, le village fait partie du diocèse de Bourges et du Berry médiéval. Il en est la limite sud[18].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La carrière de kaolin — utilisé dans la fabrication de la porcelaine ou du carrelage — est exploitée depuis 1850 au lieu-dit Beauvoir, initialement par la famille Jouhet-Duranthon. À partir des années 1960 y est identifiée la présence de lithium. La carrière est rachetée en 2005 par Imerys[19].

Le viaduc de la Bouble est construit sur les plans de Wilhelm Nördling entre 1868 et 1871 afin de permettre à la ligne de Commentry à Gannat de franchir la vallée de la Bouble.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait depuis 1926 dans l'arrondissement de Montluçon du département de l'Allier. Depuis le , afin que les arrondissements du département « correspondent à une meilleure cohérence administrative et [à une] adaptation aux bassins de vie », la commune en est retiré de pour être rattachée à l'arrondissement de Vichy[20].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Ébreuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gannat

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Allier.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Échassières était membre de la petite communauté de communes Sioule, Colettes et Bouble, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Saint-Pourçain Sioule Limagne, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014[22] Danièle Chammartin   Secrétaire de mairie
2014 juin 2022 Christian Glodt[23] DVD Retraité
Démissionnaire
juin 2022[24] En cours
(au 16 décembre 2022)
Frédéric Dalaigre   Vice-président du foyer rural

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Échassières dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Echassiérois et les Echassiéroises[26].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 370 habitants[Note 2], en diminution de 5,13 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
939500813845805831890909901
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8819361 0011 0061 1321 2071 2591 2221 239
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1161 0531 021820809810818804839
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
809602489408349380381376402
2014 2019 2021 - - - - - -
389376370------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Tous les ans, la commune fait venir, pour la fête du folklore, des danseurs étrangers, un au mois de juillet et un autre au mois d'août (Indonésiens et Bulgares en 2016) ; la soirée se termine par un feu d'artifice au mois d'août.

Économie[modifier | modifier le code]

Richesses minérales[modifier | modifier le code]

Vue aérienne - Carrière de Beauvoir à Échassières

Depuis 1850, des gisements de kaolin de grande pureté, situés sur le site de Beauvoir sur le territoire de la commune, sont exploités à raison de 30 000 tonnes par an par la société Denain-Anzin Minéraux[réf. nécessaire] (intégrée depuis 2005 au groupe Imerys). Le kaolin est utilisé notamment pour faire du carrelage et de la porcelaine[30].

En mai 2021, la ministre déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance accorde une prolongation du permis exclusif de recherches de mines de lithium, étain, tantale, niobium, tungstène, béryllium et substances connexes dit « Permis de Beauvoir » à la société Imerys Ceramics France[31].

En octobre 2022, le groupe Imerys prévoit un début d'exploitation en 2027 avec des perspectives d'extraction de près de 30 000 tonnes d'hydroxyde de lithium par an ; ce composé serait utilisé pour la production d'accumulateurs lithium-ion pour véhicules électriques[30]. Le gisement est estimé à un million de tonnes d'hydroxyde de lithium. Il exige un milliard d'euros d'investissement, et devrait permettre une exploitation sur 25 années, fournissant suffisamment de lithium pour fabriquer 700 000 batteries chaque année[32]. Libération pose la question de la viabilité écologique de la mine. Le problème des poussières semble réglé dans la mesure où les extracteurs seront à 300 mètres de profondeur, mais les mines de lithium demandent une très grande quantité d'eau, ce qui laisse une interrogation concernant l'impact de l'extraction sur le niveau des nappes phréatiques : la région est agricole et a été frappée en 2022 par une sécheresse de juillet à septembre[33],[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Château de Beauvoir.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Échassières compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[35] :

On peut également signaler

  • Musée Wolframines. Espace d'exposition consacré à la géologie et à la minéralogie. Il est situé au carrefour de La Bosse, dans la forêt des Colettes[39],[40].
  • Église Saint-Martel d'Échassières.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine Thévenin, homme politique né le à Échassières (Allier) et décédé le à Montaigut (Puy-de-Dôme)
  • La famille Jouhet-Duranthon, à l'origine de l'exploitation du kaolin au milieu du XIXe siècle et de l'hospice d'Échassières (aujourd'hui maison de retraite, Fondation Jouhet-Duranthon). Imposante chapelle funéraire au cimetière[41].
  • Antoine Dubousset (né à Échassières en 1821 et mort à Riom en 1902), d'abord médecin à Montaigut-en-Combraille, il prend la succession de son oncle Pierre Antoine Jouhet à la tête de l'exploitation des kaolins de Beauvoir. Il a été maire d'Échassières[42].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • E. Pauly, Échassières et le château-fort de Beauvoir, Moulins, Crépin-Leblond, 1940, 183 p., fig., plan.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « La forêt des Colettes », Pleine nature > Côté nature, sur valdesioule.com (consulté le ).
  2. a et b Carte d'Échassières sur le site Géoportail (consulté le ).
  3. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Echassières_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Echassières_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, Paris, L'Harmattan,‎ (ISBN 978-2-343-23050-4, lire en ligne).
  16. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  17. Les parlers du Croissant (groupe de recherches universitaires et académiques en linguistiques sur les parlers du Croissant ; CNRS)
  18. Guy Devailly, Le Berry du Xe siècle au milieu du XIIIe. Étude politique, religieuse, sociale et économique, Paris, réédition chez Walter de Gruyter (Berlin) en 2017, , 636 p. (ISBN 9783111251721, lire en ligne)
  19. « Le groupe Imerys va lancer l'exploitation d'un des plus grands gisements de lithium d'Europe dans l'Allier : Le groupe de minéraux industriels Imerys a annoncé ce lundi la mise en exploitation minière d'un gisement de lithium sur la commune d'Échassières dans l'Allier d'ici 2027. Ce gisement sera "l'un des plus grands" d'Europe selon le groupe qui table sur un investissement d'un milliard d'euros », France Bleu Pays d'Auvergne ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté préfectoral no 16-534 du 21 décembre 2016 portant modification des limites des arrondissements du département de l'Allier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Recueil des actes administratifs no 03-2016-061, Préfecture de l'Allier, (consulté le ), p. 40.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « À 74 ans, le maire prend sa retraite », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Réélu pour le mandat 2020-2026« Un nouveau mandat pour Christian Glodt à Echassières (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
  24. « Frédéric Dalaigre, nouveau maire : Échassières. La municipalité a changé de maire », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 45 ans, il réside dans la commune depuis seize ans. Élu conseiller municipal sur la liste de Christian Glodt en 2014 et en 2020 il est très impliqué dans la vie associative ».
  25. Annuaire des établissements scolaires d'Échassières sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  26. « Echassières (03330) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a et b « Le groupe Imerys annonce l'exploitation d'ici 2027 d'une mine de lithium dans l'Allier pour fabriquer des batteries », sur Franceinfo, (consulté le ).
  31. « Octroi de la prolongation du permis dit « de Beauvoir » (Allier, Puy-de-Dôme) à la Société Imerys Ceramics France », sur MineralInfo, (consulté le ).
  32. « Une première mine de lithium va être exploitée en France, avec l’ambition d’équiper 700 000 véhicules en batteries par an », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  33. Damien Dole, « Lithium : à Echassières, entre terres de mineurs et interrogations majeures », sur Libération, (consulté le ).
  34. « Exploitation d'une mine de lithium dans l'Allier : est-ce une bonne nouvelle pour les habitants ? », sur Europe 1, (consulté le ).
  35. « Liste des monuments historiques d'Échassières », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 46 (cf. Échassières).
  37. « Château de Beauvoir », notice no PA00093095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Viaduc de La Bouble (également sur commune de Louroux-de-Bouble) », notice no PA03000036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Site du musée Wolframines.
  40. « Wolframines au cœur des enjeux environnementaux », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Émile Pauly, Échassières et le château-fort de Beauvoir, Moulins, Crépin-Leblond, 1940. Pierre Antoine Jouhet, époux de Françoise Antoinette Duranthon, découvre en 1848 la possibilité d'extraire du kaolin dans la forêt des Colettes. Maire d'Échassières, il fonde l'hospice (aujourd'hui EHPAD) en 1868 et meurt en 1870 au château de Beauvoir.
  42. Maurice Sarazin, Les Bourbonnais célèbres et remarquables des origines à la fin du XXe siècle, tome III : Arrondissement de Montluçon, Charroux, Éditions des Cahiers bourbonnais, 2014, p. 132-133.