Pamfou

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Pamfou
Pamfou
La mairie.
Blason de Pamfou
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Pierre-François Prioux
2020-2026
Code postal 77830
Code commune 77354
Démographie
Gentilé Pamfoliens
Population
municipale
950 hab. (2021 en diminution de 0,73 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 44″ nord, 2° 52′ 19″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 128 m
Superficie 10,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web pamfou-mairie77.fr

Pamfou est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Pamfou est situé sur le plateau briard, entre Melun, à 21 km au nord-ouest, et Montereau-Fault-Yonne, à 9,5 km au sud-est.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 82 mètres à 128 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 119 mètres d'altitude (mairie)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Pamfou.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

  • le ruisseau des Grands Champs, 9,2 km[3], affluent du Châtelet ;
    • le fossé 01 de la Ferme la Gatellerie, 0,9 km[4], qui conflue avec le ruisseau des Grands Champs ;
  • le ru de la Vallée Javot, long de 29,1 km[5], affluent de la Seine ;
    • le fossé 01 des Bouvottes, 2,6 km[6], qui conflue avec le ru de la Vallée Javot
    • le ru Jouannet, 1,2 km[7], et ;
    • le ru des Caves, 1,3 km[8], affluents de la Vallée Javot ;
  • le fossé 01 de la Ferme la Commune du Jard, 1,5 km[9].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 9,11 km[10].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 14 km à vol d'oiseau[13], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[18],[Carte 1] :

  • le « Massif de Villefermoy », d'une superficie de 4 790 ha, un site où entre 1976 et 1997, un minimum de 122 espèces d’oiseaux ont été répertoriées sur l’ensemble du massif forestier de Villefermoy, dont 93 qui ont niché au moins une fois durant la période 1990-1997, ce qui représente environ 60 % du peuplement avien régional[19],[20].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Pamfou comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[21],[Carte 2], les « Pelouses et prairies de Machault » (23,77 ha), couvrant 2 communes du département[22]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[21], le « Massif de Villefermoy » (7 033,23 ha), couvrant 12 communes du département[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pamfou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[24],[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 52 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[29] dont Chapendu.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1% ), forêts (19,6% ), prairies (7,3% ), zones agricoles hétérogènes (6% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7% ), zones urbanisées (3,4 %)[30].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

Planification[modifier | modifier le code]

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[33]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 532 dont 97,4 % de maisons et 2,4 % d'appartements[Note 6].

Parmi ces logements, 63,5 % étaient des résidences principales, 31,4 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 92,6 % contre 5,6 % de locataires et 1,8 % logés gratuitement[34].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le village est situé sur la D 605 entre Le Châtelet-en-Brie et Valence-en-Brie.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes d'autocars :

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Pampho en 1167[35] ; Panfou en la paroisse de Machau en 1488[36] ; Panfoux en 1777[37].

Pamfou fait penser au penfao breton (le hêtre)[38],[39].

Le dernier élément de Pamfou peut représenter un bas-latin *foliu- « feuillus », « bois », élément de toponymes attesté ailleurs (Touffou, etc.). Le premier élément est moins identifiable. Nom d'essence ? ou l'ancien-français pampe « pétale », initialement « rameau ». Le nom de la paumée (palma-) ne serait pas à exclure. Nom d'une zone forestière lottie ? L'histoire de la commune et la découverte d'autres formes anciennes permettrait d'en dire plus.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village était le point de passage du courrier vers la ville de Lyon comme en témoigne l'ancien relais de poste du XVIIIe siècle dont l’activité s’est arrêtée en 1870.

La commune est créée en 1906, à partir d'une scission de celle de Machault[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 1989 Germaine Lecointe    
mars 1989 mai 2020 Jean-Pierre Huchet[41] DVG Enseignant
mai 2020 en cours Pierre-François Prioux[42]   Professeur

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Pamfou est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [45],[46],[47].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[48]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 juillet 2022[45],[49].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [45],[50].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 950 habitants[Note 7], en diminution de 0,73 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
313288245271255226265271299
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
306331443610836916936938939
2021 - - - - - - - -
950--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Pamfou dispose d’une école élémentaire, située rue du 19 mars 1962. Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770168P, comprend 128 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[54].

Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.

La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Pamfou est en zone C.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 338, représentant 950 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 930 euros[55].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 174, occupant 489 actifs résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,8 % contre un taux de chômage de 4,8 %.

Les 20,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7 % de retraités ou préretraités et 2,5 % pour les autres inactifs[56].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 88 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 3 dans l’industrie, 16 dans la construction, 44 dans le commerce-transports-services divers et 18 étaient relatifs au secteur administratif[57].

Ces établissements ont pourvu 140 postes salariés.

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Pamfou est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[58].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 58 ha en 1988 à 92 ha en 2010[58]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Pamfou, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Pamfou entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[58],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 9 6 7
Travail (UTA) 18 6 17
Surface agricole utilisée (ha) 521 526 643
Cultures[60]
Terres labourables (ha) 393 458 590
Céréales (ha) 361 323 357
dont blé tendre (ha) 140 210 220
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 131 s 52
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 0 s 115
Élevage[58]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 43 122 76

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La chapelle.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ferme et château de Chapuis, propriété de la commune de Drancy (centre de vacances).
  • Chapelle aménagée dans un ancien relais de poste en 1921.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Pamfou », p. 248

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Sites Natura2000 de Pamfou » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Zones ZNIEFF de Pamfou » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Pamfou - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Pamfou » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Grands Champs (F4429800) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Ferme la Gatellerie (F4429840) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ru de la Vallee Javot (F4410600) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Bouvottes (F4416100) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Jouannet (F4415000) ».
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Caves (F4416000 ) ».
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Ferme la Commune du Jard (F4416050) ».
  10. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 janvier 2019
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Pamfou et Fontainebleau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Fontainebleau_sapc » (commune de Fontainebleau) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Fontainebleau_sapc » (commune de Fontainebleau) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pamfou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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