Opio

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Opio
Opio
Opio.
Blason de Opio
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Thierry Occelli
2020-2026
Code postal 06650
Code commune 06089
Démographie
Gentilé Upians[Note 1] ou Opidiens
Population
municipale
2 393 hab. (2021 en augmentation de 8,18 % par rapport à 2015)
Densité 253 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 00″ nord, 6° 59′ 00″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 361 m
Superficie 9,47 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Cannes - Antibes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valbonne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Opio
Géolocalisation sur la carte : France
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Opio
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Opio
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Opio

Opio est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Upians ou les Opidiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cette commune est située dans la région de Cannes. Elle est à 17 km du bord de mer de Cannes, à 40 km de la station de ski Gréolières 1400. Elle est entourée de bois (bois d'Opio).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Châteauneuf-Grasse Châteauneuf-Grasse, Le Rouret Le Rouret, Roquefort-les-Pins Rose des vents
Châteauneuf-Grasse N Roquefort-les-Pins
O    Opio    E
S
Châteauneuf-Grasse Valbonne Valbonne

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −3,3 °C, atteinte le [Note 2],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records VALBONNE-SOPHIA (06) - alt : 238m, lat : 43°37'23"N, lon : 7°01'42"E
Records établis sur la période du 01-08-1987 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 5,9 5,7 7,7 9,8 13,5 17,1 19,6 20 16,7 13,4 9,4 6,8 12,1
Température moyenne (°C) 9,1 9,3 11,4 13,7 17,5 21,3 24 24,4 20,7 16,9 12,6 10 15,9
Température maximale moyenne (°C) 12,4 12,8 15,2 17,6 21,4 25,5 28,4 28,8 24,8 20,4 15,9 13,1 19,7
Record de froid (°C)
date du record
−1,6
29.01.05
−3,3
11.02.12
−2,3
01.03.05
1
02.04.22
5
06.05.1991
8,9
01.06.06
12,6
08.07.1996
14
23.08.07
8,2
28.09.07
3,3
28.10.12
−0,6
23.11.1988
−2,2
20.12.09
−3,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,1
11.01.15
24,5
15.02.1990
26
31.03.15
26,8
24.04.23
31,3
27.05.22
36,2
25.06.17
37,4
21.07.23
38
24.08.23
34,4
03.09.09
30,1
14.10.23
27,5
14.11.23
23,6
11.12.23
38
2023
Précipitations (mm) 84,2 59,8 61,7 84,8 58,5 41 18,2 28 90,6 139,9 149,3 104,3 920,3
Source : « Fiche 6152002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
12,4
5,9
84,2
 
 
 
12,8
5,7
59,8
 
 
 
15,2
7,7
61,7
 
 
 
17,6
9,8
84,8
 
 
 
21,4
13,5
58,5
 
 
 
25,5
17,1
41
 
 
 
28,4
19,6
18,2
 
 
 
28,8
20
28
 
 
 
24,8
16,7
90,6
 
 
 
20,4
13,4
139,9
 
 
 
15,9
9,4
149,3
 
 
 
13,1
6,8
104,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Opio est une commune urbaine[Note 3],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[11] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cannes - Antibes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (13,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,2 %), forêts (40,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (9,6 %), cultures permanentes (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

L’histoire d’Opio remonte à l’Antiquité.

Opio est à l’origine un important camp fortifié, un oppidum (d’où il a probablement tiré son nom) construit par une tribu celto-ligure, les Déciates. Il est détruit en 154 av. J.-C. par les légions romaines du consul Quintus Opimius puis il est de nouveau ravagé par les Wisigoths, les Ostrogoths, et occupé plus tard par les Sarrazins.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 973, Guillaume Ier, comte de Provence, expulse les Sarrazins, aidé par des seigneurs, dont Rodoard[17]. En remerciement, Guillaume Ier lui attribue le titre de comte d’Antibes avec tous les pouvoirs civils et religieux. Il est dit dans les cartulaires de l'abbaye de Lérins : princeps Antipolitanus ad domino Guillelmo secundo comites Arlatensis creutus. Ces cartulaires donnent le nom de sa femme, Alajarde, fille du comte de Provence, Guillaume. Le comte lui a donné la souveraineté d'Antibes et la moitié des terres du diocèse. Il était encore vivant en 993. Dans ces mêmes textes sont donnés les noms des enfants de Rodoard : Gauceran, qui lui succède et obtient du comte de Provence l'autre moitié des terres du diocèse d'Antibes, Guillaume dit Gruette, à cause de son long cou, et Oda, mariée à Pierre Signerius[18].

Guillaume, dit Gruette, devint seigneur d’Opio en se mariant avec Adhoïs. Opio est alors rattaché à l'évêché d'Antibes.

En 1034, Gruette se retire comme moine à l’abbaye de Lérins, à qui il lègue une partie du fief d’Opio, dont les terres s’étendent, à l’époque, jusqu’au port de Cannes.

En 1084, le village est cité sous le nom d'Opio.

En 1110, les évêques d’Antibes et l’abbaye de Lérins entament une lutte d’influence pour la possession des biens des seigneurs locaux et des églises en particulier.

Les seigneurs d’Opio, dont Pierre (fils de Gruette) sont peu à peu dépossédés de leurs terres, au profit de l’épiscopat d’Antibes.

En 1150, les seigneurs d'Opio se sentant vulnérables à Opio décidèrent de construire un nouveau château au sommet d'une colline, Châteauneuf d'Opio. Rapidement, les habitants d'Opio vont se déplacer au château neuf.

Les comtes de Provence vont s'intéresser à l'est de la Provence et vont lutter contre l'influence et la prise de contrôle de ce territoire par la république de Gênes. Gênes avait déjà pris le contrôle de Vintimille et obligé Gui Guerra, comte de Vintimille à s'en reconnaître le vassal, en 1157. Raimond-Bérenger II est tué en 1166 pendant le siège de Nice. Alphonse Ier de Provence signa un accord en 1176 avec la commune de Nice mais après 1213 les Niçois vont se rapprocher des Génois qui en 1215 construisirent un château sur le rocher de Monaco.

Opio est prise en 1178. Foulque, Fulco, moine de l'abbaye Saint-Victor de Marseille succède à Bertrand Ier comme évêque d'Antibes en 1178. En avril 1178, Raimond Béranger, ayant reçu le comté de Provence de son frère Alphonse II d'Aragon, jugea en sa faveur dans une transaction avec Raimond de Grasse. Il l'a confirmé dans ses droits sur Mouans, Opio, Antibes, Avignonet et Mandelieu, Auribeau, Saint-Vallier, Saint-Cézaire, Caussols, Gourdon et son prieuré Saint-Vincent, le Bar, Biot et Sartoux[19].

La ville de Vintimille est prise par les Génois en 1222. Le comte de Provence Raimond Bérenger IV décida de prendre le contrôle de Nice. Romée de Villeneuve est chargé de s'emparer des châteaux de l'est de la Provence dont les seigneurs sont en rébellion contre le comte de Provence. Nice comme Châteauneuf-d'Opio sont pris en 1229. L'évêque de Grasse en est devenu le seigneur d'Opio vers 1244 et va le rester jusqu’à la Révolution, en 1789.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en octobre 1387, ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont la co-dame d’Opio, Renaude de Saint-Paul. Elle obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le 2 janvier 1388 et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[20].

À la fin du XIVe siècle, l'habitat à Opio déclina et en 1400, le site du village est déclaré inhabité. L'église Saint-Trophime est conservée mais elle sert de chapelle.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1631, Antoine Godeau, membre de l’académie française et auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire de l’église, est nommé par Louis XIII seigneur temporel d’Opio. Il est définitivement consacré évêque de Vence par une bulle du Pape en 1636.

Entre 1640 et 1650, il visite Opio à plusieurs reprises et demande que saint Trophime figure sur le retable de l’église.

Entre 1687 et 1705, l'église Saint-Trophime redevient paroissiale. La population est dispersée sur le territoire de la commune et l'agglomération n'est pas reconstituée[21].

En 1734, le premier Conseil de consuls élus par les opidiens se réunit sur le parvis de l’église Saint-Trophime.

En 1986 le jeudi 19 juin, sur le trajet à moto le ramenant de Cannes à Opio, Coluche est accompagné de deux amis. Sans aucun motif apparent, un poids lourd lui coupe brusquement la route en effectuant une manœuvre dangereuse, un virage sec à gauche. Roulant à vitesse modérée (selon l’expertise, à environ 60 km/h au lieu des 90 km/h autorisés), l’humoriste ne peut rien faire pour éviter la collision, sa tête percute l’avant droit du camion, un choc qui lui est fatal.

Les versions divergentes de l'accident données par la presse sèmeront le doute sur la thèse officielle de l'accident.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1931   Jean Carlavan    
Les données manquantes sont à compléter.
1946 1966 Michel Aimé   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
1983 1987[Note 5]
(décès)
Fernand Raybaud    
1987 mars 2001 Roger Michel   Moulinier, ancien adjoint
mars 2001 mars 2008 Marcel Perrissol
(1934-2021)
DVD Commissaire aux fleurs
Adjoint au maire (1965 → 1995),
1er adjoint (1995 → 2001)
mars 2008 En cours
(au 19 janvier 2021)
Thierry Occelli[22] UMP-LR[23] Entrepreneur en bâtiments
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 2 393 habitants[Note 6], en augmentation de 8,18 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
368320377389404410413412448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
459385386388371349312323346
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
341376346362355327337364397
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5427901 0211 3361 7921 9222 0702 1432 112
2014 2019 2021 - - - - - -
2 2042 2952 393------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement, sports[modifier | modifier le code]

La commune dispose de divers commerces, d'un parc de sports, d'une école maternelle, d'une école primaire, et d'un cimetière. On y trouve également une école néerlandaise, De Gouden Klomp, où les enfants natifs des Pays-Bas, très nombreux dans cette région, peuvent recevoir une instruction sur la langue et la culture néerlandaises.

Économie[modifier | modifier le code]

Opio compte, en 2006, 882 actifs (taux de chômage de 4 %).

La commune accueille un village de vacances du Club Méditerranée[28] ouvert en 1989[29].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Stèle en hommage à Coluche.
Église Saint-Trophime.

Une pierre commémorative est située à côté du lieu de l'accident où Coluche a perdu la vie, le 19 juin 1986, et est visible de la route. Accessible à partir de la route de Cannes (D 3). Une nouvelle stèle en sa mémoire est inaugurée à l'occasion des 30 ans de sa mort[30].

L'église Saint-Trophime, du nom de l'évêque d'Arles qui aurait évangélisé la Provence, a une origine médiévale. Elle a peut-être été construite sur un temple dans le haut Moyen Âge. Elle est citée dans des textes de 1138. La nef est romane et date du XIIe siècle. Des éléments romains en réemploi sont visibles dans les murs. L'église a été remaniée au XVe siècle[31].

La Maison des évêques de Grasse, datant du XVIIe siècle, a une belle cage d'escalier de cette époque. Elle est devenue la mairie d'Opio. Une inscription funéraire romaine a été scellée sur le côté nord-est. Sa traduction est : À Caïus Albucius Opius qui vécut vingt ans, Caïus Albucius Opius et Nevia Paterna ont élevé ce monument à leur fils bien-aimé.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Opio Blason
D’azur à la fasce crénelée d’argent et maçonnée de sable sommé d’une crosse épiscopale d’or issante.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Ce nom vient du nom provencal de la commune: Ùpie
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Fernand Raybaud, maire, meurt durant sa mandature.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Opio et Valbonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. (en) Medieval Lands : seigneurs d'Antibes
  18. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France: ou Recueil général des généalogies des maisons nobles de ce royaume avec les armoiries de chaque famille, volume 15, p. 272, Paris, 1818 Texte
  19. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes, Volume 1,p. 173, Librairies Visconti et Delbecchi, Nice, 1862 Texte.
  20. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
  21. CG 06 : Découvrir Opio.
  22. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes (consulté le 20 juin 2008).
  23. « Résultats des élections municipales 2014 : Opio (06650 - Alpes-Maritimes) », sur lexpress.fr (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. La genèse de ce village, qui a duré dix ans, est résumée par Gilbert Trigano, in : Gilbert Trigano et Serge Trigano, La saga du Club, Grasset, , 348 p. (ISBN 978-2-246-56481-2, présentation en ligne), p. 107 à 109
  29. G.B., « Opio en Provence : un moteur économique de charme », sur nice-matin.com, (consulté le ).
  30. « Un monde fou à Opio pour l'hommage à Coluche, mort il y a 30 ans », sur nicematin.com, .
  31. Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Côte d'Azur 2013, Petit Futé, , p. 418
  32. Bernard Beugnot, Chronologie, in Jean Anouilh, Théâtre – II, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (2007) p. XIV (ISBN 978-2070115877)
  33. (en) Michael Nelson, CASTRO AND STOCKASTER : A Life in Reuters, éditions Matador, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]