Independence Day (film, 1996)

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Independence Day
Le Jour de la riposte
Description de l'image Independence Day (film, 1996).jpg.
Titre québécois Le Jour de l’indépendance
Titre original Independence Day
Réalisation Roland Emmerich
Scénario Dean Devlin
Roland Emmerich
Musique David Arnold
Acteurs principaux
Sociétés de production Centropolis Entertainment
Twentieth Century Fox
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Science-fiction
Action
Durée 145 minutes
Sortie 1996

Série

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Independence Day : Le Jour de la riposte ou Le Jour de l'indépendance au Québec[1] (parfois abrégé ID4) (Independence Day) est un film de science-fiction américain réalisé par Roland Emmerich, sorti en 1996.

Il raconte l'invasion d'extraterrestres venus piller les ressources de la Terre, devant lesquels des groupes d'individus et de familles fuient et convergent vers le désert du Nevada. Avec le reste de la population américaine, ils espèrent participer à une bataille de la dernière chance pour la survie de l'espèce humaine. Symboliquement cette bataille a lieu le , le jour de la fête nationale américaine.

Une suite, Independence Day: Resurgence, est sortie en 2016.

Synopsis[modifier | modifier le code]

En 1996, un radiotélescope du programme SETI capte des ondes émises par un vaisseau extraterrestre démesuré qui s'est immobilisé en orbite géostationnaire lointaine. Le Pentagone, averti de cette présence, décide de garder le secret sur cette découverte. Peu de temps après, de gigantesques vaisseaux spatiaux entrent dans l'atmosphère puis prennent lentement position au-dessus de diverses mégapoles mondiales. À Washington, le président des États-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) s'interroge sur la conduite à tenir.

David Levinson (Jeff Goldblum) est analyste informaticien. Il découvre qu'un signal provenant du vaisseau extraterrestre et capté par un radiotélescope joue le rôle d'un compte à rebours. Il décide d'en informer en haut lieu en prenant contact avec son ex-femme Constance Spano qui est conseillère à la Maison-Blanche. Le président décide alors l'évacuation générale, mais il est trop tard : de chacun des vaisseaux surgit un rayon surpuissant qui détruit instantanément les buildings et tous leurs environs. Le lendemain, les lieux visés ne sont plus que ruines et désolation. Le nombre de victimes est très lourd.

Steven Hiller (Will Smith) est capitaine de l'US Marine Corps (USMC). Avec les quelques survivants, le président Whitmore, qui a échappé de justesse à la destruction de la capitale à bord d'Air Force One, décide d'organiser la riposte. Une première attaque aérienne massive est lancée sur les vaisseaux, mais aussitôt le combat engagé, les pilotes humains constatent que leur armement ne peut percer le bouclier énergétique qui entoure ceux-ci. Écrasés sous le nombre des chasseurs sortis des vaisseaux envahisseurs — et équipés eux aussi de boucliers infranchissables — les avions sont abattus les uns après les autres, à l'exception de celui du capitaine Steven Hiller, qui parvient à mener son adversaire dans un dédale rocheux avant de l'aveugler avec sa toile de parachute et de le faire s'écraser.

Hiller se retrouve dans le désert du comté de Lincoln, au sud-est du Nevada, en compagnie de l'extraterrestre qu'il a assommé et qu'il traîne derrière lui. Il est rejoint un peu plus tard par un convoi de caravanes tractées par des personnes ayant échappé à l'anéantissement, et qu'il va guider vers la Zone 51.

Dans les ruines de Los Angeles, Jasmine Dubrow, compagne de Steven Hiller ayant survécu à l'anéantissement avec son fils Dylan, parvient à dégager plusieurs survivants des décombres, parmi lesquels la Première dame des États-Unis, Marilyn Whitmore, dont l'hélicoptère s'est écrasé peu de temps après le début de la destruction de la ville.

Thomas Whitmore se rend dans la Zone 51. Il y apprend alors que ce n'est pas la première fois que les Humains se trouvent confrontés à ces extraterrestres : un chasseur extraterrestre s'est en effet écrasé en 1947 aux alentours de Roswell et a été récupéré dans la plus grande discrétion par l'US Air Force.

Dans le laboratoire médical de la Zone 51, des scientifiques entament l'ouverture de la combinaison biomécanique de l'extraterrestre capturé par Steven Hiller, toujours inconscient et tenu pour mort, mais l'opération se transforme en désastre, car l'extraterrestre se réveille soudain et tue les scientifiques présents par télépathie. Après une tentative de négociation infructueuse, l'extraterrestre est abattu alors qu'il tente de tuer le président américain.

Ce dernier ayant perçu quelques bribes du passé et des intentions belliqueuses de l'espèce extraterrestre, il décide d'utiliser l'arme nucléaire pour détruire le vaisseau au-dessus de Houston, mais une fois l'explosion dissipée, l'euphorie s'évanouit aussi vite qu'elle est apparue : le vaisseau protégé par son bouclier énergétique est toujours intact.

Désemparés, les rescapés ne savent plus quelle piste explorer jusqu'à ce que David Levinson, sous le coup d'une rude gueule de bois et avec l'aide de son père Julius Levinson, ait une soudaine inspiration. L'idée, à la fois d'une simplicité folle et d'une audace sans précédent, consiste à implanter dans le système informatique du vaisseau-mère en orbite terrestre un virus informatique qui désactivera par signal satellite les boucliers de tous les vaisseaux extraterrestres.

Steven Hiller et David Levinson se portent volontaires pour piloter le chasseur extraterrestre détenu dans la Zone 51 et réparé par les scientifiques afin d'accéder au vaisseau-mère pour y implanter le virus. Sur Terre, la contre-offensive planétaire est lancée le , et Thomas Whitmore la mène personnellement à bord de son F-18, tandis que le virus de David Levinson désactive les boucliers de tous les vaisseaux. Cependant, la trop faible puissance des missiles air-air ne permet pas de détruire ceux-ci, d'autant plus que les chasseurs extraterrestres se lancent dans la bataille pour protéger les vaisseaux-mère.

Alors qu'un vaisseau est sur le point d'émettre son rayon destructeur sur la Zone 51, le pilote Russell Casse, qui ne peut tirer son dernier missile, bloqué, se sacrifie en lançant son F-18 dans l'émetteur du rayon. Les dégâts infligés à son arme principale entraînent une réaction en chaîne destructrice dans tout le vaisseau, qui s'écrase.

Pendant ce temps, leur chasseur extraterrestre bloqué dans le vaisseau-mère, Steven Hiller et David Levinson tentent le tout pour le tout. Après avoir tiré un missile pourvu d'une ogive nucléaire de très forte puissance qui s'est fiché dans la structure du vaisseau, ils parviennent à se délivrer du dispositif qui retenait leur chasseur et à quitter in extremis le vaisseau-mère avant que l'explosion nucléaire le désintègre.

Steven Hiller et David Levinson, qui se sont écrasés dans le désert à leur retour, sont rejoints par Thomas Whitmore et leurs épouses respectives et assistent à la chute de débris du vaisseau-mère. Pendant ce temps, l'on voit l'euphorie des autochtones de chaque régions du globe avec des vues sur des monuments ou paysages célèbres (Kilimandjaro, pyramides de Gizeh...) ainsi que des vaisseaux Aliens en flammes qui se sont écrasés à côté.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

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Sorties cinéma[modifier | modifier le code]

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Distribution[modifier | modifier le code]

Sources et légende : version française (VF) sur Allodoublage[10] et Voxofilm[11] ; version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[12]

Production[modifier | modifier le code]

Développement[modifier | modifier le code]

Roland Emmerich et Dean Devlin ont l'idée du film lors de la promotion de Stargate, la porte des étoiles, imaginant l'impact qu'aurait l'arrivée de gigantesques vaisseaux extra-terrestres à travers le monde. Ils écrivent le scénario en 30 jours et le soumettent aux studios, dont Fox qui achète le projet et accepte de le financer pour un budget de 69,5 millions de dollars[13]. Emmerich et Devlin comptent finir le film avant Mars Attacks! de Tim Burton, qui parodie le genre et devait sortir en aux États-Unis. Le titre du film, Independence Day, est donc choisi pour fixer une sortie le , date de la fête nationale américaine[14].

Choix des interprètes[modifier | modifier le code]

Kevin Spacey est envisagé pour le rôle du président Whitmore, qui revient finalement à Bill Pullman. Le personnage est modifié en conséquence, pour le rendre bien intentionné dès le début du film. Le studio est très réticent que Will Smith joue le pilote, car l'acteur n'est pas assez connu à l'international. Pour imposer son choix, Emmerich menace d'amener le projet à Universal[15].

Tournage[modifier | modifier le code]

Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb. Le film a été tourné :

Roland Emmerich encourage les acteurs à improviser des répliques non prévues par le scénario. C'est notamment le cas de la scène où Will Smith traverse le désert de sel. Pour donner de la spontanéité au discours du président, Bill Pullman s'inspire de celui de Robert Kennedy à la suite de l'assassinat de Martin Luther King[13].

Post-production[modifier | modifier le code]

La fin d'origine montrait Russell Casse détruire le vaisseau ennemi à bord de son biplan, le pilote ayant été rejeté par les militaires avant la bataille. À la suite de la réaction hilare du public lors d'une projection-test, la fin fut modifiée peu avant la sortie du film pour que le personnage combatte dans un F-18[16].

Musique[modifier | modifier le code]

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Bande originale[modifier | modifier le code]

La musique originale est composée par David Arnold, qui avait déjà collaboré avec Roland Emmerich sur Stargate, la porte des étoiles. Arnold fait appel à son fidèle orchestrateur Nicholas Dodd pour diriger l'orchestre de 90 musiciens accompagné d'un chœur de 46 personnes[17]. L'album d'origine comprend 14 pistes pour 50 minutes de musique :

  • 1969 - We Came In Peace, durée : 2 min 4 s.
  • S.E.T.I. - Radio Signal, durée : 1 min 52 s.
  • The Darkest Day, durée : 4 min 12 s.
  • Canceled Leave, durée : 1 min 46 s.
  • Evacuation, durée : 5 min 48 s.
  • Fire Storm, durée : 1 min 23 s.
  • Aftermath, durée : 3 min 36 s.
  • Base Attack, durée : 6 min 11 s.
  • El Toro Destroyed, durée : 1 min 32 s.
  • International Code, durée : 1 min 32 s.
  • The President's Speech, durée : 3 min 11 s.
  • The Day We Fight Back, durée : 4 min 58 s.
  • Jolly Roger, durée : 3 min 17 s.
  • End Titles, durée : 9 min 9 s.

Accueil[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Independence Day
Score cumulé
SiteNote
Metacritic 59/100[18]
Rotten Tomatoes 65 %[19]
AlloCiné 2.4 étoiles sur 5[20]
Compilation des critiques
PériodiqueNote

Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 65 % d'opinions favorables pour 71 critiques[19]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 59100 pour 19 critiques[18].

En France, le site Allociné propose une note moyenne de 2,45 à partir de l'interprétation de critiques provenant 5 titres de presse[20].

Le film a reçu une très mauvaise critique de la part des journaux français. Ainsi, Vincent Remy, dans sa critique de Télérama[21], voit dans le film « une monumentale connerie, recyclage ranci d'Alien, Rencontres du troisième type, et autre Croisière du Poséidon. » Jean-Luc Wachthausen dans Le Figaro[22], résumait le film en « deux heures vingt minutes de trucages, d’images de synthèse, de combats gigantesques qui renvoient La Guerre des étoiles ou Top Gun au rang de charmants gadgets » et Yann Tobin dans Positif[23] jugeait que « La niaiserie du scénario n’a d’égale que sa valeur symbolique et sociologique, dans sa culture du politiquement correct. »

Box-office[modifier | modifier le code]

Le film a rapporté 817 400 891 $, une performance qui l'inscrit parmi les plus gros succès du box-office mondial.

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis 306 169 268 $[24] 27
Drapeau de la France France 5 656 991 entrées[25] 6

Monde Total mondial 817 400 891 $[24] n/a n/a

Ressortie[modifier | modifier le code]

Le film ressort en 2010 dans une version longue « édition spéciale » contenant 8 minutes de scènes supplémentaires[26].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Références à d'autres œuvres[modifier | modifier le code]

  • Dans le commentaire audio du film, Roland Emmerich et Dean Devlin revendiquent l'influence de Star Wars, notamment pour la scène d'ouverture avec le vaisseau mère qui s'avance en contre-plongée vers la Terre.
  • Dans le van de Russell Case, Troy le plus jeune fils, regarde une scène du film Le Jour où la Terre s'arrêta (1951), à la télévision, dont la réception est perturbée par les signaux de communication des extraterrestres.
  • L'idée de grands vaisseaux extra-terrestres survolant les capitales du monde, ainsi que la scène où une adolescente se voit proposer de perdre sa virginité avant la fin du monde, sont clairement inspirés par la mini-série V diffusée au début des années 80.
  • L'image d'un ovni caché par un grand nuage évoque Rencontres du troisième type de Steven Spielberg.
  • Lorsque le capitaine « Steve » Hiller arrive à la base de la Zone 51 avec un extraterrestre encore en vie, l'un des intervenants dit « Guess who's coming to dinner », c'est une référence au film Devine qui vient dîner ? de 1967 de Stanley Kramer avec Sidney Poitier.
  • Lorsque David et « Steve » s'installent dans le vaisseau afin d'aller implanter le virus dans le vaisseau mère, David installe son ordinateur portable et au moment de se lancer une image d'accueil apparaît laissant entendre une voix disant « Bonjour, David. » Cette voix et l'image d'accueil sont des références au film 2001, l'Odyssée de l'espace de 1968 de Stanley Kubrick et son personnage d'ordinateur HAL 9000. L'image d'accueil est l'œil rouge de HAL 9000.
  • Quand David et Steven s'échappent du vaisseau mère dans une course contre la montre, le premier s'exclame dans la version originale « Must go faster! » : une référence directe à une réplique de Ian Malcolm, également interprété par Jeff Goldblum, lors de la poursuite du T-Rex dans Jurassic Park.

Autour du film[modifier | modifier le code]

Sorties vidéo[modifier | modifier le code]

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Adaptation en jeu vidéo[modifier | modifier le code]

Independence Day est le jeu vidéo adapté du film. Développé par Radical Entertainment, il est sorti en 1997 sur Windows, Saturn et PlayStation.

Suite[modifier | modifier le code]

En 2009, Roland Emmerich a annoncé non pas une mais deux suites au film. Ils se dérouleront à notre époque mais dans un monde qui a grandement évolué grâce aux technologies extraterrestres récupérées sur les épaves[27],[28]. En , cependant, il signale que l'écriture du scénario n'a pas avancé : « Je refuse d'écrire quoi que ce soit avant qu'il y ait du neuf. » a-t-il déclaré[29]. Independence Day: Resurgence sort en 2016.

Références dans d'autres œuvres[modifier | modifier le code]

  • La fin de l'épisode Chinpokomon de la série South Park est une reprise du film, avec notamment la communication en morse.
  • Le niveau Katina du jeu vidéo Star Fox 64 est une référence aux événements du film.
  • Dans la cinématique de fin de Metal Slug 2 et Metal Slug X, un pilote en avion de l'Armée Rebelle se sacrifie en fonçant dans la source du rayon du vaisseau mère alors que celui-ci était en train de le charger, tout comme le personnage de Russel Casse dans ce film.
  • Dans le film Stonehenge Apocalypse, il est fait allusion implicitement au film lors de la séquence montrant la découverte du compte à rebours (c'est un schéma similaire qui est découvert).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Classification États-Unis : « Classé PG-13 pour la destruction et la violence de science-fiction. »
  2. Dans la version longue de 2010, Lucien Jean-Baptiste double Will Smith pour une scène supplémentaire.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e « Le Jour de l'indépendance », sur cinoche.com (consulté le ).
  2. a et b « « Independence Day : Le Jour de la riposte - Titres et dates de sortie » » (dates de sortie), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
  3. (en) « Independence Day (1996) - Financial Information », sur The Numbers (consulté le ).
  4. (en) « Budget du film Independence Day », sur Box Office Mojo.com (consulté le ).
  5. « Budget du film Independence Day », sur JP box-office.com (consulté le ).
  6. a et b « Première mondiale du film Independence Day à Hollywood, Los Angeles, California, United States le 26 juin 1996 », sur alamyimages.fr (consulté le ).
  7. a b c d et e « « Independence Day » » (fiche film), sur Allociné (consulté le ).
  8. a b et c « Independence Day », sur cinebel.dhnet.be (consulté le ).
  9. « Visa et Classification - Fiche œuvre Independence Day », sur CNC, (consulté le ).
  10. « Fiche du doublage français du film » sur Allodoublage, consulté le 3 décembre 2014
  11. « Fiche du doublage français du film » sur Voxofilm, consulté le 3 décembre 2014
  12. « Fiche du doublage québécois du film » sur Doublage.qc.ca, consulté le 3 décembre 2014
  13. a et b (en-US) Aaron Couch et Aaron Couch, « “You Can’t Actually Blow Up the White House”: An Oral History of ‘Independence Day’ », sur The Hollywood Reporter, (consulté le )
  14. (en-US) « The Story Behind Independence Day's Title: 'We Can Come Up With Something Better Later' », sur Gizmodo (consulté le )
  15. « Interview Roland Emmerich - Anonymous - (2011) - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion (consulté le )
  16. « Independence Day Alternate Ending » (consulté le )
  17. « Filmtracks: Independence Day (David Arnold) », sur www.filmtracks.com (consulté le )
  18. a et b (en) « Independence Day Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le ).
  19. a et b (en) « Independence Day (1996) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le ).
  20. a et b « Independence Day - critiques presse », sur Allociné (consulté le ).
  21. Vincent Remy, « Independance Day », Télérama,‎ (lire en ligne)
  22. Jean-Luc Wachthausen, « Independence Day », Le Figaro,‎
  23. Yann Tobin, « Independence Day », Positif, no 428,‎
  24. a et b (en) « Independence Day », sur Box Office Mojo (consulté le )
  25. « Independence Day », sur JP box-office.com (consulté le )
  26. (en) « Independence Day (Comparison : Theatrical Cut », sur movie-censorship.com (consulté le ).
  27. Les suites de Independence Day sur Ozap.com
  28. Nouvelles infos du scénario des suites d'Indépendance Day sur Ozap.com
  29. Roland Emmerich À propos de Independence Day 2 et Fondation filmsactu.com, 15 février 2011

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Laurence Alfonsi, « La réception du film lndependence Day en France. Un exemple de contre-acculturation? », Cinémas, vol. 8, no 3,‎ , p. 9–29 (lire en ligne)
  • Julia Baudin, « Un formidable popcorn movie », Le Républicain Lorrain N°1410, Groupe Républicain Lorrain Communication, Woippy, , p. 16, (ISSN 0397-0639)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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