Vieux-Moulin (Oise)

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Vieux-Moulin
Vieux-Moulin (Oise)
La mairie.
Blason de Vieux-Moulin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne
Maire
Mandat
Béatrice Martin
2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60674
Démographie
Gentilé Vieux-Moulinois
Population
municipale
597 hab. (2021 en diminution de 7,87 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 35″ nord, 2° 55′ 57″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 130 m
Superficie 17,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Vieux-Moulin
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Vieux-Moulin
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Vieux-Moulin
Liens
Site web https://vieux-moulin.fr/

Vieux-Moulin est une commune française située au cœur de la forêt de Compiègne dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Le hameau du Vivier-Frère-Robert y est rattaché.

Ses habitants sont appelés les Vieux-Moulinois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au cœur de la forêt de Compiègne, le village, dominé par le mont Saint-Mard, s’étire dans le vallon du ru de Berne, affluent de la rive gauche de l’Aisne. Désigné au XIIIe siècle sous le toponyme rivus Hortice, « ce ruisseau des orties » a permis l’implantation humaine dans une forêt où les ressources aquatiques pérennes sont rares. Il est alimenté par le ru de la Fontaine-aux-Porchers augmenté par le ru des Prés-la-Ville et le ru du Pré-Tortu. Son débit, bien que modeste, permit d’installer un moulin au IXe siècle au lieu-dit le Château Vert. Les marais qu’il traverse avaient été drainés et aménagés en prairie. Ils sont redevenus des zones humides menacées aujourd’hui par l’urbanisation.

L'étangs de Saint-Pierre.

Le cours du ru de Berne, long de 13 818 m, est entretenu par le Syndicat intercommunal pour l’entretien et l’aménagement des rus de Berne et des Planchettes créé en 2003. Il alimente les étangs de Saint-Pierre creusés par les moines célestins de Saint-Pierre-en-Chastres au XVIe siècle. Les étangs étaient au nombre de six, réduits à trois aujourd’hui : étangs de Saint-Pierre, de la Rouillie et de l'Etot. Ils servaient à fournir du poisson pour les moines et à rouir le chanvre. Le ru de Berne traverse ensuite les étangs du Vivier-Frère-Robert et de l'Ortille avant de rejoindre l'Aisne après le pont de Berne.

Les sols sablonneux et peu fertiles n'ont pas permis le développement de l'agriculture et les habitants s'employaient en forêt : ils étaient bûcherons ou brioleurs (transporteurs de bois).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vieux-Moulin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (93,6 %), zones urbanisées (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 101 du réseau TIC ainsi que par la ligne 15 du service AlloTIC[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Vetus Molendinum (1144), Vetus Molinum, Vieil Moslin (1564), Vieil Moulin (1690), Vieux Moulin (1700).

« Vieux Moulin », d'un moulin à eau sur le ru de Berne[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Sur la pente nord du mont Saint-Mard face à Rethondes se trouve la Pierre Torniche ou Pierre qui tourne. Ce rocher, détaché du sommet du plateau calcaire, a été utilisé comme sépulture collective à la fin du Néolithique. Des fouilles entreprises en 1865 ont révélé dix-huit squelettes et une trentaine d'objets en silex, conservés au Musée de l'Homme à Paris, qui permettent une datation entre 2500 et 1700 av. J.-C. La légende rapporte que cette pierre tournerait sur elle-même à minuit le jour de Noël.

La Pierre Torniche.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Unique paroisse fondée dans la forêt de Compiègne, il y eut d'abord une chapelle dédiée à saint Mellon de Cardiff qui fut le premier évêque de Rouen.

En 1309, une communauté de moines célestins s'installe sur une hauteur à proximité et y édifie le prieuré de Saint-Pierre-en-Chastres, sur l'initiative de Philippe IV le Bel. Le prieuré bénéficie ensuite des libéralités de Philippe V le Long et de Charles IV le Bel. Le prieuré contribue, en 1331, à la fondation du prieuré Sainte-Croix d’Offémont, près de Saint-Crépin-aux-Bois. Les moines y demeurent jusqu'à la Révolution, malgré la suppression de l'ordre des Célestins en 1771[15].

Epoque moderne[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1956 Adéodat Bailly    
1956 2001 Colette Pittard[16]    
2001 2014 Patrick Lesne PS[17] Vice-président de l'Agglomération de la région de Compiègne (? → 2014)
2014[18] En cours Béatrice Martin SE[19] Enseignante
Conseillère-déléguée de l'Agglomération de la région de Compiègne (2014 → )

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 597 habitants[Note 4], en diminution de 7,87 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300322355333386387417436390
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
378401372361329400399374436
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
459462456518515423424390469
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
505426409418495579619628598
2015 2020 2021 - - - - - -
648600597------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 318 hommes pour 311 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,3 
5,2 
75-89 ans
7,7 
20,2 
60-74 ans
20,3 
26,4 
45-59 ans
26,8 
16,9 
30-44 ans
18,9 
12,4 
15-29 ans
9,6 
18,6 
0-14 ans
16,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Mellon (Logo monument historique Inscrite MH (2015)[26]).
  • Le Manoir, vieille bâtisse représentative des maisons de campagne de l'ancienne bourgeoisie parisienne.
  • Le Pavillon de l'impératrice Eugénie, œuvre de l'architecte Victor Grisart, 1857 (Logo monument historique Inscrit MH (1994)[27]).
  • Les ruines du prieuré des Célestins de Saint-Pierre-en-Chastres (Logo monument historique Classé MH (1905)[28]). Les deux statues de Saint Pierre et Saint Paul exécutées en 1713 par le sculpteur François Dumont pour le jubé de l'église sont aujourd'hui exposées à Saint-Jacques de Compiègne. Les têtes d'angelots sculptées sur le jubé sont également de la main de cet artiste.
  • Le poste forestier de Saint-Pierre-en-Chastres (Logo monument historique Inscrit MH (1949)[29]).
  • Le Béguinage de la forêt, ancienne école maintenant maisons mitoyennes d'habitation.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Marie-Aimée Roger-Miclos, personnalité de la commune du Vieux-Moulin. Une photographie de Jean Reutlinger en octobre 1902.
  • Jean Charles Quinette de Cernay (1776-1822), général des armées de l'Empire y est décédé.
  • Jacques Mesrine (1936-1979), criminel, a tenu l'auberge du Mont-Saint-Mard de 1967 à 1969.
  • Maurice Pillet-Will (1870-1952), comte et banquier habitant La Chaumine, il créa l'école des Samuels.
  • Marie-Aimée Roger-Miclos (1860-1950), pianiste, a fait construire le Paradou en 1898.
  • Eugène Lefèvre-Pontalis (1862-1923), professeur à l'École des Chartes et directeur de la Société française d'archéologie, il habitait le Paradou.
  • Bohuslav Martinů (1890-1959), compositeur tchèque, il habitait la Brèche-au-Bois‚ rue d'Enfer‚ désormais appelée rue du général de Gaulle.
  • Charles Paul (1879-1960), médecin légiste, il avait installé un élevage de cockers dans sa résidence secondaire "Les Terres Fraîches". Une place porte son nom.
  • Pierre Dreyfus (1907-1994), ancien PDG des Automobiles Renault passa ses vacances au Manoir que son père, banquier qui fit fortune en Amérique centrale construisit à la fin du XIXe siècle.
  • Jacques Riboud (1908-2001), ancien PDG d'Antar, urbaniste et économiste monétaire racheta le Manoir peu après la Seconde Guerre mondiale.
  • L'écrivain Gérard Nicaisse (1924-2007) y a possédé une maison, au no 1 de l'impasse Saint-Jean, de 1966 à sa mort en 2007.
  • Constance (1985-), comédienne et humoriste, arrière-petite-fille du docteur Paul Charles.
  • David Koven (1955-), chanteur de variété, habitant le village[30].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Coupé : au premier de sinople à la roue de moulin d'or accompagnée, aux cantons, de deux fleurs de lys du même, au second d'argent aux trois fasces ondées d'azur.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Vieux-Moulin, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 98-106
  • A. R. Verbrugge, Naissance & vie d'un petit village de l'Oise : Vieux-Moulin, Paris, AGEIP Éditeurs, , 169 p.
  • A. R. Verbrugge, Vieux-Moulin, Paris, Éditions de la RPP, , 67 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Vieux-Moulin et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Vieux-Moulin », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 115.
  15. « Vieux-Moulin, Prieuré Saint-Pierre-en-Chastres – Eglises de l'Oise », sur eglisesdeloise.com (consulté le ).
  16. Stéphanie Forestier, « Colette Pittard, maire emblématique de Vieux-Moulin et… amie de Mesrine », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  17. « Les élus de l'Oise votent Aubry », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  18. « Béatrice Martin élue maire, Patrick Lesne quitte la salle », Le Courrier picard, édition de l'Oise, no 22190,‎ , p. 13 (lire en ligne).
  19. « Vieux-Moulin : les nouveaux élus privilégient le vert à la pierre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vieux-Moulin (60674) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  26. Notice no PA60000091.
  27. Notice no PA00132917.
  28. Notice no PA00114956.
  29. Notice no PA00114955.
  30. Le Parisien, « David Koven prépare son retour dans l'Oise », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).