Valcanville

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Valcanville
Valcanville
Panorama.
Blason de Valcanville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jacques Lecoq
2020-2026
Code postal 50760
Code commune 50613
Démographie
Gentilé Valcanvillais
Population
municipale
393 hab. (2021 en diminution de 3,44 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 38″ nord, 1° 19′ 45″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 86 m
Superficie 6,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Valcanville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 393 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Saire.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 914 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gatteville-le-Phare à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Valcanville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,1 %), prairies (19,9 %), forêts (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (3,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Valecanvilla au XIIe siècle[14], Walecanvilla vers 1213[15], Walequanville en 1231[16], Walecanville en 1307 (Notes Delisle); Wallequanville en 1474[17],[18].

Selon Édouard Le Héricher, Valcanville serait un pléonasme, un terme latin val greffé sur un synonyme celtique cambe « vallée » : la « ville du val de la vallée »[19].

En réalité, ce type d'explication ancienne n'a plus cours et elle est contredite par les formes anciennes. Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », appellatif toponymique précédé d'un nom de personne selon le cas général, mais son étymologie reste indéterminé[20]. On note cependant un Robertus Wallecan en 1232 dans le Cotentin (A.M. H 3436) et un Quemin Vallecan à Anneville-en-Saire, village voisin de Valcanville[18]. Pour Georges Bernage, il présente le nom irlandais Valkan[21].

Il s'agit sans doute d'un anthroponyme germanique continental, anglo-saxon ou (anglo-)scandinave comme pour la plupart des noms en -ville de Normandie. Valcanville est situé dans la zone de diffusion des toponymes et anthroponymes (anglo-)scandinaves.

Remarque : François de Beaurepaire a identifié un certain nombre de noms de personnes simples ou commençant par Val- / Valle- à la fois germaniques continentaux, anglo-saxons et scandinaves dans la toponymie normande[22],[23]. Val / Valle représentent l'élément pangermanique walha ou wala (scandinave valr) et que l'on retrouve dans Valmont (Seine-Maritime, Walemunt XIIe siècle), Valletot (Eure, Valetot 1398), Valleville (Eure, sans forme ancienne). Le même auteur identifie un nom de personne anglo-saxon en -kin dans le toponyme cauchois Harcanville (Seine-Maritime, Harkenvilla fin XIIe siècle)[22].

Le gentilé est Valcanvillais.

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Le hameau de Tronville au nord du bourg est attesté sous la forme Tronvilla en 1189[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la voie romaine Valognes - Barfleur[25].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

L'ancienne commanderie.

En 1125, Henri Ier Beauclerc, duc de Normandie et roi d'Angleterre, fils de Guillaume le Conquérant, donne aux Templiers le fief de Valcanville.

En 1313, la dévolution des biens de l'ordre du Temple attribue la commanderie de Valcanville aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Villedieu qui créèrent une nouvelle commanderie et qu'ils posséderont durant 400 ans[25].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Il y eut sur les bords de la Saire jusqu'à une dizaine de moulins. Vers 1870, l'industriel Mosselman créa au Houx une usine à laminer le zinc[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1807 Philippe Mesnil    
1807 1817 Jacques Nicolas Charles Le Mignot    
1817 1821 Christophe Buhot    
1822 1828 Henry Fontenilliat   Financier
1828 1832 Louis Jean François Le Mignot    
1832 1843 Christophe Buhot    
1843 1848 Bon Anthouard    
1848 1852 Vigor Caillet    
1852 1857 Bon Anthouard    
1857 1868 Jean Leclerc    
1868 1871 Jean Baptiste Meurie    
1871 1903 Casimir Anthouard    
1903 1918 Charles Féron    
1918 1927 Vigor Caillet   Agriculteur
1927 1949 Louis Féron    
1949 1983 Eugène Pilard    
1983 1989 Alfred Lebiez    
1990[27] En cours Jacques Lecoq[28] SE Conseiller principal d'éducation
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 393 habitants[Note 4], en diminution de 3,44 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1508079071 2331 1761 2451 1831 1071 129
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0741 0021 001863850773725669681
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
655634615476438436451460419
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
465450421402421387363362372
2015 2020 2021 - - - - - -
407395393------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • Tricoterie du Val de Saire.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.
L'oratoire Notre-Dame-de-la-Délivrance.
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption des XIIe, XIIIe, XIXe et XXe siècles, d'origine romane, avec un clocher au toit en bâtière du XVe siècle restauré, le reste ayant été reconstruit au XIXe siècle. L'édifice abrite une crédence du XIXe et une Vierge à l'Enfant du XVe classées au titre objet aux monuments historiques[33], ainsi qu'un maître-autel et autels latéraux du XIXe, un bénitier du XVIIe, un aigle lutrin du XVIIIe, une statue de saint Firmin du XIXe, les tableaux de l'Assomption et de saint Louis visitant les croisés atteints de la peste du XIXe, une verrière des XIXe et XXe[34], et une clé de voûte ornée des armoiries de la commanderie : de gueules à la croix d'argent[25].
  • Manoir du Marais des XVIe – XVIIe siècles. L'ensemble fortifié qui a ses façades sur cour en granit, date de 1567[35]. On y accède par une porte double, charretière en plein cintre et piétonne en arc surbaissé. Dans l'angle de la porte charretière subsiste un reste de crénelage à meurtrières, et une arquebusière défend l'entrée. Une échauguette montée sur contrefort orne un angle de la tour carrée (XVIe et XVIIe siècles)[36] bâtie près de l'entrée et percée de plusieurs meurtrières. Les logis en équerre, avec des fenêtres ouvragées, comportaient au moins deux lucarnes, dont une seule subsiste, décorée avec un fronton caractéristique de la fin du XVIe siècle. Pour certains auteurs, l'origine de son nom vient d'un de ses habitants, le sieur Maresq, pour d'autres de sa situation près du marais[37].
Le manoir fut la possession de la famille d'Aigremont, comme l'atteste un blason armorié encore visible sur un cadran solaire[38].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charles Lepeley (1889-1970), écrivain, chroniqueur patoisant et prêtre de la commune à partir de 1927.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
De gueules à la bande cousue d'azur chargée de trois ponts droits à deux arches d'argent, en perspective cavalière et posés à plomb, accompagnée en chef d'une croix de Malte du même et en pointe de deux coquilles d'or rangées en bande[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 257.
  • E. Mannier, Ordre de Malte : les commanderies du grand-prieuré de France, éditions Auguste Aubry, Paris, 1872.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 661.
  • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 68-69.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 132-135.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  4. « Orthodromie entre Valcanville et Gatteville-le-Phare », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. Cartulaire de Montebourg, folio 112.
  15. Archives nationales manuscrit 894, I, 37.
  16. Notes Hulmel (archives départementales de la Manche – série J).
  17. Archives nationales S 5028.
  18. a et b François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 228.
  19. Édouard Le Héricher, Étymologies familiales de la topographie de la France, des noms de lieu de la manche, 1881, p. 114.
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 262a.
  21. Georges Bernage, « Vikings - Danois, mais aussi Norvégiens et Irlandais », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-août-septembre 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  22. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
  23. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 203.
  24. Georges Bernage, « La « Côte des Vikings » », Vikland, la revue du Cotentin, no 7,‎ octobre-novembre-décembre 2013, p. 8 (ISSN 0224-7992).
  25. a b et c Delattre, 2002, p. 257.
  26. Thin 2009, p. 88.
  27. « Maire depuis 24 ans, Jacques Lecoq se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. Réélection 2014 : « À l'unanimité, Jacques Lecoq a été réélu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Crédence », notice no PM50001209 et « statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50001208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. Gautier 2014, p. 661.
  35. Thin 2009, p. 135.
  36. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 144.
  37. Lecœur 2009, p. 68.
  38. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 192.
  39. Girard et Lecœur 2005, p. 70.
  40. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.