Trélévern

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trélévern
Trélévern
L'église Saint-Léonore-et-Sainte-Anne.
Blason de Trélévern
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Yannick Quéguiner
2020-2026
Code postal 22660
Code commune 22363
Démographie
Gentilé Trélévernais, Trélévernaise
Population
municipale
1 241 hab. (2021 en diminution de 3,87 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 33″ nord, 3° 22′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 92 m
Superficie 6,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Perros-Guirec
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trélévern
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trélévern
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Trélévern
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Trélévern
Liens
Site web Site officiel de la commune de Trélévern

Trélévern [tʁelevɛʁn] est une commune française du département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Ses habitants s'appellent les Trélévernais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Carte de Trélévern et des communes avoisinantes.

La commune de Trélévern est située au bord de la Manche, entre Louannec et Trévou-Tréguignec, et fait partie du Trégor.

Communes limitrophes de Trélévern
La Manche La Manche La Manche
Louannec Trélévern Trévou-Tréguignec
Kermaria-Sulard Camlez


Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

Les altitudes du finage communal sont comprises entre 92 mètres (à l'angle sud-est de la commune) et le niveau de la mer ; la majeure partie du territoire communal forme un plateau situé en moyenne vers 80 mètres d'altitude, en pente douce vers le nord-ouest où il n'atteint plus qu'une cinquantaine de mètres. Le bourg est vers 75 mètres d'altitude.

Le littoral est en forme d'arc de cercle, exposé à l'ouest pour sa partie occidentale et au nord pour sa partie septentrionale, avec, approximativement en son milieu, la pointe de Kermarquer. Les zones littorales sont pentues, présentant un dénivelé d'une cinquantaine de mètres entre le plateau proche et le bord de mer. Un estran rocheux de vaste dimension, découvrant à marée basse, atteint une largeur de plusieurs kilomètres, mais contient un seul îlot : l'île Siec (Enez Lec)[Note 1]. Ce littoral est resté longtemps peu propice aux activités humaines et pour cette raison peu habité.

Le réseau hydrographique n'est constitué que de deux minuscules fleuves côtiers : le Ruisseau de Dourdu à la limite ouest de la commune, sépare Trélévern de Louannec, et le Ruisseau de Kergouanton, à sa limite orientale, sépare Trélévern de Trévou-Tréguignec.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral », exposée à un climat venté, avec des étés frais mais doux en hiver et des pluies moyennes[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 9,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 14,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Perros-Guirec à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 855,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages et habitat[modifier | modifier le code]

Trélévern est résté longtemps une commune rurale tournant le dos à la mer : le bourg est né sur le plateau, à plus d'un kilomètre du littoral et son territoire était parsemé d'écarts formés de hameaux et fermes isolées.

C'est essemtiellement depuis la Seconde Guerre mondiale que l'attractivité littorale a provoqué une forte croissance du bourg et suscité une forte rurbanisation de toute la partie du plateau proche de la mer autour des hameaux de Keriec, Rumorvan, Lopérec, Kermarquer, Kerléon, etc.., le littoral lui-même restant quasi-inhabité, sauf, et assez peu, autour de Port-l'Épine et du tour petit port de Keriec. Quelques infrastructures touristiques toutefois ont été créées, des campings, deux au Palud (toponyme révélateur de la présence d'un ancien marais maritime), dénommés camping municipal et camping de Port-l'Épine, et un autre sur la partie sud de la Pointe de Kermarquer (Le Village Marin) ; un modeste port de plaisance offre l'été 80 mouillages à Port-l'Épine et la plage de Keriec accueille les touristes. Les deux-tiers sud-est du territoire communal, plus éloignés de la mer, ont conservé leur caractère rural.

Transports[modifier | modifier le code]

Trélévern est à l'écart des grands axes routiers et est dsservi principalement par deux routes départementales, La D 38 (qui vient de Lannion) et la D 73 qui vient du sud (depuis Kermaria-Sulard).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Trélévern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lannion, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[12] et 46 701 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,1 %), zones urbanisées (27 %), terres arables (17,5 %), forêts (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %), zones humides côtières (0,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Parochia de Trieveleveron, Trielevaren, Tresveler,Treslever ou Trezlever[21].
La forme actuelle, Trélévern apparaît dès 1426[22].

La commune de Trélévern tire son nom de treb (village) et de la famille « Levern de Tréléver », située en Guimaëc (Finistère) ; famille aujourd'hui éteinte et qui portaient pour armes : « bandé de six pièces d'hermines et de gueules »[23].

« Contrairement à ce que pourrait faire accroire la graphie Treleguern en 1395, où -gu- transcrit en fait un -v-, le toponyme ne contient pas le breton gwern « aul-naie, marais », mais un élément meren, lénifié en veren. Cet élément qui apparaît dans les anthroponymes Edmeren au XIe siècle, Glemeren au XIIIe siècle, est ici précédé d'un élément le, dont la forme initiale reste à déterminer. De toute évidence le vieux-breton treb village, en moyen-breton tref, est ici associé à un anthroponyme breton, sans doute à l'origine également de Créac'h-Lévern, village de Plonévez-Porzay »[24].

La présence d'un hameau dénommé "Convenant Castel" rappelle la pratique par le passé des domaines congéables.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Selon Jean-Baptiste Ogée, en 1450, la maison noble de Kerjean appartenait à Jean Pastour, sieur de Kerjean ; les autres maisons nobles étaient Launai-Mezaneguen, Leilech et Los-Kergoanton[25].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Trélévern en 1778 :

« Trelevern ; à 2 lieues un quart au Nord-Ouest de Tréguier, son évêché et sa subdélégation. Cette paroisse relevé du Roi, et compte 500 communiants[Note 4] ; la cure est à l'alternative. Cette paroisse ressortit à Lannion. Son territoire, borné au Nord par la mer [ Manche], produit des grains de toutes espèces[25]. »

La Révolution française[modifier | modifier le code]

Au début de 1790, Trélévern élit sa première municipalité.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Trélévern en 1853 :

« Trélevern : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Keriec, Convenant-Rumorvan, Kermarquer, Loperec, Leslach-Bras, Leslach-Bihan, Kersivy, Kergrec'h, Kermorvan, Kerbos, Kernio, Keribot, Kerlous, Keroizel, Kerninon-Bras, Kerninon-Bihan, Goern, Traon-Coz-Bras. Superficie totale : 694 hectares 34 ares, dont (...) terres labourables 510 ha, prés et pâturages 31 ha, bois 4 ha, landes et incultes 94 ha, étangs 2 ha (...). Moulins : 6 (à eau : du Goern, Kergouaton, Lanlouer, Loz, Diviguin, Cambot). Maison importante : château de Kergouanton. Il y a, à l'angle nord-ouest de cette commune, une batterie qui porte son nom. Géologie : granite amphibolique. On parle le breton[26]. »

Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 que Trélévern possède une école de garçons qui a 61 élèves et une de filles qui en a 40, que « le territoire forme un plateau élevé, nu et découvert [sans arbres] ; mais les terres, quoique bien cultivées, sont médiocres. Peu de prairies. Landes plantées d'ajoncs, formant un sixième de la superficie ». Il précise aussi que sainte Anne, une des deux saintes patronnes de l'église paroissiale, fait l'objet d'une vénération spéciale de la part des marins, que la paroisse dispose aussi de la chapelle Saint-Adrien, bâtie en 1857, qu'une partie de l'ancien manoir de Kergouanton est habité et enfin que vis à vis de l'île Thomé, distante d'environ 21 km, « il existe une batterie qui fait partie du système de défense de Perros »[27].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Trélévern porte les noms de 36 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[28].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Trélévern porte les noms de 13 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[28].

Le , la mairie de Trélévern a été incendiée par les Allemands.

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Trois soldats originaires de Trélévern sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux sont morts durant la Guerre d'Algérie. Un soldat est mort hors conflit[28].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Annick Lefloc'hmoan, journaliste et écrivaine, décédée en juin 2022, a légué à sa mort tout son patrimoine immobilier à la commune, d'une valeur d'au moins 500 000 euros[29].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Trélévern Blason
Bandé d'hermine et de gueules de six pièces.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Pierre Le Gac    
1947 1948 Yves Briand SFIO  
1948 1965 Albert Huon    
1965 mars 1971 Yves Chapelain    
mars 1971 mars 1977 Yves Le Cun[31]
(1938-2014)
   
mars 1977 mars 1983 Yves-Marie Le Marrec    
mars 1983 juin 1995 Michel Le Ralec PS Instituteur
juin 1995 novembre 1997
(démission)
Claude Le Gros    
novembre 1997 janvier 1998 Yves Diverrès DVG Ingénieur, maire par intérim
janvier 1998 mars 2001 René Even[32]
(1932- )
PCF Instituteur retraité
mars 2001 27 mai 2020 François Bouriot
(1958- )
PRG-MR Ingénieur
Premier adjoint au maire (2020 → )
27 mai 2020 En cours Yannick Quéguiner[33] SE Ancien directeur commercial
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 1 241 habitants[Note 14], en diminution de 3,87 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8586597698929031 0421 0831 0201 051
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0141 0391 0861 0961 1001 0011 0651 0831 029
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0311 0331 037918896801770768766
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8668891 0171 2391 2541 3091 3951 3721 257
2021 - - - - - - - -
1 241--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Léonore-et-Sainte-Anne[modifier | modifier le code]

« L'église a retenti pendant plusieurs jours, vers la fin du XVIe siècle, sous la parole puissante de P. Maunoir, missionnaire d'un rare mérite, que Mgr Balthazar Grangier, avait appelé dans son diocèse.(...)[38] ».

Le territoire de Trévou-Tréguignec est enlevé de la paroisse de Trélévern par ordonnance royale du .

Le , fut bénie la première pierre de l'église Saint-Léonore et Sainte-Anne. Pendant les travaux, les offices ont été célébrés dans une église en bois. Cette église fut bénie le par M. Pennec, Vicaire Général à Saint Brieuc et M. Goarin, Recteur.

Le chemin de croix a été sculpté par J. et Y. Paranthoën, père et fils, à partir des dessins de l'abbé Eugène Plétan, qui fut professeur de dessin au collège Saint-Joseph de Lannion et recteur de Trévou-Tréguignec. Cette œuvre est empreinte de l'influence des Seiz Breur. Ce n'est pas étonnant lorsque l'on sait que la chapelle du collège Saint-Joseph de Lannion a été réalisée par James Bouillé et décorée par Xavier de Langlais.

Château de Kergouanton[modifier | modifier le code]

« Le manoir noble de Kergouanton appartenait au XVIIe siècle, à Pierre de Loz, Sieur de Kergouanton; fondateur de l'Hôtel-Dieu de Tréguier(...) » (contrat du ). Kergouanton était aussi une sorte d'hospice où les malheureux étaient reçus. « Pierre de Loz entendait trois messes par jour ; une à l'église paroissiale,la seconde dans une chapelle qu'il avait fait bâtir en l'honneur de son patron, à mi-chemin de son château au bourg, et la troisième dans la chapelle de Kergouanton. Après la mort de son épouse (Françoise de Kergroadez), digne femme qui s'était, elle aussi, consacrée tout entière aux pauvres durant les dernières années de sa vie, il se retira à l'hôpital de Tréguier, et se fit placer parmi les pauvres, sans aucune distinction. Il mourut le et fut inhumé dans la chapelle de l'établissement qu'il avait comblé de bienfaits pendant sa vie et qu'il dota richement à sa mort[38]. » En effet, par son testament du précédent, il avait laissé aux religieuses hospitalières de la Miséricorde de Jésus de nombreux biens dont son manoir de Kermouster en Langoat.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • Préfecture des Côtes-du-Nord ; Bulletin des Maires ; éléments d'histoire et d'archéologie, communes de l'arrondissement de Lannion ; Saint-Brieuc - 1979
  • Le Patrimoine des communes des Côtes-d'Armor - Flohic Editions - 1998

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Ne pas confondre cet îlot de Siec avec l'Île de Sieck, située dans le Finistère.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Personnes en âge de communier
  5. Vincent Théry, né le à Trélévern, décédé le à Trélévern.
  6. François Théry, né en 1778 à Trélévern.
  7. Laurent Allain, né le à Trélévern, décédé le Modèle:Date-27 février 1843 à Trélévern.
  8. Guillaume Omnès, né le à Coatreven en Trélévern, décédé le à Trélévern.
  9. Jean François Le Corre, né vers 1779 à Trélévern, décédé.
  10. Pierre Ropers, né le à Trélévern, décédé le à Trélévern.
  11. Jean Louis Potin, né le à Quemperven, décédé le à Trélévern.
  12. François Marie Guiomar, né le à Trélévern, décédé.
  13. Probablement Yves Balcou, né le à Trélévern.
  14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Journal officiel du 30 septembre 1934
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Trélévern et Perros-Guirec », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ploumanac'h » (commune de Perros-Guirec) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ploumanac'h » (commune de Perros-Guirec) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Lannion », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Citée dès 1330 dans l'enquête du procès de canonisation de Saint-Yves, au diocèse de Tréguier.
  22. Archives le Loire-Atlantique, B 2980
  23. Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes. Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990.
  24. Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992.
  25. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 4, Nantes, Vatar Fils Ainé, (lire en ligne), oage 455.
  26. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Déniel, (lire en ligne), page 931.
  27. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord : rédigée sur les documents officiels les plus récents, Saint-Brieuc, Guyon frères, (lire en ligne), pages 648-649.
  28. a b et c « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  29. Lucile Argaud, « Elle lègue trois maisons à la commune de Trélévern : « J’ai été agréablement surpris » », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Fiche Geneanet de François Touche
  31. « Yves Le Cun, ancien maire, est décédé », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  32. Notice EVEN René par Alain Prigent, version mise en ligne le 4 mars 2009, dernière modification le 5 mars 2009
  33. « Trélévern. Yannick Quéguiner enfile l’écharpe de maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. a et b Benjamin Jollivet (1805-1867) auteur d'un ouvrage sur les Côtes-d'Armor en 1859 (chapitre consacré à Trélévern). Voir L'Écho de l'Armor et de l'Argoat à Guingamp

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :