Teyssières

Teyssières
Teyssières
Lieu-dit Le Moulin à Teyssières
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Dieulefit-Bourdeaux
Maire
Mandat
Franck Mucke
2020-2026
Code postal 26220
Code commune 26350
Démographie
Gentilé Teyssièrois, Teyssièroises
Population
municipale
67 hab. (2021 en diminution de 18,29 % par rapport à 2015)
Densité 2,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 27′ 44″ nord, 5° 08′ 48″ est
Altitude Min. 498 m
Max. 1 325 m
Superficie 28,09 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dieulefit
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Teyssières
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Teyssières
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Teyssières

Teyssières est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Localisation.

Teyssières est située dans la haute vallée du Lez, affluent du Rhône, à 13 km au sud-est de Dieulefit et à 25 km au nord de Nyons.

Relief et géologie[edit | edit source]

Sites particuliers[1] :

  • Col Aimond
  • Col Bessonne
  • Col de Fonturière
  • Col de Lachaud
  • Col de Valouze[2]
  • Col du Bouton
  • Col l'Ancise
  • Col la Pause
  • Col Plat
  • Montagne d'Autuche
  • Montagne de la Lance (1350 m)[2]
  • Montagne de Roubiouse (859 m)
  • Montagne de Sauveginoux
  • Montagne du Brujas (860 m)
  • Montagne la Croix (1221 m)
  • Montagne Robert (787 m)
  • Rocher Garaux
  • Rochers de Jusclas
  • Rochers du Clos du Buis
  • Serre Blanc (958 m)
  • Serre de Lachaud
  • Serre de la Gardette (1059 m)
  • Serre Gaillard
  • Serre Jean Sivat
  • Serre Ponciau

Géologie[edit | edit source]

Hydrographie[edit | edit source]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Lez qui y prend sa source[3],[2]
  • Ravin de Cougoir
  • Ravin de Cougouare
  • Ravin de Fontfroide
  • Ravin de Fontpicotte
  • Ravin de la Grand-Combe
  • Ravin de la Milasorre
  • Ravin de Reyssas
  • Ravin des Blaches
  • Ravin des Bouteries
  • Ravin des Chauvins
  • Ravin des Tardieux
  • Ravin du Col de Lachaud
  • Ravin du Col de la Pause
  • Ravin du Col l'Ancise
  • Ravin du Col Plat
  • Ravin du Pissourier
  • Ravin du Pradal
  • Ravin Margot
  • Ruisseau de Roubiouse

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 921 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nyons P182 », sur la commune de Nyons à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 756,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Teyssières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

La commune est hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3 %), prairies (2,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[edit | edit source]

Vieux village.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[edit | edit source]

Lieu-dit Les Tardieux

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Alençon
  • Anemort
  • Beaujassou
  • Blache Myère
  • Brame-Faim
  • Brest
  • Briasson
  • Broc
  • Chafal
  • Châteaubuis
  • Clamieux
  • Clos du Puits
  • Cogouton
  • Côte Aurand
  • Ferme du Claret
  • Ferme du Col l'Ancise
  • Forcherand
  • la Chenue
  • la Coste
  • l'Adret de la Lionne
  • la Lance
  • l'Arzelier
  • l'Aubarier
  • le Château de Condourdet
  • le Moulin
  • les Bastardons
  • les Chauvins
  • les Devès
  • les Favières
  • les Genestons
  • les Genistières
  • les Lunières
  • les Pignes
  • les Serrettes
  • les Tardieux
  • les Vabres
  • Mesclamas et Noiratte
  • Mielandre
  • Pischet
  • Pradier
  • Rémuzat
  • Ruines du Château d'Audefrey
  • Vieux-Village

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • l'Adret-de-Lionne est un quartier attesté en 1891. Précédemment, il avait déjà été mentionné (non daté) : Ladreyt de la Lionne (plan cadastral)[16].

Logement[edit | edit source]

Projets d'aménagement[edit | edit source]

Risques naturels et technologiques[edit | edit source]

Inondation[edit | edit source]

Le Lez constitue un risque d'inondation connu et bénéficie d'un PPRI approuvé le [17].

Sismicité[edit | edit source]

La commune de Teyssières se trouve en zone de sismicité modérée[18].

Toponymie[edit | edit source]

La commune se nomme Teissièras en occitan[réf. nécessaire].

Attestations[edit | edit source]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :

  • 1284 : castrum de Taiseriis (Valbonnais, II, 118).
  • 1294 : castrum de Theycheriis (inventaire des dauphins, 243).
  • 1309 : castrum de Traycheriis (inventaire des dauphins, 240).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Teyseriis (pouillé de Die).
  • 1391 : Tissier (choix de documents, 215).
  • 1449 : mention de la paroisse : capella de Teysseriis (pouillé hist.).
  • 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Pierre : ecclesia parrochialis Sancti Petri de Teysseriis (visites épiscopales).
  • 1524 : Teycieres (archives de la Drôme, E 4666).
  • 1530 : Tissières (archives de la Drôme, E 5456).
  • 1540 : Tesseriacum (A. du Rivail, De Allobrog., 88).
  • 1636 : Saint Pierre de Teyssières (archives de la Drôme, E 4666).
  • 1891 : Teyssières, commune du canton de Dieulefit.

Étymologie[edit | edit source]

Il existe plusieurs hypothèses :

  • Jacques Astor explique Teyssières (ainsi que les deux Teissières du Cantal) par l'occitan taissièra « gite du blaireau », dérivé de tais « blaireau »[20].
  • Jean-Claude Bouvier[21] rapproche ce nom de l'occitan teissèira « tisserande »[22],[23].

Histoire[edit | edit source]

Du Moyen Âge à la Révolution[edit | edit source]

La seigneurie[19] :

  • Au point de vue féodal, Teyssières était une terre du fief des comtes de Valentinois et de l'arrière-fief des dauphins (barons de Montauban). Un sixième relevait de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
  • Possession des Isoard d'Aix.
  • Une part appartient aux Méruli.
  • 1235 : la part des Méruli passe aux Gérente.
  • 1239 : la part des Isoard passe (par mariage) aux princes d'Orange (de la maison de Baux).
  • Peu de temps après : la part des princes d'Orange est devenue la possession des Montjoux.
  • 1278 : la part des Gérente passe aux Colins.
  • (non daté) : la part des Montjoux passe aux Laye.
  • 1322 : la part des Colins passe aux Saint-Ferréol.
  • 1332 : une part appartient aux Lagier.
  • 1345 : la part des Laye passe (par héritage) aux Eurre.
  • 1349 : la part des Saint-Ferréol passe aux Alleman.
  • (non daté) : la part des Lagier passe aux Alleman.
  • 1545 : l'ex part des Saint-Ferréol acquise par les Alleman passe aux Bologne.
  • 1590 : la part des Eurre est vendue aux Bologne.
  • 1657 : les Bologne vendent leurs deux parts aux Durand de Pontaujard.
  • 1680 : les Durand acquièrent des Alleman le surplus de la terre et réunifient la seigneurie.
  • Les Durand laissent le tout aux Caritat de Condorcet.
  • La terre passe aux Rigot de Montjoux, derniers seigneurs.

Au XIIIe siècle, le fief d'Odefred (Audefrey) dépend des princes d'Orange. Le village de Teyssières dépend des Hospitaliers[2].

Avant 1790, Teyssières était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église était dédiée à saint Pierre et saint Paul et dont la cure était de la collation de l'évêque diocésain. Les dîmes appartenaient au curé[19].

Audefrey[edit | edit source]

  • 1276 : castrum de Audefredo (inventaire des dauphins, 490)[24].
  • 1324 : castrum de Audoffredo (Duchesne, Comtes de Valentinois, preuves, 39)[24].
  • 1333 : castrum Audefrae (Gall. christ., XVI, 130)[24].
  • 1334 : castrum Oudefredi (choix de documents, 82)[24].
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Audefredo (pouillé de Die)[24].
  • 1361 : castrum de Oudefredo (choix de documents, 157)[24].
  • 1376 : dom. Audifredi (cartulaire de Montélimar, 68)[24].
  • 1388 : de Aldefredo (cartulaire de Montélimar, 78)[24].
  • 1391 : Audeffre (choix de documents, 213)[24].
  • 1540 : Odfre (archives de la Drôme, E 2162)[24].
  • 1624 : O Deffre (archives de la Drôme, E 2167)[24].
  • 1644 : Odefrey (visites épiscopales)[24].
  • XVIIIe siècle : Audiffret (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die)[24].
  • XVIIIe siècle : Audifret (carte de Cassini[25])[24].
  • (non daté) : Audefrey (plan cadastral)[24].
  • XIXe siècle : Audefroid (carte d'état-major)[24].
  • 1891 : Audefred et Oddefred : château ruiné et quartier de la commune de Teyssières[24].
  • 1992 : Odefred, ancien fief et ruines du château des Hospitaliers[2].
  • Avant 2020 : Audefrey[26].

La seigneurie[24] :

  • Au point de vue féodal, Audefred était une terre de la baronnie de Montauban.
  • 1277 : possession des Falques.
  • Elle passe aux comtes de Valentinois.
  • 1375 : possession des (du) Puy.
  • 1526 : elle passe aux (des) Isnards, encore seigneurs au XVIIIe siècle.

Aux XIVe et XVe siècles, Audefrey était une paroisse du diocèse de Die, dont l'église était dédiée à saint Paul et dont les dîmes appartenaient au curé du lieu. Elle fut supprimée et unie à la paroisse de Teyssières[24].

De la Révolution à nos jours[edit | edit source]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Dieulefit[19].

Politique et administration[edit | edit source]

Tendance politique et résultats[edit | edit source]

Administration municipale[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Yves Monnier   agriculteur
2008 2014 Yves Monnier   maire sortant
2014 2020 Franck Mucke DVG commerçant
conseiller municipal (2003)
2020 En cours
(au 19 décembre 2020)
Franck Mucke[27][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[edit | edit source]

Politique environnementale[edit | edit source]

Finances locales[edit | edit source]

Jumelages[edit | edit source]

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 67 habitants[Note 2], en diminution de 18,29 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
321292321409426442437417417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
387419425420434371357323293
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
270256218185166144135126102
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1067771586964878781
2015 2020 2021 - - - - - -
826867------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[edit | edit source]

Enseignement[edit | edit source]

Santé[edit | edit source]

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

Loisirs[edit | edit source]

  • Randonnées : ascension de la montagne de la Lance[2] ; GRP du Tour du Pays de Dieulefit[1].

Sports[edit | edit source]

Médias[edit | edit source]

Cultes[edit | edit source]

Une communauté catholique est implantée sur la commune : le Carmel de la Vierge Missionnaire, sous le patronage de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de Marcel Van[32].

Économie[edit | edit source]

Agriculture[edit | edit source]

Culture de lavande au lieu-dit Le Moulin.

En 1992 : lavande, pâturages (ovins, caprins)[2].

Tourisme[edit | edit source]

Revenus de la population et fiscalité[edit | edit source]

Emploi[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Église de Teyssières.

Patrimoine culturel[edit | edit source]

Patrimoine naturel[edit | edit source]

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique, logotype et devise[edit | edit source]

Teyssières possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a b c et d « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Teyssières.
  3. « Source du Lez » sur Géoportail (consulté le 30 avril 2013)..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Teyssières et Nyons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (L'Adret-de-Lionne).
  17. « Prim.net, page sur Teyssières ».
  18. « Décret n° 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français ».
  19. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 387 (Teyssières).
  20. Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, éd. du Beffroi, 2002, p. 756-757.
  21. « Jean-Claude Bouvier », sur Babelio (consulté le ).
  22. Jean-Claude Bouvier, Noms de lieux du Dauphiné, éditions Bonneton, 2002, p. 196.
  23. https://ulysse.univ-lorraine.fr/discovery/fulldisplay?docid=alma991004401399705596&context=L&vid=33UDL_INST:UDL&lang=fr&adaptor=Local%20Search%20Engine&tab=Everything&query=sub,exact,Emploi,AND&mode=advanced
  24. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 13 (Audefred) et 249 (Oddefred).
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : cartes de Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  26. a et b « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  27. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Accueil », sur Carmel de Marie Vierge Missionnaire (consulté le ).