Seicheprey

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Seicheprey
Seicheprey
Église Saint-Pierre.
Blason de Seicheprey
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
Gérard Andre
2020-2026
Code postal 54470
Code commune 54499
Démographie
Population
municipale
111 hab. (2021 en diminution de 3,48 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 15″ nord, 5° 47′ 30″ est
Altitude Min. 229 m
Max. 303 m
Superficie 8,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Seicheprey
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Seicheprey
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Seicheprey

Seicheprey est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Elle appartient au canton de Thiaucourt-Regniéville et à l'arrondissement de Toul.

Fig. 1 - Seicheprey (ban communal).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 852 hectares comportait en 2011, 76% de zones agricoles, 19 % de forêts et 5 % de prairies et zones urbanisées[1]. Le SANDRE ne recense aucun cours d'eau sur cette commune, bien que les cartes en dessinent vers les communes de Xivray-Marvoisin et Saint-Baussant.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Seicheprey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,9 %), forêts (18,9 %), zones urbanisées (2,9 %), prairies (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sachepree (1227), Sechepree (1283), Seschepreie (1284), Sachepreie (1305), Sochepré (1326), Seicheprey (1793). sont des graphies recensées par le Dictionnaire géographique de la Meurthe[15].

Le pouillé ecclésiastique du Père Benoit Picart emploie la forme latinisée Siccum-pratum, avec la traduction Seche-prés (Sêche-prés)[16], ce qui pourrait être dû au fait que la commune n'est arrosée par aucun cours d 'eau.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les sources archéologiques signalent qu'il aurait existé un fort au lieu-dit au Saint-haye, et qu'à diverses reprises, on y a découvert des objets antiques, des armes et des monnaies, dont en 1821 une statue équestre, mais au lieu-dit en Lembresson (l'Ambresson) - Déposée au Musée lorrain -[17] et qui semble remonter à la période romaine selon Henri Lepage.

L'Abbé Grosse, dans son ouvrage, estime d'ailleurs que le village paraît avoir été construit sur les débris d'un bourg assez considérable , ou d'un poste romain, dont on rencontre quelquefois les restes précieux[18].

Le village se trouve effectivement proche de la croisée de chemins anciens, le chemin Brabant (voie de Toul à Montsec[17]), qui reliait la haute Lotharingie au Brabant et la voie royale de Pont-à-Mousson à Commercy, tous deux probablement établies sur des restes plus anciens.

Au Moyen Âge et l'époque moderne, l'histoire communale se résume en ces termes selon Lepage :

« En 1300, Henri, comte de Bar, assigna a son frère Philippe, pour partie de son apanage…(?)... livrées et 5 soudées[Note 3] sur ce qu'il avait à Seicheprey, En 1305 , Pierre de Bar, sire de Bouconville, et Gobert, sire d'Apremont , affranchirent le village de Seicheprey et le mirent à la loi de Beaumont. En 1427, Isabelle, duchesse de Bar, prit sous sa sauvegarde et celle de Jean, son fils , les habitants de Seicheprey, à charge, par chaque chef d'hôtel, de lui payer 2 gros du pays de cens. Le , le duc Charles III y érigea un fief en faveur d'Adrien de Garancières, qui en fit ses reprises au duc de lorraine Henri, le . »[19]

Ce qui signifie qu'une partie des revenus alla au frère du comte de Bar, de son vivant , puis lui revint à la mort de ce dernier (apanage), mais surtout que la commune fut l'une des rares a bénéficier d'une forme d'émancipation du pouvoir seigneurial en passant, en 1305 sous la loi dite de "Beaumont" (en Argonne) : La loi libérait la localité de toute servilité envers le seigneur du lieu et autorisait à l'élection de mandataires locaux (magistrat), en échange de redevances.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La Fontaine américaine.

Seicheprey a été repris aux forces allemandes au début du mois de , après un combat à la baïonnette, par le 15e Régiment d'Infanterie parti d'Albi le . Ce régiment faisait partie du 16e Corps d'Armée sous le commandement du général Taverna. Il avait participé, le , à la bataille de Sarrebourg et, le , à celle de Rozelieures. Le général Sibille, commandant du régiment, devait être tué au cours de l'engagement. Ce régiment, associé aux forces anglaises, devait subir de lourdes pertes lors de la bataille du saillant d'Ypres au début du mois de .

Le , la 26e division d'infanterie américaine y subit son baptême du feu. Après avoir subi un bombardement d'artillerie, les Allemands mènent une offensive. Le combat se conclut par une déroute pour les forces américaines. La division eut 650 blessés et 100 prisonniers, et les Allemands 160 morts. C’est durant cette bataille que Stubby, le chien le plus décoré de la Première Guerre mondiale, dont le maître appartenait 102e régiment d’infanterie américaine, fut blessé à la patte.

Détruit pendant la guerre de 1914-1918, le village a été reconstruit après le conflit avec un plan différent.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 25 mai 2020)
Gérard André [20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 111 habitants[Note 4], en diminution de 3,48 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
254248289275297293304307317
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
297287263252227232213208197
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1801701388691879492107
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
857676728198102114114
2019 2021 - - - - - - -
112111-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

D'après les historiens, (Grosse[18], Lepage[19]) l’activité était uniquement agricole au XIXe siècle

«  Surf. territ. : 834 hect. ; 604 en terres lab., 65 en prés, 119 en bois. »

Secteur primaire ou agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[25]), la commune de Seicheprey était majoritairement orientée [Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux (auparavant polyculture et polyélevage) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 897 hectares (supérieure à la surface cultivable communale) en augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est nettement renforcé de 307 à 566 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 6 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 15 unités de travail[Note 7].(jusqu'à 10 exploitations et 15 unités de travail depuis 1988)

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Fontaine américaine.

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

M. d'Haussonville rapporte, dans son Histoire de la Réunion de la Lorraine à la France[26], que, quelques jours après la signature du traité de Liverdun (), entre Louis XIII et le duc Charles IV, ces deux princes eurent () une entrevue à Seicheprey[27].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Seicheprey Blason
Blasonnement : de sinople semé de cailloux d'argent, à la foi de carnation vêtue à dextre de gueules à l'alérion d'argent et à senestre d'azur à la fleur de lys d'or.
Détails
L'écu représente un pré avec des cailloux (un pré sec, siccum pratum). Charles IV et Louis XIII, après le traité de Liverdun du 26 juin 1632, se rencontrèrent à Seicheprey. Cette entrevue est symbolisée par les deux mains enlacées.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • « Seicheprey », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
  • Seicheprey sur le site de l'Insee

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Livrées et soudées font référence aux possessions domestiques et matérielles du seigneur.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Seicheprey et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Henri Lepage, Dictionnaire géographique de la Meurthe, rédigé d'après les instructions du comité des travaux historiques et des sociétés savantes. Avec une carte du département au Xe siècle, (lire en ligne), p. 303.
  16. Claude de Maillet, Mémoires alphabetiques pour servir à l'histoire, au pouillié et à la description générale du Barrois, ..., Briflot, (lire en ligne).
  17. a et b Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes : par le Cte J. Beaupré..., (lire en ligne), p. 131.
  18. a et b E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 474.
  19. a et b Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative : publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 545.
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  26. Joseph-Othenin-Bernard de Cléron (1809-1884 ; comte d') Auteur du texte Haussonville, Histoire de la réunion de la Lorraine à la France. T. 4 : par M. le comte d'Haussonville, 1854-1859 (lire en ligne).
  27. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 524.