Saint-Sulpice-de-Faleyrens

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Saint-Sulpice-de-Faleyrens
Saint-Sulpice-de-Faleyrens
La mairie.
Image illustrative de l’article Saint-Sulpice-de-Faleyrens
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Saint-Émilionnais
Maire
Mandat
Yvan Dumonteuil
2020-2026
Code postal 33330
Code commune 33480
Démographie
Gentilé Saint-Sulpiciens, Saint-Sulpiciennes
Population
municipale
1 319 hab. (2021 en diminution de 6,45 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 31″ nord, 0° 11′ 21″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 20 m
Superficie 18,17 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Libourne
(banlieue)
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Saint-Sulpice-de-Faleyrens est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine). Elle est une des huit communes faisant partie de la juridiction de Saint-Émilion qui est classée au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco pour son paysage viticole historique qui a survécu intact et est en activité de nos jours.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Sulpice-de-Faleyrens se trouve près de la Dordogne, au cœur du vignoble de Saint-Émilion. Elle se situe à environ 40 minutes du centre de Bordeaux, à une heure du bassin d'Arcachon, et à quelques minutes de Libourne. Elle est traversée par la départementale 19 reliant Libourne à Branne.

La partie sud-ouest de la commune à proximité de la Dordogne, qui la borde sur 10 km, est occupée par un paysage de palud, la partie nord-est elle occupée par des vignobles produisant du vin d'appellation Saint-Émilion et Saint-Émilion Grand Cru. On peut également trouver des vignes produisant du Bordeaux et Bordeaux supérieurs[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Grézillac, Branne, Cabara, Moulon, Saint-Émilion et Vignonet.

Communes limitrophes de Saint-Sulpice-de-Faleyrens[2]
Saint-Émilion
Moulon Saint-Sulpice-de-Faleyrens[2] Vignonet
Grézillac Branne Cabara

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 834 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Sulpice-de-Faleyrens[10],[11]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Saint-Sulpice-de-Faleyrens fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[13],[14], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Sulpice-de-Faleyrens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Libourne, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[19] et 36 631 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64,4 %), terres arables (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), eaux continentales[Note 3] (5,4 %), prairies (4,4 %), zones urbanisées (2,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Sulpice-de-Faleyrens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[27]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2004, 2009 et 2021[29],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sulpice-de-Faleyrens.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 692 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 692 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 4] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[32]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le couvent des cordeliers de St-Emilion y avait des fiefs, au lieu-dit Au Periley, au village de Courau &c.. En 1999, au même moment que la juridiction de Saint-Émilion, la commune de Saint-Sulpice-de-Faleyrens a été classée au Patrimoine mondial de l’humanité. La commune accueille un des plus anciens témoignages d’occupation humaine de la juridiction : un menhir monumental autour duquel les habitants se réunissent et fêtent depuis des millénaires, et même encore aujourd'hui, le solstice d’été[34].

Son nom fait allusion à l'évêque de Bourges du XVIIe siècle saint Sulpice et à une communauté religieuse qui privilégiait les lieux champêtres, la faleyre, désignant la fougère en occitan[35].

Du Xe au XVIIIe siècle une unique institution, la jurade, administrait l’ensemble de l'ancienne juridiction de Saint-Émilion actuellement c'est la communauté de communes qui gère le territoire ainsi que les municipalités des huit communes la constituant. Tandis que la jurade est devenue l’ambassadrice du vin de Saint-Emilion à travers le monde[35].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 2008 Georges Bonnefon DVD Président de la communauté de communes de la Juridiction de Saint-Émilion
Mars 2008 en cours Yvan Dumonteuil DVD Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 1 319 habitants[Note 5], en diminution de 6,45 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1901 2081 2041 2641 2671 1071 2821 2001 229
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2121 2041 1371 1411 1141 1351 1031 1151 112
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1361 1801 1551 0101 0611 0681 1291 0941 121
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1801 2191 3041 6251 6131 5831 5171 5081 456
2017 2021 - - - - - - -
1 3481 319-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité principale de la commune est liée à la viticulture.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Depuis le , une zone de protection du patrimoine architectural et urbain (ZPPAUP) couvre l'ensemble du territoire afin de conserver au mieux l'unité architecturale et paysagère de la Juridiction[40].

  • Le menhir de Peyrefitte est le plus grand menhir d'Aquitaine. Il a été classé monument historique en 1889.
  • Église Saint-Sulpice. En témoigne encore aujourd’hui son abside romane qui a fait l’objet d’une inscription sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques dès 1925, huit décennies avant que l’église soit classée dans son ensemble monument historique, le [41].
  • Les paysages de Saint-Sulpice-de-Faleyrens sont classés au patrimoine mondial de l'UNESCO, comme pour les 7 autres villages entourant la commune de Saint-Émilion car elles offrent un remarquable exemple de paysage de vignoble historique qui nous est parvenu intact, et demeuré en activité jusqu'à nos jours[42].
  • Le château Lescours, dont l'ensemble date du XIVe siècle.

Saint-Sulpice-de-Faleyrens autrefois[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jean-François Fonteneau propriétaire du Saint-Emilion Grand Cru « Château Gros Caillou »[43]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « saintsulpicedefaleyrens.com/si… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Faleyrens et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  11. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  12. Espèces, INPN, consulté le .
  13. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  14. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  15. Espèces, INPN, consulté le .
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Libourne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  25. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Sulpice-de-Faleyrens », sur Géorisques (consulté le )
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  27. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
  28. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
  33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  34. Source: http://www.juridiction-saint-emilion.org/presentation/index.php?option=com_content&view=article&id=69&Itemid=57
  35. a et b Source: http://www.saintsulpicedefaleyrens.com/situation/histoire.php
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Dossier de Presse 1999-2009, 10e anniversaire de l'inscription de la Juridiction de Saint-Emilion sur la liste du Patrimoine mondial de l'Humanité au titre des Paysages Culturels
  41. « Eglise Saint-Sulpice », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  42. « Juridiction de Saint-Émilion », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le ).
  43. Château Gros Caillou

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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