Saint-Rémy-du-Val

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Saint-Rémy-du-Val
Saint-Rémy-du-Val
Saint-Rémy-du-Val vue depuis les ruines du château.
Blason de Saint-Rémy-du-Val
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Mamers
Intercommunalité Communauté de communes Maine Saosnois
Maire
Mandat
Fabienne Ménager
2020-2026
Code postal 72600
Code commune 72317
Démographie
Gentilé Valois
Population
municipale
499 hab. (2021 en diminution de 6,03 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 59″ nord, 0° 15′ 17″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 210 m
Superficie 16,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mamers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Rémy-du-Val est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 499 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Saosnois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Rémy-du-Val est une petite commune rurale du Saosnois, sise à l'orée de la vaste forêt de Perseigne, dans le département de la Sarthe et l'arrondissement de Mamers. Le bourg de Saint-Rémy est à 9 km à l'ouest de Mamers, 18 km au sud-est d'Alençon et à 51 km au nord du Mans.

Une route à circulation importante traverse le nord de la commune (sans passer par les deux bourgs de Saint-Rémy et du Val) : la route départementale 311 (Alençon à Mamers). La route départementale 310 et la route départementale 117 passent en outre par le bourg de Saint-Rémy. Plusieurs chemins vicinaux relient entre eux et aux bourgs les hameaux et fermes isolées.

Le réseau hydrographique de la commune est relativement dense, en raison de son emplacement au pied des collines boisées de Perseigne, véritable château d'eau de la région. La Bienne traverse la commune du nord au sud-est. Principal cours d'eau de la commune, la plupart des autres ruisseaux qui y coulent en son tributaires : ruisseau du Val, ruisseau de la Vieille Ville. L'est de la commune, sur le haut du plateau, est en revanche dépourvu de cours d'eau.

La commune comprend deux bourgs, Saint-Rémy au centre, et le Val plus au nord, jadis chefs-lieux l'un et l'autre de deux paroisses et communes distinctes, qui ont fusionné en 1965 pour former l'actuelle commune de Saint-Rémy-du-Val.

Comme dans tout l'Ouest de la France, les écarts et fermes isolées sont nombreux :

  • Château du Val-Pineau
  • la Basse-Cour du Val-Pineau
  • le Moulin du Val
  • la Commune
  • la Trotterie
  • l'Epine
  • la Boisselière
  • Chaumitton
  • la Hygotière
  • Pont-Maillard
  • la Margotière
  • la Hutellerie
  • le Prieuré
  • Clinchemore
  • la Maladrie
  • la Croix aux Asniers
  • la Petite Métairie
  • le Pressoir
  • le Fourneau
  • les Gasneries
  • Bécherel
  • Haut-Bécherel
  • le Parc-Sec
  • le Logis de Moullins
  • la Basse-Cour de Moullins
  • le Bas-Moullins
  • Verzé
  • les Tuiles
  • Beauséjour
  • la Buchaille
  • la Haute-Buchaille
  • Le Pont
  • la Berrurie
  • le Pont-Gaillard
  • la Lande.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Commerveil_sapc », sur la commune de Commerveil à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 712,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Rémy-du-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,7 %), prairies (13,1 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint Remi du Plain avant 1801, puis Saint-Rémy-du-Plain et enfin Saint-Rémy-du-Val depuis la fusion avec Le Val au . La commune voisine du Val comptait à l'époque 47 habitants. Charles de Gaulle, alors président de la République, est venu sceller cette union[réf. nécessaire]. D’après Dauzat et Rostaing[14], son ancien toponyme s’écrivait villa Sancto Rigomeri de Plano en 990, ce qui signifiait « le domaine Saint Rigomer du Plan (= du plateau) ». Ce Rigomer était un prêtre du diocèse du Mans au VIe siècle, évangélisateur du Maine. Par transfert, ce toponyme est devenu Sanctus Remigium vers 1100, soit Saint-Rémy, un saint plus prestigieux qui fut disciple de Saint-Martin, évêque de Reims, et qui baptisa Clovis. Par équité, l’église du village est d’ailleurs dédiée à la fois à saint Rigomer et à saint Rémy.

Le gentilé est Valois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Saosnois fut occupé très tôt, c'était un pagus gallo-romain, dont la petite capitale, Saosnes, se situe à 3 km au sud du bourg de Saint-Rémy. Petit pays « tampon » entre le Perche, le comté d'Alençon, et le Maine, le Saosnois, s'il a subi au cours de l'histoire les influences de ces trois voisins, peut cependant être considéré comme mainiot. Il a ainsi toujours relevé du diocèse du Mans et appartient à la Sarthe depuis la Révolution.

Les 9 et a lieu une grande bataille entre d'une part les Armagnacs qui tiennent la forteresse de Saint Rémy du Plain, et d'autre part les Bourguignons commandés par Waleran de Luxembourg. Malgré le renfort de Raoul IV de Gaucourt qui vient au secours des assiègés, les Bourguignons remportent une victoire décisive. Les défenseurs de la forteresse se rendent.

Deux paroisses constituaient jadis le territoire de l'actuelle commune. Le Val, ou Val-Pineau (autrefois Notre-Dame-du-Val), précocement dépeuplé, déchu de son statut de paroisse dès le milieu du XIXe siècle. La commune correspondante, quant à elle, lui survécut plus longtemps, mais dut fusionner avec sa voisine en 1965, alors qu'elle ne comptait plus que 47 habitants.

Saint Rémi du Plain avant 1801, puis Saint-Rémy-du-Plain et enfin Saint-Rémy-du-Val depuis la fusion avec Le Val au , fut toujours un bourg plus important, du fait de son établissement le long de la route de Sillé-le-Guillaume à Mamers, à proximité d'une ancienne voie romaine.

L'élasmosaure de Saint-Rémy-du-Val[modifier | modifier le code]

Le squelette de ce reptile marin a été découvert au XIXe siècle lors des travaux de réaménagement de la route entre Mamers et Fresnay-sur-Sarthe. Il fut signalé pour la première fois par le géologue Jacques Triger (1801-1867) lors de la séance du de la Société géologique de France (Brignon, 2016)[15]. L'ingénieur en chef Étienne Jacques Charles de Capella (1806-1896) qui supervisait les travaux, prit les dispositions nécessaires pour conserver ce spécimen unique et assura son dépôt au Musée du Mans (ancien nom du Musée Vert, le musée d'histoire naturelle de la ville du Mans). Le squelette a été mis au jour dans des roches appartenant à l'étage aalénien du Jurassique. Cet étage daté de 175 millions d'années correspond dans la région de Mamers à un milieu marin de faible profondeur proche du littoral de l'époque.

Le squelette a été étudié et déterminé en 2005 par les chercheurs du laboratoire de paléontologie des vertébrés du Muséum national d'histoire naturelle. Il s'agit d'un plésiosaure, plus précisément du groupe des élasmosaures. Ces grands prédateurs marins sont apparus au Trias et ont disparu avec les dinosaures à la fin du Crétacé, il y a 65 millions d'années.

Ce spécimen est relativement complet. Il comprend notamment 58 vertèbres à partir desquelles il a été possible d'estimer la longueur totale de l'animal entre 3,50 et 4 mètres. L'étude des vertèbres a également permis de conclure que cet élasmosaure était un adulte. En revanche, l'absence de crâne empêche une détermination exacte du genre et de l'espèce. L'élasmosaure de Saint-Rémy-du-Val est, à ce jour, le deuxième plésiosaure le plus complet de France. Il est même le plus complet au monde pour l'étage aalénien. Il s'agit donc d'un spécimen d'une grande valeur scientifique pour comprendre l'évolution de ces prédateurs disparus.

En 2006, l'équipe du Musée Vert a réalisé une reconstitution à taille réelle de cet élasmosaure. Le squelette et cette reconstitution sont exposés en permanence au Musée Vert, dans la salle « Jurassique Sarthe ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 décembre 2010[16] Michel Brizard SE  
février 2011[17] février 2020[18] Laurent Frémon[19] SE Technicien
mai 2020[18] En cours Fabienne Ménager SE Adjointe gestionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 499 habitants[Note 4], en diminution de 6,03 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9466779129331 0209841 0221 0231 007
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
966883912842804741729684641
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
622666644603568583555608566
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
604587579499507514563556518
2021 - - - - - - - -
499--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Rigomer-et-Saint-Rémy, des XIIe, XVe et XVIe siècles, classée au titre des monuments historiques en 1911[24]. Tour-clocher du XIIe siècle coiffée d'un toit en bâtière.
  • Château du Val Pineau, dans un parc boisé, construit par la famille Clinchamps au XVe siècle, remanié et agrandi par les marquis Pineau de Viennay au XVIIIe siècle. Devenu propriété de la famille Vienne en 1957, le parc du château abrita un zoo pendant plusieurs années. Pigeonnier.
  • Manoir dit Logis de Moullins, des XIIIe, XIVe, XVe et XVIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 1926[25].
  • Manoir de Clichemore, du XVe au XVIIIe siècles.
  • Ensemble castral de Saint-Rémy-du-Val, des XIe et XIIe ou XIIIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 2015[26].
  • Motte féodale de Lurson.
  • Chapelle gothique Notre-Dame-de-Toutes-Aides, du XIVe siècle.
  • Chapelle du Val, ancienne église paroissiale de la commune du Val.
  • Maison de ruralité : musée du chanvre. Ce musée inauguré en , retrace, au travers de trois thématiques, l'histoire du chanvre qui était autrefois une des activités principales exercées dans le Saosnois.
  • L'ancienne gare de Saint-Rémy du-Plan et la voie verte du Saosnois.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

  • Pèlerinage Notre-Dame-de-Toutes-Aides.

Personnalités liées[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Rémy-du-Val Blason
Parti: au 1er de gueules à deux fasces d'or, au 2e d'azur à la barre d'argent.
Détails

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 510
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Rémy-du-Val et Commerveil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Commerveil_sapc », sur la commune de Commerveil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Commerveil_sapc », sur la commune de Commerveil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Alençon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Dictionnaire des noms de lieux de France, par Albert Dauzat et Charles Rostaing - 1 volume relié plein toile (13,5 x 20 cm), 738 pages. Paris, Larousse; Collection des Dictionnaires du langage, 1963 », Journal des traducteurs, vol. 9, no 1,‎ , p. 24 (ISSN 0316-3024 et 2562-2994, DOI 10.7202/1061086ar, lire en ligne, consulté le )
  15. Brignon A., « L'élasmosaure de Saint-Rémy-du-Val », Fossiles, Revue française de Paléontologie, no 25,‎ , p. 40-43.
  16. « Ouest-france.fr - Le maire de Saint-Rémy-du-Val a remis sa lettre de démission au préfet » (consulté le ).
  17. « Ouest-france.fr - Laurent Fremon élu maire de Saint-Rémy-du-Val » (consulté le ).
  18. a et b « Municipales à Saint-Rémy-du-Val. Fabienne Ménager prend les commandes de la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  19. Réélection 2014 : « Les nouveaux maires et adjoints déjà élus en Sarthe », Le Maine libre, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Église », notice no PA00109956, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Manoir dit Le Logis de Moullins », notice no PA00109957, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Ensemble castral », notice no PA72000048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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