Saint-Point

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Saint-Point
Saint-Point
Le château de Saint-Point.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Saint Cyr Mère Boitier entre Charolais et Mâconnais
Maire
Mandat
Pierre-Yves Quelin
2022-2026
Code postal 71520
Code commune 71470
Démographie
Gentilé Sampognards[1]
Population
municipale
352 hab. (2021 en augmentation de 10 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 20′ 27″ nord, 4° 37′ 03″ est
Altitude Min. 296 m
Max. 746 m
Superficie 14,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Chapelle-de-Guinchay
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.saintpoint.fr

Saint-Point est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 3,7 km de Tramayes et à 25 km de Mâcon. Le territoire peut-être décomposé en trois unités paysagères : le fond de vallée, d'environ 250 mètres de large, s’allonge du sud au nord ; le versant ouest, du village jusqu’aux sommets, comprend forêts et bocages ; le versant est : en bas, les pentes allongées et régulières et sur la partie haute les pentes sont raides et entièrement boisées. La commune est arrosée par le Valouzin, ruisseau qui prend sa source à Tramayes, arrose Saint-Point et Bourgvilain, passe à la Valouze (commune de Sainte-Cécile) et se jette dans la Grosne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de Saint-Point est composé essentiellement de formations granitiques et volcaniques[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Bourgogne, vallée de la Saône »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 960 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Point est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,4 %), forêts (42 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 230, alors qu'il était de 235 en 2013 et de 230 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 65,2 % étaient des résidences principales, 26,2 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Point en 2018 en comparaison avec celle de Saône-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,2 %) supérieure à celle du département (7,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,1 % en 2013), contre 64,1 % pour la Saône-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Saint-Point en 2018.
Typologie Saint-Point[I 1] Saône-et-Loire[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 65,2 82,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 26,2 7,5 9,7
Logements vacants (en %) 8,6 10,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Saint-Point (sanctus Pontius[16]) indique une origine chrétienne, variante de Saint-Ponce, Saint Pons et Saint-Pont[17].

La commune est instituée lors de la Révolution française sous le nom de Mont-Brillant. Elle devient Point en 1801 puis, ultérieurement, prend sa dénomination actuelle de Saint-Point[18].

Habitat rural vers 1897.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1686, on a trouvé à Saint-Point plusieurs médailles de l'empereur Dioclétien[19].

1793 : Saint-Point, dans le contexte révolutionnaire, change de nom et devient Libre, puis Mont-Libre[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Mâcon du département de Saône-et-Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Saône-et-Loire.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Tramayes[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de La Chapelle-de-Guinchay.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Mâconnais Charolais, créée au .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], le préfet approuve un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, prévoyant la fusion de la communauté de communes du Mâconnais Charolais avec la communauté de communes de Matour et sa région.

Cette fusion est intervenue le , formant la communauté de communes Saint-Cyr Mère Boitier entre Charolais et Mâconnais dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  novembre 1831 Jean Deschizeaux    
décembre 1831 décembre 1851 Louis Chassagne    
décembre 1851   Jean-Marie Fouilloux    
    Claude Marius Siraud Rad.ind. Médecin
Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Lyon
Conseiller général de Tramayes (1919 → 1938)
    Benoît Quelin CNIP Agriculteur
Conseiller général de Tramayes (1951 → 1970)
Les données manquantes sont à compléter.
1970 mars 2001 Maurice Dargaud[22]    
mars 2001 mars 2008 Claude Derrien SE  
mars 2008 juillet 2016[23] Philippe Mignot UDI Président de la CC du Mâconnais Charolais ( ? → 2016)
Démissionnaire
juillet 2016[24] septembre 2022[25] Jocelyne Bacq   Secrétaire de scolarité en collège
Démissionnaire
janvier 2022[26] En cours Pierre-Yves Quelin    
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) comprenant les communes de Saint-Point et Bourgvilain. Dans ce cadre, la commune dispose en 2017 'une école maternelle d'une seule classe[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 352 habitants[Note 4], en augmentation de 10 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1609989361 0861 1581 0801 1701 1981 289
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1591 084982919866829789750664
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
648634585534483447444395384
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
336282259273285316322323341
2014 2019 2021 - - - - - -
322347352------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les 322 habitants de la commune, en 2014, se répartissent en 81 de moins de 30 ans, 140 de 30 à 59 ans et 101 de 60 ans et plus[31].

Parmi les 2208 personnes qui  ont entre 15 et 64 ans. 76,9 % sont des actifs ayant un emploi, 3 ,8 % sont chômeurs, 6,3 % sont élèves ou étudiants, 14,4% sont retraités ou préretraités et 2,4 % d'autres inactifs.

Économie[modifier | modifier le code]

Établissements actifs[modifier | modifier le code]

Sur le territoire communal il existe, au , 43 établissements actifs qui emploient 30 salariés au total[31].

  • 9 appartiennent au secteur de l'agriculture (aucun salarié).
  • 2 au secteur de l'industrie (aucun salarié)
  • 6 sont du secteur de la construction (7 salariés)
  • 20 sont du secteur du commerce, des transports et des services divers (11 salariés au total)
  •  6 sont du secteur de l'administration publique, de l'enseignement, de la santé et de l'action sociale (12 salariés au total).

Vignoble[modifier | modifier le code]

Vins de l'appellation Mâcon produits dans la commune de Saint-Point : Mâcon blanc, Mâcon blanc nouveau, Mâcon rosé, Mâcon rouge[32].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Vue du lac de Saint-Point

La commune dispose de 2 gîtes étape et d'un terrain de camping (classé trois étoiles)[Quand ?] offrant 80 emplacements et 11 chalets.

Elle dispose aussi d'un lac artificiel, aménagé sur le cours de la rivière Valouzin, qui attire en été beaucoup de baigneurs locaux et les campeurs séjournant au camping tout proche. Le site bénéficie d'un restaurant et d'un snack, avec la possibilité de louer des pédalos.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église et tombeau de Lamartine.
  • Le tombeau de Lamartine[34] : se trouve en haut du chemin qui conduit à l'église, à gauche de la façade. Cette chapelle funéraire conserve, le corps du poète, ceux sa mère, de sa belle-mère Mme Birch, de sa femme, de sa fille Julia, de son fils Alphonse, et de sa nièce Valentine de Cessiat. Le caveau fut érigé par les soins de Lamartine lui-même et de son vivant. Sur un autel de pierre, est placé le buste du poète, et devant lui, le gisant de Madame de Lamartine, sculpté par Adam Salomon en 1864.
  • Le chêne de Jocelyn. Alphonse de Lamartine venait y trouver l’inspiration littéraire, et ainsi naquît son personnage de Jocelyn. Une carte postale le montre il y a un siècle, dans une pâture, mais, aujourd'hui, la forêt a gagné et c’est un patriarche de 4,50 m de circonférence. Sous ses branches, un banc de pierre attend le promeneur[35].
Autour de Saint-Point

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Saint-Point », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Point » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Point - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Point - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Saône-et-Loire » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Commune de Saint-Point », sur mairie.stpoint.free.fr.
  2. « Saint-Point – Carte Communale – Résumé Non Technique du rapport de présentation – 2015 ACT'études, Géonomie » [PDF], sur mairie.stpoint.free.fr, .
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-Point et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Auguste Longnon, Pouillés de la province de Lyon, Paris, C. Klincksieck, , 308 p. (lire en ligne), p. 281.
  17. Lex, Léonce, Histoire de Saint-Point, Mâcon, les principaux libraires, , 252 p. (lire en ligne), p. 13.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Historique de Tramayes », sur tramayes.fr.
  20. À l'instar de quelque cent cinquante autres communes de Saône-et-Loire dont le nom se rapportait à la religion ou à l'Ancien Régime. Source : E. Lauxeur, Les changements de noms des communes de Saône-et-Loire pendant la Révolution, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 4 d'avril 1970, pages 9 à 13.
  21. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  22. « Décès de Maurice Dargaud, ancien maire de Saint-Point », Mairie de Saint-Point (consulté le ).
  23. « Philippe Mignot démissionne de son poste de maire », Le Journal de Saône-et-Loire, édition de Macon,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Jocelyne Bacq, élue maire de Saint-Point : Jocelyne Bacq est la première femme maire de Saint-Point. Elle préside désormais aux destinées de la commune, entourée de trois adjoints », Le Journal de Saône-et-Loire, édition de Macon,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Laurie Bouclet, « Le maire de la commune, Jocelyne Bacq, démissionne : Après huit ans passés à la tête de la commune, Jocelyne Bacq a décidé de démissionner de ses fonctions de maire. Un choix difficile mais nécessaire pour l’ancienne élue. Son premier adjoint, Pierre-Yves Quelin, assure l’intérim », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue pour la première fois en 2016 à la suite de la démission de Philippe Mignot, Jocelyne Bacq a fait le choix de rendre son écharpe de maire. La démission a été acceptée, mercredi, par le préfet de Saône-et-Loire ».
  26. Chantal Burnot, « Pierre-Yves Quelin est le nouveau maire du village : Réunie vendredi, la nouvelle équipe municipale a affiché sa détermination à tirer un trait sur les cinq années difficiles que la commune a traversées et à œuvrer dans l’unité. Elle a élu Pierre-Yves Quelin à sa tête. Maud Gand et Pierre-Marie Duriez l’assisteront, en tant que première et deuxième adjoints », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Saint-Point, école maternelle publique », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b « Dossier complet Commune de Saint-Point (71470) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  32. « liste des vins de l'appellation Mâcon produits dans la commune de Saint-Point », sur vin.vigne.com.
  33. Lucien Bégule, Maître Verrier, Thierry Wagner & Martine Villelongue. Ed. La Taillanderie - 2005
  34. Inventaire départemental des monuments et richesses d'art, canton de Tralmayes, Saint-Point, Imp. Combier, Mâcon, 1974.
  35. Arbre référencé au sein de « L’inventaire des arbres remarquables de Bourgogne ». Source : Alain Desbrosse, Arbres et arbustes remarquables de Bourgogne : un inventaire en marche depuis 26 ans…, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 199-200 de novembre 2019, pp. 9-17.
  36. « Historique du Château de Saint-Point, demeure familiale des Lamartine », sur www.lamartine.com.
  37. Victor-Eugène Ardouin-Dumazet, « Au pays de Lamartine », Images de Saône-et-Loire, no 86,‎ , p. 21-23.