Saint-Maurice-de-Cazevieille

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Saint-Maurice-de-Cazevieille
Saint-Maurice-de-Cazevieille
Vue générale.
Blason de Saint-Maurice-de-Cazevieille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
David Guiraud
2020-2026
Code postal 30360
Code commune 30285
Démographie
Population
municipale
758 hab. (2021 en augmentation de 7,37 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 58″ nord, 4° 14′ 01″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 212 m
Superficie 13,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Alès-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de la Candouillère et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune rurale qui compte 758 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Mauriçois ou Saint-Mauriçoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 3,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deaux à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 14,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[7] : la « plaine de la Candouillère » (215 ha), couvrant 2 communes du département[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[I 1],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (73,1 %), forêts (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Maurice-de-Cazevieille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau de la Candouillère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1992, 1993, 1995, 1998, 2001, 2002 et 2010[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Maurice-de-Cazevieille.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 309 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 309 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[12].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice-de-Cazevieille est une ancienne seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem depuis au moins 1187, date à laquelle le comte Raymond V de Toulouse confirme aux Hospitaliers la possession du castrum[17]. En 1271, cette seigneurie était sous l'autorité du commandeur hospitalier d'Alès[18],[19]. Les Hospitaliers sont contraints de céder cette année-là la moitié de la haute et basse justice au roi de France[20] contre la moitié de celles de Valence, Malauzet et Maussargues[21].

Après la dévolution des biens de l'ordre du Temple, elle devint commanderie principale[22] puis un membre de la commanderie de Saint-Christol au sein du grand prieuré de Saint-Gilles. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Maurice-de-Rocher[23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Maurice-de-Cazevieille Blason
De gueules au pal losangé d'or et de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Gard.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Edgard Privat    
mars 2001 En cours Claude Bonnafoux DVG[24] Agriculteur
Vice-président de la Communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 758 habitants[Note 4], en augmentation de 7,37 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408425465494546561576573560
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
561542533559556530515510507
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
506492463415408414394387378
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
406415431447505478588653711
2021 - - - - - - - -
758--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 290 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 705 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 500 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 13,6 % 8,4 % 8 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 456 personnes, parmi lesquelles on compte 71,9 % d'actifs (63,9 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 28,1 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 183 emplois en 2018, contre 150 en 2013 et 150 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 294, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 10].

Sur ces 294 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 80 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

63 établissements[Note 7] sont implantés à Saint-Maurice-de-Cazevieille au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 63
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
11 17,5 % (7,9 %)
Construction 17 27 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
14 22,2 % (30 %)
Activités immobilières 1 1,6 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 7,9 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 12,7 % (13,5 %)
Autres activités de services 7 11,1 % (8,8 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 63 entreprises implantées à Saint-Maurice-de-Cazevieille), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[28] :

  • MCS Carrelages, travaux de revêtement des sols et des murs (871 k€)
  • BASM Energies, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (389 k€)
  • Lauze Construction Renovation, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (73 k€)
  • SARL Actif-Europe, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (30 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 39 49 38 33
SAU[Note 10] (ha) 926 936 708 685

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 49 en 2000 puis à 38 en 2010[31] et enfin à 33 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 15 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[32],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 926 ha en 1988 à 685 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 24 à 21 ha[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le Portalet est le vestige le mieux conservé du rempart du XIIe siècle. Il s’agit de l'ancienne entrée Nord des fortifications qui protégeaient la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ces fortifications furent détruites en 1553.
  • L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-de-Cazevieille. L'ancienne église paroissiale datait du XIIIe siècle. Elle fut en partie détruite par les protestants en 1560. Sur le même emplacement a été construit en 1857 un nouvel édifice plus vaste, de style roman. Il ne reste plus que le chœur pour témoigner de l’église primitive. La nouvelle église a été bénie le par Mgr Plantier.
  • Le temple protestant de Saint-Maurice-de-Cazevieille : un premier édifice fut probablement construit vers la fin du XVIe siècle. On peut supposer qu'il fut édifié sur l'emplacement même de l'ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, que des religionnaires avaient démantelée en 1553. Sa destruction fut ordonnée en 1672. La construction du temple actuel date de 1853.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jumelage[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice de Cazevieille est jumelée avec la ville de Gwangmyeong, en Corée du Sud[33].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Maurice-de-Cazevieille et Deaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Deaux » (commune de Deaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Deaux » (commune de Deaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Maurice-de-Cazevieille », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF la « plaine de la Candouillère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Maurice-de-Cazevieille », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Maurice-de-Cazevieille », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. Damien Carraz (préf. Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », (ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 113
    Les templiers figurant dans cet acte du comte de Toulouse ne sont pas les récipiendaires, ils ne sont que témoins.
    .
  18. Carraz 2005, p. 518.
  19. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVII,‎ , p. 186, lire en ligne sur Gallica
    Voir Carraz 2005, p. 518 pour l'interprétation de comment s'est déroulée la cession d'un partie de la seigneurie, l'abbé Nicolas semblant pondérer ses propos.
    .
  20. Carraz 2005, p. 518, note 244.
  21. Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne), p. 34
    Le toponyme Malauzet n'est pas identifié. Maussargues semble correspondre au membre de Marsolargues / Massolargues, aujourd'hui Massillargues-Attuech.
    .
  22. Daniel le Blevec, « L'enquête de 1373 dans le diocèse d'Uzès », Provence historique, no 179,‎ , p. 91 (lire en ligne).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. https://www.lemonde.fr/languedoc-roussillon-midi-pyrenees/gard,30/saint-maurice-de-cazevieille,30285/
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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Article connexe[modifier | modifier le code]

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