Saint-Jory-las-Bloux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Jory-las-Bloux
Saint-Jory-las-Bloux
Le village de Saint-Jory-las-Bloux.
Blason de Saint-Jory-las-Bloux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Pierre Sutour
2022-2026
Code postal 24160
Code commune 24429
Démographie
Gentilé Lasblouxjoriens
Population
municipale
239 hab. (2021 en augmentation de 0,42 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 47″ nord, 0° 58′ 05″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 242 ou 243 m
Superficie 16,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Jory-las-Bloux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Jory-las-Bloux
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Jory-las-Bloux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jory-las-Bloux

Saint-Jory-las-Bloux (nom officiel), très souvent orthographiée Saint-Jory-Lasbloux, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes
Captage de l'eau au niveau de la source de Glane.

La commune de Saint-Jory-las-Bloux (nom officiel[1]), très souvent orthographiée Saint-Jory-Lasbloux[2], s'étend sur 16,94 km2, dans le quart nord-est du département de la Dordogne, dans le nord du Périgord central. Elle est traversée du nord au sud par l'Isle, le principal affluent de la Dordogne. Au sud-ouest, la Glane, modeste affluent de l'Isle par la longueur (environ 750 mètres) mais de débit important, alimente en eau potable onze communes par le captage d'une partie de ses eaux au niveau de sa résurgence[3]. C'est la partie aérienne d'une rivière souterraine explorée pour la première fois en 1977 et dont trois kilomètres de son parcours ont été reconnus dans les années 1980[4].

Domaine de la truffe et autrefois terroir de vignobles réputés, le territoire communal associe paysages verdoyants, sources et plateaux calcaires. Il est desservi par les routes départementales 73, 73E et 76.

Établi sur une hauteur en rive gauche de l'Isle, le bourg de Saint-Jory-las-Bloux se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud-sud-est de Thiviers et autant à l'ouest-nord-ouest d'Excideuil.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Jory-las-Bloux est limitrophe de sept autres communes, dont Saint-Sulpice-d'Excideuil au nord-est sur environ 150 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Jory-las-Bloux est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[5]. Elle est dans le causse de Savignac, qui, avec le causse de Cubjac et le causse de Thenon, forme un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée l1, date de l'Hettangien inférieur, une alternance de calcaires dolomitiques, marnes dolomitiques, d'argilites et de grès fins. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 735 - Thiviers » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[6],[7] et leurs notices associées[8],[9].

Carte géologique de Saint-Jory-las-Bloux.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Vue prise vers le nord depuis le bourg, en direction de Tersac.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 123 mètres[10] au sud, là où l'Isle quitte la commune et entre sur celle de Coulaures, et 242[10] ou 243 mètres[Note 1] au nord-est, presque en limite de la commune de Corgnac-sur-l'Isle[11].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [12]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 2],[13]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[14].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,94 km2[10],[15],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,32 km2[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[18]. Elle est drainée par l'Isle, le Ravillou, la Glane et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7,5 km de longueur totale[19],[Carte 1].

L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[20],[21]. Elle traverse la commune du nord au sud-est sur plus de quatre kilomètres.

Modeste affluent de l'Isle par sa longueur (environ 750 mètres), la Glane, issue d'une résurgence, présente un débit important qui permet d'alimenter en eau potable plusieurs communes.

Le Ravillou, d'une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue en rive droite, en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil[22]. Il borde très marginalement le territoire communal au nord-est sur environ 150 mètres, face à Saint-Sulpice-d'Excideuil.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [24].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[25]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[26].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 975 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[27]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Coquille à 20 km à vol d'oiseau[28], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[29],[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe à la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[34].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[36].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Le causse de Savignac, vers le lieu-dit Lalauvie.

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d'après l'INPN[37] : il s'agit d'une ZNIEFF de type 2[Note 5], le « causse de Savignac », zone calcaire boisée qui concerne les coteaux en rive droite de l'Isle, sur huit communes, depuis Sarliac-sur-l'Isle au sud-ouest jusqu'à Négrondes au nord, et notamment ceux au sud-ouest de la commune s'étendant sur plus de 5 km2[38]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence d'une espèce déterminante de plantes, la Spirée à feuilles de millepertuis (Spiraea hypericifolia subsp. obovata)[39].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jory-las-Bloux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[40],[41],[42]. La commune est en outre hors attraction des villes[43],[44].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,3 %), prairies (16,4 %), terres arables (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[45]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Site remarquable[modifier | modifier le code]

Le château et l'église.

Sur trois hectares, la partie ouest du village de Saint-Jory-las-Bloux englobant le château, l'église, ainsi que leurs abords, est un site inscrit depuis 1944 pour son côté pittoresque[46].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Saint-Jory-las-Bloux proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[47] :

  • Bost la Porte
  • Chanterane
  • Chaumont
  • le Cros
  • la Fayolle
  • Fonfroide
  • les Fontenelles
  • Lalauvie
  • Lapouge
  • Laubertie
  • Létang
  • Leymarie
  • Leymonie
  • Leyssartroux
  • Magnac
  • Magnagot
  • la Maison Blanche
  • les Maisons
  • la Migaudie
  • la Monzie
  • Moulin Chambon
  • Ogres
  • le Pêcher
  • les Plantes
  • la Renaudie
  • Roncecy
  • la Roumina
  • Taboury
  • Tersac
  • la Vergne.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jory-las-Bloux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[48]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[49].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle et le Ravillou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999 et 2007[50],[48].

Saint-Jory-las-Bloux est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[51]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[52],[53].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jory-las-Bloux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[54]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[55]. 36 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[56].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Jory est une variante occitane de Georges[57]. Le nom de la commune se réfère donc à saint Georges, martyr chrétien du début du IVe siècle[58]. La seconde partie du nom pourrait désigner une colline[57].

En occitan limousin[59], la commune se nomme Sent Jòri las Blos[60].

Histoire[modifier | modifier le code]

À gauche, le sceau local de Saint Jory en 1763 (église de Savignac-les-Églises).

À partir du XIIe siècle, Saint Jory est l'une des vingt-cinq paroisses dépendant de l'archiprêtré de Thiviers[61].

La première mention écrite connue du lieu apparaît au XIIIe siècle et concerne son église romane : Sanctus Georgius de las Blos[57].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Jorry[62].

Le , lors d'un accrochage avec des miliciens et des GMR, deux maquisards meurent sur la commune ; deux autres, blessés, sont torturés à Thiviers par la milice qui les fusille ensuite ; un cinquième meurt de ses blessures quatre jours après à la cité sanitaire de Clairvivre[63].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Jory-las-Bloux a, dès 1790, été rattachée au canton d'Excideuil qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton d'Excideuil est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[10].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[64]. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Loue-Auvézère.

En 2017, Saint-Jory-las-Bloux est rattachée à l'arrondissement de Nontron[65],[66].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2003, Saint-Jory-las-Bloux intègre dès sa création la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux — sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[67],[68].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[69]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792   Antoine Picaud    
janvier 1794   Antoine Foucaud   Marchand
avril 1799   Jean Dufraisse    
septembre 1801   Jean Debrégeas    
1809 mai 1838 Léonard Foucaud[Note 8]    
juillet 1838   Pierre Picaud    
mai 1845 novembre 1852 Frédéric de Coustin    
novembre 1852 février 1856 Pierre Javanaud[Note 9]    
février 1856 janvier 1859 Frédéric de Coustin[Note 9]    
janvier 1859   Jacques Romain Beyly    
1860 1865 Romain Beyly    
1865 1870 Javanaud    
1870 1871 Sudrie    
1871 octobre 1876 Javanaud    
octobre 1876 1890 ou après[Note 10] Germain Bourgueil    
    [Note 10]    
1901 ou avant[Note 10] mai 1917 Pierre Garrigue[Note 8]    
1917 1918 Aubin Rebeyrol    
1918 1923 Aubin Lestieux    
septembre 1923 1925 Jean Dufraisse    
mai 1925 mai 1945 Camille Dufrraise    
mai 1945 mars 1977 Édouard Sutour    
mars 1977 mars 1979 Pierre Joussain    
mars 1979 juin 1995 Paul Pertuit PCF  
juin 1995 juillet 1997 Bernard Blanchard[Note 8] PCF  
août 1997 mars 2001 Jean-Claude Neycenssac    
mars 2001 mars 2012 Rémy Bernier[Note 11] PS[70] Gérant de société,
Conseiller général du canton d'Excideuil (2008-2012)
mars 2012 mai 2012 Colette Blanchard   Adjointe faisant fonctions de maire[71]
mai 2012[72] mars 2014 Colette Blanchard    
mars 2014 mai 2020 Martine Heim[73] PCF  
mai 2020 juin 2022[74] Jean-Pierre Sautonie[Note 8]    
juin 2022 septembre 2022 Pierre Sutour   Premier adjoint faisant fonctions de maire
septembre 2022[75] En cours Pierre Sutour    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2014, Corgnac-sur-l'Isle, Eyzerac, Saint-Germain-des-Prés et Saint-Jory-las-Bloux sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire.

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Jory-las-Bloux relève[76] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Lasblouxjoriens[77].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[78]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[79].

En 2021, la commune comptait 239 habitants[Note 12], en augmentation de 0,42 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
630301461467569646682690683
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
649637600570595581554582503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
441484463403380401417342326
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
292271229251241237239246255
2014 2019 2021 - - - - - -
241236239------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[80].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les locaux de l'entreprise « Bernier Frères ».

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[81], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 102 personnes, soit 42,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,7 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte vingt-cinq établissements[82], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[83].

Au , la commune compte dix-neuf établissements[84], dont cinq au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[85].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bernier Frères » implantée à Saint-Jory-las-Bloux se classe en 15e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 21 811 k€[86]. En 2021, l'entreprise devenue Groupe Bernier est capable de produire 115 000 cercueils dans l'année et emploie sur quatorze sites en France 143 salariés, dont 86 à Saint-Jory-las-Bloux[87].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Jory-las-Bloux Blason
De sinople aux trois fers de moulin d’or soutenus d’une rivière d’argent ondée de sable mouvant de la pointe[93].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 243 mètres sur la carte et 242 pour la boîte « Communes ».
  2. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  3. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[16],[17]
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[35].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. a b c et d Décédé en fonctions.
  9. a et b Démissionnaire.
  10. a b et c Registres de délibérations absents sur la période 1890-1901.
  11. Décédé en fonctions ; source : 3 morts dans un accident en Dordogne, Le Figaro, 22 mars 2012.
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Jory-las-Bloux » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Code géographique de Saint-Jory-las-Bloux sur le site de l'Insee, consulté le 19 décembre 2014.
  2. Saint-Jory-Lasbloux (24160) sur le site du Figaro, consulté le 19 décembre 2014.
  3. Pierre-Manuel Réault, Périgord vert : la source de Glane polluée sur Sud Ouest du 27 janvier 2012, consulté le 4 août 2013.
  4. Hervé Chassain, « Plongée en eau douce », Sud Ouest édition Dordogne, 29 mai 2018, p. 12.
  5. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  6. « Carte géologique de Saint-Jory-las-Bloux » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  7. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  8. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  11. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  12. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  14. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  15. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  17. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  19. « Fiche communale de Saint-Jory-las-Bloux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  20. « Confluence Isle-Dordogne face à la Pêcherie » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2022)..
  21. Sandre, « l'Isle »
  22. Sandre, « le Ravillou »
  23. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  24. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  26. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  27. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  28. « Orthodromie entre Saint-Jory-las-Bloux et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  29. « Station Météo-France « La Coquille » (commune de La Coquille) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  30. « Station Météo-France « La Coquille » (commune de La Coquille) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  31. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  32. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  33. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  34. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
  35. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  36. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  37. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  38. « Carte du causse de Savignac (en vert clair) à Saint-Jory-las-Bloux » sur Géoportail., consulté le .
  39. [PDF] Causse de Savignac (Identifiant national 720008220), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  40. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  42. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  43. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  45. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  46. [PDF] Château, église et leurs abords sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
  47. « St-Jory-las-Bloux » sur Géoportail (consulté le 19 décembre 2014)..
  48. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jory-las-Bloux », sur Géorisques (consulté le ).
  49. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  50. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  51. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  52. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  53. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  54. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  55. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  56. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  57. a b c et d Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 331-332.
  58. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 43.
  59. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
  60. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Jòri las Blos sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 septembre 2021.
  61. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 194.
  62. « St Jorry » sur Géoportail (consulté le 4 août 2013)..
  63. [PDF] 70ème anniversaire de la Seconde Guerre Mondiale 1944-2014 17 mai 1944 - Commune de Saint-Jory-Las-Bloux - « Bost-Laporte » sur le site de la préfecture de la Dordogne, consulté le 19 décembre 2014.
  64. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  65. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
  66. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
  67. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  68. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
  69. Période 1794-1838 : Bulletin municipal no 18, Clin d'œil sur Saint-Jory-las-Bloux, 2012 ; périodes 1838-1890 et 1901-2001 : registres de délibérations communales consultés en mairie de Saint-Jory-las-Bloux le 22 décembre 2014.
  70. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
  71. Marie Le Guillou, Mort des époux Bernier : leur village sous le choc, Sud Ouest édition Dordogne du 24 mars 2012.
  72. Michel Pitout, Colette Blanchard élue maire, Sud Ouest édition Périgueux du 23 mai 2012.
  73. À Saint-Jory-Lasbloux, Sud Ouest édition Périgueux du 3 avril 2014, p. 20b.
  74. Émilie Delpeyrat, « La sidération après le décès du maire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
  75. Fiche de commune Saint Jory Lasbloux, Union des maires de la Dordogne, consultée le .
  76. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  77. « Dordogne > Saint-Jory-las-Bloux (24160) », sur le site habitants.fr de David Malescourt (consulté le ).
  78. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  79. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  80. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  81. Dossier complet - Commune de Saint-Jory-las-Bloux (24429) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.
  82. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  83. Chiffres clés - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 septembre 2015.
  84. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  85. Dossier complet - Commune de Saint-Jory-las-Bloux (24429) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.
  86. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
  87. Hervé Chassain, « Les cercueils Bernier en pleine mue », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14.
  88. « Église Saint-Georges », notice no PA00082849, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 4 août 2013.
  89. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 377-378.
  90. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 257.
  91. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 155.
  92. Corgnac - Saint-Andrieux sur le site de la Fédération des vélos-rail de France, consulté le 23 décembre 2014.
  93. OLDJP la banque du blason 2, consultée le 19 février 2013.