Saint-Germain-le-Rocheux

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Saint-Germain-le-Rocheux
Saint-Germain-le-Rocheux
Église et château d'eau.
Blason de Saint-Germain-le-Rocheux
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Châtillonnais
Maire
Mandat
Clémence Legendre
2020-2026
Code postal 21510
Code commune 21549
Démographie
Population
municipale
82 hab. (2021 en augmentation de 2,5 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 45′ 05″ nord, 4° 40′ 12″ est
Altitude Min. 277 m
Max. 393 m
Superficie 7,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Châtillon-sur-Seine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Seine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Germain-le-Rocheux
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Saint-Germain-le-Rocheux

Saint-Germain-le-Rocheux est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté. Les gentilés sont « Rocagermanois » et « Rocagermanoises ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte INSEE de la commune.

Sur le plateau de la forêt domaniale de Châtillon qui prolonge vers l'ouest le plateau de Langres, la commune de Saint-Germain-le-Rocheux s'étale sur 7,7 km2 entre vallée du Brevon au sud et forêt de Châtillon au nord. L'essentiel du territoire est en rive droite de la rivière, mais il comprend toute la largeur de la vallée avec une part du versant en rive gauche, ces lieux marquent les altitudes les plus basses, le Brevon passe de 286 m au point amont à 277 m en aval au point bas de la commune, pour un peu plus de deux kilomètres de cours. La rivière est encaissée, le terrain remonte rapidement au-dessus de 300 m sur le plateau, le village assez central à son finage est à environ 370 m de moyenne et on trouve le point culminant à la jonction du chemin des Rochottes avec la route forestière, sur la limite de commune nord à proximité de la maison forestière du Tremblois (commune de Villiers-le-Duc) à 393 m. Bien que le sud de la forêt de Châtillon se prolonge sur le nord de la commune, c'est l'agriculture qui occupe la moitié des surfaces, surtout autour du village sur le plateau, et le fond de vallée se pare de belles prairies verdoyantes. Les bois occupent les versants à pentes rapides et les deux pointes que forment les limites de finage au nord.

Deux routes départementales traversent et se rejoignent sur la commune, la D 16 vient de Châtillon-sur-Seine par la forêt au nord et rejoint au sud Beaunotte et Aignay-le-Duc, la D 29 à l'ouest vient de Coulmier-le-Sec (sur la route de Châtillon/S. à Montbard) et suit le Brevon. Le village est à l'écart de ces routes fréquentées.

Hameaux, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

La population est regroupée dans le village, la commune n'a pas de hameau rattaché.

  • Habitat ou bâti écarté : le moulin de Saint-Germain.
  • Lieux-dits d'intérêt local : chemin de Champ-Coin, chemin des Rochottes, chemin de Bas-de-Vanne, bois : les Charmes, la Sarnée, les Rochottes, Champ-Coin, la Sentinelle.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Nod-sur-Seine Villiers-le-Duc Rose des vents
N
O    Saint-Germain-le-Rocheux    E
S
Busseaut Rochefort-sur-Brevon

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La forêt de Châtillon couvre des sols calcaires du Jurassique dans lesquels se sont formés des réseaux souterrains, on n'y trouve pratiquement aucune rivière en surface sauf dans le sud-est vers le Val des Choues, les eaux réapparaissent sous forme de sources exsurgentes dans les versants des rivières autour du plateau (Seine[1], Brevon[2], Ource[3], Digeanne[4]), et surtout par la Douix, importante résurgence à Châtillon-sur-Seine qui reprend peut-être aussi, outre les eaux du plateau, une perte de l'Ource [5]. L'absence d'eau sur le plateau obligeait les habitants à recueillir l'eau de pluie dans des citernes : 80 sont dénombrées en 1888. En 1893 l'ingénieur Ernest-Sylvain Bollée installe un bélier hydraulique dans la vallée du Brevon qui remonte l'eau au village 92 m plus haut[6].

Avec un faible pente (env. 0,4 %), le Brevon décrit de nombreux méandres qui irriguent de belles prairies et forme quelques étangs au fond d'une jolie vallée encaissée appréciée des promeneurs, de Rochefort-sur-Brevon au val de la Chouette (commune d'Aisey-sur-Seine), tout près de son confluent avec la Seine au pont de Vaurois. Le premier meunier du moulin de Saint-Germain, sur la rivière, qui était un moulin à farine, est nommé dans l'état-civil en 1712.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châtillon/Seine », sur la commune de Châtillon-sur-Seine à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 832,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Germain-le-Rocheux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Seine, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), forêts (39,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), prairies (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

Le fanum du Tremblois avec son enclos cultuel et son ensemble de bâtiments à usage commercial atteste d'une occupation à la fin de l'Âge du fer et à la période gallo-romaine.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Situé à 3 km du site du Tremblois riche en vestiges gallo-romains, le village s'est implanté à l'écart à l'époque des Mérovingiens d'après les sarcophages et objets trouvés près de l'église actuelle et datés du VIIe siècle. Le plus ancien document nous renseignant sur son passé date de 1145 dans le Cartulaire de Notre-Dame de Châtillon. Dès le XIIe siècle, la seigneurie du village est partagée entre le duc de Bourgogne puis le roi et l'évêque de Langres[19] et ce jusqu'à la Révolution.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Montagne-en-Bellevue[20].

En 1893 par l'installation d'un bélier hydraulique l'eau des sources des Tufs est remontée à 92 mètres dans le réservoir communal qui la distribue dans le lavoir et à 7 bornes-fontaines pour un volume de 60 000 litres par jour. Ce bélier a fonctionné jusqu'en 1955[21].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Germain-le-Rocheux Blason
Parti : au premier coupé, au I d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules, au II bandé d'or et d'azur de six pièces à la bordure de gueules, au second d'or aux chef de gueules, à la bande componnée aussi d'or et de sable, à un Saint Germain d'argent tenant dans sa senestre une crosse du même, brochant en pal sur le tout[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   André Legendre    
juillet 2021 En cours Clémence Legendre    
Les données manquantes sont à compléter.

Saint-Germain-le-Rocheux appartient :

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 82 habitants[Note 3], en augmentation de 2,5 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
324295328293240318312310279
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
301300296294281279256222197
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
178163140147150121140153146
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
14714911610810295989080
2019 2021 - - - - - - -
8282-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux, monuments et pôles d'intérêt[modifier | modifier le code]

En 2016, la commune compte 3 monuments inscrits à l'inventaire des monuments historiques[27], 14 monuments ou édifices répertoriés à l'Inventaire général du patrimoine culturel[28] et 22 objets répertoriés à l'IGPC[29].

  • Bornes armoriées, marquant les parcelles en forêt de Châtillon, sont pour la plupart du XVIIe siècle, certaines remontent aux ducs de Valois au XIVe siècle Logo monument historique Inscrit MH[30]. Récemment référencées (2015), elles sont difficiles à localiser (les 64 bornes classées se répartissent sur cinq communes : outre Saint-Germain-le-Rocheux, Buncey, Nod-sur-Seine , Villiers-le-Duc et Maisey-le-Duc ; d'après la fiche M.H., une carte existe).
  • L'église Saint-Germain[31] Logo monument historique Inscrit MH (1947) [32] L'église de Saint-Germain-le-Rocheux dans sa partie la plus ancienne, à savoir la nef et les collatéraux, est romane du XIIe siècle Le chœur et sa piscine sont du XIIIe siècle et le clocher avec ses baies et sa corniche sont des XIIIe et XIVe siècles. La grande nef et les bas-côtés sont très étroits et la dernière travée supporte le clocher. Celui-ci a des baies géminées dont les dessus des arcs sont tous différents. Un grand retable et un statuaire intéressant sont à remarquer à l'intérieur ainsi qu'une Vierge à l'Enfant du XVe[19].
  • La Table de pierre (pierre des morts) et le piédestal de la croix du cimetière, du XIIe siècle, ensemble Logo monument historique Inscrit MH (1944) [33], les deux sont dans l'enclos paroissial. La croix en fonte de 1867 est classée IGPC 1989[34].
  • Sept croix se trouvent sur la commune à différentes intersections de chemins. Croix des Filles, croix Parent... la croix aux Moines, inaugurée en 1746 en remplacement d'une croix de Bois, se situe près de la maison forestière du Tremblois. Un calvaire classique date de 1867. Des processions étaient organisées aux rogations pour implorer le ciel afin d'obtenir de bonnes récoltes. Des ex-voto sont à remarquer sur les façades ou les pignons.
  • Mairie-école constituée d'un corps central couvert d'ardoises encadré de deux pavillons couverts en tuiles, les angles sont enjolivés de pierres de taille (IGPC 1989)[35].
  • Lavoir en pierres de taille et moellons de 1893 (IGPC 1989)[36] abrite un petit musée de la vie locale[37].
  • Le fanum lingon du Tremblois, ensemble cultuel complet de la fin de l'Âge du fer et de la période gallo-romaine avec son enclos et un ensemble de bâtiments à usage de boutiques[38]. Situé en forêt de Châtillon.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau (----0010) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau (F0050600) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau (-F04-0400) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau (F0410600) ».
  5. voir page Douix
  6. Journal "Le Chatillonnais" du 3 septembre 1893.
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Saint-Germain-le-Rocheux et Châtillon-sur-Seine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Châtillon/Seine », sur la commune de Châtillon-sur-Seine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Châtillon/Seine », sur la commune de Châtillon-sur-Seine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. a et b René Paris 1986, p. 57.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Germain-le-Rocheux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. René Paris 1986, p. 58.
  22. Communauté de Communes du Pays Châtillonnais
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Liste des monuments historiques de la commune de Saint-Germain-le-Rocheux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Liste des lieux et monuments de la commune de Saint-Germain-le-Rocheux à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Liste des objets de la commune de Saint-Germain-le-Rocheux à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. Notice no PA21000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Église Saint-Germain à Saint-Germain-le-Rocheux - Côte-d'Or en Bourgogne | Côte-d'Or Tourisme », sur www.cotedor-tourisme.com (consulté le ).
  32. « Église », notice no PA00112625, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Table de pierre et socle de croix », notice no PA00112626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Notice no IA00054254, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no IA00054252, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no IA00054253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. le lavoir de Saint-Germain sur le site Petit-Patrimoine
  38. « Sanctuaire du Tremblois ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Paris, A la rencontre du Châtillonnais : Aignay-le-Duc, Baigneux-les-Juifs, Laignes, La Bourgogne, Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes[modifier | modifier le code]

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