Poisy

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Poisy
Poisy
Vue d’ensemble depuis la montagne d’Âge.
Blason de Poisy
Blason
Poisy
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Annecy
Maire
Mandat
Pierre Bruyere
2020-2026
Code postal 74330
Code commune 74213
Démographie
Gentilé Poisiliens
Population
municipale
8 773 hab. (2021 en augmentation de 15,53 % par rapport à 2015)
Densité 774 hab./km2
Population
agglomération
183 697 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 18″ nord, 6° 03′ 44″ est
Altitude Min. 384 m
Max. 675 m
Superficie 11,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Annecy
(banlieue)
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annecy-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Poisy
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Poisy
Liens
Site web poisy.fr

Poisy est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie (74), en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 5 km à l'ouest d'Annecy, sur un coteau en forme de grand balcon, surplombant Annecy et son lac.

  • Altitudes : 385 m au bord du Fier, 510 m à la mairie, et 670 m à la montagne d'Age[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est de type montagnard en raison de la présence du Semnoz, du Mont Veyrier, mais également des Bauges et des Bornes. Cependant, les effets y sont quelque peu atténués en raison de la présence du lac qui tempère localement le bassin annécien, bien que les hivers restent froids en raison de l'altitude de la commune. La station de référence de Météo France, pour la ville de Poisy, se situe à une altitude de 458 mètres sur la commune de Meythet.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Poisy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annecy, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[5] et 183 697 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (34,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (35,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,5 %), zones urbanisées (28,3 %), terres arables (21,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), prairies (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %)[10].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1]. Pour le XVIIIe siècle, période durant laquelle Poisy faisait partie du royaume de Sardaigne, la Mappe sarde représente la répartition des hameaux, des prairies, des cultures, du vignoble et des forêts[11].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune de Poisy est composée d'un village principal qui sert de chef-lieu, et de plusieurs hameaux.

Logement[modifier | modifier le code]

  • Une maison de retraite publique (EHPAD), nommée Les Ancolies.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La paroisse est mentionnée dans la première moitié du XIVe siècle sous la forme Cura de Poysie (vers 1344)[12],[13].

Le nom de la commune pourrait dérivé d'un nom de « domaine gallo-romain *Potiacum, dérivé avec le suffixe -acum du gentilice Potius »[12],[13].

Le site de la mairie présente plusieurs hypothèses[14] :

  • ancienne forme Poësy[Quand ?] dérivant du savoyard Poë désignant puits.
  • dérivation du mot Podium, désignant un balcon (situé au-dessus d'Annecy).
  • dérivation de Potacium, nom d'un dieu, ou nom d'une villa.
  • enfin, selon une tradition qui place un atelier monétaire au château de Macully où était fabriquée la Poise, une petite monnaie ayant cours à Genève, vers 1350. Ducis (1892) relevait déjà « On a cru que ce nom venait de Poisy et que l'établissement aurait été autrefois sur la commune de Poisy, ou au moins l'administration au château de Macully. C'est une triple erreur. Les poises ou peises étaient connues dans plusieurs anciennes provinces de France et le voisinage de Poisy n'y était pour rien. »[15]

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Pouêzy, selon la graphie de Conflans[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site de Poisy semble occupé dès l'époque gallo-romaine. Les Romains construisirent aussi de larges routes empierrées pour desservir les villas (grands domaines ruraux) de Brassily, fondée par le général romain Brassilius, et de Marny, fondée par le Romain Mariniacus.

Les grandes invasions sont attestées par quatre groupes de tombes burgondes qui furent mises au jour de 1873 à 1950, dans le secteur de Vernod. Au XIXe siècle, un trésor burgonde du IIIe siècle a été trouvé comprenant une clochette en bronze, mais aussi des tuiles à rebord et des outils agricoles. Sous les dalles ont été trouvés des ossements et de nombreux petits objets et fragments. Dans ce même secteur, les Burgondes construisirent une petite église. Un autre trésor d'époque mérovingienne, daté de la fin du Ve siècle et début du VIe siècle, a été mis au jour dans la zone du marais, comprenant une boucle en cuivre et un très rare siège pliant en fer à croisillons droits incrustés de cuivre et damasquinés.

Au Moyen Âge, les moines investirent le site, apportant de nouvelles méthodes de travail, comme le labourage, et de nouvelles cultures (fèves, pois secs, blé, avoine, orge et froment), en complément de l'élevage traditionnel et de la chasse. Ils construisirent des bâtiments, les Maladières, pour y accueillir les malades (et une léproserie) et apporter leur aide aux nécessiteux. Dans un autre secteur, les Chenevières, ils cultivèrent le chanvre pour la confection des cordes, draps et habits, ils cultivèrent aussi l'œillette pour produire l'huile nécessaire aux lampes et à la table, et apprirent aux paysans, l'art et la manière, d'élever et soigner les abeilles, pour obtenir du miel et la cire nécessaire pour fabriquer les chandelles.

L'action des moines fut très bénéfique pour la commune, d'autant plus qu'ils donnèrent aux paysans et à leurs enfants la garantie de la jouissance des terres, en accordant des baux emphytéotiques, et au XIIe siècle, un prieuré fut construit à Poisy.

En 1404, par décision pontificale, le prieuré passa sous la dépendance des chanoines de l'abbaye d'Entremont-en-Bornes.

En avril 1645, l'abbé Marc-Antoine de Granery, de l'abbaye d'Entremont, prend possession du prieuré de Poisy, et de 1666 à 1672, il entreprend la restauration de cinq des bâtiments. Du prieuré il ne reste aujourd'hui que le clocher d'époque romane, et deux vitraux classés d'époque médiévale.

Poisy continua d'être une commune rurale, avec l'élevage comme principale activité, le lait était transformé en beurre et en fromages, pour être transportés et vendus à l'extérieur de la commune. En 1866, la commune avait 850 habitants, il fut fondé une coopérative fruitière-fromagère, qui comprit plus de 100 sociétaires dans les années 1930-1950.

En 1904, une centrale hydroélectrique est construite au pied de la colline de Brassilly, au bord du Fier. Elle est alimenté en eau par un tunnel de plus d'un kilomètre conduisant l'eau retenue par un barrage sur le Fier situé aux confins des communes de Poisy, de Cran-Gévrier et de Meythet. Cette centrale de Brassilly de la Société des Forces du Fier permet les premiers débuts de l'électrification des industries et de la ville d'Annecy[17].

Après la Seconde Guerre mondiale, le déclin du lait s'amorça (-25 % en 1975), puis s'accéléra encore plus rapidement. La mutation économique et le dynamisme d'Annecy attirèrent les jeunes, et les paysans devinrent ouvriers ou employés. La fruitière ferma définitivement ses portes en 1996, et fut démolie pour permettre la construction d'un immeuble moderne l'Agora avec crèche et halte-garderie en 1999.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune de Poisy appartient au canton d'Annecy-1, qui compte, selon le redécoupage cantonal de 2014, 9 communes et une fraction de la ville d'Annecy[18]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton d’Annecy-Nord-Ouest.

Elle relève de la communauté de communes du Grand Annecy.

Poisy relève de l'arrondissement d'Annecy et de la première circonscription de la Haute-Savoie, dont le député a été Bernard Accoyer (UMP) de mars 1993 jusqu'en 2017, puis Véronique Riotton depuis 2017.

Tendances politiques et résultat[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1971 mars 1983 André Bérard    
mars 1983 mars 1989 Louis Praz   Ingénieur
mars 1989 En cours Pierre Bruyère DVD puis UMP-LR Retraité des PTT
Vice-président de Grand Annecy (2017 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Poisiliens[19]. Les Poisiliens sont appelés aussi Renolyes (prononcé [r(ə).nwɑːʎ]), terme arpitan signifiant grenouilles, à cause des nombreux batraciens qui peuplaient le marais de Poisy[14].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 8 773 habitants[Note 3], en augmentation de 15,53 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
544477508550714780827800850
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
824822768752723679670650680
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
6476296296336838381 1551 7172 407
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
2 9024 3165 4876 2216 3107 0178 1248 773-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignement[modifier | modifier le code]

  • une crèche-halte-garderie 1999 ;

Trois écoles élémentaires accueillant 760 élèves à la rentrés scolaire de septembre 2022[24]:

  • Groupe scolaire du Chef-lieu, comportant 4 classes maternelles et 9 classes primaires
  • Groupe scolaire de Brassilly avec 4 classes maternelles et 6 classes primaires
  • Groupe scolaire du Parc, ouvert en 2020, avec 3 classes maternelles et 5 classes primaires.

Un collège public :

  • collège Simone Veil recevant 530 collégiens en 2022-2023[24]

Un Lycée privé, Ecole d'agriculture de Poisy en 1965, puis Lycée Agricole de Poisy en 1972 devenant en 2013 l'Institut des sciences de l'environnement et des territoires d'Annecy - ISETA (par fusion avec deux autres établissements à Chavanod et Sevrier)avec des formations[25]:

  • Bac général sciences du vivant (enseignement général et technologique)
  • Bac sciences et technologies de l'agronomie et du vivant (agriculture)
  • Trois bacs professionnels

Enseignement supérieur[modifier | modifier le code]

L'ISETA dispose de plusieurs formations supérieures agricoles:

  • BTSA (Brevet de Technicien Supérieur Agricole) onduite d'entreprise agricole, aquaculture, gestion forestière et gestion et protection de la nature.
  • Licences Professionnelles en génie écologique, aquaculture.

Établissements spécialisés[modifier | modifier le code]

  • Le centre AFPA (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) ;
  • le CFA Centre d'élevage de Poisy, pôle de formation des chambres d'agriculture de Rhône-Alpes, Jura et Saône-et-Loire depuis 1965.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

  • En 2023 foncière bâtie 21,74 %

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Poisy a perdu progressivement sa vocation rurale, pour se transformer en une banlieue résidentielle d'Annecy, avec ses belles maisons et ses beaux immeubles. Les quelques agriculteurs restants se sont regroupés en GAEC. De 838 habitants en 1954, la population est passée à 2 526 en 1975, à 4 565 en 1990 et 8 522 en 2020.

Plus de 250 petites et moyennes entreprises, de l'industrie, du BTP, du commerce et des services, se sont installées dans les quatre sites d'activités économiques : Valparc, Parc du Calvi, Les champs de Beufan et le Pré de Séran. Elles emploient près d'un millier de personnes.

Parmi celles-ci, la PGM Précision fabricant des fusils de précision, et l'unité de béton prêt à l'emploi du groupe mexicain Cemex.

Culture[modifier | modifier le code]

Au centre de Poisy se trouve une école de musique organisant plusieurs activités dont des cours d'instrument, de solfège, d'éveil musical, de théâtre, mise à disposition de locaux de répétition pour des groupes de musiques actuelles. L'école de musique organise également des évènements tels que des auditions d'élèves, la fête de la musique ou encore des concerts de musiques actuelles où se produisent les groupes de l'école de musique. Il y a également une bibliothèque située juste à côté de l'école de musique.

Commerce[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.
  • Église dédiée au saint patron Martin, édifiée dans style néo-gothique au XIXe siècle et associé à un clocher roman (XIIe siècle). Elle possède des chapiteaux cubiques, rares ornements de l'édifice[26]. Elle dispose également de deux vitraux du XVe siècle. Une église primitive semble avoir été présente sur le même emplacement dès le XIe siècle.
  • Château de Macully, détruit à la suite d'un tremblement de terre, en [27].
  • Parc de l'école d'agriculture[28].

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • ...

Dans les arts[modifier | modifier le code]

La série télévisée Les Revenants, récompensée aux Emmy Awards 2013, a été tournée en 2012 essentiellement dans la ville de Poisy. Plusieurs scènes se déroulent dans la mairie du village, qui a été transformée en poste de gendarmerie lors du tournage. Ce lieu est ainsi un point clé de la série.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Poisy

Les armes de Poisy se blasonnent ainsi :

D'azur à la devise dentelée sur la partie haute, sommée d'un chateau donjonné de trois tours et en pointe de trois épis de blé arrachés, le tout d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 21-25, « Les cantons d'Annecy - Annecy-le-Vieux - Seynod », p.182-183 « Poisy ».

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « carte topographique IGN ».
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 d'Annecy », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Annecy », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. « Mappe sarde de la paroisse de Poisy en 1732 », sur archives-mappes.hautesavoie.fr (consulté le ).
  12. a et b Henry Suter, « Poisy », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ). Mention vers 1344 d'après le Pouillé du diocèse [1568]. Archives de Genève, Grosses de Peney, volume I.
  13. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 9415.
  14. a et b « Quelques repères historiques », sur poisy.fr, (consulté en ).
  15. Claude-Antoine Ducis, « Le palais de l'Isle à Annecy », Revue savoisienne,‎ , p. 46 (lire en ligne).
  16. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 13
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
  17. Denis Varaschin, Société des Forces du Fier. Une histoire des énergies à Annecy et dans sa région., Annecy, Société des Amis du Vieil Annecy, coll. « Annesci » (no 56), (ISBN 978-2-9583888-1-2), p. 64 - 79
  18. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté le ).
  19. « Poisy », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. a et b « Une rentrée dans la normalité » (Bulletin municipal), Poisy le village nature, Poisy, no 76,‎
  25. « nos formations », sur ISETA.fr (consulté le ).
  26. Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, vol. 1, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, lire en ligne), p. 72.
  27. LDL, « L'histoire peu connue du château de Macully, démoli après le tremblement de terre de juillet 1996 », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
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  29. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).