Ploumilliau

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Ploumilliau
Ploumilliau
Vue extérieure de l'église paroissiale Saint-Milliau.
Blason de Ploumilliau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Yann Kergoat
2020-2026
Code postal 22300
Code commune 22226
Démographie
Gentilé Milliautais
Population
municipale
2 453 hab. (2021 en diminution de 1,64 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 51″ nord, 3° 31′ 22″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 133 m
Superficie 34,69 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plestin-les-Grèves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ploumilliau
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Ploumilliau
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Ploumilliau
Liens
Site web [1]

Ploumilliau [plumijo] Écouter, Plouilio en breton, est une commune française du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne. Ses habitants s'appellent les Milliautais et les Milliautaises.

Ploumilliau est assez célèbre pour sa statue de l'Ankou, conservée dans l'église du bourg, et pour les animations de Noël du village Keraudy.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Le bourg de Ploumilliau n'est pas en situation littorale (c'est d'ailleurs une caractéristique commune à de nombreuses paroisses anciennes de la région comme Guimaëc, Plestin, Plougasnou, Ploulec'h, etc., probablement par crainte des pirates saxons les plous se sont établis à une certaine distance de la côte[1]) mais situé sur un plateau, à plus d'un kilomètre de la mer.

La commune de Ploumilliau est située dans la partie trégorroise du département des Côtes-d'Armor (c'est-à-dire au nord-ouest). Commune étendue, elle dispose d'une petite partie littorale au nord (entre la plage de Pont-Roux et la pointe du Dourven) qui l'ouvre sur l'embouchure du Léguer, au cœur de la Baie de Lannion, et plus globalement sur la Manche. Au nord-ouest, Ploumilliau enclave pratiquement la commune de Trédrez-Locquémeau.

Cependant la commune est avant-tout rurale. À l'est, son territoire s'insère entre Ploulec'h et Ploubezre et est délimité par le ruisseau du Pontol. À l'ouest, c'est le Kerdu qui la sépare de Saint-Michel-en-Grève. Au sud, en direction de Plouaret, la commune englobe le village de Keraudy.

Keraudy / Keraodi[modifier | modifier le code]

Le village de Keraudy est situé à l'extrémité sud du territoire. Le nom de cet écart est formé à partir du mot ker, signifiant « village » en breton, auquel est associé l'anthroponyme Audy, également attesté sous la forme Ody dès le XVIe siècle. Keraudy a été le siège d'un établissement des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dépendant de la commanderie de Pont-Melvez. Une maison attenante au cimetière, existant encore, portait ainsi le nom de L'Hôpital. Elle était également dénommée, selon Bernard Tanguy, Le Temple de Saint-Jean, saint à qui était dédiée l'église de Keraudy avant de passer sous le patronage de la Vierge. Trève de la paroisse de Ploumilliau depuis 1653, Keraudy a été rattaché à la commune de Ploumilliau vers 1790 (avant le selon Régis Le Saulnier de Saint-Jouan), puis érigé en paroisse en 1851[2]. Cependant, le village n'a jamais été une commune à part entière.

Réputé pour son charme, il s'anime tous les deux ans pour les fêtes de fin d'année où sont alors installées de nombreuses illuminations et des cabanes abritant des mises en scène qui évoquent l'univers du conte.[réf. nécessaire]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral », exposée à un climat venté, avec des étés frais mais doux en hiver et des pluies moyennes[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 15,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lannion à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 929,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ploumilliau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,7 %), terres arables (32,7 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones humides côtières (0,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Ploemyliau fin XIVe siècle, Ploumilliau en 1426, Ploemiliau en 1481[19].

Ploumilliau est pour Plou-Méliau et signifie « paroisse de Méliau »[19], Ce personnage éponyme, *Méliau ou *Miliau, n'a peut-être rien à voir avec un quelconque saint Miliau[20].

Cette commune est une ancienne paroisse de l'Armorique primitive dont le nom est formé à partir des mots plou-, signifiant paroisse en breton, et Méliau (saint Méliau , comte et roi de Cornouaille au VIe siècle). Ploumilliau a une petite façade maritime, au nord, à Pont-Roux (Baie de La Vierge).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Les Menhirs du Clandy (néolithique), les souterrains de l'Âge du fer de Saint-Jean et de Kerhélary, les traces de fortifications romaines du Roudoulou, attestent l'ancienneté de la présence humaine à Ploumilliau.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Paroisse de l'Évêché de Tréguier, elle n'est mentionnée pour la première fois qu'à la fin du XIVe siècle. Bien que son nom n'apparaisse pas dans les chartes de 1160 et de 1182 énumérant les possessions des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et des Templiers en Bretagne, ces deux ordres étaient présents en plusieurs points de la paroisse, notamment à Keraudy, à Christ, et au Mouster.

Révolution française[modifier | modifier le code]

La paroisse, devenue commune, a élu sa première municipalité au début de l'année 1790.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux Morts porte les noms de 173 soldats morts pour la patrie[21] :

  • 142 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 30 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 1 est mort hors conflit.

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

C'est aujourd'hui une commune dynamique, avec de nombreux commerces, artisans et services.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent au léopard de sable surmonté de trois coquilles du même.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 2 453 habitants[Note 3], en diminution de 1,64 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 7602 5402 7883 1283 1003 3633 4963 4803 480
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 5533 6503 7633 5283 5813 3083 5313 1153 074
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7542 8712 8852 6862 5512 4072 2972 1251 800
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 7721 7351 8652 1002 2232 1732 4492 4892 481
2017 2021 - - - - - - -
2 4812 453-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mai 1953 Gestin Le Pierrès[26]
(1885-1975)
SFIO Instituteur
mai 1953 19 mai 1959
(décès)
Jean Lachater
(1904-1959)
DVD Notaire
27 juin 1959 février 2000
(démission)
André Cresseveur[27]
(1921-2005)
DVD-RPR Agriculteur
Conseiller régional de Bretagne
Conseiller général de Plestin-les-Grèves (1961 → 1973 et 1992 → 1998)
2 mars 2000[28] 23 mars 2001 Michel Kernéis DVD Cadre France Télécom au CNET de Lannion, 1er adjoint (1989 → 2000)
23 mars 2001 mars 2008 Denise Grandjean PS Couturière retraitée
mars 2008 24 mai 2020 Marcel Prat PS Responsable vie scolaire
24 mai 2020 En cours
(au 19 janvier 2021)
Yann Kergoat[29] DVG Responsable d'équipe
Les données manquantes sont à compléter.

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ploumilliau offre la particularité de posséder deux églises :

Église en granit couverte d'ardoise bleutée avec une flèche en pierre ouvragée
Église Saint-Milliau de Ploumilliau
L'angle d'un toit d'ardoise rustique orné d'une ronde-bosse animalière assise sur le contrefort
Gargouille de l'église Saint-Milliau
L'église de Keraudy.

Saint Milliau[30], évêque venu d'Irlande au Ve siècle, devenu le saint patron de la paroisse, a donné son nom à l'Île Milliau, au large de Trébeurden sur laquelle il aurait débarqué et à la commune de Locquémeau, son ancien ermitage. À découvrir entre autres à l’intérieur : la statue de l’Ankou[31] (voir ci-dessous) et les treize panneaux de la Passion. L’église est classée monument historique en 1921.

  • Château de Lanascol[40] (privé), construit au début du XIVe siècle, agrandi aux XVIe et XVIIe siècles par la famille Quemper de Lanascol et racheté en 1920 par Lady Mond. Il est lié à la légende d'une fée, véhiculée par les gwerz et rapportée par Anatole Le Braz : lors d'une tentative de vente du château, celle-ci aurait surenchéri sur le prix, et se faisant reconnaître, aurait fait fuir les membres de l'assistance, empêchant pendant de longues années la vente du château, alors en ruine[41].

L'Ankou[modifier | modifier le code]

Les Bretons comme les anciens Celtes considèrent la mort comme le début d'une vie meilleure. Dans les enclos paroissiaux, les ossuaires témoignent de cette relation naturelle avec la mort. Et pourtant, même si la mort est familière en Bretagne, on craint ses ‘‘intersignes’’ annonciateurs. On les retrouve partout dans chaque conte de Bretagne, sous forme d’animaux, bruits, objets ou personnages. Ainsi l’Ankou, maître de l’au-delà, est un squelette tenant une faux emmanchée à l’envers, il annonce la mort aux vivants dont la dernière heure est venue. En breton ‘‘Anken’’ signifie chagrin, ‘‘Ankoun’’ oubli. Il circule la nuit, debout sur un chariot dont les essieux grincent. Entendre ce bruit ou le croiser en chemin sont les signes annonciateurs de la mort d’un proche. C’est le dernier mort de l’année (ou le premier dans certains villages), qui devient l’Ankou pour l’année suivante. L’Ankou nous met en garde contre l’oubli de notre fin dernière. Ces sentences sont gravées sur de nombreux murs d’ossuaires ou d’églises : « Souviens-toi homme que tu es poussière » (La Roche-Maurice), « Pense à mourir, regarde la fin » (Lannédern).

Église paroissiale Saint-Milliau : la statue de l'Ankou

L’Ankou et Ploumilliau :

« Fanch ar Floc’h était forgeron à Ploumilliau ... ». Ainsi commence l’histoire où une certaine veille de Noël, un forgeron travailla fort tard, tandis que sa famille allait à l’église. Le bruit de son marteau sur l’enclume l’empêcha d’entendre les cloches du début de la messe de Noël. Aussitôt après, un étrange visiteur entra dans la forge, demandant qu’un clou soit rivé à son outil. Il exhiba alors une large faux avec le tranchant à l’extérieur. Malgré sa surprise et pressé d’en finir avec ce ténébreux client, le forgeron eut vite fait son ouvrage.

  • Maintenant, je vais vous payer, dit l’homme.
  • Oh ! ça ne vaut pas qu’on en parle.
  • Si ! tout travail mérite salaire. Je ne vous donnerai pas d’argent, mais, ce qui a plus de prix que l’argent et que l’or : un bon avertissement. Allez vous coucher, pensez à votre fin, et, lorsque votre femme rentrera, commandez-lui de vous chercher un prêtre. Le travail que vous venez de faire pour moi est le dernier que vous ferez de votre vie.

L’homme à la faux disparut. Fanch ar Floc’h n’eut que la force de gagner son lit où sa femme le trouva suant les angoisses de la mort.

  • Retourne, lui dit-il, me chercher un prêtre.

Au chant du coq, il rendit l’âme, pour avoir forgé la faux de l'Ankou.

(Retrouvez le texte intégral dans le livre intitulé La Légende de la Mort d’Anatole Le Braz)

Simple petite statuette en bois, l’Ankou de Ploumilliau est aujourd’hui la seule statue de ce type encore présente au sein même d’une église. Anatole Le Braz, qui a passé ses premières années à Ploumilliau, ajouta que cette statuette fut la terreur de son enfance. On dit enfin, qu’on ne vient jamais à Ploumilliau sans faire visite à l’Ankou ... une visite des plus courtoises bien sûr !

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. René Largillière, "Les saints et l'organisation chrétienne primitive dans l'Armorique bretonne", 1925, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k914005/f185.image.r=Plougasnou.langFR
  2. « Ecart Keraudy (Ploumilliau) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Ploumilliau et Lannion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lannion_aero » (commune de Lannion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lannion_aero » (commune de Lannion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale-définition », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Ploumilliau ».
  20. Bernard Tanguy : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992
  21. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice LE PIERRES Gestin par Alain Prigent, François Prigent, version mise en ligne le 7 octobre 2011, dernière modification le 25 août 2021
  27. « Nécrologie : André Cresseveur », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  28. « Vote sans surprise : Michel Kerneis nouveau maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  29. « Municipales à Ploumilliau. Yann Kergoat, nouveau maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  30. « Église paroissiale Saint-Milliau (Ploumilliau) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consulté le ).
  31. « Statue de l'Ankou - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consulté le ).
  32. Notice no PA00089501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Notice no PA00089497, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. Fiche d'inventaire préliminaire
  35. Fiche d'inventaire préliminaire
  36. Notice no PA00089496, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. Notice no PA00089498, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. Notice no PA00089499, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Notice no PA22000018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France-château de Lanascol sur cotesdarmor.fr
  41. Daniel Giraudon, « Penanger et de La Lande, Gwerz tragique au XVIIe siècle en Trégor », 2005