Parempuyre

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Parempuyre
Parempuyre
La mairie.
Blason de Parempuyre
Blason
Parempuyre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Béatrice de François
2020-2026
Code postal 33290
Code commune 33312
Démographie
Gentilé Parempuyriens
Population
municipale
10 142 hab. (2021 en augmentation de 23,16 % par rapport à 2015)
Densité 465 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 00″ nord, 0° 36′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 15 m
Superficie 21,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes du Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Parempuyre
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Parempuyre
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Parempuyre
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Parempuyre
Liens
Site web www.mairie-parempuyre.fr/

Parempuyre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Parempuyre au sein de la Bordeaux Métropole.

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine en Haut-Médoc. C'est la commune la plus au nord de Bordeaux Métropole, sur la rive gauche de la Garonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Ludon-Médoc, Blanquefort, Le Pian-Médoc et Saint-Louis-de-Montferrand.

Communes limitrophes de Parempuyre[1]
Ludon-Médoc
Le Pian-Médoc Parempuyre[1] La Garonne          Saint-Louis-de-Montferrand
Blanquefort

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Garonne baigne la façade est de la commune.

Son territoire abrite de nombreux marais, et est en majeure partie composée de champs marécageux. Une grande partie d'entre eux est d'ailleurs en zone inondable en cas de crue centennale de la Garonne.

Parempuyre dispose d'un port qui n'a ni activité industrielle, ni touristique.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 932 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mérignac à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 924,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Parempuyre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[12] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,3 %), prairies (23,8 %), zones urbanisées (18,3 %), eaux continentales[Note 3] (7,9 %), forêts (7,1 %), cultures permanentes (3,7 %), zones humides intérieures (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune, membre de Bordeaux Métropole, bénéficie donc d'une desserte par le réseau de transports publics TBM. La halte ferroviaire de Parempuyre, desservie par les trains TER Nouvelle-Aquitaine circulant sur la ligne reliant Bordeaux à la Pointe de Grave, dite ligne « du Médoc », est un « plus » pour la ville, avec le nouveau cadencement des trains à 30 allers et retours par jour de semaine. La nouvelle halte a été inaugurée en 2013.

La durée moyenne d'un trajet, en transports en commun, effectué entre Parempuyre et Bordeaux est d'environ 45 minutes, avec la ligne 22 en direction de Frankton (Blanquefort) et le tramway C en direction de Bègles. Il est aussi possible de rallier Bordeaux via la ligne 76, en moins d'une demi-heure, desservant directement le quartier de Bacalan, avec un terminus à la station de tramway Bordeaux Brandenburg. Les trains mettent, quant à eux, environ quarante minutes pour rallier la gare de Bordeaux-Saint-Jean.

La commune est également desservie par la ligne d'autobus 77 à destination de Blanquefort, ainsi que par les lignes d'autocars 705 et 706 du réseau départemental des transports publics, TransGironde. En soirée, la ligne d'autobus Flexo 57 prend le relais des autres lignes TBM et assure une desserte dans les deux sens jusqu'à la station de tramway Bordeaux Les Aubiers. Il faut alors prendre le tramway pour rejoindre le centre-ville de Bordeaux.

Réseau TBM actuel[modifier | modifier le code]

Parempuyre est desservie par les lignes TBM suivantes:

Réseau TBM à compter du 4 septembre 2023[modifier | modifier le code]

Le réseau TBM évoluant au 4 septembre 2023, Parempuyre sera desservie par les lignes TBM suivantes:

  • (Bus) 22 - 52 - 76 - FlexGare
Réseau TransGironde[modifier | modifier le code]

La ligne 705 relie la station de tram Place Ravezies-Le Bouscat à Pauillac, Saint-Estèphe et Cissac-Medoc.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Parempuyre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[21]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[23],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Parempuyre.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 946 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 789 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Parempuyre vient du latin d’origine grecque emporium qui signifie place de commerce portuaire. Sur certaines gravures de la fin du XIXe siècle, on trouve aussi l'orthographe Parempuire.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le lieu dénommé actuellement Parempuyre était, à la période gallo-romaine, la place de marché la plus au nord de Burdigala (dans la zone de la presqu'île délimitée par l'océan Atlantique à l'ouest et l'estuaire de la Gironde à l'est, et constituait une station romaine[26]).

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Dans les siècles qui suivent la fin de l'Empire romain, s'organise la paroisse de Parempuyre placée sous le vocable de Saint Pierre, « une des premières paroisses mises sous la juridiction de la Collégiale » Saint-Seurin de Bordeaux[26]. Le chapitre de Saint-Seurin possédait dès lors la dîme de la paroisse.

Le territoire de Parempuyre se trouvait, comme le majeure partie du sud du Médoc, dans la seigneurie de Blanquefort, sur lequel ses seigneurs y exerçaient leur juridiction. Les fiefs qui s'y trouvaient étaient dans la mouvance de cette importante châtellenie[27].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Du XVIe siècle à la fin du XVIIe siècle, la seigneurie de Lamothe ou Lamothe Parempuyre, dont le nom finira par se confondre avec celui de la paroisse, appartint successivement aux familles de Caupène, Alesme et Pichon, par le mariage en 1671 de Benoite d'Alesme avec François de Pichon président à mortier au Parlement de Bordeaux[28], dont les membres se qualifieront de barons de Parempuyre. Les maisons nobles de Vallier et Labouret en palud appartinrent également aux mêmes familles[28].

L'habitat se concentre sur le plateau graveleux où se trouvent le bourg et les hameaux, et ce n'est que progressivement à partir du XVIe siècle que la palud sera mise en valeur à la suite de son assainissement. Les principales familles paysannes possessionnées sont alors les Hosten, Labatut, Moreau, Bigot, Seguin, Meynard, Dubourdieu[29]... Principale famille de notables, la famille Jeantet, fermiers seigneuriaux au milieu du XVIIe siècle puis largement installés en palud et en grave, s'en distinguera par ses activités marchandes, de judicature ou de syndics de la paroisse au XVIIIe siècle[30],[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1831 1834 Pierre Jeantet   Propriétaire rentier
1843 1850 Felix Capelle    
1850 1871 Maurice Rondeau    
1871 1900 Comte Arthur Trigant de Beaumont    
1900 1903 Philippe Durand Dassier    
1903 1904 Comte Arthur Trigant de Beaumont    
1904 1944 Philippe Durand Dassier    
1944 1945 Camille Montoya    
1945 1971 Hubert Durand Dassier    
mars 1971 1994[32] Yvan Bric PS Cadre à la Régie Renault
1994 1995 Jean-François Bric PS  
mars 1995 2001 Jacques Laroza RPR  
mars 2001 2008 Christian Benaben PS  
mars 2008 En cours Béatrice de François[33]
(réélue en 2020)
PS Sans profession déclarée
Vice-présidente de Bordeaux Métropole (depuis 2020)

Population et société[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Parempuyriens[34].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 10 142 habitants[Note 4], en augmentation de 23,16 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
440515481677639581692680743
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7517377628709021 1281 0491 1131 200
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0791 058984821852862828819908
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1661 6702 1483 5415 4816 6137 2397 4097 922
2018 2021 - - - - - - -
8 96310 142-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • La commune dispose d'un espace de concerts, festivals, spectacles « L'Art y show ».

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Parempuyre se blasonnent ainsi :

Tranché, au premier de sinople au cor de chasse d'or, au deuxième d'azur chargé d'ondes d'argent[44].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Parempuyre sur Géoportail, consulté le 4 décembre 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Parempuyre et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Parempuyre », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Parempuyre », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. a et b Cirot de la Ville, Origines chrétiennes de Bordeaux, Bordeaux, , p.176.
  27. Beaurein, Variétés bordeloises.
  28. a et b O'Gilvy, Nobiliaire de Guyenne et Gascogne, .
  29. AD Gironde, 3E notaires et terriers
  30. AD Gironde: série 3E, Mairie de Parempuyre: registre paroissial
  31. Thierry BÉNESSE, Les contrats de mariage en haut-Médoc dans la première moitié du XVIIIe siècle, , pages 19, 20, 24, 25, 48 et 59.
  32. Yvan Bric (1919-1995), démissionne en 1994, pour raison de santé au profit de son fils Jean-François. Celui-ci perdra son poste de maire aux municipales de 1995, laissant la place à la droite.
  33. Romain Béteille, « Parempuyre la « rurbaine » cultive sa différence », (entretien avec Mme le Maire), sur aqui.fr, (consulté le ).
  34. Parempuyre sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Église Saint-Pierre sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
  40. « Eglise paroissiale Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Notice MH du château Clément-Pichon », notice no PA33000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Château Ségur sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
  43. Vieux Logis sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 décembre 2015.
  44. Le blason de Parempuyre sur caruso33.net.