Moriville

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Moriville
Moriville
Blason de Moriville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Alain Gamet
2020-2026
Code postal 88330
Code commune 88313
Démographie
Gentilé Morivillois
Population
municipale
428 hab. (2021 en diminution de 0,23 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 57″ nord, 6° 25′ 56″ est
Altitude 348 m
Min. 300 m
Max. 383 m
Superficie 25,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Moriville
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Moriville
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Moriville
Liens
Site web www.moriville.fr

Moriville est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Morivillois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisation dans le département.
Situation géographique de Moriville.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Portieux[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Moriville.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 851 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Moriville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), prairies (28,4 %), terres arables (10,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), zones urbanisées (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciennes graphies : Murini villa en 1134 ; Alodium Morivillœ en 1172 ; Moringvilla en 1226 ; Ecclesia Muri Vile au XIIIe siècle ; Moriville en 1413 ; Moreville en 1475 ; Moriville en 1505 ; Mouriville en 1534 ; Mauriville en 1625 ; Moriviller en 1656 ; Mauritii Villa en 1756[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

La première mention de la localité date de 1114 sous le nom de Maurtivilla ou Murini Villa, dans un titre relatif au prieuré de Belval.

En 1172, Pierre de Brixey, évêque de Toul, confirme la donation par Gérard, comte de Vaudémont de la cense de Bedon et de celle de Soisonpré sur le ban de Moriville[16].

Il semble que le village ait appartenu pendant quelque temps au duché de Bourgogne, notamment en 1227[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Carte
L'ancienne féauté de Moriville

Au Moyen Âge, Moriville était le chef-lieu d'une féauté1. Selon l'abbé Pierfitte, les territoires de Châtel-sur-Moselle, Rehaincourt, Portieux et Hadigny-lès-Verrières sont issus du démembrement du ban de Moriville[18]. Le premier découpage eu lieu vers 1104 lorsque l'évêque de Toul retrancha la paroisse de Portieux[19].

1 : une féauté était un territoire dont le seigneur était le vassal d'un plus puissant.

Ancien régime[modifier | modifier le code]

La commune dépendait directement du duc de Lorraine et du bailliage de Châtel pendant le règne du duc Léopold. En 1718, ce prince fait un don à Madame Charlotte Eraldine D'Anglure, veuve de Georges de Lambertye, ancien maréchal de Lorraine et Barrois. Il lui accorde, pour sa vie durant seulement, les hautes, moyennes et basses justice de Moriville ainsi que le domaine dépendant[20].

Au spirituel, Moriville dépendait de la paroisse de Châtel-sur-Moselle, doyenné d’Épinal.

En 1854, la commune est à son tour frappée par l'épidémie de choléra qui sévit dans la région. La presse régionale annonce le décès de 83 personnes victime de cette maladie à Moriville[21].

Guerre de 1870[modifier | modifier le code]

Carte postale de Moriville montrant la chapelle et l'église, sur la route de Rambervillers.
Carte postale de Moriville montrant la chapelle et l'église, sur la route de Rambervillers.

Comme beaucoup d'autres communes occupées par les prussiens, Moriville a eu son lot de réquisitions et de sanctions arbitraires en 1871. Le maire de l'époque refusa d'abord d'accéder à la demande de fourrage présentée par un sous-officier hussard, sachant bien qu'il ne serait jamais remboursé. Quatre jours plus tard, le maire recevait une injonction qui ne souffrait ni discussion, ni délai. Le gouvernement français remboursa, avec plusieurs années de retard, une partie des sommes avancées par les communes et par les particuliers qui pouvaient justifier ces réquisitions[22].

Chemin de fer[modifier | modifier le code]

Carte
Ancienne ligne de chemin de fer Rambervillers Charmes

Moriville a bénéficié d'une gare de voyageurs de 1871 à 1935 sur la ligne de Charmes à Rambervilliers. Le choix de l'emplacement de ce que l'on appelait une station donna lieu à un véritable clochemerle. En l'absence de maire, le conseil municipal est présidé par le premier adjoint dont les sympathies républicaines ne sont pas partagées par le préfet impérial. L'assemblée municipale choisi d'implanter la gare au lieu-dit Boispré. Il se dit alors que l'opposition ayant le soutien de la préfecture, elle fait nommer par décret impérial un maire conservateur. Ce choix ne fut pas du goût de la majorité qui démissionna, laissant un conseil composé de seulement cinq membres sur douze. Cela ne dérangea pas le nouveau maire qui s'empressa d'annuler le premier emplacement et de choisir une nouvelle implantation, sur le chemin de Damas. Le conseil municipal étant incomplet, cette décision était illégale mais aucune autorité ne s'en émut. L'enquête publique diligenté par la préfecture confirma ce choix. Entre-temps, survint la guerre de 1870 et l'effondrement du régime impérial. Des élections eurent lieu en 1871 et c'est le premier adjoint qui fut élu maire. Il dénonça alors la délibération illégale de son prédécesseur et les nouvelles autorités furent contraintes de reconnaître les faits et d'annuler du même coup l'enquête publique. Compte tenu des tensions locales, on demanda aux habitants de se prononcer soit en faveur de Boispré, soit en faveur du chemin de Damas. Le résultat fut sans équivoque. Les électeurs choisirent Boispré par 85 voix contre 72. Il faut dire que ce choix aurait rapproché la gare de plusieurs centaines de mètres. Ce n'était pas négligeable à une époque où la majorité des habitants se déplaçaient à pieds. Une nouvelle enquête publique eut lieu. Très curieusement, elle ne tint aucun compte de l'avis des habitants et choisit le chemin de Damas. Cette proposition fut entérinée par les autorités départementales[23]. Cette affaire permit à la presse régionale de publier de nombreuses lettres anonymes qui envenimèrent les débats[24].

Bureau de poste[modifier | modifier le code]

Un bureau de poste pour les communes de Moriville et de Damas-aux-Bois fut mis en service à Moriville le 1er mai 1894[25].

Dissolution du conseil municipal[modifier | modifier le code]

En 1906, constatant que le conseil est divisé en deux camps égaux et que, par voie de conséquence, plus aucune décision ne peut être prise, le Président de la République publie un décret décidant la dissolution de l'assemblée municipale[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le lavoir conservé dans son état originel
Le guéoir habilement valorisé en réserve incendie ; avec le lavoir au fond

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 après 1830 Henry Banneraut    
1870 1871 Sébastien Parisot bonapartiste nommé par le préfet
1871 1889 Banneraut républicain élu
conseiller d'arrondissement
officier d'académie
         
mars 2001 mars 2008 Gérard Asseline    
mars 2008 avril 2014 Robert Choux    
avril 2014 En cours Alain Gamet    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 428 habitants[Note 4], en diminution de 0,23 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
481527525618647690702739735
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
748731714776798785763764740
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
696567575511487401463418411
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
393389380401434438431433428
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Maurice construite en 1857-58 et consacrée en 1858. Elle fut bâtie sur l'emplacement d'un ancien édifice jugé vétuste et trop petit. La flèche qui surmonte la tour a été posée en 1879 et s'élève à 38 m ;
  • L'orgue de l'église est de Jean-Nicolas Jeanpierre[31]. Il a été fabriqué autour de 1884-87I. Il figure parmi les premières orgues du manufacturier ;
  • Chapelle dédiée à Jésus et Marie[32];
  • Monument aux morts[33],[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Moriville Blason
Tranché : au 1er d'or à un arbre arraché de sinople, au 2d d'azur à un rencontre de cerf d'or ; à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent brochant sur la partition[35].
Détails
Adopté en 2002 et modifié en .

Blason populaire et folklore[modifier | modifier le code]

Les habitants de Moriville sont surnommés les loups[36],[37].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Moriville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Moriville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Moriville et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Paul (1870-1943) Auteur du texte Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / rédigé par Paul Marichal,..., (lire en ligne)
  16. Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges. Tome septième ([Reprod.]) / publ. au nom du Comité d'histoire vosgienne par J.-C. Chapellier,... et G. Gley,..., (lire en ligne), p. 7-11
  17. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 12
  18. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 24
  19. Léon Auteur du texte Gaire, Châtel-sur-Moselle : ses heurs et ses malheurs, des origines à nos jours / abbé Gaire,..., (lire en ligne), p. 6
  20. André (1834-1920) Auteur du texte Lecler, Généalogie de la maison de Lambertie, par l'abbé A. Lecler,... (15 juin 1895.), (lire en ligne)
  21. L'Espérance : courrier de Nancy, , 4 p. (lire en ligne), p. 3
  22. Émile (1865-1937) Auteur du texte Chantriot, La Lorraine sous l'occupation allemande, mars 1871-septembre 1873 : une occupation militaire d'après guerre / par Emile Chantriot,..., (lire en ligne), p. 125
  23. « Le Mémorial des Vosges : politique, agriculture, industrie, commerce », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 2-3
  24. « Le Mémorial des Vosges : politique, agriculture, industrie, commerce », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 3
  25. « L'Espérance : courrier de Nancy », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 3
  26. « Le Mémorial des Vosges : Journal républicain progressiste », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 2
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 398 à 400
    Présentation de l'orgue de l’église Saint-Maurice sur la commune de Moriville
    .
  32. Chapelle dédiée à Jésus et Marie.
  33. Monument aux morts.
  34. Mémorial.
  35. « 88313 Moriville (Vosges) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  36. « blason populaire, Cartographie des blasons populaires (sobriquet par village, sobriquets) en Langue lorraine-romande et en Picard », sur cherbe.free.fr (consulté le )
  37. Jean (1927-2001) Auteur du texte Vartier, Sobriquets, quolibets de Lorraine et du Bassigny / Jean Vartier, (lire en ligne)