Mesnil-Martinsart

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Mesnil-Martinsart
Mesnil-Martinsart
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Roger Roussel
2020-2026
Code postal 80300
Code commune 80540
Démographie
Population
municipale
236 hab. (2021 en augmentation de 1,29 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 03′ 16″ nord, 2° 38′ 57″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 144 m
Superficie 8,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Mesnil-Martinsart
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Mesnil-Martinsart
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Mesnil-Martinsart

Mesnil-Martinsart est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village, rural et forestier, est situé sur des collines dominant l'Ancre, à 6 km au nord d'Albert, à 25 km au sud-ouest d'Arras et à 30 km au nord-est d'Amiens.

Entrée de Martinsart.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Mesnil-Martinsart est entourée des communes de Beaumont-Hamel, Authuille, Aveluy, Albert, Bouzincourt, Englebelmer, Auchonvillers

Communes limitrophes de Mesnil-Martinsart
Auchonvillers Beaumont-Hamel
Englebelmer Mesnil-Martinsart Authuille
Bouzincourt Albert Aveluy
Borne de nivellement sur l'église-Altitude 116 m

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

La nature du sol de la commune est principalement argilo-sablonneuse[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est composé de collines dominant la vallée de l'Ancre[1].

La partie sud de la commune est recouverte d'un massif boisé, le Bois d'Aveluy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limité à l'est par le Canal et l'Ancre qui confluent à Aveluy. Cette partie du territoire communal comprend de nombreux étangs et marais[2].

L'Ancre est un affluent du fleuve côtier la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mesnil-Martinsart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,2 %), forêts (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones humides intérieures (4,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune de Mesnil-Martinsart est composée de deux agglomérations :

  • le village de Mesnil, situé au nord-est et
  • le hameau de Martinsart, situé plus au sud-ouest.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est aisément accessible depuis l'ex-RN 29 (actuelle RD 929) et l'ex-RN 338 (actuelle RD 938).

L'est de la commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille, mais la station la plus proche est la Gare d'Albert, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre Rouen ou Amiens, et Lille ainsi qu'entre Abbeville, ou Amiens, et Albert ou Arras.


Toponymie[modifier | modifier le code]

Depuis leur origine , ces deux localités étaient réunies en une seule paroisse[15].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Mesnilium en 1188 ; Maisnil en 1301 ; Mesnil-lez-Martin-sart en 1567 ; Mesnillum en 1637 ; Monsnil en 1648 ; Mesnil en 1657 ; Le Menil en 1710 ; Le Mainil-Martinsart en 1733 ; Le Menil et Martin-sart en 1764 ; Monsnil St-Nicolas[16] en 1772[15] ; Le Mainil-Morlinsart en 1778 ; Le Mesnil-Martinsart en 1801[16].
« Mesnil », toponyme très répandu en France, à partir de Mansionem. Le bas-latin a créé un nouveau terme dérivé du mot latin mansionile [17], diminutif de mansio, demeure, habitation, maison. Devenu en français médiéval maisnil, mesnil, « maison avec terrain[18] ».

Martinsart est attesté sous les formes Martini sartum ; Martinsart en 1195 ; Martinsset en 1513 ; Martin-sart en 1567 ; Morlainsart en 1778[19].
Le défrichement de Martin-Sart est bien indiqué avec le nom de Martin, son auteur. [20]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Mesnil comme Martinsart avaient un seigneur au Moyen Âge. En 1199, par une charte, Eustache de Martinsart, donne des biens aux moines du prieuré de Lihons-en-Santerre. La seigneurie de Martinsart avait sous sa dépendance le château de Chipilly, une halle sur la place d'Albert, une partie des terres de Ville-sur-Ancre.

En 1214, dans un aveu au roi Philippe Auguste, apparait le nom de Robert-le-Grand de Mesnilio. Au XIXe siècle, les vestiges d'un château-fort étaient encore visibles au lieu-dit Vieux-Mesnil.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

À la fin du XVIe siècle, Martinsart a comme seigneur, Jean de Pas de Feuquières, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi Charles IX, maréchal de camp, gouverneur de Roye.

En 1730, le seigneur de Martinsart est M. Boitel. Le dernier seigneur de Martinsart est le chevalier d'Haudoire[15].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1849, comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, voter grâce à l'instauration du suffrage universel masculin. Voici la répartition (en nombre) de quelques-uns des patronymes des 207 électeurs de l'époque[21] :

Bailleux Blanchet Crampon Doublet Herbet Labateux Lefebvre Rouvillain
4 5 8 5 7 6 5 4

En 1853, les châtelains de Mesnil créent dans la commune une école primaire de filles et une salle d'asile (ancêtre des écoles maternelles)[15].

Dès 1899, l'instituteur signale que la population diminue, attirée par l'industrie métallurgique d'Albert qui offre des salaires plus rémunérateurs que l'agriculture locale[1].

En 1899, il existait[1] :

  • une école publique à Martinsart,
  • une école publique à Mesnil,
  • une école privée de filles à Mesnil.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[22] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23].

Les Templiers[modifier | modifier le code]

Un poste de Templiers aurait existé sur la colline située entre Mesnil et Englebelmer, au lieu-dit les Terres de Cures. Des restes de constructions souterraines ont été mises au jour en 1830 par l'instituteur du village M. Obry[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Albert[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Albert

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 sous le nom de Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1842[25]   M. Bailleux    
1919 1925 Louis Vasset SFIO Cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Daniel Decaluwe[26]    
2014[27] mai 2020[28] Philippe Skrzypczak[29]   Enseignant dans le secondaire
mai 2020[30] En cours
(au 25 mai 2020)
Roger Roussel    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'église de Martinsart.
L'église de Mesnil.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 236 habitants[Note 2], en augmentation de 1,29 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
591564528680677663671663653
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
629628597588519496481456444
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
437403406164247249287288284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
234231211197240233218219241
2015 2020 2021 - - - - - -
233234236------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Mesnil-Martinsart est située dans l'académie d'Amiens. Elle dépend de la zone B.

En 2013, Mesnil-Martinsart ne dispose plus d'aucun établissement scolaire.

En 2019, un projet d'école publique franco-australienne est envisagé à Pozières, qui pourrait accueillir des enfants de la commune[34]

Autres équipements[modifier | modifier le code]

Une nouvelle mairie a été aménagée dans l’ancienne école de Mesnil, et l'ancienne pourrait devenir un musée consacré à la Première Guerre mondiale[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'agriculture reste l'activité économique dominante de la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galerie: les 5 cimetières militaires britanniques sur le territoire de la commune[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 12 NE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Flutre, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
  2. « Trois puits d’infiltration pour les marais d’Aveluy et Mesnil-Martinsart : Depuis plusieurs années, les marais d’Aveluy et Mesnil-Martinsart subissent des inondations récurrentes. Des études préliminaires complétées par des investigations géotechniques réalisées en 2018 ont montré l’utilité de créer un système d’infiltration plus adapté pour le site », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Mesnil-Martinsart et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d et e Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Péronne, , p. 405.
  16. a et b Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 48 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Albert Dauzat, Les noms de lieux, origine et évolution, Libraire Delagrave, Paris, 1926, p. 153.
  18. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
  19. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 30 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  20. Ledieu, Étude sur l'étymologie de nombreuses localités situées principalement dans l'ancienne Picardie, Amiens, Delattre-Lenoël, , p. 25.
  21. Liste électorale de Mesnil-Martinsart pour 1849, Archives départementales de la Somme
  22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  23. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Abbé Paul Decagny, ouvrage cité en bibliographie.
  26. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. « Mesnil-Martinsart va désigner son nouveau maire à huis clos », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La liste de Roger Rousse, a été élue dès le premier tour Face à cette liste, Dominique Cauchy, se présentait seul pour briguer le poste de maire. Le maire sortant Philippe Skrzypczak ne se représentait pas. ».
  29. a et b « On ne s’en rend peut-être pas compte, mais Mesnil-Martinsart, c’est deux villages à gérer » : C’est au prix de longues journées de travail que Philippe Skrzypczak arrive à combiner ses rôles d’enseignant et de maire. Il revient sur ce que sa municipalité a déjà entrepris », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Roger Roussel est le nouveau maire de Mesnil-Martinsart », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Vincent Héry, « Cinq questions sur le projet d’école franco-australienne à Pozières : Un collectif d’Australiens veut aller au bout du projet au nom de l’histoire qui unit la France à leur pays. Mais les obstacles sont nombreux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Début 2019, une réunion en sous-préfecture a rassemblé les représentants de communes proches de Pozières potentiellement intéressées par la création du Regroupement pédagogique concentré (RPC). Les conseils municipaux ont été invités à délibérer sur leur souhait de s’associer au projet. Les résultats sont tombés au compte-gouttes : « Courcelette, Authuille, Aveluy, Thiepval, Mesnil-Martinsart et Bécordel-Bécourt ont délibéré favorablement », indique Bernard Delattre, maire de Pozières ».
  35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 228 (ASIN B000WR15W8).
  36. « Martinsart british cemetery - Mesnil-Martinsart », Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, sur picardie1418.com (consulté le ).