Marçay (Vienne)

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Marçay
Marçay (Vienne)
Église de Marçay.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Sandra Girard
2020-2026
Code postal 86370
Code commune 86145
Démographie
Population
municipale
1 155 hab. (2021 en augmentation de 2,12 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 27′ 49″ nord, 0° 13′ 51″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 151 m
Superficie 30,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Marçay
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Marçay
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Marçay

Marçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lusignan à 8,78 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 814,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,8 %), forêts (26,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), prairies (5,8 %), zones urbanisées (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Marçay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marçay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Marçay accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme l’enrôlement des futurs soldats lors de la levée en masse[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
23 juin 1995   Gabriel Simar    
mars 2001 2014[20] Jean-Jacques Deschamps    
2014 En cours Sandra Girard   Suppléante du député LREM Sacha Houlié
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 1 155 habitants[Note 4], en augmentation de 2,12 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
805779686809918875864840844
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9079299649359651 0031 0321 0531 024
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0159891 060922799748752796681
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5815395565916026957641 0011 160
2021 - - - - - - - -
1 155--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 26 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[25], il n'y a plus que 23 exploitations agricoles en 2010 contre 28 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 036 hectares en 2000 à 1 910 hectares en 2010. 5 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 22 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 3 % pour les protéagineux, 7 % pour le fourrage et 5 % reste en herbes. En 2000, 2 hectares (2 en 2010) étaient consacrés à la vigne[25].

Cinq exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage de bovins (328 têtes en 2010 contre 370 en 2000). Ont disparu au cours de cette décennie, les élevages d'ovins (733 têtes sur onze fermes) et de volailles (1 112 têtes sur quatorze fermes en 2000)[25]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[26].

Développement durable[modifier | modifier le code]

La commune accueille l'un des onze centres de compostage des déchets organiques du département. Le tonnage annuel est de 10 000 tonnes alors que pour l'ensemble des équipements du département, il est de 175 050 tonnes[27].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La Basilique Saint-Benoît-Labre de Marçay, Marçay possède une basilique, fruit du rêve de son curé, François Joseph Joanneau. Celui-ci, en poste à partir de 1856, rêvait de faire de cette petite commune de la campagne proche de Poitiers un haut-lieu de pèlerinage. Il fit le projet de la construction d'un centre cultuel concurrençant ceux de Lourdes ou de Notre-Dame de Lorette. En 1884, la construction de la basilique dédiée à saint Benoît Joseph Labre, nouveau patron de la commune, commença. Sa décoration fut achevée quinze ans plus tard et les travaux s'arrêtèrent avec la mort du curé Joanneau. Les reliques du saint reposaient à l'intérieur de la basilique avant sa désacralisation et sa vente ; elles sont conservées maintenant dans l'église paroissiale. Ce lieu a fait l'objet d'un pèlerinage relativement important jusqu'en 1952. La basilique tombait doucement en ruines, mais son nouveau propriétaire a procédé à une réfection totale qui s'est achevée en 2017. Son architecture est de style néo-gothique. Elle présente une façade avec des pierres d'arrachement, car le clocher n'a jamais été construit par suite du décès de son curé bâtisseur. Sur cette façade inachevée, deux cloches ont été logées en 2016 dans un passage qui devait permettre l'accès à la toiture depuis le clocher, et la grande ouverture qui était autrefois obturée par des briques et cela depuis l'origine, a laissé place à un vitrail qui a été posé durant l'hiver 2016-2017, donnant ainsi une clarté exceptionnelle à l'intérieur de la nef unique. Celle-ci est accostée de galeries-cloître extérieures qui ont été habillées de verrières afin de créer des espaces confortables de circulation ou d'exposition. Trois beaux vitraux historiés relatant la vie du Saint-Patron, Benoît-Joseph Labre, ont été commandés au XIXe siècle par l'abbé Joanneau auprès de l'atelier parisien des Lavergne, célèbres peintres verriers, pour enrichir le chevet du maître-autel ; ce dernier, en marbre de carrare, abrite un gisant de cire figurant Saint-Labre en prière pour l'éternité. Deux autres vitraux de même époque ont été mis en place en 2016 dans le double transept, l'un à l'effigie de Saint-Augustin, l'autre à celle de Saint-Athanase ; ils ont été offerts par les sœurs de l'abbaye de Jouarre. L'église a cette particularité d'avoir un double transept ; elle a été construite par les architectes Perlat et Boutaud. Il est à noter qu'Alcide Boutaud, architecte diocésain, a réalisé de nombreuses églises dans les départements de l'Ouest. Il a également bâti la maison du grand écrivain Joris-Karl Huysmans qui existe toujours à Ligugé, commune voisine. En 2019, la restauration s'est achevée par la pose en façade de deux escaliers extérieurs à vis en fer de fonte, reliés par une passerelle permettant l'accès à la tribune intérieure de la grande nef. Au cours du printemps 2023, un orgue réalisé vers 1850 par Jan Arnold Clérinx, facteur d'orgue établi à Saint-Trond en Belgique, a été installé sur cette tribune. La basilique a été inscrite en totalité au titre des Monuments Historiques le ; elle abrite désormais un centre culturel consacré au Livre[28].
  • L'église paroissiale Saint-Médard de Marçay possède deux cloches. La plus ancienne date de 1584. C'est l'une des douze cloches recensées datant du XVIe siècle existantes encore dans le département de la Vienne. L'autre cloche date de 1882. Comme celle de l'église Saint-Pierre de Chaunay, elle a été fondue par Georges Bollée à Orléans.
  • L'Abbaye de Bonnevaux est inscrite comme monument historique en 1967 pour son cloître et sa galerie[29].
  • Le château de Bierson est inscrit comme monument historique pour son vitrail depuis 1989 et pour ses façades, ses toitures sa terrasse et son perron à partir de 1997[30].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Marçay et Lusignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lusignan-Inra » (commune de Lusignan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lusignan-Inra » (commune de Lusignan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Marçay », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 95
  20. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  26. Agreste – Bulletin n°12 de mai 2013
  27. Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
  28. « Basilique Saint-Benoît-Labre », notice no PA86000043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Abbaye de Bonnevaux », notice no PA00105520, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « Château de Bierson », notice no PA00105792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture