Marnay (Vienne)

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Marnay
Marnay (Vienne)
Ferme ancienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Christian Chaplain
2020-2026
Code postal 86160
Code commune 86148
Démographie
Gentilé Marnaisiens[1]
Population
municipale
714 hab. (2021 en augmentation de 3,63 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 23′ 49″ nord, 0° 20′ 36″ est
Altitude 120 m
Min. 96 m
Max. 144 m
Superficie 45,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Marnay
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Marnay
Liens
Site web http://www.marnay.fr/

Marnay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Dans la bourg de Marnay coule la Clouère[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 783 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Ferrière-Airoux à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (27,1 %), prairies (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), zones urbanisées (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Marnay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Clouère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[18],[16].

Marnay est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[19]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[20], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [21],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marnay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village est attesté sous la forme Matriniaco en 938 - 939[27].

De l’anthroponyme gallo-romain Maternus[27] ou Matrinius (dérivé du gaulois matir « mère » auquel se superpose le latin mater), suivi du suffixe de localisation et de propriété -(i)acum[27], d'origine gauloise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs opérations pick up ont eu lieu au nord du village de Médelle, mais sur la commune d’Aslonnes[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1970 ? ?    
1970 1994 Robert Rouillon    
1994 2001 Henri Boisseau    
mars 2001 mars 2008 Chantal Thillet    
mars 2008 février 2011 Pascal Pascreau    
février 2011 En cours Christian Chaplain    
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021, la commune comptait 714 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8188421 0457749791 0381 0299831 031
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9671 0061 0331 0561 0151 0041 0149701 015
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0731 000934910900901877766736
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
645571476473501531583598686
2018 2021 - - - - - - -
706714-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[32], il n'y a plus que 30 exploitations agricoles en 2010 contre 35 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 9 % et sont passées de 2 628 hectares en 2000 à 2 867 hectares en 2010 dont 666 sont irrigables[32]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[33].

48 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 24 % pour les oléagineux (colza pour 87 % de la surface et un peu de tournesol), 15 % pour le fourrage et 6 % restent en herbes. En 2000, trois hectares (deux en 2010) étaient consacrés à la vigne[32].

Huit exploitations en 2010 (contre quinze en 2000) abritent un élevage de bovins (921 têtes en 2010 contre 1 190 en 2000). sept exploitations en 2010 (contre treize en 2000) abritent un élevage d'ovins (678 têtes en 2010 contre 1 036 têtes en 2000)[32]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[34]. L'élevage de volailles a connu une baisse: 413 têtes en 2000 répartis sur seize fermes contre 208 têtes en 2010 répartis sur onze fermes[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre de Marnay. Dédiée à Saint Pierre, l’église est en partie romane, façade, murs de la nef et abside. La façade présente un portail côté nord avec deux voussures brisées reposant sur des chapiteaux à palmettes. Les contreforts posés a posteriori empiètent sur le portail révélant que cet édifice a dû être stabilisé. De ce fait, la fenêtre est du côté sud, tandis qu'en partie haute le mur pignon est d'époque moderne. Une corniche ornée d'entrelacs reposant sur des modillons du XIIe siècle sépare les deux niveaux. On y voit du nord au sud une chouette, un joueur de vièle, ce qui semble être un acrobate (sculpture mutilée), un couple s'enlaçant et plus à l'est des modillons ornés de masques. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[35]. L'intérieur est sobre. La nef unique est éclairée par des baies présentant des vitraux fabriqués entre 1888 et 1891 dans les ateliers de L. Lobin, vitrailler de Tours. Ils comportent des armoiries de généreux donateurs. Le vitrail d'axe du chœur représente un Saint Pierre, patron de l'église (1885). Dans le bras gauche du transept, au mur nord, un Saint Louis avec la Couronne d'épines dont il fit l'acquisition et pour laquelle il fit construire la Sainte Chapelle à Paris. Dans le bras droit du transept, au mur est, Sancta Agnes, « Sainte Agnès » (1891) et au mur sud, la Vierge dans une mandorle, les pieds sur un croissant de lune (1888). Dans la nef, au nord, le vitrail présente un Saint Jean-Baptiste (1889) et au mur ouest, on voit dans un médaillon un prêtre en étole et surplis, agenouillé (1889).
  • Dans la campagne, sur le coteau à proximité du lieudit Trancart, se trouve le Bitochon. Ce monument phallique sert de cheminée à une chambre troglodytique.

Avant d'arriver au bourg de Marnay, sur le côté de la route départementale D 742, il est possible de voir une stèle érigée à la mémoire d'un résistant, fusillé le .

  • Foire aux produits du terroir : Elle se déroule le deuxième dimanche d'octobre de chaque année. Fondée dans les années 1970, elle attire des centaines de visiteurs, venus acheter des produits locaux présentés par les éleveurs, producteurs, artisans d'arts et métiers, associations...

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Robert Rouillon (1923-2011) a été maire de la commune pendant 4 mandats (1970-1994). Durant ses années en tant que maire, il a travaillé sans relâche pour améliorer la vie de ses concitoyens et pour faire progresser la ville. Il a mis en place des projets importants, tels que la construction d'une salle des fêtes, l'entretien des infrastructures... Avec son expérience d'exploitant agricole, Robert Rouillon a été l'un des premiers à comprendre le potentiel des produits en circuit court, dans une période de mondialisation et de production de masse. Il a mis en avant les produits locaux et les petits producteurs, souvent négligés face à la domination des grandes firmes. C'est sous son initiative que la commune a mis en place la "Foire aux produits du terroir" toujours programmée aujourd'hui. Son épouse, Marie-Annick, née Vadier (1936-2009), est une des rares femmes diplômée en France (années 1950), à l'université Sorbonne Paris. Secrétaire de mairie et correspondante pour les journaux Centre-Presse et La Nouvelle République, elle a été un soutien indéfectible. Cultivée, proche des habitants elle a été un atout majeur dans ses réélections et dans la réalisation de sa politique.

Robert Rouillon a été un membre actif de l'association des anciens combattants de la vienne. Durant la durant la Seconde Guerre mondiale, pour la libération de son pays, il était un jeune résistant dans le maquis « Joël ». Il s'est engagé dans la 1re armée et a participé à la campagne Rhin et Danube sous le commandement du général de Lattre de Tassigny. En remerciment, Robert Rouillon, a été décoré chevalier de l'Ordre national du mérite.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
  2. Pierre Rossignol, Bernard Balusseau, Louis Vibrac, Le Horst, une histoire naturelle et humaine., Geste éditions, La Crèche, 2014, 165  p., (ISBN 978-2-36746-262-2).
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Marnay et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Marnay », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marnay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 435b
  28. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 71-76.
  29. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  33. Agreste – Enquête Structure 2007
  34. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  35. « Église paroissiale Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]