Manzac-sur-Vern

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Manzac-sur-Vern
Manzac-sur-Vern
Le bourg de Manzac-sur-Vern.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Yannick Rolland
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24251
Démographie
Gentilé Manzacois
Population
municipale
547 hab. (2021 en diminution de 8,22 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 18″ nord, 0° 35′ 10″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 214 m
Superficie 19,96 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Astier
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Manzac-sur-Vern
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Manzac-sur-Vern
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Manzac-sur-Vern
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Manzac-sur-Vern
Liens
Site web www.manzacsurvern.fr

Manzac-sur-Vern est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune de Manzac-sur-Vern se situe à la limite du Périgord central et du Landais. Elle est arrosée par le Vern et par ses deux affluents de rive droite, le Serre et le ruisseau des Chabannes.

La commune est desservie par les routes départementales 4, 43 et 44.

Le bourg de Manzac-sur-Vern, au croisement des trois routes départementales et à la confluence du Vern et du ruisseau des Chabannes, jouit d'une situation géographique intéressante. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-est de Saint-Astier, neuf kilomètres à l'est de Neuvic et douze kilomètres au nord-ouest de Vergt.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Manzac-sur-Vern et des communes avoisinantes.

Manzac-sur-Vern est limitrophe de sept autres communes, dont Grun-Bordas au sud-est par un quadripoint.

Communes limitrophes de Manzac-sur-Vern
Montrem Coursac
Grignols Manzac-sur-Vern Saint-Paul-de-Serre
Jaure Bourrou Grun-Bordas

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Manzac-sur-Vern est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Manzac-sur-Vern.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Vue panoramique du bourg de Manzac-sur-Vern.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 81 m[6] à l'ouest, près du lieu-dit les Brasseries, là où le Vern quitte la commune et entre sur celle de Grignols et 214 m[6] à l'extrême nord, au nord du lieu-dit Lassalet, sur la RD 43, en limite de la commune de Montrem[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,96 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,45 km2[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Vern, le Serre, le ruisseau de Chabannes, le Rosier et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le Vern, d'une longueur totale de 40,36 km, prend sa source en limite des communes de Val de Louyre et Caudeau et Veyrines-de-Vergt, et se jette dans l'Isle en rive gauche à Neuvic[16]. Il traverse la commune du sud-est à l'ouest sur six kilomètres, lui servant de limite sur près d'un kilomètre et demi en deux tronçons séparés, face à Saint-Paul-de-Serre et Grignols.

Son affluent de rive droite le ruisseau des Chabannes arrose le territoire communal du nord-est au centre sur plus de trois kilomètres et demi.

Le Serre, autre affluent de rive droite du Vern, baigne l'est de la commune sur près d'un kilomètre et demi.

Son affluent de rive droite le Rosier borde le territoire communal à l'est sur 500 mètres, face à Saint-Paul-de-Serre.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 14 km à vol d'oiseau[21], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[27].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[29].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Le Vern à Manzac-sur-Vern.

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[30].

Cette ZNIEFF de type 1[Note 4] concerne certains coteaux du Vern[31],[32], notamment deux petites zones distinctes totalisant une vingtaine d'hectares, au nord de la route départementale 44, près des lieux-dits Lapeyre à l'est, et le Fraisse à l'ouest,. Celles-ci représentent environ 4 % de la superficie totale de cette ZNIEFF où une espèce déterminante de plantes et quatre espèces d'oiseaux protégées au titre de la Directive oiseaux de l'Union européenne ont été répertoriées[31].

Il existe également une ZNIEFF de type 2[Note 5] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern » qui concerne notamment toute la vallée du Vern depuis l'amont de Bordas jusqu'à sa confluence avec l'Isle[33].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Manzac-sur-Vern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[34],[35],[36].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37],[38].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), prairies (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), terres arables (4,5 %), zones urbanisées (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

(Liste non exhaustive)

Outre le bourg de Manzac-sur-Vern proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

  • Baraudie
  • le Bel
  • Bellevue
  • Bencharel
  • le Bost
  • Branlebos
  • les Brasseries
  • Cailloux
  • Carteyre
  • les Chabannes
  • Chante Louette
  • le Châtenet
  • Coussaude
  • la Couture
  • les Defey
  • Dives
  • la Faye
  • le Feytal
  • Fontroubade
  • le Fraisse
  • le Freyrat
  • la Gélinerie
  • Gencille
  • Genebriéras
  • Grange-Neuve
  • les Granges
  • Gravardie
  • Jeanbuvant
  • Lafarge
  • la Lande
  • Langin
  • Lapeyre
  • Lassalet
  • Lespinadas
  • Leyzarnie
  • Limouzy
  • les Menauds
  • le Mortier
  • Nègrefont
  • Olivoux
  • Paladre
  • les Péchères (deux lieux-dits du même nom, l'un au nord[41], l'autre, en ruines, au sud[42])
  • Pinquat
  • le Poteau
  • les Pradeaux
  • Pronchieras
  • Raynaud
  • Rouffignac
  • le Rudelou
  • Saunerie
  • le Thur
  • la Toutardie
  • les Trimours
  • Veyrinas.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Manzac-sur-Vern est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].

Manzac-sur-Vern est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[45]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[46],[47].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Manzac-sur-Vern.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 91,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[50].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon différentes études, Manzac viendrait soit du latin Manitius[51], soit de Minisius[52], nom de personnage gallo-roman, suivi du suffixe -acum, correspondant au « domaine de Manitius (ou de Minisius) ». Le Vern, accolé au nom en 1911, est le principal cours d'eau qui baigne la commune.

En occitan limousin[53], la commune porte le nom de Manzac de Vern[54].

Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[55].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sur le territoire communal, d'antiques traces gallo-romaines ont été identifiées[52].

L'abbaye de Ligueux fonde un prieuré bénédictin au hameau de Pronchères (ou Pontchéras), mentionné dans un texte en 1178 (Ecclesia de Pronchiéras)[52],[56],[57].

La première mention écrite connue du lieu remonte à 1243 sous la forme « Menzac », la graphie actuelle apparaissant en 1382[52].

En 1648, un pouillé recensant les bénéfices de l'archevêque de Bordeaux mentionne le prieuré de Manzac parmi les biens de l'abbaye de Brantôme[58].

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la paroisse de Manzac dépend de la châtellenie de Grignols[59].

La commune de Manzac, créée en 1790, prend le nom de Manzac-sur-Vern en 1911[6].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Manzac-sur-Vern a été rattachée au canton de Grignols qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[6].

Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[60].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2002, Manzac-sur-Vern intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

Au , Manzac-sur-Vern quitte la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord pour rejoindre la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux[61].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[62],[63].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'agence postale et la mairie.
Liste des maires successifs[64]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1796 Jean Allemandou SE  
1796 1800 Louis Labat SE  
1800 1808 Pierre Gueydon Villat SE  
1808 1816 Pierre Labat de Raynaud SE  
1816 1842 Jacques Labat Durouchaux SE  
1842 1860 Joseph Jules Labat SE  
1860 1869 Louis Du Mas SE  
1869 1870 Germain Miquel SE  
1870 1874 Gustave Jean-Baptiste Labat SE  
1874 1876 Léo Albert Miquel SE  
1876 1899 Gustave Jean-Baptiste Labat SE  
1899 1908 Léo Albert Miquel SE  
1908 1919 Louis Hivert SE  
1919 1945 Étienne Roque SE  
1945 1959 Roger Reymond SE Boulanger
1959 septembre 1980 Louis Fourgeau[Note 9] SE  
octobre 1980 mars 2014 Michel Girard SE[65] puis PS Retraité
mars 2014[66] mai 2020 Bernard Puyrigaud SE Retraité
mai 2020 En cours Yannick Rolland    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2016, la commune de Manzac-sur-Vern est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Grignols et Jaure[67] au niveau des classes de primaire[68].

Jaure n'a plus d'école ; Grignols s'occupe de la grande section de maternelle, du cours préparatoire et du cours élémentaire (CE1 et CE2) ; Manzac-sur-Vern accueille les enfants en petite et moyenne sections et en cours moyen (CM1 et CM2)[69].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Manzac-sur-Vern relève[70] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Manzac-sur-Vern se nomment les Manzacois[71].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].

En 2021, la commune comptait 547 habitants[Note 10], en diminution de 8,22 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0067468309149819989811 032942
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0421 0381 025952883898976950852
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840849713625619587539551485
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
437401420417488505508509566
2015 2020 2021 - - - - - -
596554547------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête du village sur un week-end début août[75].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 269 personnes, soit 45,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a fortement augmenté par rapport à 2010 (25) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,2 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 51 établissements[77], dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[78].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-ès-Liens[57] du XVe siècle a conservé un portail roman du XIIe siècle[79]. Sa façade occidentale date du XIXe siècle et son clocher est de style néogothique. L'intérieur présente des traces de litre funéraire. L'église a été restaurée à la fin des années 1990.

Le presbytère a été ravagé par un incendie au début des années 2000. Sa rénovation l'a transformé en résidence.

Autres sites :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Léonce Cubélier de Beynac (-), poète né et décédé à Manzac[85],[86].
  • Christian Pabœuf (1956...), y habitant depuis 2003, compositeur de musique pour le ciné concert et le théâtre, a écrit et joué les musiques pour la pièce Un petit chaperon rouge du Chantier Théâtre qui a obtenu le "Molière" du meilleur spectacle jeune public 2006[87]. Christian Paboeuf a joué dans 22 pays (Japon, 6 pays du golfe persique, Égypte, Brésil, Ukraine, Sénégal, Guatemala, Costa Rica, Nicaragua, Salvador, Norvège, Tchéquie, etc., dans différents modes d'expression : ciné concerts, théâtre, concerts, sons et lumières. Il est aussi graphiste. Il a enregistré sous son nom ou le nom de sa formation « Il Monstro » 5 CD dont l'un a été enregistré à la Maison de la Radio à Paris, produit par France Musique et distribué par Harmonia Mundi. Plusieurs de ces CD ou de ses concerts ont fait l'objet d'une émission sur France Musique. Il vend des disques aux Etats Unis (soyons juste quelques dizaines...) Il assure les ateliers ciné concert au "Festival International du Film de La Rochelle depuis 2014.
  • Valentin Huot (1929-2017), champion de France de cyclisme en 1957 et 1958 et coureur du Tour de France, il s'est ensuite reconverti dans la fraisiculture à Manzac-sur-Vern[88].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Décédé en fonctions.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Manzac-sur-Vern » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Manzac-sur-Vern » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Manzac-sur-Vern », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Manzac-sur-Vern », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Manzac-sur-Vern », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. Sandre, « le Vern »
  17. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  21. « Orthodromie entre Manzac-sur-Vern et Coulounieix-Chamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  25. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  26. « Liste des espaces protégés sur la commune de Manzac-sur-Vern », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
  28. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Manzac-sur-Vern », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « Liste des ZNIEFF de la commune de Manzac-sur-Vern », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. a et b [PDF] - Coteaux du Vern (Identifiant national 720012859), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  32. Carte de la ZNIEFF 720012859, INPN, consulté le .
  33. Carte de la ZNIEFF 720012842, INPN, consulté le .
  34. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  36. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  40. « Manzac-sur-Vern » sur Géoportail (consulté le 6 décembre 2014)..
  41. « les Péchères » sur Géoportail (consulté le 6 décembre 2014)..
  42. « les Péchères Rnes » sur Géoportail (consulté le 6 décembre 2014)..
  43. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Manzac-sur-Vern », sur Géorisques (consulté le ).
  44. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  45. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  46. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  47. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  48. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  49. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  50. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  51. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 431.
  52. a b c et d Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 209.
  53. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
  54. Le nom occitan des communes du Périgord - Manzac de Vern sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  55. (en) Mark Salvatore, Sols 3042-3043: Watch Your Step!, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
  56. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome I, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-341-3), p. 33.
  57. a et b Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 56.
  58. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 152.
  59. André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 23-24.
  60. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  61. [PDF] « Arrêté no PREF/DDL/2016/0182 portant extension de la CA Le Grand Périgueux aux communes de la CC Pays Vernois Terroir de la Truffe (excepté Limeuil et Trémolat) et aux communes de Manzac-sur-Vern, Sorges et Ligueux en Périgord et Savignac les Eglises », Préfecture de la Dordogne, 15 septembre 2016, p. 144-148.
  62. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
  63. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
  64. Document Manzac-sur-Vern honore ses maires consulté en mairie de Manzac-sur-Vern le 15 décembre 2014.
  65. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
  66. À Manzac-sur-Vern, Sud Ouest édition Périgueux du 2 avril 2014, p. 19.
  67. Francis Senchou, Les grands quittent l'école sur Sud Ouest du 1er juillet 2014, consulté le 14 décembre 2014.
  68. École primaire de Manzac-sur-Vern sur le site de l'Académie de Bordeaux, consulté le 14 décembre 2014.
  69. L'école sur le site de la mairie de Grignols, consulté le 11 avril 2016.
  70. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  71. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 6 décembre 2014.
  72. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  73. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  74. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  75. « Festivités », Sud Ouest, édition Dordogne, , p. 14.
  76. Dossier complet - Commune de Manzac-sur-Vern (24251) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
  77. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  78. Dossier complet - Commune de Manzac-sur-Vern (24251) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
  79. André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 19-21.
  80. « Château de Leyzarnie », notice no PA24000067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 décembre 2014.
  81. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 79.
  82. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 98.
  83. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 100.
  84. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 98.
  85. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 277.
  86. André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 245-246.
  87. Un petit chaperon rouge en tournée sur le site du Chantier Théâtre de la compagnie Florence Lavaud, consulté le 6 décembre 2014.
  88. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 490.