Lottinghen

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Lottinghen
Lottinghen
L'église Saints-Fuscien-Gentien-et-Victoric
Blason de Lottinghen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté de communes de Desvres-Samer
Maire
Mandat
André Leleu
2020-2026
Code postal 62240
Code commune 62530
Démographie
Gentilé Lottinghinois
Population
municipale
537 hab. (2021 en diminution de 2,89 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 05″ nord, 1° 56′ 00″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 211 m
Superficie 10,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Lottinghen
Géolocalisation sur la carte : France
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Lottinghen
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Lottinghen
Liens
Site web lottinghen.com

Lottinghen est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 301 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

C'est dans la commune que le Bléquin, un cours d'eau naturel non navigable de 16,18 km, prend sa source et se jette dans l'Aa au niveau de la commune de Lumbres[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 003 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[8].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le bois des Monts, Mont Graux, Mont-Hulin, Mont de la Calique et anciennes carrières du Mont-Pelé à Desvres, d’une superficie de 484 hectares. Ce site est majoritairement boisé en dehors des anciennes zones d’extraction de craie. Le plateau limoneux est occupé par des cultures[13].

et trois ZNIEFF de type 2[Note 3] :

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais. Ce site, créé par un arrêté du , a une superficie de 420 hectares et une altitude qui varie de 65 mètres à 200 mètres[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lottinghen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,5 %), prairies (19,3 %), forêts (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lonastingahem (828), Lustinkehem et Lustinghem (1107), Lustringehem (1112), Leustinghen (1114), Lustingeem (1156), Lustinghehem (1199), Lostingeham (1240), Lostingehem (1263), Lostinghem (1327), Lostighem (1375), Lostinguehem et Lostringhem (XVe siècle), Lostinguehen (1501), Lustinghem (1512), Lautinghen (1562)[25], Lottinghen (depuis 1793)[26].

Ernest Nègre avance un toponyme composé de l'anthroponyme germanique Leunastes, suivi de -ingen « gens (de) » + heim « demeure, maison », donnant « demeure du peuple de Leunastes »[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , est rendue une déclaration de noblesse en faveur d'Antoine de Pollehoy, seigneur de Lotinghuem, domicilié à Saint-Omer[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Aimé Dulot    
mars 1983 1989 Émile Dulot    
mars 1989 2008 René Martel    
mars 2008 En cours
(au 25 mars 2022)
André Leleu   Retraité du privé
Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026[32],[33]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 537 habitants[Note 5], en diminution de 2,89 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
493453448484406404407371388
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
347369359387453445505511521
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
520504477478426473488499496
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
551531527436457464505511553
2017 2021 - - - - - - -
545537-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 270 hommes pour 270 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
5,7 
75-89 ans
11,2 
15,0 
60-74 ans
14,6 
19,0 
45-59 ans
18,2 
21,2 
30-44 ans
21,4 
17,1 
15-29 ans
14,5 
21,7 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saints-Fuscien-Gentien-et-Victoric
  • L'église Saints-Fuscien-Gentien-et-Victoric

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lottinghen Blason
D'argent au pic de mineur de sable ; à l'écusson de gueules chargé d'un rais d'escarboucle fleurdelisé, excepté le rai supérieur terminé en crosse, d'argent, brochant sur le manche en abîme[40].
Détails
L'écusson à l’escarboucle est celui de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer, à qui appartenait le domaine, où l'escarboucle est passé d'or à argent. Le pic évoquerait les anciennes carrières de roches siliceuses (d'où le champ d'argent de l'écu) au lieu-dit La Roucherie, destinées à alimenter la cimenterie de Lottinghen, fondée en 1882 par la famille Delattre et définitivement fermée en 1981.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Lottinghen
Alias du blason de Lottinghen
De gueules au rais d’escarboucle pommeté et fleurdelisé d’or, la branche en chef terminée en crosse du même, au chef d’argent chargé de trois émouchets de sable.
Armes de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer avec ajout du chef chargé d'émouchets, proposé par les archives départementales du Pas-de-Calais.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bléquin (E4030650 ) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Lottinghen et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  11. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR4505528 - rando-rail de Nielles-lès-Bléquin », sur inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310030089 - Bois des Monts, Mont Graux, Mont-Hulin, Mont de la Calique et anciennes carrières du Mont-Pelé à Desvres », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013272 - La Vallée du Bléquin et les Vallées sèches adjacentes au Ruisseau d’Acquin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  18. « Natura 2000 FR3100484 - Pelouses et bois neutrocalcicoles de la cuesta sud du Boulonnais », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 232.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lottinghen », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1005.
  28. Amédée le Boucq de Ternois, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.  21,lire en ligne
  29. « Lottinghen : André Leleu débute son second mandat avec quatre adjoints : Retraité de l’usine Novandie, André Leleu, 65 ans, postulait à la tête de la liste « Lottinghen Demain » pour un second mandat. Élu conseiller municipal en 1989, il a effectué ensuite deux mandats comme premier adjoint avant de devenir maire en 2008. Pour l’élection 2014, il avait affaire à de nombreux candidats indépendants qui ont obtenu au second tour deux élues (Delphine Rétaux et Anita Vigneron). », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. « Lottinghen : en projet, de nombreux travaux sur les routes et la gratuité des activités périscolaires : « La Voix du Nord » poursuit sa série consacrée aux projets des maires. Quels engagements? Quels chantiers? Quelles priorités? », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lottinghen (62530) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « 62530 Lottinghen (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).