Livron-sur-Drôme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Livron-sur-Drôme
Livron-sur-Drôme
L'hôtel de ville.
Blason de Livron-sur-Drôme
Blason
Livron-sur-Drôme
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Francis Fayard
2020-2026
Code postal 26250
Code commune 26165
Démographie
Gentilé Livronnais, Livronnaises
Population
municipale
9 298 hab. (2021 en augmentation de 4,35 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 25″ nord, 4° 50′ 38″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 255 m
Superficie 39,52 km2
Unité urbaine Livron-sur-Drome
(ville-centre)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loriol-sur-Drôme
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Livron-sur-Drôme
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Livron-sur-Drôme
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Voir sur la carte topographique de la Drôme
Livron-sur-Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Livron-sur-Drôme
Liens
Site web http://www.livron-sur-drome.fr/

Livron-sur-Drôme est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Livron se trouve à environ 20 kilomètres au sud de Valence (chef-lieu du département).

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur une vaste plaine alluviale de laquelle émerge une série de trois collines calcaires[réf. nécessaire].

Sites particuliers :

  • Mont Roti (259 m)[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située au confluent de la Drôme et du Rhône.

Elle est aussi arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • Canal du Moulin
  • la Lauze
  • la Véore
  • le Petit Rhône
  • l'Ozon
  • Ruisseau d'Arcette

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 4,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records LIVRON (26) - alt : 98m, lat : 44°47'39"N, lon : 4°49'50"E
Records établis sur la période du 01-01-1975 au 31-03-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,5 4 6,7 10,4 13,8 15,5 15,1 11,9 9,1 4,9 2,2 8
Température moyenne (°C) 5 6 9,7 12,8 16,7 20,4 22,6 22,2 18,2 14,1 8,8 5,5 13,5
Température maximale moyenne (°C) 8,5 10,4 15,4 18,8 23 27,1 29,6 29,4 24,5 19 12,8 8,9 18,9
Record de froid (°C)
date du record
−15,1
07.01.1985
−10,2
10.02.1986
−10,7
02.03.05
−2
05.04.1975
0
01.05.1976
3,9
04.06.1984
6,4
17.07.00
5
30.08.1986
2,3
30.09.1995
−3,3
31.10.1997
−9
23.11.1998
−12,3
30.12.1976
−15,1
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
20,3
10.01.15
22
24.02.20
27,1
25.03.1994
30,4
23.04.07
34,9
24.05.09
39,8
29.06.19
40,4
24.07.19
40,7
05.08.03
34,5
04.09.05
30
01.10.11
23,2
09.11.1984
20,6
18.12.1989
40,7
2003
Précipitations (mm) 63,5 41,6 48,4 75,9 82,8 56,1 56,3 68,8 108,7 131,9 123,8 59,2 917
Source : « Fiche 26165001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Livron-sur-Drôme est une commune urbaine (car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Elle appartient à l'unité urbaine de Livron-sur-Drome, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 16 335 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,8 %), cultures permanentes (24,1 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (8,5 %), forêts (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le village s'est d'abord développé sur le flanc ouest de la colline la plus proche du Rhône puis s'est étendu largement dans la plaine[réf. nécessaire].

Quartiers et lieux-dits, hameaux[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Baraca
  • Bau de Siaille
  • Beautard
  • Bec
  • Bellevue
  • Bois du Four (lieu-dit)
  • Boissonnier
  • Bompard
  • Boyron
  • Brézem
  • Bridenfer
  • Briffaut
  • Bruchet
  • Brunet
  • Campane
  • Cercol
  • Chamialoux
  • Champagnac
  • Champy
  • Château de Bompard
  • Château la Rolière
  • Chevalier
  • Cleyssac
  • Combier (ouest)
  • Combier (est)
  • Coulaudes
  • Courthiol
  • Courtille
  • Crozat
  • Daujol
  • Derbières
  • Dinetard
  • Domazane
  • Ferme Gourdon
  • Ferme Peyronni
  • Fiancey
  • Fontgrand
  • Gallet
  • Gary
  • Gensel
  • Gravette
  • Gresse
  • Grivelette
  • Haut Livron
  • Jeton
  • Île Tintebet (lieu-dit)
  • la Baraquette
  • la Bergerenderie
  • la Brune
  • la Carrée (nord)
  • la Carrée (sud)
  • la Carrière (lieu-dit)
  • la Croix
  • la Cure
  • la Fauchetière
  • la Francette
  • la Givardière
  • la Grande Grange
  • la Guerre
  • la Lauze
  • la Massette
  • Landon
  • la Picarde
  • la Pierre
  • la Rigaude
  • la Tour
  • Laville
  • le Cognet
  • le Jas
  • Lenay
  • le Pavillon (lieu-dit)
  • le Petit Cercol
  • l'Ermitage
  • les Bruyères
  • les Buis
  • les Caires
  • les Cigales
  • les Combiers
  • les Dauphinelles
  • les Davids (ouest)
  • les Davids (est)
  • les Églantines
  • le Serre
  • les Fonds
  • les Fontaines
  • le Signol
  • les Iris
  • les Julliens
  • les Lilas
  • les Massons
  • les Niodes
  • les Pelonnes
  • les Petits Robins
  • les Peupliers
  • les Ramières
  • les Renoncées
  • les Roberts
  • les Roussons
  • les Tourettes
  • les Tuileries
  • l'Évangile
  • les Veilles
  • Loche
  • Maison Alibert
  • Maison Balayen
  • Maison Bérard
  • Maison Blanc
  • Maison Boucher (nord-ouest)
  • Maison Boucher (sud-est)
  • Maison Court
  • Maison Duglou
  • Maison Fourquet
  • Maison Gonnet
  • Maison Jaillon
  • Maison Lubeau
  • Maison Maître
  • Maison Robert
  • Maison Roussillon
  • Maison Tinlan
  • Maison Verchère
  • Manute
  • Marnas
  • Martinet
  • Michon
  • Miraillet
  • Montgros
  • Ozon
  • Perrier
  • Peyrère
  • Pierre Blanche
  • Piquet
  • Pommet
  • Pommier
  • Ponsere
  • Puits Neuf
  • Reys
  • Rif de Vert
  • Rue de la Gare
  • Sacoulis
  • Saint-Antoine
  • Saint-Blaise
  • Sainte-Lauze
  • Saint-Genys
  • Saint-Pierre
  • Saunier
  • Sauvage
  • Savy
  • Souchon
  • Tour du Diable (lieu-dit)
  • Tournier
  • Vigneronde

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est principalement desservie par la Nationale 7.

Le péage le plus proche de l'autoroute A7 est sur la commune de Loriol-sur-Drôme[16].

La gare la plus proche est celle de Livron (TER Auvergne-Rhône-Alpes), à un peu plus d'un kilomètre du centre-ville.

Les transports en commun sont assurés par les Cars Région Express.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La commune est située dans une zone de sismicité modérée, dernier séisme datant de 2019[17],[18].

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est dénommée Liéuroun en provençal[19].

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[20] :

  • 1113 : Livron (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 281).
  • 1157 : castrum Liberonis (Gall. christ., XVI, 104).
  • 1189 : de Liurone (Hist. du Languedoc, V, 535).
  • 1233 : Livro (cartulaire de Léoncel, 112).
  • 1291 : Liberonem (cartulaire de Montélimar, 33).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Liberone (pouillé de Valence).
  • XIVe siècle : mention de l'archiprêtré de Livron : archypresbiteratus de Liberone (pouillé de Valence).
  • 1512 : Lyvron (archives de la Drôme, E 3568).
  • 1540 : mention de la paroisse : ecclesia Liberonis (rôle de décimes).
  • 1540 : mention de l'archiprêtré de Livron : archipresbyteratus Liberonis (rôle de décimes).
  • 1650 : mention de l'église Saint-Prix : esglise de Saint-Prisq de Livron (inventaire de Saint-Apollinaire, 807).
  • 1891 : Livron, commune du canton de Loriol.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est occupé à l'âge du bronze final et à l'âge du Fer[21]. Plusieurs villa romaines sont également attestées[22].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie : sur le plan féodal, l'évêque de Valence était le seigneur temporel de Livron. Ses droits furent confirmés en 1157 par les empereurs germaniques. Il confirma en 1429 les franchises municipales de la commune[20].

Place importante lors des guerres de Religion[23]. Lors du siège du château et du bourg en 1574-1575, du haut des remparts, les vieilles fileuses protestantes insultaient, en paroles et en gestes, les troupes catholiques[24].

Démographie :

  • 1688 : 240 familles[20] ;
  • 1789 : 507 chefs de famille[20].

Avant 1790, Livron était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence. Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Prix, était desservie au XVe siècle par un collège de quatorze prêtres, non compris le curé, et dont les dîmes appartenaient à l'évêque de Valence. Ce prélat, dont les droits sur cette terre furent confirmés en 1157 par les empereurs germaniques, et qui confirma en 1429 les franchises municipales de la commune, était également seigneur temporel de Livron. Il venait d'en vendre une partie aux Cartier de la Sablière, quand la Révolution éclata[20].

Division du diocèse de Valence, l'archiprêtré de Livron comprenait, avec la commune de son nom et celle d'Ambonil, une partie des cantons de Chabeuil, de Crest-Nord et de Valence (voir l'introduction)[20].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

Pont sur la Drôme au XIXe siècle, par Alexandre Debelle (1805-1897).

En 1790, la commune de Livron fait partie du canton de Loriol[20].

La révolution de février 1848 est favorablement accueillie à Livron. Un arbre de la liberté est planté en célébration de la Deuxième République. Quatre ans plus tard, le régime, étant devenu réactionnaire, le préfet Ferlay demande leur arrachage (décret du ). La municipalité ne s'exécute pas immédiatement, ce qui lui vaut un rappel le [25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29.

À l'issue de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé de huit adjoints et de vingt conseillers municipaux[26].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Sources :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1790 Jean Lacroix    
1790 1791 Jean-Joseph Seauve    
1791 1795 Jean-Louis Romieux    
1795 1795 Jean-Pierre Sabatier    
1795 1800 Besson de Mirmande   Agent municipal
1800 1808 Humbert Cartier de la Fauchetière    
1808 1815 Jean-Jacques de Sinard    
1815 1831 Jean-Antoine Agrel    
1832 1840 Joseph Bernard    
1841 1853 Jean-Antoine Agrel    
1853 1855 Joseph de Monicault    
1855 1857 Paul Bernard    
1857 1865 Jean Denis    
1865 1868 Thomas Morin-Latour    
1868 1871 Antoine Combier    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1882 Antoine Combier   maire sortant
1871 1874 Antoine Combier    
1874 1878 Antoine Combier    
1878 1882 Antoine Combier    
1882
(élection ?)
1884 Auguste Mazade    
1884 1888 Auguste Mazade   maire sortant
1888 1892 Henri Sibourg   pharmacien
conseiller d'arrondissement du canton de Loriol-sur-Drôme (1886-1901)
1892 1893 Henri Sibourg   maire sortant
1893
(élection ?)
1896 Joseph Combier    
1896 1900 Joseph Combier   maire sortant
1900 1904 Joseph Combier   maire sortant
1904 1908 Joseph Combier   maire sortant
1908 1912 Léon Aubin    
1912 1913 J.P. Boissonnat    
1913
(élection ?)
1919 Paul Trapier    
1919 1925 Gustave Lamotte    
1925 1929 Alfred Favot Radical conseiller d'arrondissement du canton de Loriol-sur-Drôme (1925-1940)
1929 1935 Alfred Favot   maire sortant
1935 1942 Alfred Favot   maire sortant
1942
(élection ?)
1945 Antoine Chabert    
1945 1947 ?    
1947 1953 Daniel Bouix    
1953 1959 Daniel Bouix   maire sortant
1959 1965 Daniel Bouix   maire sortant
1965 1971 Daniel Bouix   maire sortant
1971 1977 Lucien Ravit    
1977 1983 Lucien Ravit   maire sortant
1983 1989 Jean Despert    
1989 1989 Claude Bon    
1989
(élection ?)
1995 Dominique Querré PS conseiller général du canton de Loriol-sur-Drôme (1994-2001)
1995 2001 Dominique Querré   maire sortant
2001 2008 Daniel Morcel-Paquien PS  
2008 2014 Daniel Jarjat PS  
2014 2020 Olivier Bernard UDI  
2020 En cours
(au 17 avril 2021)
Francis Fayard[28][source insuffisante] DVC  

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes du Val de Drôme.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 15 000 équivalent-habitants[29].

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 9 298 habitants[Note 4], en augmentation de 4,35 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2342 2892 3522 6233 2753 4573 7304 0344 022
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 7994 0394 0584 2654 3864 2584 2614 0704 241
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 3204 3243 9053 8344 0994 1104 0024 2854 491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5 2885 6165 6746 8227 2947 7598 6088 7038 972
2015 2020 2021 - - - - - -
8 9109 2549 298------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Avec près de 10 000 habitants, Livron-sur-Drôme est la 8e commune la plus peuplée du département de la Drôme et la 1128e en France[réf. nécessaire].

L'aire urbaine de Livron-sur-Drôme est centrée sur la ville du même nom. D'après l'Insee, cette aire urbaine est composée de quatre communes du département de la Drôme : Livron, Loriol, Saulce et Cliousclat. Ses 15 711 habitants font d'elle la 302e aire urbaine de France[réf. nécessaire].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous détaille la répartition de la population dans l'aire urbaine (les pourcentages s'entendent en proportion du département) :

Département Communes Communes (%) Superficie (km²) Superficie (%) Population (1999) Population (%)
Drôme 4 1,1 96,26 1,5 15 711 3,6

Voici la liste des communes de l'aire urbaine de Livron-sur-Drôme.

Code INSEE Commune Type Département Superficie
(km²)
Population
(1999)
Densité
(hab./km²)
26097 Cliousclat Pôle urbain Drôme +0009,65 +00 000641, +00066,42
26165 Livron-sur-Drôme Pôle urbain Drôme +0039,52 +0 0007 759, +00196,33
26166 Loriol-sur-Drôme Pôle urbain Drôme +0028,66 +0 0005 698, +00198,81
26337 Saulce-sur-Rhône Pôle urbain Drôme +0018,43 +0 0001 613, +00087,52
Total +0096,26 +00015 711, +00163,21

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Listes des écoles publiques[34] :

  • école maternelle Paul Éluard,
  • école maternelle Frédéric Mistral,
  • école élémentaire Alphonse Daudet,
  • école élémentaire Marcel Pagnol,
  • école primaire des Petits Robins,
  • école primaire de Saint Genys.

Liste des écoles privées :

  • école primaire Anne Cartier,
  • collège Anne Cartier.

Liste des établissements de formation :

  • CFA Batipole,
  • CFA Lucien Ravit.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[35] :

  • médecins,
  • pharmacies,
  • hôpitaux à Livron-sur-Drôme et à La Voulte-sur-Rhône.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : quatrième dimanche de juillet[36].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Livron possède de nombreux clubs sportifs[réf. nécessaire] :

  • badminton : Bad'Team Livron ;
  • football : JS Livron (Jeunesse Sportive Livronnaise) ;
  • handball : Livron Handball (en , l'équipe première féminine a remporté la coupe de France régionale de handball) ;
  • judo-Jujitsu : Judo Club du canton de Loriol ;
  • karaté ;
  • tennis : Tennis Club de Livron.

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Le tissu économique est essentiellement constitué de TPE et de PME. 680 entreprises (tous statuts sociaux confondus) sont recensées en 2009 sur la commune dont 274 entreprises issues du commerce, des services et de l'industrie qui emploient 1 300 salariés, dont 242 sièges sociaux et 32 établissements secondaires (Source aef)[réf. nécessaire].

Industrie[modifier | modifier le code]

Livron est notamment le siège de la société Haupt Pharma (fabrication de génériques, suppositoires, ampoules), depuis 1996, env. 200 p., CA 27 M€ (2021)[38].

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône), vergers (coopérative fruitière à forme commerciale), céréales[36] :

  • Foires : les mardi de janvier-février, après Pâques et à la Pentecôte, en juillet, août et octobre[36].
  • Marché : le mardi[36].

et : le jeudi

  • Légumes, melons, tubercules.
  • Élevages de volailles, lapins, autruches[39].

Commerce[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château du Haut-Livron tel que l'on peut le voir depuis la rue.
Le domaine de La Rolière vu depuis la route.
autres
  • La Tour du Diable : tour d'angle de l'enceinte fortifiée du haut de la colline détruite en 1623[réf. nécessaire].
  • Restes d'une enceinte urbaine du Haut Livron avec une tour ronde[réf. nécessaire].
  • Ancienne église (place de l'ancienne église au Haut Livron): Après les troubles des guerres de religion. À partir de 1632 vient le temps de la reconquête catholique sur le village très protestant de Livron. Les catholiques récupèrent d’abord le temple pour en faire leur église. La vieille église a été agrandie de 1860 à 1865 en établissant des tribunes latérales supportées par des colonnes. Abandonnée en 1935 pour être remplacée par l’église du bas : elle est démolie en 1966. Le portail datant de 1775 a été conservé[réf. nécessaire].
  • Vieux village avec ruelles, belles façades, portes Renaissance[réf. nécessaire].
  • Château du Haut-Livron (propriété privée) : bâti au bord des remparts, il est d'origine Renaissance mais a été remanié au XIXe siècle. La demeure a appartenu au XVIIIe siècle à la famille d'Yze de Rozans qui l'a vendu en 1795 à Jacques Vivant Cartier de la Sablière, dernier châtelain de Livron de 1781 à 1789. Sa fille, Adèle Cartier a épousé en 1804 le comte de Sinard, maire de Livron de 1808 à 1815, et ont habité ensemble le château. On peut admirer de la rue la tour carrée et la tour ronde en poivrière, qui n'ont toutes deux jamais eu de rôle défensif. Le château est inscrit partiellement (les quatre pièces décorées de peintures murales au rez-de-chaussée) aux monuments historiques depuis le [réf. nécessaire].
  • Fenêtre à meneaux Renaissance au nord de l’ancienne église. Ancienne maison des Odde De Bonniot et des Cartier[réf. nécessaire].
  • La porte cloutée, derrière cette porte renaissance du début du XVIe la demeure d’un ancien châtelain de Livron Odde De Bonniot. La porte est ornée de clous décoratifs. Au Moyen Âge, les portes cloutées sont des éléments défensifs, en effet, elles résistent plus longtemps à une attaque et gène les éventuels coups de haches. Au-dessus de cette porte, il y a un fronton brisé rajouté par la suite. Porche de la porte, il y a un four à pain en étage qui dépasse dans la rue. Si certaines maisons témoignent de la richesse d’une partie de la population, ce n’est pas le cas de l’ensemble des Livronnais[réf. nécessaire].
  • Château de Fontgrand : maison forte du XVIe siècle dont l'appellation de château est due à sa grosse tour ronde[réf. nécessaire].
  • La Givardière : maison forte[réf. nécessaire].
  • Maison consulaire, équivalent de la mairie actuelle, se trouve en contrebas du cimetière jusqu’à la période révolutionnaire. Cette maison consulaire sera utilisée jusqu’en 1780 puis sera transféré à la maison Clayssac[réf. nécessaire].
  • Maison Clayssac, équivalent de la mairie actuelle de 1784 à 1931, se trouve dans la grande rue (rue Jean Boyer), elle est accolée au Beffroi[réf. nécessaire].
  • La placette, enseigne du maréchal-ferrant de 1762, entrée de son atelier montre que les rues étaient commerçantes. À cette époque, une grande partie de la population ne savait pas lire, chaque artisan avait sur sa boutique une enseigne spécifique par rapport à son activité[réf. nécessaire].
  • Le Brézème : Au XVIIIe siècle, c’est l’industrie de la soie qui permet à Livron de prospérer. Des filatures, des moulinages, des tissages et l’élevage de ver à soie créent de nombreux emplois. D’imposants bâtiments sont construits dans ce but dans la plaine. Ces usines se servent de la force motrice de l’eau et de l’utilisation d’un réseau de canaux qui sillonnent le secteur. En 1756, les frères Dessoudeys établissent au Brézème, un important moulinage : 4 roues hydrauliques pour 12 moulins, l’entreprise emploie une centaine d’ouvriers. De nombreux moulins se construisent le long des canaux. En 1843, il y a à Livron : 5 moulinages, 3 filatures, 4 taillanderies, 1 scierie à marbre, 1 four à puddler, 2 scieries à bois, 2 tanneries, plusieurs tuileries et briqueteries. Aujourd’hui, ces industries, notamment filature et moulinage utilisant l’eau ont fermé (concurrence soie asiatique, maladie et ouverture du canal de Suez)[réf. nécessaire].
  • Pont du XVIIIe siècle qui enjambe la Drôme.
En 1767, un pont en pierres est construit sous ordre du roi. Il y a un véritable développement du trafic routier et plus d’arrêt dans le village. Jusqu’en 1780, il y a moins de vingt maisons le long de la Grande Route, la présence du pont développe le pied de la colline avec des relais, des commerçants, artisans aubergistes, des maréchaux-ferrants et des charrons qui s’installent le long de la route. Cela fabrique le début de village de ce qu’on appelle « le Bas », le bourg ancien devient « le Haut ». Avec le pont en pierres de Livron-Loriol, Livron va se retrouver au cœur d’un carrefour de voies de circulation dans la fin des années 1800. Avant cela, les voyageurs devaient passer à gué ou par un système de bacs qui nécessitaient de longs temps d'attente et se rendaient généralement dans les commerces du vieux village ou devaient faire le tour par le pont sur le village de Crest. Grâce à ce pont, la population augmente et la ville, réorganisée, attire de nouvelles personnes pour y vivre en lien avec l'industrie du tissage, essentiellement venues d’Ardèche. Les commerces du vieux Livron sont peu à peu désertés et la ville commence son implantation dans la plaine avec de nouveaux commerces s'installant proches du pont. Livron est sur la grande route (RN7) reliant Paris à Marseille. Une route longeant la rivière Drôme jusqu’à Allex et Crest est établie, et une autre route jusqu’à l’Ardèche avec la construction des deux ponts de La Voulte en 1891/92. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des résistants font sauter une arche du pont, coupant la retraite des Allemands. Le pont sera renommé : pont du Commando-Henri-Faure en mémoire de cette nuit du 16 au [réf. nécessaire].
  • Télégraphe Chappe / chapelle de la vierge Marie au sommet de la colline : l’apparition du télégraphe aérien change la vitesse de communication des informations. Cet appareil créé par Claude Chappe en 1794 va être utilisé pour couvrir le territoire Français. Des symboles codés sont faits en haut d’une tour et permettent de transmettre un message au début des années 1800. Une ligne télégraphique reliant Paris à Toulon passe par Livron. Un poste de télégraphe « Chappe » y est construit. Cela permet de communiquer dans de brefs délais des nouvelles sur de grandes distances alors que les déplacements se font encore à cheval. Malheureusement, ces messages ne peuvent pas être transmis la nuit ou par mauvais temps et nécessitent beaucoup d’opérateurs (2 tours tous les 15 km). En 1855, le télégraphe aérien est abandonné mais d’autres technologies bouleversent le paysage Livronnais. La tour de l’ancien télégraphe sera convertie en une chapelle dédiée à la vierge Marie dès 1946, les Livronnais voulaient remercier la vierge de les avoir protégés durant les combats de la guerre 1939-1945[réf. nécessaire].
Gare de Livron.
  • Gare de Livron : axe de communication moderne, le chemin de fer développe l’attractivité de la ville. Le chemin de fer relie Lyon à Marseille dans les années 1850. C’est une révolution pour le transport des marchandises et des hommes. Les premiers trains fonctionnent grâce à des locomotives à vapeur. On met du charbon dans un four pour chauffer de l’eau qui entraîne des turbines et transforme cette énergie en mouvements[réf. nécessaire].
La ligne Lyon-Avignon passe par Livron en 1856, une autre reliant Drôme et Ardèche passe en 1861, enfin Livron relie par le train les villes de la vallée de la Drôme à partir de 1870. La gare de Livron s’adapte à ce tracé et s’établit loin du village dans la plaine. De nos jours encore, Livron est l'importante bifurcation entre la ligne Lyon-Marseille d'une part et la ligne vers Briançon d'autre part.
Un quartier, le quartier de la gare va alors se développer. Des bâtiments pour l’accueil des voyageurs sont créés (hôtel, relais). On peut noter l’évolution de la gare avec bâtiments postaux, buffet pour les voyageurs, zone d’attente séparant les différentes classes. Des axes de communications relient la gare au village et aux usines pour acheminer hommes et marchandises[réf. nécessaire].
  • Gare du pont (habitation privée) : à l'origine lorsque le chemin de fer s'établit aux alentours de Livron et que la gare fut construite, elle était très éloignée du village qui se trouvait essentiellement sur les collines, les rares habitations en plaine se trouvaient (en dehors des hameaux) à l'entrée Nord et à l'entrée Sud du village, proche du pont. Une petite gare, la gare du pont permettait de relier les Livronnais et les voyageurs à la gare de Livron, isolée dans la plaine à plusieurs kilomètres du village.
La gare du pont permettait la liaison avec la vallée de la Drôme. Ardouin-Dumazet écrit en 1890 : « La ville moderne de Livron, ou ville basse, s’ouvre sur le pont enjambant la Drôme, près d’une halte du chemin de fer de Die. C’est une grande et large rue, bordée de maisons cossues [...]. Sur le rocher à pic est la vieille ville [...] c’est un assez pénible séjour malgré la splendeur du panorama. Aussi les habitants descendent-ils un à un dans la ville basse où sont les moulinages de soie [...], où les canaux dérivés de la Drôme ont fait de la plaine caillouteuse une merveille de fraîcheur et de richesse agricole. Entre la ville et le chemin de fer, les champs sont superbes. La gare principale est assez loin de la ville, mais elle est importante ; là se détachent les lignes de Privas et de Briançon. C’est à ce nœud de voies ferrées que Livron, simple commune, doit d’avoir dépassé en population son chef-lieu de canton, la ville voisine de Loriol »[réf. nécessaire].
  • Monument aux morts. Conflits commémorés : Guerre 1914-1918[43].
  • Le lavoir est un bassin alimenté en eau naturelle qui a pour but de rincer le linge après l'avoir lavé. Il est le plus souvent public, gratuit ou payant selon les communes. Les lavandières s'y rende le plus souvent pour rincer le linge (et non pour le laver). Le passage au lavoir est en effet la dernière étape avant le séchage. Comme le lavage ne consommait que quelques seaux d'eau, il pouvait avoir lieu dans les habitations mais le rinçage nécessitait de grandes quantités d'eau claire[réf. nécessaire].
  • Bains/douches ou douches municipales, elles constituent un service public d’hygiène des villes pour les personnes qui n’ont pas l'eau courante (eau du robinet). Avant l’eau courante dans les maisons, Il fallait chercher l’eau au puits ou aux fontaines publiques. Les toilettes se trouvaient à l’extérieur des maisons. En ce qui concerne l’hygiène, il fallait faire chauffer beaucoup d’eau pour remplir des baignoires de particuliers, les bains n’étaient pas si fréquents qu’aujourd’hui. Dans la plupart des villes, des établissements publics et payants de bains/douches sont alors proposés aux habitants à la fin des années 1800. Elles se généralisent dans les années 1920-1930, sont modernisées dans les années 1950 et vont fermer dans les années 1980[réf. nécessaire].
  • Proche des bains douches, une nouvelle école apparaît dans les années 1930 : groupe scolaire Marcel Pagnol (séparation en plusieurs cours : école de garçons et école de filles)[réf. nécessaire].
  • Moulins électriques : Les moulins sont installés à proximité des canaux de Livron. Le courant de l’eau fait tourner les roues du moulin. La roue transforme la force de l’eau en énergie motrice ou électrique. Le développement d’autres moyens de fabriquer l’énergie rendent les moulins peu à peu inutiles[réf. nécessaire].
  • La vie : sculpture monumentale de Jean-Paul Ravit représentant trois alpinistes s'entre-aidant pour gravir un obstacle[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Armoiries de Livron-sur-Drôme

Les armoiries de Livron-sur-Drôme se blasonnent ainsi[44] :
« D'argent au verrou de sable percé du champ. »

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • 1978 : Jean-Pierre Bernard, Livron, place forte protestante (1562-1633), première partie dans la revue d’études drômoise, v. 4-1978, Association universitaire d’étude drômoise, Valence, 1978, p. 3-13.[lire en ligne (page consultée le 26 novembre 2023)]
  • 1979 : Jean-Pierre Bernard, Livron, place forte protestante (1562-1633), seconde partie, dans la revue d’études drômoise, v. 1-1979, Association universitaire d’étude drômoise, Valence, 1979, p. 4-13. [lire en ligne (page consultée le 26 novembre 2023)]
  • 1979 : Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, 1979[45].
  • 1991 : Lucien Delay, Livron sur Drôme - Hier et aujourd'hui, les presses de l'imprimerie du Crestois, 1991.
  • 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Livron » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Livron » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Livron-sur-Drome », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Lieux et itinéraires.
  17. Didacticiel de la règlementation parasismique.
  18. Carte du risque sismique dans la Drôme.
  19. Lou Tresor dóu Felibrige / Le Trésor du Félibrige, F. Mistral, t2 p214, édition CPM 1979
  20. a b c d e f et g J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 197 (Livron).
  21. Arthur Tramon, « Livron-sur-Drôme – RN 7, l’occupation protohistorique de la Lauze », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia,‎ (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le )
  22. CAG 26 – Drôme, avec J. Planchon, M. Bois, P. Conjard-Réthoré, 2010, 73 p, 1073 ill.
  23. Jean-Pierre Bernard, Livron, place forte protestante (1562-1633), première partie dans la revue d’études drômoise, v. 4-1978, Association universitaire d’étude drômoise, Valence, 1978, p. 3-13.[lire en ligne (page consultée le 26 novembre 2023)] ; Jean-Pierre Bernard, Livron, place forte protestante (1562-1633), seconde partie, dans la revue d’études drômoise, v. 1-1979, Association universitaire d’étude drômoise, Valence, 1979, p. 4-13. [lire en ligne (page consultée le 26 novembre 2023)]
  24. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 162.
  25. F. Monteiller « Enquêtes sur les arbres remarquables de la Drôme », Études drômoises, (no)69, décembre 1986, p. 45.
  26. « Vos élus », sur livron-sur-drome.fr (consulté le ).
  27. Les maires de Livron de 1790 à 2014.
  28. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  29. Description de la station LIVRON chef-lieu.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Établissements d'enseignements
  35. Professionnels et établissements de santé.
  36. a b c d e f g h i j k l et m Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Livron-sur-Drôme.
  37. Paroisse Saint Paul du Rhône.
  38. https://www.xerfi.com/etudes-par-entreprise/HAUPT-PHARMA-LIVRON_407710268
  39. Élevage d'autruches.
  40. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
  41. Fédération nationale des bistrots de pays.
  42. a et b Quentin Rochet, « Livron-sur-Drôme, "Collégiale Saint-Prix" » (Rapport de recherche), sur HAL (archive ouverte), Archeodunum, (consulté le )
  43. Monument aux morts.
  44. L'armorial des villes et villages de France
  45. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, , 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3), Livron-sur-Drôme, page 685..