Les Alluets-le-Roi

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Les Alluets-le-Roi
Les Alluets-le-Roi
L'hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Véronique Houllier
2020-2026
Code postal 78580
Code commune 78010
Démographie
Gentilé Habitants des Alluets-le-Roi
Population
municipale
1 273 hab. (2021 en augmentation de 3,92 % par rapport à 2015)
Densité 172 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 50″ nord, 1° 55′ 11″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 187 m
Superficie 7,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Seine
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Liens
Site web les-alluets-le-roi.fr

Les Alluets-le-Roi [le.z‿alɥɛ lə ʁwa] Écouter est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés simplement les habitants des Alluets-le-Roi.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position des Alluets-le-Roi dans les Yvelines.

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune des Alluets-le-Roi se trouve dans la plaine de Versailles, dans la partie nord des Yvelines, à environ 15 kilomètres à l'ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et 24 kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Il n'existe aucun réseau hydrographique de surface[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Les Alluets-le-Roi
Bazemont Ecquevilly Morainvilliers
Les Alluets-le-Roi Orgeval
Herbeville Crespières

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est bordée au nord et à l'ouest par la forêt dite des Alluets.

Le village, situé sur un plateau, culmine à 187 m, point le plus haut dans les Yvelines. En raison de cette position élevée, le clocher du village fut utilisé comme point de repère par Cassini pour établir, au XVIIIe siècle, ses célèbres cartes (dites de Cassini).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Axes de communication[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 45 (Orgeval - Maule) et la route départementale 198 qui mène à Crespières, vers le sud, commence dans le village.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

Les stations SNCF les plus proches sont les gares de Maule et de Mareil-sur-Mauldre vers Paris Montparnasse. Les gares de Villennes, Poissy et Saint-Nom-la-Bretèche permettent de se rendre à la Défense et la (gare Saint-Lazare).

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 14 et 41 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records MAULE (78) - alt : 54m, lat : 48°54'33"N, lon : 1°50'50"E
Records établis sur la période du 01-01-1967 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,3 3,1 4,9 8,5 11,6 13,4 13,1 10,1 7,7 4,4 2,1 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,1 8 10,8 14,4 17,7 19,8 19,5 16,1 12,2 7,8 5,1 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,9 12,9 16,7 20,4 23,7 26,2 26 22 16,8 11,3 8 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−17,2
17.01.1985
−14,5
07.02.12
−12
13.03.13
−5,4
06.04.21
−2
03.05.1967
0,5
05.06.1991
5
11.07.1990
3,5
28.08.1974
0
30.09.18
−5,2
30.10.1985
−10
24.11.1998
−15
31.12.1970
−17,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
01.01.22
21
27.02.19
27
31.03.21
30
21.04.18
33
27.05.05
38
27.06.11
43
25.07.19
41
10.08.03
37,5
03.09.1973
30,5
01.10.11
22,5
01.11.14
17
07.12.00
43
2019
Précipitations (mm) 57,3 49,6 50,9 46,5 65,4 56 53 52,8 46 65,3 61,3 72,9 677
Source : « Fiche 78380001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Alluets-le-Roi est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 85,5 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,6 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,9 % d'espaces construits artificialisés[13].

Le territoire de la commune est essentiellement rural, l'espace urbain construit représentant 11,9 % du total, soit environ 89 hectares.

L'espace rural est principalement consacré à l'agriculture (grande culture céréalière). Les espaces boisés (99 ha) se trouvent principalement aux lisières nord et sud de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Alluars, Allodia en 1197[14], Molerias de Allodiis au XIIIe siècle, Allodia Regis (Les Alluets le Roy) dans un acte du [15], Les Alleux-le-Roy en 1493[16]. La forme française actuelle Les Alluets-le-Roi apparaît en 1579.

Le nom « Alluets » dérive du mot « alleux » (du latin allodia) qui désignait, en ancien français, des terres exclues du système féodal. Dépourvues de tout seigneur, quoique sous la souveraineté du roi de France, elles appartenaient pleinement à leurs propriétaires et ne donnaient lieu à aucune redevance. Dans la charte de franchise accordée en 1174 par le roi de France Louis VII le Jeune qui confirme le caractère alleutier du territoire, par cette charte les habitants sont exemptés de tôt et de tailles, ainsi que de service militaire[15]. Et, privilège très important, ils pourront exercer seuls la basse et moyenne justice, la haute justice restant le privilège du roi. En échange de tous ces avantages, les habitants paieront au roi et à Gazon de Poissy, seigneur du lieu, le double des revenus qu'ils payaient auparavant.

Le village qui est appelé Molierias de Allodiis (Meulières des Alleuds) au XIIIe siècle, rappelle l'importante exploitation des carrières et surtout des meules à moulin dans cette région[17].

Pendant la Révolution française, le village fut rebaptisé Alluets-la-Montagne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts devant la mairie.

Au début du IXe siècle, une petite communauté de paysans dépendants de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés décrite dans le Polyptyque d'Irminon s'est installée en lisière de la grande forêt des Alluets pour y ouvrir une petite clairière de défrichement. À côté d'une des grandes « coutures » (blocs de terre arable pouvant compter plusieurs dizaines d'hectares) seigneuriales du grand domaine de Maule, ils y occupent quatre manses et deux demi-manses dans un hameau nommé Hostoldi Villa dont le nom est conservé aujourd'hui par le lieu-dit « les E(s)touvilles[18],[19]. Un Simon, chevalier de Hestouvilla est l'auteur d'une donation de 20 sous sur les moulins de Paris à l'abbaye de Porrois (Port-Royal)[20].

Aux prises avec son encombrant vassal le duc de Normandie, Louis VII y fit construire une forteresse (mentionnée dans sa charte). Elle s'inscrivait dans l'ensemble défensif plus vaste qui gardaient les marges occidentales de l'Île-de-France. Rasée durant les âpres combats de la guerre de Cent Ans, peut-être reconstruite par la suite, il en subsistait néanmoins encore assez de restes au début du XVIIIe siècle, pour que la comptabilité des seigneurs de Maule mentionne le château et son enclos à cette époque. Mais si l'emplacement de l'ancien château du XVIIIe siècle est bien identifié, rien ne prouve que la tour mentionnée dans la charte de 1174 se trouvât au même endroit.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Juin 1929 1934 Jacques Lobstein -  
1934 1945 Marcel Damême -  
mai 1945 1947 Albert Samson -  
octobre 1947 1953 Lucien Rousseau -  
mai 1953 1965 André Benoît -  
mars 1965 1994 (décès) Roger Gousseau -  
juin 1995 2008 René Gaillard -  
mars 2008 2014 Daniel Gorbaty -  
mars 2014 2020 Pierre Gautier - Retraité
mai 2020 En cours Véronique Houllier -  

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune des Alluets-le-Roi appartient depuis 2014 au canton de Verneuil-sur-Seine et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise.

Sur le plan judiciaire, Les Alluets-le-Roi font partie de la juridiction d’instance de Saint-Germain-en-Laye et, comme toutes les communes des Yvelines, dépendent du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[21],[22].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune des Allets-le-Roi est membre de la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle adhère cependant à divers syndicats intercommunaux, sans fiscalité propre, dont le périmètre est variable en fonction de leur objet : énergie, adduction d'eau potable, assainissement, transports scolaires, etc. Ce sont les suivants[23] :

  • syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de la région de Feucherolles,
  • syndicat intercommunal de gestion du Ru d'Orgeval,
  • syndicat intercommunal du centre hospitalier intercommunal de Poissy,
  • syndicat intercommunal pour la destruction des ordures ménagères et la production d'énergie (SIDOMPE),
  • syndicat intercommunal à vocation multiple de Maule,
  • syndicat intercommunal d'assainissement de la région d'Orgeval (SARO),
  • syndicat intercommunal d'électricité de la région de Villennes-sur-Seine (SIERVS),
  • syndicat intercommunal à vocation multiple de Saint-Germain-en-Laye, qui gère notamment une fourrière automobile et animale et un centre de secours contre l'incendie,
  • syndicat intercommunal à vocation multiple du Pincerais (ce SIVOM, qui regroupe Les Alluets-le-Roi, Orgeval et Morainvilliers, gère divers services : déchèterie, nettoiement de voirie, transports scolaires),
  • syndicat intercommunal à vocation unique de la Route Royale,
  • syndicat intercommunal à vocation unique des Trois Rivières (organisme chargé de la préparation du SCOT du Val de Gally),
  • syndicat intercommunal pour la réalisation et la gestion d'une structure multi-accueil pour la petite enfance à Orgeval.

La commune adhère également à l'Association patrimoniale de la plaine de Versailles et du plateau des Alluets (APPVA), association selon la loi de 1901, qui regroupe des communes, des agriculteurs et des associations locales, et dont la mission est de « formuler des propositions devant établir un projet de développement durable, commun aux agriculteurs et aux citadins, sur les territoires de la plaine de Versailles et du plateau des Alluets »[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 273 habitants[Note 3], en augmentation de 3,92 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
453425479533541550552520523
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
475441453442448447468470434
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
383395381347393370379319396
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3934836328261 0621 2701 2091 2001 218
2017 2021 - - - - - - -
1 2011 273-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

À partir de l'année 2020, un grand projet de construction de logement est initié dans la commune. Elle connait alors une nette augmentation de sa population[réf. nécessaire].

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 609 hommes pour 598 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,2 
6,3 
75-89 ans
6,8 
19,5 
60-74 ans
20,4 
24,4 
45-59 ans
26,1 
16,1 
30-44 ans
15,6 
14,9 
15-29 ans
13,7 
18,6 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Antenne-relais de radio-télévision sur la route de Maule.
  • Au temps des moulins hydrauliques ou à vent, des puits d'extractions de meules de grès étaient creusés dans le Bois de Beules. Elles étaient taillées au fond de l'excavation et ce depuis le VIe siècle[31].
  • Autrefois, exploitations de pierre meulière.
  • Agriculture, centre équestre, ZAC.
  • Commune résidentielle.
  • Antenne-relais de télévision.
  • Station d'écoute et centre de données de la DGSE[32],[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Nicolas.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifice datant du XIIe siècle, clocher carré, chevet plat, nef de cinq travées en plein cintre à un collatéral ; fonts baptismaux, retable, tabernacle en bois mouluré peint, une statue de la Vierge en pierre du XIVe siècle et une de sainte Barbe du XVe siècle.
En 2020, son clocher fût arrêté et mis en restauration. L’inauguration du clocher restauré eu lieu en 2021.
  • Anciennes fermes de Clairbois, de la Choltière et de Saint-Sylvestre.
  • Cadran solaire sur une façade de la rue Saint-Nicolas.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Les Alluets-le-Roi », p. 659–661
  • Mémoire sur le village des Alluets-le-Roi, Coquebert (Baron de), Société des Antiquaires, tome III, 1821, (archives départementales des Yvelines, Br.2244).
  • Les Alluets-le-Roi, Bertrandy Lacabane, Essais et Notices, Versailles, Cerf et fils, 1880.
  • Un village libre, Eugène Dubois, Société historique de Raincy, Bulletin no 11, , p. 8-14.
  • Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328).
  • Anne-Marie Vercoustre, Marie-Christine Bérard, Anne Davis, Chantal Plana et Claudine Toutin, Les Alluets-le-Roi, une localité royale, Les Alluets-le-Roi, Mairie des Alluets-le-Roi, , 208 p. (ISBN 978-2-9532783-0-9).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les Alluets-le-Roi », sur SIGES - Seine-Normandie (consulté en ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Les Alluets-le-Roi et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
  15. a et b Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 238.
  16. Arch. Nat. S. 1343. (Saint-Martin-des-Champs) no 20.
  17. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 242.
  18. A. D. des Yvelines, Cadastre napoléonien, Les Alluets-le-Roi, plan B1 "les Meuillières de la Cave" : Les Etouvilles.
  19. Konrad Elmshäuser, Andreas Hedwig, Studien zum Polyptychon von Saint-Germain-des-Prés, Köln/Weimar/Wien, Böhlau Verlag, 1993, p. 269.
  20. Adolphe de Dion, Cartulaire de l'abbaye de Port-Royal, tome 1, Paris, 1903, no 12, p. 36-37.
  21. « Tribunal d'instance de Saint-Germain-en-Laye - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  22. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  23. « Les Alluets-le-Roi », sur base Aspic, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  24. « Statuts de l'association patrimoniale de la plaine de Versailles et du plateau des Alluets », APPVA, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Alluets-le-Roi (78010) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  31. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 73
  32. « Yvelines - Les espions veulent un nouveau data center », sur La Gazette en Yvelines, (consulté le ).
  33. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000042152947&dateTexte=&categorieLien=id