Le Mesnil-Esnard

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Le Mesnil-Esnard
Le Mesnil-Esnard
Le tramway au Mesnil-Esnard vers 1905.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Jean-Marc Vennin
2020-2026
Code postal 76240
Code commune 76429
Démographie
Gentilé Mesnillais
Population
municipale
7 980 hab. (2021 en augmentation de 0,39 % par rapport à 2015)
Densité 1 574 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 42″ nord, 1° 08′ 34″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 162 m
Superficie 5,07 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web http://www.le-mesnil-esnard.fr

Le Mesnil-Esnard [lə menil enaʁ] est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le Mesnil Esnard fait partie de l'Agglomération de Rouen et fait également partie du plateau - est de Rouen. Le Mesnil-Esnard est située entre Bonsecours et Franqueville-Saint-Pierre.

Description[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune se trouve le long de la route nationale 14.

Le Mesnil-Esnard ne possède pas de gare ferroviaire. La plus proche est la gare de Rouen-Rive-Droite.

Les lignes de bus 13 et F5 du réseau Astuce permettent de rejoindre le centre-ville de Rouen en un quart d'heure à raison en moyenne d'un passage toutes les 25 minutes pour la ligne 13 et toutes les 12 minutes pour la ligne F5.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Mesnil-Esnard est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[11] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (59,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (59,3 %), terres arables (17,4 %), forêts (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), prairies (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Einardi Mansionali vers 1055[17] ; Maisnilio Enardi en 1205[17]; Meinilium Ernardi vers 1240 ; Mesnillum Enardi en 1337 ; Mesnil-Enarti en 1319 ; [Commune pâture du] Mesnil-Esnard en 1406 ; [Fieu et sgrie du] Mesnil-Enart en 1419 ; Mesnil-Enarti en 1431 ; [Fief du] Mesnil-Esnard en 1456 ; [plein fief du] Mesnil Enard en 1560 ; Mesnil Enard en 1715 ; Menil Esnard en 1757 ; Menil Esnard en 1952[18].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale caractéristique du nord de la France, notamment de Normandie, en Mesnil-, appellatif toponymique issu de l'ancien français maisnil « domaine rural », nom commun tombé en désuétude et qui se poursuit dans l'appellatif Mesnil.

Le second élément -Esnard représente le nom de personne germanique Eginhard / Einhard[17].

À noter que le nom utilisé traditionnellement par la population est Mesnil-Esnard sans l'article défini masculin le[17], bien que l'on note un usage [?] sporadique de l'article du (contraction de de le) dans certaines formes anciennes au XVe siècle et XVIe siècle. L'article Le a été (ré)introduit de manière tardive dans les documents officiels.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant le Xe siècle, un pèlerinage à saint Léonard, établi dans la chapelle primitive, est très fréquenté. Dès le XIe siècle, le village dépend de l'abbaye de Sainte-Catherine. Deux siècles plus tard, la paroisse, qui compte 300 habitants, est desservie par les moines de cette abbaye.

En 1513, le seigneur est Louis du Bosc, contrôleur du grenier à sel de Rouen. Il a alors 29 ans et il est l'époux d'Isabeau de La Perreuse, fille d'un défunt conseiller au Parlement. (Dom Le Noir dépouillé par Bertrand Pâris). Les troupes suisses qui accompagnèrent Henri IV au siège de Rouen en se logèrent au Mesnil-Esnard et un régiment de lansquenets occupa Neuvillette.

En 1719, existe une école de garçons déjà ancienne où l'enseignement est dispensé par le clergé. En 1767, on donne 3 750 livres de rente au couvent d'Ernemont pour l'entretien d'une religieuse qui doit dispenser gratuitement l'enseignement aux jeunes filles du Mesnil-Esnard et de Bonsecours.

La commune fut desservie de 1899 à 1953 par la ligne de Bonsecours de l'ancien tramway de Rouen.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le Mesnil-Esnard faisait partie de la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe qui comptait 71 communes et 494 382 habitants (en 2006). Elle fait actuellement partie de la Métropole Rouen Normandie.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, l'équipe menée par le maire-adjoint sortant Jean-Marc Vennin a remporté la quadrangulaire, avec 34,56 % des suffrages exprimés, suivie par les listes menée respectivement par Fabrice Louvet, avec 26,10 % ; Brigitte Morelli — à la tête d’une liste fusionnée avec Romain Feret, où figurait le maire sortant Norbert Thory — avec 20,83 % des voix et celle de Sonia Bethencourt avec 18,49 %. L'abstention s'est élevée à 61,29 %[19]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1795 Pierre CAUCHOIS    
1795 1803 Nicolas JUMELIN    
1803 1805 Jacques LE BOULLENGER    
1805 1806 François ROGER    
1806 1808 Pierre CAUCHOIS    
1808 1814 Arthur DELACROIX    
1814 1819 Jean-Baptiste DUGRIPON    
1819 1821 Jean-Jacques CHATEL    
1821 1831 Augustin D'HOUPPEVILLE DE NEUVILLETTE    
1831 1831 Bienvenu PINEL    
1831 1842 Jean-Pierre PETIT-LEGENTIL    
1842 1848 Georges DE DESSUSLAMARE    
1848 1850 Jean-Baptiste BERTIN    
1850 1871 Narcisse JULLIEN    
1871 1892 Jean-Martin MILMAQUE    
1892 1894 Jules BOCQUET    
1894 1910 Émile LECOEUR    
1910 1911 Victor GARNIER    
1911 1912 Napoléon BLONDEL    
mai 1912 1913 Victor GARNIER    
1913 1917 Augustin PARADIS    
1917 1921 Raymond SAAS    
1921 1925 Charles DE MEILLIERS    
1925 1944 Gabriel DAVID    
1944 1945 Paul PESQUET    
1945 1947 Gabriel DAVID    
octobre 1947 mars 1971 Maxime MAGNIAUX DVD  
mars 1971 mars 1989 Pierre DAILLY    
mars 1989 1998 Bernard GRASSIN-DELYLE UDF Conseiller général de Boos (1982-1998)
1998 mars 2008 Jean HAREL DVD  
mars 2008 2014 Serge CRAMOISAN PR  
2014 juillet 2020 Norbert THORY DVD  
juillet 2020[20],[21] En cours
(au 10 août 2020)
Jean-Marc Vennin SE  

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 7 980 habitants[Note 3], en augmentation de 0,39 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1861 1876 1881 1886
1 0099409621 0871 1221 3421 2251 2911 417
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
1 4061 4821 5031 5291 4821 5401 5401 6191 701
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004
2 2032 3322 5772 7263 8855 0766 0926 4866 388
2006 2009 2014 2019 2021 - - - -
6 6236 8537 9177 8867 980----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les écoles maternelles[Quand ?] :

  • École publique Jean-de-La Fontaine
  • École privée Notre-Dame-de-Nazareth
  • École privée La Providence

Les écoles primaires[Quand ?] :

  • École publique Édouard-Herriot
  • École privée Notre-Dame-de-Nazareth
  • École privée La Providence

Les collèges[Quand ?] :

  • Collège public Hector-Malot
  • Collège privé La Providence

Les lycées[Quand ?] :

  • Lycée public Galilée à Franqueville-Saint-Pierre
  • Lycée privé La Providence
  • Lycée technique privé La Châtaigneraie

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Les Mardis culturels (reportage - débat)
  • Les Vendredis musicaux
  • Festival de théâtre
  • Soirées contes
  • Tournoi de scrabble (septembre)
  • Salon des antiquités
  • Thé dansant
  • Fête de la musique
  • Feu de la Saint-Jean
  • Salon de l'artisanat
  • Carnaval
  • Forum des associations (septembre)
  • Le Mesnil Roller (septembre)

Sports[modifier | modifier le code]

Il existe un complexe sportif nommé stade Stanislas-Bilyk du nom d'un ancien président de l'ASME Football décédé au cours de ses fonctions. Ce stade accueille plusieurs terrains de football où joue l'USMEF, une salle de basket, quatre courts de tennis, plusieurs terrains de pétanque, une salle destinée à la pratique du tennis de table ainsi que deux salles de réunion.

Les associations sportives : A.C.S.B.D. (Association Culturelle et Sportive Bernard Denesle), B.C.M.E.F (Basket Club du Mesnil-Esnard Franqueville Saint-Pierre), M.E.P.E.L (Mesnil-Esnard Pétanque et Loisirs), R.C.P.E (Rugby Club du Plateau Est), T.C.M.E (Tennis Club du Mesnil-Esnard, M.E.T.T (Mesnil-Esnard Tennis de Table).

L'USMEF (Union Sportive Mesnil Esnard Franqueville) est le club de football résident, qui a fait suite à l'ASME Football, et issu d'une fusion entre les deux clubs de football du Mesnil-Esnard et de Franqueville-Saint-Pierre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Mairie du Mesnil-Esnard - place du Général-de-Gaulle, construite en 1937, sur la route de Paris, les architectes étant Pierre Lefebvre et fils.
    La mairie a été inaugurée par Édouard Herriot, alors président de la Chambre des députés, et est caractéristique du style des années 1930 avec ses lignes géométriques très marquées : le fronton triangulaire est décoré d'un relief de la même forme...
    De chaque côté du corps central, des bâtiments en retrait ont servi d'écoles qui portaient le nom d'Édouard Herriot
  • L'église Notre-Dame, place Quibel :
    Édifiée au XIIe siècle, cet édifice a été totalement remanié aux XVIIIe et XIXe siècles[27]. Il ne reste de l'église primitive que les soubassements du chœur et de la nef. Le clocher roman à sa base, daterait du XVIe siècle ; il est octogone, forme rare.
  • Salle des fêtes - rue des Pérets
  • Espace Léonard-de-Vinci - 1, rue Jehan-le-Povremoyne
  • Espace de Loisirs - rue des Pérets
  • Salle Bernard-Denesle - 6, rue Hector-Malot
  • Stade Stanislas-Bilyk - route de Belbeuf
  • Salle du SIVOM - 2, route de Paris
  • Maison-Mère[28] de la congrégation des Sœurs de l’Enfant Jésus – Providence de Rouen, 6 rue Neuvillette.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Hector Malot (1830-1907), écrivain, y vécut de 1849 à 1853.
  • Raymond Quibel (1883–1978), artiste peintre, y vécut.
  • Georges Mirianon (1910-1986), artiste peintre, résida et est mort au Mesnil-Esnard où un square porte son nom.
  • Jean Serge (1916-1998) y est né.
  • Gaston Sébire (1920–2001), artiste peintre, y vécut à partir de 1957.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Le Mesnil-Esnard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duRouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150, LCCN 80100776).
  18. Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, p. 644. [1]
  19. Isabelle Villy, « Municipales. Jean-Marc Vennin remporte le second tour au Mesnil-Esnard, près de Rouen : La prime au sortant a finalement joué pour Jean-Marc Vennin, vainqueur au second tour des élections municipales au Mesnil-Esnard, près de Rouen (Seine-Maritime) », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Municipales au Mesnil-Esnard : Jean-Marc VENNIN présente ses colistiers : Le premier adjoint, Jean-Marc Vennin, qui brigue le poste de maire, a présenté les candidats de sa liste « L’Avenir avec vous » et les grandes orientations de son programme », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alors que la succession de Norbert Thory — maire sortant qui ne se représentera pas en tête de liste, mais comme second dans un groupe constitué par Romain Féret —, le premier adjoint, Jean-Marc Vennin, a présenté jeudi soir, devant une centaine de personnes, l’équipe de la liste « L’Avenir avec vous ». Parmi eux, une partie de la majorité actuelle, un membre de l’opposition et de nouveaux visages ».
  21. « Municipales 2020. Jean-Marc Vennin est le nouveau maire du Mesnil-Esnard : L’ancien premier adjoint a pris ses fonctions et sera épaulé par sept adjoints et trois conseillers délégués », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Marc Vennin a été élu avec 20 voix contre 4 à son opposant et 5 blancs. ».
  22. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Le Mesnil-Esnard, consultée le 7 novembre 2017
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Notice no IA00021227, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Depuis 1928, lors du retour d'exil de la congrégation. Le couvent rouennais, situé rue du Champ-des-Oiseaux avait été vendu en 1907, et accueillait depuis cette date le Grand Séminaire.

Source liste des maires : https://www.le-mesnil-esnard.fr/cadre-de-vie/historique.html Source liste des maires : pour les années 1848 et 1849 : mariages état-civil du Mesnil-Esnard (archives départementales de Rouen).