Le Haut-Corlay

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Le Haut-Corlay
Le Haut-Corlay
La croix du XVIe siècle (route de Quintin à Corlay).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté de communes Loudéac Communauté - Bretagne Centre
Maire
Mandat
Jean-Pierre Le Bihan
2020-2026
Code postal 22320
Code commune 22074
Démographie
Gentilé Haut-Corlaysien, Haut-Corlaysienne
Population
municipale
642 hab. (2021 en diminution de 6,82 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 20″ nord, 3° 03′ 20″ ouest
Altitude 220 m
Min. 163 m
Max. 306 m
Superficie 25,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guerlédan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Haut-Corlay [lə o kɔʁlɛ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le Haut-Corlay est une commune située à l'ouest de Quintin et juste au nord de Corlay.

La commune fait partie par ses traditions de la Basse-Bretagne et plus localement du pays Fañch.

Carte simplifiée de la commune du Haut-Corlay.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le bourg du Haut-Corlay est situé au sud-ouest du territoire communal. Il fait face au bourg de Corlay dont il est séparé par la rivière de Corlay et un étang. La commune présente un relief avec de forts dénivelés. Les hauteurs de la cime de Kerchouan, au nord-est de la commune, à la limite avec celle de La Harmoye, culminent à une altitude de 318 mètres. Elles bordent le massif granitique de Quintin. Ce site élevé a été choisi pour y implanter un des premiers parcs éoliens de Bretagne. Il comporte 6 hélices de 64 mètres de haut. Le parc a été mis en service en 2005[1].

La « Cîme de Kerchouan-Bois de Guercy », constituée de landes, d'espaces tourbeux (tourbière de la Ville-Jouan) et de bois constitués de sapinières situés sur le même substrat géologique de grès - quartzites et schistes métamorphisés est une ZNIEFF[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La cime de Kerchouan marque la ligne de partage des eaux entre la Manche et l'Océan Atlantique.

L’Oust prend sa source au nord-est de la commune, à la limite avec La Harmoye, juste au sud de la cime de Kerchouan, de même que la Rivière de Corlay, affluent du Sulon et sous-affluent du Blavet ; le Gouët a sa source au nord de la cime de Kerchouan, de même qu'un autre affluent du Sulon cité précédemment, mais qui a sa source sur le territoire de la commune du Vieux-Bourg[3]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d’est en ouest par la route départementale D 790 (ancienne route nationale 790).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 14,7 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Kerpert à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 088,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Haut-Corlay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,4 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones urbanisées (3,2 %), forêts (3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Corle en 1169, 1170 et en 1190, ecclesia de Veteri Corle en 1247[17], Vetus Corle en 1368[18] et en 1405[17], Hault Corle en 1468, 1473 et en 1480[17], Vetus Corlay en 1516, Hault Corlay en 1536[18].

Le Haut-Corlay vient du breton Koz-Korle (« Vieux-Corlay »)[17].

Le nom de la commune en breton est Ar Gozh-Korle ce qui signifie « le vieux corlay ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

La Cime de Kerchouan était le point de jonction des frontières des tribus gauloises des Coriosolites, des Osismes et Vénètes, à proximité des sources de l'Oust et du Gouët ; le monument du Tertre-aux-Coulombs dans le bourg, symbolise cette frontière et serait le plus ancien monument armoricain[17]. Du nord de cette éminence « le regard embrasse un horizon extrêmement étendu, et il n'est donc pas étonnant que, dès l'époque gauloise, puis à l'époque romaine, des postes d'observation et des garnisons de protection aient été établies à proximité », par exemple les enceintes fortifiées circulaires de Coz-Castel et Motten-Chastel sur la commune du Vieux-Bourg, et du Tertre-aux-Coulombs, de la Ville-Jouan (à 300 mètres au nord de ce hameau) et du sommet de la cime de Kerchouan pour celle du Haut-Corlay[19]

La voie romaine de Vorgium (Carhaix) à Corseul passait sous le Tertre-aux-Coulombs avant de monter vers la cîme de Kerchouan[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse du Haut-Corlay est issue du démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Corlay.

Plusieurs maisons nobles et manoirs existaient au Haut-Corlay : Bellevue, Bocozel, le Boissy, Kerdanio, Kerniquet, Kernonain, Kerroignant, Kervers, Portz-Jacques, la Rivière et la Ville-Jouan. Les seigneurs de Bocozel (« le manoir de Bocozel était le plus ancien manoir du Haut-Corlay » ont écrit en 1843 A. Marteville et P. Varin, qui ajoutent qu'il était alors ruiné et remplacé par une construction récente[21]), dénommés de Kergorlay ou de Guergorlay, jouissaient de prééminences et enfeux dans l'église de Haut-Corlay et, à titre de fondateurs, dans la chapelle de la Croix[17]. En 1601 Catherine de Kergorlay apporta en dot lors de son mariage à son époux Abel Gouyquet [Gouicquet] la terre et le manoir de Bocozel[22].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini de la région du Haut-Corlay (1787).

La chapelle Saint-Maudez, où chapelle de la Croix, fut construite en 1715 par Sébastien Gouicquet, sieur de Bocozel ; il y fut inhumé lors de sa mort survenue en 1720 comme en témoigne une inscription latine située sur son enfeu.

En 1764 l'église paroissiale, sous le vocable d'église Notre-Dame-et-Sainte-Philomène, est détruite par un incendie ; elle est restaurée et bénie le par Mgr Farcy de Cuillé, évêque de Cornouaille.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Le Haut-Corlay en 1778 :

« Haut-Corlai ; sur une hauteur, proche de la route de Pontivi à Guingamp ; à 18 lieues deux-tiers à l'Est-Nord-Est de Quimper, son évêché ; à 22 lieues de Rennes, et à un tiers de lieue de Corlai, sa subdélégation. Cette paroisse est très ancienne ; elle ressortit au siège royal de Saint-Brieuc, et compte, y compris ceux de Saint-Bihi, sa trève, 1 450 communiants[Note 2]. La cure est à l'alternative. Son territoire est couvert de montagnes incultes, au pied desquelles sont des terres en labeur. On y connoît la maison noble de Grand-Isle, dont jouissent depuis plusieurs siècles les seigneurs de Pourmic[23]. »

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Le Haut-Corlay en 1843 :

« Haut-Corlay (le) : (sous l'invocation de la Vierge et de sainte Philomène) ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins son ancienne trève Saint-Bily, devenue commune ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la Ville-Jouen, Kerven, la Ville-Herbelot, Quillaron, Roscaradec, le Tertre, Pennvers, Persucat, le Boissi, la Ville-Léon, Kerbrès, le Bot, Guilleron, Bocozel, Coët-Favant, la Croix, Lorfillès, Squivit, Kerbénalo, Kerpoulain, Coat-Rivoallan, Saint-Damant, Kerbastard, Kergolio, La Ville Neuve, la Rivière, Lannier, Garenne Guillosso, Belle-Vue, Pont-Jacques. Superficie totale 2 563 hectares, dont (...) terres labourables 1 527 ha, prés et pâturages 294 ha, bois 57 ha, vergers et jardins 40 ha, landes et incultes 543 ha, étangs 6 ha (...). Moulins : 6 (Percé, Quillaron, Kerdano, de Ville-Neuve, de la Rivière ; à eau). L'église du Haut-Corlay est fort ancienne (...). Il y avait en outre les chapelles de Notre-Dame-des-Anges, de Saint-Jacques, de la Croix et de Sainte-Geneviève ; ces deux dernières sont encore desservies. (...) Deux routes traversent cette commune : l'une est celle de Guingamp à Corlay, elle passe dans la partie sud-ouest ; l'autre est celle de Quintin à Corlay, elle passe dans la partie sud. Géologie : schiste argileux ; minerai de fer. On parle le breton[21]. »

En 1862,le Haut-Corlay était réunie à Corlay pour l'école des garçons, mais l'école mixte de la Croix accueillait 7 élèves. Joachim Gaultier du Mottay écrit que « le territoire est très élevé, accidenté, assez bien boisé et planté de pommiers », que « les terres sont légères, mais assez fertiles ». Le même auteur écrit qu'en 1851, du Bois de la Hue-au-Gal, bois très fréquenté par les loups, sortit « un loup enragé qui, dans l'espace de quelques heures, parcourut diverses communes et mordit quarante-six personnes et 90 animaux »[24].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts du Haut-Corlay porte les noms de 50 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[25].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Début 1944, la "brigade spéciale" créée par Louis Pichouron, dirigeant FTP, pourchassée par le lieutenant Flambard[26], se réfugia sur la cime de Kerchouan[27] près du Haut-Corlay. Le , maquisards et gendarmes s'affrontent à Saint-Caradec ; plusieurs résistants sont arrêtés dont Georges Ollitrault, Roger Cadec, Raymond Pédrono, Marcel Le Hellaye, Louis Winter, Marcel Divenah, les quatre derniers cités étant morts en déportation[28].

Le monument aux morts du Haut-Corlay porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1798 Jacques Le Bail[Note 3]   Laboureur.
1798 1805 Mathurin Bogard[Note 4]    
1805 1816 Louis Cansot[Note 5]   Cultivateur.
1816 1825 François Marie de Quelen[Note 6]   Seigneur de la Villeglé.
1825 1830 Maurice Le Breton[Note 7]    
1832 1835 Charles Jouan[Note 8]   Boulanger.
1835 1846 Maurice Le Breton   Déjà maire entre 1825 et 1830.
1846 1875 René Guillermo[Note 9]   Cultivateur.
1875 1881 François Rolland    
1882 1882 Gilles Jégou    
1883 1884 Jean-Marie Le Breton[Note 10]   Fils de Maurice Le Breton, maire entre 1825 et 1830 ainsi qu'entre 1835 et 1846.
1884 1888 Guillaume Hervé[Note 11]   Cultivateur.
1888 1898 Gustave Fraval[Note 12]    
1898 1901 Jean-Marie Le Breton   Déjà maire en 1883-1884.
1901 1920 Augustin Fraboulet[Note 13]   Laboureur.
1920   Isidore Beaudoin[Note 14]   Agriculteur.
         
mars 1965 mars 1983 Denis Charles    
mars 1983 janvier 2006 René Allo    
janvier 2006 mars 2008 Jean-Claude Robin    
mars 2008 mars 2014 Joëlle Le Breton SE Agricultrice
mars 2014 En cours
(au 23 mai 2020)
Jean-Pierre Le Bihan[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG[30] Agriculteur retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3061 2551 1501 1031 1081 2331 2021 1311 152
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1211 0611 0751 0821 0819771 1351 1101 042
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0191 117974909913924883775715
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
791851785751734714707705689
2018 2021 - - - - - - -
646642-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte un monument historique protégé :

Autres monuments
  • l'église paroissiale Notre-Dame-et-Sainte-Philomène : son porche et sa chapelle nord datent du XVIe siècle et le maître-autel du XVIIe siècle ; mais le reste de l'église date de la restauration effectuée après l'incendie de 1764.
  • la chapelle Saint-Maudez ou chapelle de la Croix (car située dans le village portant ce nom) ; elle a servi les siècles passés de lieu d'inhumation pour la famille Bocozel et abrite une statue de saint Maudez datant du XVIIIe siècle.
  • la chapelle Sainte-Geneviève de Kergolio (dite aussi chapelle Sainte-Marguerite) : elle a été reconstruite en 1782 par les seigneurs du Boisberthelot (en Canihuel et restaurée en 1937 par la famille du Bouilly du Fretay. Un pardon y était organisé.

Événements culturels[modifier | modifier le code]

  • Fest-noz de Coat-Favan organisé chaque année par l’Association des Jeunes du Haut-Corlay sur le site de Botcozel.

Hippisme[modifier | modifier le code]

L'équipôle de Corlay, situé en fait sur les communes du Haut-Corlay et Canihuel, est un complexe équestre, créé par l'agrandissement de l'hippodrome préexistant, nommé « Le Petit Paris ». Il accueille des courses hippiques et des épreuves de sports équestre, notamment d'endurance.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Personnes en âge de communier.
  3. Jacques Le Bail, né le au Haut-Corlay, décédé le 6 floréal an XII () à La Croix en Le Haut-Corlay.
  4. Mathurin Bogard, né le au Haut-Corlay.
  5. Louis Cansot, né le à Canihuel, décédé le au Haut-Corlay.
  6. François Marie de Quelen, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
  7. Maurice Jacques Le Breton, né en 1796 au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay
  8. Charles Jouan, né le au Haut Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
  9. René Guillermo, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
  10. Jean-Marie Le Breton, né le au Haut-Corlay.
  11. Probablement Guillaume Hervé, né le au Haut-Corlay, décédé le au Haut-Corlay.
  12. Gustave Fraval, né le à Quintin, décédé le à Quintin.
  13. Augustin Fraboulet, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  14. Isidore Beaudoin, né le au Haut-Corlay.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le Haut-Corlay sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
  2. « ZNIEFF 530002632 Cime de Kerchouan - Bois de Guercy », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  3. Brice Dupont, « Ils prennent soin de la source du Gouët, ce fleuve qui serpente dans le pays de Saint-Brieuc », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Le Haut-Corlay et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Kerpert » (commune de Kerpert) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Kerpert » (commune de Kerpert) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c d e et f infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Le Haut-Corlay ».
  18. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  19. René Couffon, « Contribution à l'étude des voies romaines des Côtes-du-Nord », Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord,‎ , page 13 (lire en ligne, consulté le ).
  20. « La voie romaine de Carhaix à Corseul », sur Voies-romaines-Bretagne.com (consulté le ).
  21. a et b A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 346.
  22. Sigismond Ropartz, Guingamp et le pèlerinage de Notre-Dame de Bon-Secours, Guingamp, Périssé, (lire en ligne), page 399.
  23. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 195.
  24. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), page 747.
  25. a et b « Monument aux Morts - Haut-Corlay », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  26. Le lieutenant Flambard, qui commandait la gendarmerie de l'arrondissement de Guingamp lutta avec acharnement, malgré son uniforme français, contre les résistants et pour chassa les réfractaires du STO, servant la cause nazie et collaborant avec la Gestapo.La cour de justice de Rennes le condamna le à 2 ans de prison.
  27. La cime de Kerchouan est une colline atteignant 318 mètres d'altitude
  28. Françoise Morvan, "Miliciens contre maquisards :enquête sur un épisode de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 2013, (ISBN 978-2-7373-5063-4).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. « Résultats élections Le Haut-Corlay (22320) : élections régionales et départementales 2021 », sur lemonde.fr (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Notice no PA00089195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Liens externes[modifier | modifier le code]

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