La Garde-Freinet

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La Garde-Freinet
La Garde-Freinet
Blason de La Garde-Freinet
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez
Maire
Mandat
Thomas Dombry
2020-2026
Code postal 83680
Code commune 83063
Démographie
Population
municipale
1 831 hab. (2021 en diminution de 2,5 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 03″ nord, 6° 28′ 12″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 674 m
Superficie 76,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Luc
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lgf83.fr

La Garde-Freinet est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Garde-Freinet est l'une des douze communes composant la communauté de communes du golfe de Saint-Tropez.

Le village est situé par la route à 20 km de Saint-Tropez, 35 km de Draguignan et 70 km de Toulon.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Le Cannet-des-Maures, Collobrières, Grimaud, Les Mayons, Le Plan-de-la-Tour et Vidauban.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Installée sur les reliefs du massif des Maures, la position de sentinelle du village au col lui valut l’appellation de « garde » d’où le nom de La Garde-Freinet[1]. Ce village est le plus élevé du massif des Maures

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Départementale 558 Le Cannet-des-Maures - Grimaud[2].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![3].

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Transports aériens[modifier | modifier le code]

Les aéroports les plus proches sont :

Ports[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 950 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Sismicité[modifier | modifier le code]

  • La commune est classée en zone de sismicité faible[11].

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[12],[13] :

  • La Garde (rivière).
  • vallons des Bertrands, de Belleïman, de Sartouresse, de Vanadal, de Basset, du Débat, des Migraniers, du Cros d'Aillé, de Réoulet, de la Tourre, de Val Daubert,
  • ruisseaux de Fenouils, des Mourgues, de Règue Courte, de la Berthe, de Langastoua, de Val de Gilly, de Gagnal, de Brugassier, de Pignegut, du Pas de Sept Hommes, de Pedeban, d'Emponse, d'Infernon.
  • val d'Arnaud.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme (PLU)[14],[15] et d'un Plan de prévention du risque inondation (PPRI)[16].

La Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez a lancé en 2014 une démarche de révision du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre en l’assortissant de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)[17].

Typologie[modifier | modifier le code]

La Garde-Freinet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,5 % 114
Vignobles 4,4 % 337
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 1,6 % 125
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 4,5 % 348
Forêts de feuillus 29,3 % 2247
Forêts de conifères 1,0 % 78
Forêts mélangées 7,4 % 564
Végétation sclérophylle 49,1 % 3761
Forêt et végétation arbustive en mutation 1,2 % 92
Source : Corine Land Cover[23]

L'occupation des sols montre une nette prédominance de la végétation arbustive et/ou herbacée (50,3 %) sur la forêt (37,7 %) et sur les territoires agricoles (10,5 %) ainsi qu'une faible urbanisation du territoire.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La Garde-Freinet s'écrit La Gàrdi provençal classique ou La Gàrdi (mais aussi La Gardo-Freinet) selon la norme mistralienne[24]. La prononciation est la même puisque le -a final du féminin est muet après un -i dans les dialectes maritimes et rhodaniens, raison pour laquelle Joseph Roumanille n'a pas voulu réintégrer cette lettre dans son écriture phonétique.

Freinet, du latin fraxinetum, « bois de frêne ».

Héraldique[modifier | modifier le code]

D'or, à un frêne arraché de sinople[25].

L'armorial[26] et le blason de La Garde-Freinet[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Fort Freinet et la Croix des Maures.

IXe siècle : En 889, un raid arabe s'empare de La Garde-Frainet et leur « garnison durant près d'un siècle soumet les populations voisines à des razzias continuelles et menace les routes qui, à travers les cols des Alpes, vont de France en Italie[28] ». Ce lieu est aussi évoqué sous d'autres patronymes dont celui de Fraxinet[29] ou Fraxinetum. Les Arabes lui donne le nom Jabal al-Qilal, « montagne des jarres », car ils y auraient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine[30].

L'histoire rapporte que c'est le comte de Provence Guillaume Ier dit le Libérateur qui chasse les Sarrasins en 973 après sa victoire à la bataille de Tourtour après 80 années de présence sarrasine au nord des Pyrénées.

Philippe Sénac[31], en s’appuyant sur les sources arabes et les données de l’archéologie[32], montre combien le Fraxinet, ne constituait pas un simple repaire de brigands mais un emplacement stratégique pour les musulmans qui semblaient vouloir « entraver les relations entre les cités marchandes italiennes et le reste de la chrétienté méridionale ». Toujours selon Philippe Sénac il n'est pas « du tout exclu que le Fraxinet ait été le théâtre d'une symbiose communautaire, ce qui tendrait à expliquer sa longévité »[33].

XIIe siècle : à 450 m d'altitude, on découvre le fort Freinet (XIIe au XVIe siècle) et les vestiges d'un ancien village fortifié du Moyen Âge, constitué d'une trentaine d'habitations taillées dans la roche. Ils dominent le massif forestier des Maures sur la voie reliant la vallée de l'Argens et le golfe de Saint-Tropez. Ce fort stratégique, classé monument historique, servait à contrôler le passage entre la vallée du Vidauban et le golfe de Grimaud. Une grande fosse servait de réservoir d'eau. Il s'étend sur 120 m2 et est composé de cinq vastes pièces. La rue principale le sépare du reste du village constitué des maisons troglodytes.

XIIIe siècle : les habitants s'installent sur le col de la Garde. Le bourg devient : « La Garde du Freinet ». Un Rostagni (?-v.1341) était connu pour être seigneur de Châteaudouble (1324) et de La Garde-Freinet (1327)[34]. Il reçut donation de l'albergue de ces deux villages[35].

XIXe siècle : l'industrie du bouchon se développe avec près de 700 bouchonniers grâce à la forêt de chênes-lièges. À cette époque, la production de marrons et de magnan (ver à soie) est également bien développée.

Dans le livre " La Fortune des Rougon Macquart " Emile Zola a donné le nom de La Palud à La Garde-Freinet

En 1900, l'abbé Mathieu dresse la croix des Maures (altitude 437 m), restaurée en 1978. Le Christ pesait 175 kg.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 mars 2008 André Werpin    
mars 2008 octobre 2009 Jean-Claude Deletang   démission
novembre 2009 en cours Jean-Jacques Courchet    

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 705 000 , soit 1 417  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 048 000 , soit 1 073  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 794 000 , soit 416  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 1 537 000 , soit 805  par habitant.
  • endettement : 519 000 , soit 272  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 20,05 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,53 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 67,47 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 010 [38].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Frédéric Mistral a confirmé que le nom du village était "La Gardi", vocable relevé dans un document datant de 1143.

Les habitants se nomment :

  1. appellation usuelle : d’après Frédéric Mistral les habitants se nomment les Gardois et les Gardoises ou Gardiòu et Gardiolo en provençal. Il confirme qu'en dialecte provençal varois, ils s'appelaient Garduou et Garduelo.
  2. L'appellation Fraxinois ou Fraxinetains n'est absolument pas fondée historiquement.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 1 831 habitants[Note 3], en diminution de 2,5 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5051 8411 7971 9692 1122 3482 3862 4332 573
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5892 5952 6492 6872 6512 5152 3312 0921 872
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5691 7811 7701 4351 1901 2041 1321 0151 028
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1341 3321 2411 4021 4651 6191 7341 7711 746
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8781 8271 831------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Nice

  • École maternelle et élémentaire[43].

Les établissements scolaires les plus proches[44] :

  • Collèges à Cogolin,
  • Lycées à Gassin, Draguignan, Le Muy, Lorgues.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels de santé sur la commune[45] : Médecin, pharmacie, dentiste, kinésithérapeute, cabinet d'infirmiers.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique, paroisse La Garde Freinet[46], secteur : Saint Tropez. Diocèse de Fréjus-Toulon[47],[48]

Loisirs[modifier | modifier le code]

Réservoir d'eau de Fort Freinet taillé dans la roche.

De nombreuses promenades sont proposées :

  • La croix des Maures : balade de 40 min à travers un sentier botanique avant d'arriver à la croix. On a une vue superbe du village, des Alpes du Sud, du massif des Maures, du rocher de Roquebrune-sur-Argens, du golfe de Saint-Tropez et parfois de la montagne Sainte-Victoire ;
  • Visite guidée du fort et de son histoire pendant 45 min ;
  • Le chemin des crêtes : balade d'1 h 15 en passant par la croix et le fort.

La commune dispose d’un panorama sur le Massif des Maures et jusqu'à la Méditerranée, avec forêts de chênes-lièges et de châtaigniers. Dans les campagnes, poussent une végétation de maquis, adaptée au climat de la Provence (ciste de Montpellier, lavande, immortelles, genêts épineux...).

Il y a également plusieurs fêtes tout au long de l'année : foire aux santons avant Noël, fête de la transhumance au printemps, foires de la châtaigne en octobre.

Événements[modifier | modifier le code]

Le , La Garde-Freinet est endeuillée par la mort de trois sapeurs-pompiers du centre de secours principal de La Seyne-sur-Mer, sur la D 14 commune de la Môle, lors d'un feu de forêt provenant de La Garde-Freinet[49].

Le , La Garde-Freinet est de nouveau endeuillée par un accident de camion de pompiers sur la D 558, avec la mort de trois pompiers du centre de secours de Puget-Ville.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de la vigne[50].
  • Élevages d'ovins et de caprins.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Exploitation forestière.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • La commune dispose de 3 hôtels, d'un camping et de chambres d'hôtes[51].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • La commune dispose de 15 restaurants et 3 cafés[52].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

  • La chapelle Saint-Jean[53], face à la mairie a été achetée par la commune afin de proposer un centre culturel rayonnant sur toute la région. L'office de tourisme s'est implanté dans le bâtiment.
  • La cloche de 1680 de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)[54],[55].
  • La chapelle Saint-Éloi[56].
  • La Chapelle Saint-Clément[57].
  • Chapelle Notre Dame de Miremer[58].
  • La ville possède bien sûr une église avec une cloche de 1698, typique de la région[59],[60] et un autel en marbre.
  • Le monument aux morts[61],[62].
  • La Croix de La Garde-Freinet[63],[64].

Patrimoine civil :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Henri Andréani (1877-1936), acteur et réalisateur, y est né.
  • Anna Karina (1940-2019), actrice franco-danoise, a vécu dans ce village.
  • Serge Rezvani (né en 1928), peintre et écrivain, a vécu dans ce village.
  • Jan Vakowskaï (1932-2006), artiste peintre, a vécu dans ce village.
  • Jeanne Moreau (1928-2017), actrice, a vécu dans la commune, à Préverger. Le tournage du film Lumière, dans lequel elle joue a en partie été tourné à Préverger[72]
  • André Pousse (1919-2005), acteur, s'y était retiré et ses cendres ont été dispersées dans sa propriété[73].
  • Xavier Bohl (né en 1954), architecte et urbaniste, y vit.
  • Henri Fille-Lambie, alias Jacques Morlane ou Morlanne (1919-1978), résistant , colonel et fondateur du Service Action.
  • François-Régis Bastide (1926-1996), écrivain et ambassadeur.
  • Jean Bilski (1954-1976), anarchiste qui assassina le 14 mai 1976 du PDG du Crédit Lyonnais Jacques Chaîne et se suicida juste après, vécut à la Garde Freinet dans les années 1970.
  • Eugène Saccomano (1936-2019), journaliste, célèbre commentateur sportif et écrivain en a été conseiller municipal, y a passé sa retraite et y est inhumé.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Rapport de présentation du plan local d'urbanisme : Chapitre 4 : État Initial de l’Environnement, p. 92 à 155
  2. Itinéraire
  3. Réseau régional de transports en commun
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre La Garde-Freinet et Cogolin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. Didacticiel de la règlementation parasismique
  12. L'eau dans la commune.
  13. « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  14. PLU
  15. PLU sur Géoportail de l'urbanisme
  16. P.P.R.I.
  17. Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre, assorti de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)
  18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  24. Gardo-Freinet, Lou Tresor dou Felibrige, Frédéric Mistral, https://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=gardi
  25. Canton de Grimaud : La Garde-Freinet, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  26. La Garde-Freinet - La Gardo-Freinet
  27. Blason de La Garde-Freinet
  28. Henri Pirenne, Les villes du Moyen Âge, Bruxelles, Lamertin, 1927, p. 31.
    - A. Schulte, Geschichte des Mittelalterlichen Handels und Verkehrs zwischen Westdeutschland und Italien, Leipzig, 1900, t. II, p. 59.
  29. Note sur le Fraxinet des Maures, Annales du Sud-Est varois, tome XV, 1990, p. 19-23.
  30. « Des Maures et des Sarrasins en France », .
  31. Histoire de l'Islam et des musulmans en France du Moyen Âge à nos jours, sous la direction de Mohammed Arkoun, préface de Jacques Le Goff, A. Michel, 2006 (ISBN 2-226-17503-2), p. 40.
  32. Islam et chrétiens du Midi (XIIe au XIVe siècles), Colloque de Fanjeaux (18 ; 1982), éd. Privat, 1983 (ISBN 2-7089-3417-1).
  33. Philippe Sénac, Provence et piraterie sarrasine, Maisonneuve et Larose, 1982, p. 70.
  34. AD du 13, série B1519f162 et B1835f200
  35. AD du 13, série B1519f162
  36. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.412-413 « [1]
  37. Les comptes de la commune
  38. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. École maternelle et élémentaire
  44. Les établissements scolaires les plus proches
  45. Professionnels de santé
  46. Paroisse Saint-Clément de La Garde-Freinet
  47. La Garde-Freinet
  48. Chapelle de la Moure
  49. La cérémonie officielle à la mémoire de ces pompiers.
  50. Culture de la vigne
  51. Accueil touristique
  52. Restauration
  53. La Chapelle Saint-Jean
  54. Notice no PM83000323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)
  55. L’église du Hameau de la Mourre
  56. La chapelle Saint-Éloi
  57. La Chapelle Saint-Clément
  58. Chapelle Notre Dame de Miremer
  59. Notice no PM83000324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Clément
  60. L’église Saint-Clément
  61. Monument aux morts de La Garde-Freinet
  62. Monument aux morts, Mémoires de guerres du Var
  63. La Croix de La Garde-Freinet
  64. La croix des Maures
  65. L’ancienne mairie & la prison
  66. Le Fort-Freinet
  67. Du Fort Freinet aux Roches Blanches
  68. Le lavoir
  69. Inventaire des lavoirs du Var
  70. La fontaine vieille
  71. Notice no PA00081569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. "Lumière" sur le site http://www.jeannemoreau.fr/portfolio/lumiere/.
  73. "L'acteur fétiche de Michel Audiard, André Pousse, est mort", Le Monde avec AFP, 9 septembre 2005