La Chapelle-de-Guinchay

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La Chapelle-de-Guinchay
La Chapelle-de-Guinchay
Un bâtiment du XIXe siècle à la symétrie rigoureuse : l'hôtel de ville, construit d'après des plans de l'architecte Adrien Guillemin de Mâcon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Mâconnais Beaujolais Agglomération
Maire
Mandat
Hervé Carreau
2020-2026
Code postal 71570
Code commune 71090
Démographie
Gentilé Chapellois,
Population
municipale
4 082 hab. (2021 en augmentation de 0,74 % par rapport à 2015)
Densité 328 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 41″ nord, 4° 45′ 19″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 295 m
Superficie 12,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mâcon
(banlieue)
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Chapelle-de-Guinchay
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web lachapelledeguinchay.fr

La Chapelle-de-Guinchay est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-de-Guinchay fait partie du Beaujolais. La commune s'étire des berges de la Saône jusqu'à la limite avec le département du Rhône, et est traversée par la Mauvaise.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Villages, hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Le Bel-Avenir, Belleverne, Beauchamp, les Blémonts, les Boccards, les Bois de Loyse, le Bourg, les Broyers, les Bruyères, les Burriers, la Combe-Daroux, les Darroux, les Desroches, les Deschamps, les Gandelins, la Gare, les Jean-Loron, les Journets, Loize, Massonay, les Paquelets, Pontanevaux, le port Jean-Gras, les Potets.

Le Chemin Jardin.

Accès et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Pontanevaux est desservie par la SNCF.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Des gisements de manganèse (la Romanèchite), ont été exploités dans le passé[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Mauvaise, un cours d’eau de 18 kilomètres qui nait dans le cirque de Vauxrenard et se jette dans la Saône en amont de Saint-Romain-des-îles. Ses crues étaient impressionnantes, de type torrentiel, avant la régularisation de son cours. Elle reçoit sur sa rive gauche le ruisseau de Changis, issu de la Font-Martin, et le ruisseau de Jullié, qui nait de la fontaine de Rolland.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 816 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vauxrenard », sur la commune de Vauxrenard à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 003,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,4 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-de-Guinchay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mâcon, une agglomération inter-régionale regroupant 16 communes[12] et 61 519 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,7 %), prairies (23,6 %), zones urbanisées (23 %), terres arables (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), eaux continentales[Note 4] (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon l'historique, un seigneur romain du nom de Quintus créa une petite exploitation agricole cultivée par des colons. L'exploitation prit le nom de son propriétaire et la Villa Quintus (ou Quintio) devint par suite d'altérations Quincheys et Quinchay. Plus tard, une chapelle fut élevée : la chapelle Sainte-Marie de Quinchay ; et au fil du temps, cela devint La Chapelle-de-Guinchay[18].

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La découverte de grattoirs est mentionnée aux hameaux des Journets, aux Maisons–Rouges, et dans le lit de la Mauvaise.

Époque gallo–romaine[modifier | modifier le code]

De nombreux restes gallo-romains au niveau du Bois de Loise, plusieurs statuettes de bronze (certaines sont visibles au musée de Saint-Germain-en-Laye). À la limite de Romanèche, au lieu-dit les Quériats : des poteries, des briques, des tuiles, une roue de meule, etc. Aux Perrières et aux Millettes, on trouve les traces d’un camp romain.[réf. nécessaire]

Un dépotoir de poterie trouvé à Pontanevaux atteste l'existence d'un atelier de potier/s dans la première moitié du Ier siècle, producteur de céramique de cuisine cuite en mode B, ou céramique commune gris sombre[19].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Plusieurs seigneuries sont signalées : les Nuguets, les Paquelet, etc. la plus importante étant celle de Loize, baronnie (avec château et droits de justice), dont la propriété passera en 1662 des seigneurs aux chartreux qui en font l’acquisition.

Les religieux de la chartreuse de Lyon possédaient à Loyse, une propriété dont les revenus sont évalués à 10 000 francs de 1895. Une note des chartreux consigne les désastres dus aux rigueurs des saisons : le grand hiver de 1709 a fait perdre plus de cent cinquante ânées de vin de Loyse de 1708 gelé dans les celliers. Toutes les récoltes en blé et en vin de Loyse et de Poletins, comme aussi celles du clos de Lyon, ont été perdues. En 1713, la grêle emporta la moitié de la récolte des blés de Poletins et toute celle du vin de Loyse. En 1714, une maladie contagieuse, à Poletins et à Loyse, fait périr quarante-deux bœufs de labour et soixante-dix taureaux, vaches ou génisses. Aussi voyons-nous bien souvent les Pères chartreux réclamer ou une diminution de taxe ou certaines franchises, ce qui leur était presque toujours accordé[20].

Les guerres de Religion[modifier | modifier le code]

Il semble que la région ait été plutôt protestante. Le seigneur de Loize, Jean de Lugny est l'organisateur d'opérations guerrières contre Mâcon avec les seigneurs de Chasselas ou de Berzè. Il organise des prêches. Le vicaire de La Chapelle se convertit au calvinisme.

La Révolution et l'Empire[modifier | modifier le code]

Après les « brigandages » de 1789, selon Perraud, c'est-à-dire le sac de Loize et de différentes demeures peu d'événements notables en dehors de problèmes liés aux réfractaires à la conscription qui semblent avoir été nombreux. En 1814, les Autrichiens cantonnent à Pontanevaux.

Santé[modifier | modifier le code]

Les chartreux de Lyon établis au bois de Loize tenaient une pharmacie pour soigner les habitants jusqu'à la Révolution. En 1876, une religieuse du Saint Sacrement d'Autun crée l'asile Ferret qui porte son nom. De nos jours, la maison de retraite du Bocage a pris la suite de l'asile Ferret.

Histoire moderne[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, des habitants du hameau des Journets furent déportés et moururent en Allemagne. Une stèle fut érigée en leur mémoire.

Stèle en mémoire des déportés du hameau des Journets, commune de La Chapelle-de-Guinchay (Saône-et-Loire).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La Chapelle-de-Guinchay dépend de la préfecture de Saône-et-Loire à Mâcon. Le conseil municipal est composé de 27 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[21]. À l'issue des élections municipales de 2020, Hervé Carreau a été élu maire de la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 juin 1995 Marcel Gros UDF-PR Conseiller général du canton de La Chapelle-de-Guinchay (1982 → 1994)
juin 1995 mars 2001 Paul Lespinasse   Retraité de la fonction publique. Élu maire en 1995 après avoir effectué un mandat comme premier adjoint, puis maire honoraire. Chevalier de l'ordre national du Mérite en 1994.
mars 2001 mars 2008 Georges Bourdin DVG Professeur de collège
mars 2008 mai 2020 Jean-François Guéritaine DVD Ancien directeur d'école
mai 2020 En cours
(au 26 mai 2020)
Hervé Carreau DVD Directeur d'entreprise du bâtiment
8e vice-président de Mâconnais Beaujolais Agglomération (2020 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

Cette commune est le chef-lieu du canton de Chapelle-de-Guinchay, comptant 10 505 habitants en 1999. En intercommunalité, ce village fait partie de la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais. Jean-François Cognard et Dominique Piard sont conseillers départementaux de ce canton depuis 2015.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi de la commune de Mâcon qui possède un tribunal d'instance et de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de Lyon pour la cour d'appel et la Cour administrative d'appel[22].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 4 082 habitants[Note 5], en augmentation de 0,74 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3621 3761 4821 4781 4871 9301 9061 9582 060
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9522 0542 2042 1362 1341 9511 9311 8391 940
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9822 0641 9821 7121 6681 6301 6081 5161 644
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7602 0092 1352 2132 2332 5953 3363 8294 106
2021 - - - - - - - -
4 082--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il y a une école maternelle, une école élémentaire et un collège[27].

Santé[modifier | modifier le code]

Il y a deux médecins généralistes[28], un médecin généraliste à orientation homéopathie[29], trois kinésithérapeutes[30], une infirmière[31], deux dentistes[32], une pharmacie[33]. L'hôpital le plus proche se situe à Mâcon.

Stade de La Chapelle-de-Guinchay.

Sports[modifier | modifier le code]

Un club de football nommé l'Association Sportive Chapelloise de Football avec 3 équipes seniors[34].

Un club de tennis nommé La Chapelle de Guinchay Tennis Club avec 4 équipes seniors (3 masculines et 1 féminine)[35].

Un club de basketball avec deux équipes seniors et de nombreuses équipes de jeunes.

Un club de course à pied (Route et Trail) nommé le CRU chapellois (Club RUnning chapellois) avec plus de 140 adhérents qui effectuent 2 sorties hebdomadaires[36]. Le club organise également chaque année une course sportive (Trail) au départ du village : la 1re édition du Tour Des Crus aura lieu le .

Cultes[modifier | modifier le code]

La Chapelle-de-Guinchay appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Vignes en Sud-Mâconnais, paroisse qui a son siège à La Chapelle-de-Guinchay (presbytère au no 97 de la rue Jules-Chauvet) et qui regroupe quatorze villages du Mâconnais. Culte catholique dans l'église de la commune, placée sous le vocable de Notre-Dame-du-Mont-Carmel, ou dans la chapelle du Bocage.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte des déchets est gérée par la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais. Il y a deux déchetteries sur le territoire de la communauté de communes, l'une à Vinzelles, l'autre à Romanèche-Thorins.

Économie[modifier | modifier le code]

La viticulture est importante. Il y a quelques commerces avec notamment un bourg très actif. la commune étant principalement péri-urbaine, et faisant partie de l'aire urbaine de Mâcon, l'activité commerciale de grande distribution y est représentée par une seule moyenne surface.

De grandes maisons de vins sont situées sur la commune qui accueille également des entreprises artisanales de tailles variées.

Vignoble[modifier | modifier le code]

Ce village est inclus dans le vignoble du Beaujolais et rentre dans les aires de production du chénas du beaujolais-villages et du beaujolais. Il y a de nombreux viticulteurs dans la commune. Néanmoins, d'un point de vue administratif et légal, La Chapelle-de-Guinchay est une commune viticole faisant partie aussi du vignoble de Bourgogne et peut à ce titre produire les vins : AOC bourgogne aligoté, AOC bourgogne, AOC bourgogne passe-tout-grains, AOC coteaux bourguignons, AOC bourgogne mousseux, AOC crémant de Bourgogne, AOC Mâcon et IGP Saône-et-Loire[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

  • Église du XIXe siècle[38] : première Chapelle élevée en 907. Devenue trop petite elle est remplacée en 1672 par une plus vaste en conservant le chœur, l'abside et le clocher d'origine qui seront détruits au XIXe siècle. Construite à partir de 1873 jusqu’en 1878 sur les plans de M. Berthier architecte. Elle ne sera achevée qu'en 1927 par la construction du clocher.

Elle est placée sous le vocable de Notre-Dame du Mont-Carmel.

Monuments civils[modifier | modifier le code]

Patrimoine local[modifier | modifier le code]

La vie associative est riche car on dénombre près de 40 associations dans la commune[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jules Chauvet (1907-1989) ;
  • Michel Gillibert (1945-2004) : Secrétaire d'Etat aux Personnes handicapées (1988-1993), né à La Chapelle-de-Guinchay.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • F. Perraud : La Chapelle de Guinchay et ses Hameaux, Laffitte Reprints – Marseille (réimpression de l’édition de Macon 1910.-Protat Frères imprimeurs).
  • Claudius Savoye : Le Beaujolais Préhistorique, Réédité par Dédale Ed. – Lyon (première édition Lyon A. Rey et Cie ED. Lyon 1899).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site de Mindat.org
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Chapelle-de-Guinchay et Vauxrenard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vauxrenard », sur la commune de Vauxrenard - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Vauxrenard », sur la commune de Vauxrenard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Mâcon », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Patrimoine », sur lachapelledeguinchay.fr (consulté le ).
  19. [Bourguignon & Barthélemy 2012] Jean-Paul Bourguignon et Daniel Barthélemy, « La céramique commune sombre gallo-romaine en val de Saône. Entre grise et rouge » (Actes de la table ronde organisée à Lyon les 2 et 3 février 2009 à la Maison de l'Orient et de la Méditerranée), MOM Éditions, no 60 « Les céramiques communes dans leur contexte régional : faciès de consommation et mode d'approvisionnement »,‎ , p. 221-234 (lire en ligne [sur persee]), p. 222.
  20. Vachet, Adolphe, Les anciens couvents de Lyon, Lyon, Emmanuel Vitte, (lire en ligne), p. 291.
  21. « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
  22. « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site de la mairie de La Chapelle-de-Guinchay, page sur l'éducation, consulté le
  28. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecine générale, p.  428.
  29. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Médecin : médecine générale orientation homéopathie, p.  430.
  30. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Kinésithérapeutes, p.  370.
  31. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Infirmiers, p.  348.
  32. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Dentistes, p.  237.
  33. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Pharmacies, p.  494.
  34. Site de l'Association Sportive Chapelloise de Football (ASC Football)
  35. Site de la Fédération Française de Tennis, page sur le club de La Chapelle-de-Guinchay
  36. Site de la cruchapellois
  37. Placido Llorca, « La Chapelle-de-Guinchay, commune viticole », sur Vin Vigne, (consulté le ).
  38. La Saône-et-Loire ; les 573 communes, La Chapelle-de-Guinchay, p. 49
  39. D'après des plans de l'architecte Adrien Guillemin de Mâcon, à qui l'on doit de nombreux autres bâtiments publics et, notamment, une autre mairie-école-justice de paix : celle de Lugny, en Haut-Mâconnais, construite en 1868-1869
  40. Frédéric Lafarge, Un édifice de style néo-Renaissance : l'hôtel de ville de Lugny, bulletin municipal de Lugny pour l'année 2021, page 25.
  41. Site de la mairie, liste des associations