Jauldes

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Jauldes
Jauldes
Mairie de Jauldes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Sébastien Boivent
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16168
Démographie
Gentilé Jauldois
Population
municipale
817 hab. (2021 en augmentation de 4,88 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 11″ nord, 0° 15′ 31″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 151 m
Superficie 25,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Touvre-et-Braconne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Jauldes
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Liens
Site web www.jauldes.fr

Jauldes (prononcer [ ʒod]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

La commune de Jauldes fait partie du Grand Angoulême.

Ses habitants sont les Jauldois et les Jauldoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Jauldes est située à 17 km nord d'Angoulême. Le bourg est aussi à 11 km au nord-ouest de La Rochefoucauld, le chef-lieu de son canton, 10 km de Saint-Amant-de-Boixe et 12 km de Mansle[2].

Jauldes est à 6 km à l'est de la RN 10. Elle est traversée par la D 11 qui va de la N 10 à Anais jusqu'à Chasseneuil. La D 91 la relie aussi à Angoulême par Brie et l'aéroport d'Angoulême qui est à 7 km[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Cherves au sud, Treillis et chez Renard au nord sont les hameaux les plus importants de la commune, qui en compte d'autres plus petits : l'Age, Cussac, la Mornière, Margnac, Magnac, Nouailles, la Motte, le Bois, le Petit Cherves, chez Forgeau, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Jauldes
Tourriers Aussac-Vadalle Coulgens
Anais Jauldes La Rochette
Brie Agris

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sol est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien à l'est et Kimméridgien à l'ouest), et fait partie du karst de La Rochefoucauld[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un plateau, celui de Braconne-Boixe, d'une altitude moyenne de 120 m et légèrement bombé selon un axe nord-sud. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 151 m, situé à l'ouest du bourg et au nord de l'Âge. Le point le plus bas est à 82 m, situé en limite sud-ouest près du bourg d'Anais. Le bourg de Jauldes est à 123 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Jauldes.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Argence[8],[Carte 1].

Le terrain karstique fait qu'aucun cours d'eau ne traverse la commune. On peut toutefois signaler au sud-ouest de la commune le ruisseau du Moulin des Rivauds qui prend sa source près de la Mercerie et coule en direction d'Anais, où il forme l'Argence, affluent de la Charente à Balzac[9].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Jauldes est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,4 %), forêts (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), zones urbanisées (1,1 %), prairies (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Jauldes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Argence. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2008[20],[18].

Jauldes est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire de la forêt domaniale de la Braconne. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[21],[22],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Jauldes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 56,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 397 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 216 sont en aléa moyen ou fort, soit 54 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Jaldis en 1296[27], Jaudis en 1296[28], Gaudes au XIe siècle, puis Jaudes[29]

Le nom de Jauldes tirerait son origine d'un domaine agricole gallo-romain, la villa Gallita ou Galata[30],[Note 4].

Limite linguistique[modifier | modifier le code]

La commune est dans la langue d'oïl (domaine du saintongeais), et marque la limite avec le domaine occitan (dialecte marchois) à l'est[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

Deux anciennes voies romaines traversent la commune, et se coupent à l'Aiguille (commune de Coulgens). La via Agrippa de Saintes à Lyon par Limoges fait la limite nord de la commune, et la voie d'Angoulême à Bourges par Argenton passe à l'ouest du bourg, à Chante-Geau[3].

À partir du XIIe siècle, Jauldes était un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[32]. À la veille de la Révolution, cet important archiprêtré comportait huit paroisses.

Il fut d'abord rattaché à la châtellenie de Montignac. Jauldes passa sous domination des La Rochefoucauld au XIVe siècle.

Le château de Fayolle, fief de la baronnie de La Rochefoucauld en 1560, aux mains des Tison d'Argence depuis 1486 puis des Lubersac depuis 1535 a été détruit à la Révolution.

L'église, du XIIIe siècle, a été brûlée par les huguenots conduits par le prince de Condé et le comte de La Rochefoucauld en 1568 et seule la coupole fut épargnée. Elle a été restaurée en 1875 et, sous le crépi, on a retrouvé les pierres calcinées. Elle fut temple décadaire à la Révolution.

Les registres de l'état civil remontent à 1684.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau appelée le Petit Mairat[33].

Le , une forteresse volante B-17 attaquée par un chasseur allemand stationné sur la base de Cognac, explose et se désintègre. Les trois aviateurs américains rescapés restèrent quelques jours dans la ferme de Puycharreau, sur la commune de Sainte-Colombe, avant d'être récupérés par le maquis de Bir Hacheim du commandant Chabanne. Une petite stèle où sont gravés les noms des sept disparus commémore sur la commune de Jauldes cet événement.

Administration[modifier | modifier le code]

Jauldes était chef-lieu de canton à sa création en 1793. Elle passe dans le canton de La Rochefoucauld en 1801[34].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1978 ? Edmond Fradet PS  
1993 2008 Michel Boulesteix PS  
2008 2020 Éric Savin SE Chef de projet
2020 En cours Sébastien Boivent   Professeur

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 817 habitants[Note 5], en augmentation de 4,88 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
1 1801 2091 2941 4121 3261 2681 2831 2001 210
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 1501 1191 1221 063932843814715733
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
639648656640618550570552542
1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021
521577606612701726772812817
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 423 hommes pour 389 femmes, soit un taux de 52,09 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
5,0 
75-89 ans
7,5 
18,4 
60-74 ans
17,0 
20,3 
45-59 ans
22,6 
22,7 
30-44 ans
21,1 
13,0 
15-29 ans
14,7 
20,1 
0-14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

C'est la fin du XIXe siècle qui a vu Jauldes perdre la moitié de sa population et passer de 1412 à 715 habitants. La population s'est stabilisée dans les années 1970 puis elle est en hausse depuis les années 1980.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie négligeable de l'activité agricole. La commune est cependant classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].

Commerces[modifier | modifier le code]

Les commerces sont un multiple rurale faisant office d'épicerie et de café et une boulangerie [41]

Les artisans sont un menuisier, un maçon, un électricien et un plâtrier[41].

Depuis trois générations, l'entreprise familiale Tallon propose semences, produits phytosanitaires, engrais et lubrifiants mécaniques aux agriculteurs et aux particuliers.

Il y a un expert-comptable et une sophrologue.

Un élevage de gibier, une pension pour chiens et chats, des agriculteurs, un producteur de vin de Pays charentais, un autre de grains et fourrages complètent les activités. La commune compte aussi une coopérative agricole située à la sortie Est du bourg, sur la RD 11.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Salle des fêtes.

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Coulgens et Jauldes. Jauldes accueille l'école primaire et Coulgens l'école élémentaire. L'école de Jauldes comporte deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Saint-Amant-de-Boixe[42].

Il y a une cantine et un service de ramassage scolaire.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Les associations sportives sont la Gym douce jauldoise, la Société de chasse, l'Entente pongiste de Tourriers-Jauldes et Jauldes Sports et Loisirs (Marche nordique, VTT, cyclotourisme, gym tonic, qi Gong).

Les associations culturelles et artistiques sont la fanfare Les enfants de la Braconne et les peintres de Bandiat-Tardoire.

Les autres associations sont le Comité de jumelage (Jauldes - Jurignac - Schœneck), l'Amicale intercommunale des parents d'élèves, l'Association des parents d'élèves, l'Association des anciens combattants, le Club des aînés, APPSE Persona (socio-esthétique) et Les Ryres en Nez Veillent (yoga du rire).

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Martin est aussi régulièrement que possible desservie par le clergé du diocèse catholique-romain d'Angoulême.

L'oratoire de la "Maison Notre-Dame" est desservi depuis de nombreuses années le 2e et le 4e dimanche de chaque mois par le clergé de l'Église syro-orthodoxe francophone Malankare[43],[44].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Martin possède un tabernacle en bois doré du XVIIe siècle montrant saint Christophe, saint Roch, le jardin des oliviers, la flagellation du Christ et le Christ en croix qui a été classé monument historique à titre objet en 1911[45].

Elle a gardé son caractère massif et défensif, ses groupes de chapiteaux anciens à feuille d’eau, sobres et au dessin fruste, sa façade, ornée de frises et de colonnettes et sa nef romane, primitive et sombre.

Une plaque de marbre témoigne de la mémoire du père de La Brosse, enfant du pays, missionnaire au Canada encore appelé Nouvelle France (1724-1782)[46]. Le vitrail de la Charité saint Martin au-dessus de l'autel est l'un de ses dons à l'église.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Une partie du site classé de la doline de la Grande fosse située dans la forêt domaniale de la Braconne se trouve sur la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. À l’ouest du bourg actuel, on trouve Chante-Geau (Jau, ou coq en saintongeais, occitan Gal).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Jauldes » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les gentilés de Charente », sur habitants.fr, (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Jauldes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Argence »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Jauldes », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Jauldes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 280
  28. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 106
  29. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), Jaudes
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  31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  32. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
  33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 203
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  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
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  46. Jauldes sur la communauté de communes

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]