Hancourt

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Hancourt
Hancourt
La mairie et l'école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Philippe Warée
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80413
Démographie
Gentilé Les Hancourtois
Les Hancourtoises
Population
municipale
89 hab. (2021 en diminution de 8,25 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 14″ nord, 3° 04′ 24″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 110 m
Superficie 4,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Hancourt
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Hancourt
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Hancourt

Hancourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

À moins de dix kilomètres à l'est de Péronne, Hancourt, village tourné vers l'agriculture, peut être rejoint par l'axe Amiens - Roye, la route départementale 1029.

Cliquer sur la carte pour agrandir.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol argilo-siliceux, particulièrement fertile, recouvre la majorité du territoire, composé d'un plateau sillonné par trois vallons peu marqués.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

En 1899, l'eau est puisée dans un nappe à 33 mètres de profondeur et deux mares permettent d'abreuver le bétail[1].

Un ruisseau, connu des anciens, coulait d'Hancourt vers Cauvigny pour se jeter dans l'Omignon, il est tari à la fin du XIXe siècle[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 715 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ESTREES-MONS-INRA (80) - alt : 87m, lat : 49°52'29"N, lon : 3°01'52"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5,1 8,5 11,2 13 13 10,4 7,8 4,5 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,3 10,1 13,6 16,4 18,7 18,6 15,5 11,6 7,3 4,3 11
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,2 11,2 15,1 18,6 21,6 24,4 24,3 20,5 15,4 10,1 6,6 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
07.01.09
−12,7
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−3,3
21.04.1991
−1
07.05.1997
1,5
05.06.12
4,6
11.07.1993
4,6
29.08.1989
0,7
30.09.18
−4,8
29.10.03
−9,1
24.11.1998
−12,5
18.12.10
−15,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
09.01.15
18,6
26.02.19
24
31.03.21
27
20.04.18
30,9
28.05.17
34,9
18.06.22
41,9
25.07.19
38,4
12.08.03
34,4
15.09.20
27,6
01.10.11
19,8
07.11.15
16,6
07.12.00
41,9
2019
Précipitations (mm) 49,6 43,8 45,8 37,1 58,8 59,8 56,6 65,2 51,3 58,2 57,9 63,4 647,5
Source : « Fiche 80557001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,9 %), zones urbanisées (6,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune présente un habitat groupé.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'abbé Simon, de Honnecourt, et Étienne, l'évêque de Noyon, dans un cartulaire d'Arrouaise, citent Haencourt dès 1198. En 1223, Haudecort est fourni par Jean de Proyart dans un cartulaire de Fouilloy. Haincourt est relevé en 1424. Dès 1519, c'est Hancourt, forme actuelle qui prédomine[15].

Hancourt est un terme de formation germano-romane. Le suffixe « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme puis un village[16]. Le préfixe « Han » serait un dérivé du nom d'un des propriétaires germaniques après les Invasions barbares des Ve et VIe siècles[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Sur la carte de Cassini ci-contre, Hancourt, signifie que le village était, au milieu du XVIIIe siècle, un hameau sans église.

Un moulin à vent en bois était situé au sud-ouest.

L'important chemin qui reliait Pœuilly à Péronne en passant par Hancourt est aujourd'hui un simple chemin agricole nommé Chemin d'Aix.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Hancourt au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le village a possédé son château, disparu à la suite d'un incendie. Deux énormes tilleuls en marquaient encore l'entrée en 1899[1].

En 1798, le village a son école.

La rue de la Chapelette marque l'accès à la chapelle communale déjà disparue au XIXe siècle[1].

Le village a eu son moulin mais il n'existe déjà plus à la fin du XIXe siècle. À cette époque, quinze exploitations agricoles font vivre les habitants ; neuf d'entre elles cultivent alors moins de cinq hectares. L'activité de tissage, autrefois répandue, ne compte plus que deux métiers à tisser en 1899[1].

Hancourt pendant la Grande Guerre[modifier | modifier le code]

Hancourt occupée par les Allemands (1914-1917)[modifier | modifier le code]

Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Hancourt[18]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la Kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

En , le général Hindenburg décida la création d'une ligne de défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages devaient être détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le les habitants furent évacués, emmenés à Vraignes. En , avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons furent pillées et incendiées, le village fut donc systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons furent dynamitées et les arbres sciés à un mètre de hauteur[19].

L'abbé Charles Calippe dans son ouvrage La Somme sous l'occupation allemande, 27 août 1914-19 mars 1917, a laissé ce témoignage :

« Dans le hameau de Hancourt, toutes les maisons sont détruites, complètement pour la plupart. Dans un champ, voici les restes d'un batteuse à vapeur calcinés ; les instruments de culture, épars dans les rues et les cours ont été brisés[20]. »

Le village, vidé de ses habitants, resta occupé par les Allemands ; il fut le théâtre de nombreux combats en mars-. Les ruines du village furent plusieurs fois reprises par chaque camp

La reprise d'Hancourt par l'armée britannique (7 septembre 1918)[modifier | modifier le code]

Ce n'est que le , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Hancourt fut définitivement libéré comme en témoigne le communiqué britannique du  :

« Hier soir et pendant la nuit, nos troupes ont fait de nouveaux progrès à l'est et au nord-est de Péronne. Elle se sont emparés des villages de Hancourt..."[21]. »

La reconstruction d'Hancourt durant l'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Comme d'autres villages de la région, Hancourt est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands. Des 23 communes qui composaient le canton de Roisel, seules deux ont échappé à la destruction Vraignes-en-Vermandois et Tincourt-Boucly qui ont servi à héberger la population évacuée des autres villages avant leur destruction[22].

Dans le cimetière militaire situé un peu à l'écart village, reposent les corps de 98 soldats britanniques tombés lors des combats à Hancourt[23]. Peu à peu, les habitants revinrent s'installer dans le village et alors démarra une phase de reconstruction, qui durera presque une décennie, menée par une coopérative de reconstruction, administrant la perception des droits de guerre. De 204 habitants avant la guerre en 1911, Hancourt n'en comptait plus que 111 en 1921, soit pratiquement la moitié.

Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 9 soldats hancourtois Morts pour la France ainsi que celui d'une victime civile[24].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[25], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1970 2001 Pierre Hénocque[27]    
mars 2001 En cours
(au 26 mai 2020)
Philippe Warée   Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 89 habitants[Note 3], en diminution de 8,25 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
234254260277261253257291273
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
269273246242246237223218222
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
207215204111145144124124126
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9813211792117100102103101
2018 2021 - - - - - - -
9089-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village n'a plus d'école primaire.

En 2020, l'aspect financier est géré par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, Pœuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, Hesbécourt, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilité de deux sites, avec deux classes maternelles à Bernes, et surtout neuf classes à Roisel, trois en maternelle et six en primaire[33].

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'activité économique dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, Alban Frété, 1899, Amiens, Archives départementales de la Somme, Lire la notice en ligne sur le site des archives départementales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Hancourt et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, 1868-1878, tome 1, p. 439. Lire le dictionnaire en ligne, sur le site des archives départementales, vue 233/269.
  16. Charles Rostang, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
  17. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  18. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « Carte Michelin 1936, Michel Martin ».
  20. « La Somme sous l'occupation allemande, 27 août 1914-19 mars 1917 / abbé Charles Calippe ; préface de S. G. Mgr de La Villerabel,... », sur Gallica, (consulté le ).
  21. « Le Rappel / directeur gérant Albert Barbieux », sur Gallica, (consulté le ).
  22. « La guerre en 1917 : les crimes allemands : dans la Picardie dévastée / Maurice Thiéry ; préface de S. Pichon,... », sur Gallica, (consulté le ).
  23. (en) « Cemetery Details / CWGC », sur cwgc.org (consulté le ).
  24. « Galerie Généanet ».
  25. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
  26. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  27. Courrier picard, 6 février 2017, avis de décès, p. 17.
  28. « Quatrième mandat pour Philippe Warée à Hancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2001, Philippe Warée vient d’être réélu pour un quatrième mandat ».
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire », Courrier picard,‎ , p. 20.
  34. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 260 (ASIN B000WR15W8).